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      Noyal-sous-Bazouges ( | 
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de NOYAL-SOUS-BAZOUGES
Noyal-sous-Bazouges vient du gaulois "noue" (source) et du suffixe "al" (près de).
L'église de Noyal est mentionnée dès 1066, date à laquelle elle est donnée à l'Abbaye de Marmoutiers en Touraine par Main (ou Méen) seigneur de Cugnen en reconnaissance de la guérison de ses fils. L'église est unie au XIIIème siècle au prieuré de Saint-Denis de Rennes. La paroisse de Noyal-sous-Bazouges dépendait jadis de l'ancien évêché de Rennes.

D'après le Pouillé de Rennes, lorsque le bienheureux Barthélemy, abbé de Marmoutiers, visita le monastère de Combourg en 1066, nous savons qu'il guérit miraculeusement Haimon et Gautier, fils de Main, seigneur de Cuguen. Pour témoigner sa reconnaissance au saint abbé, Main lui donna l'église de Cuguen et celle de Saint-Martin de Noyal, « ecclesiam Sancti Martini de Noel », avec toutes leurs dépendances ; ces églises furent alors mises par Barthélemy entre les mains de ses religieux du prieuré de Combourg (Dom Morice, Preuves de l'Histoire de Bretagne, I, 492). Soit que cette donation n'ait pas eu immédiatement toutes ses suites, soit qu'Haimon, l'un des malades guéris, ait voulu confirmer lui-même pour sa part l'oeuvre de son père, toujours est-il qu'en 1095 cet Haimon, fils de Main, donna aux Bénédictins de Marmoutiers le quart de l'église de Noyal, « quartam partem ecclesiœ Nogialii ». Il fit ce don très-solennellement sous l'abbatiat de Bernard, abbé de Marmoutiers, et du consentement de sa femme Basilic et de ses frères Guillaume et Gautier; il eut même soin de faire approuver cet acte par son suzerain Riwallon, seigneur de Dol. Environ cinquante ans plus tard, vers l'an 1145, les fils d'Haimon, Raoul et Gautier, ainsi que la femme de Raoul, disposèrent en faveur du prieuré de Combourg, déjà maître de l'église de Noyal, de tous les droits qu'ils avaient sur les dîmes de Bazouges-la-Pérouse et de Noyal-sous-Bazouges (Dom Morice, Preuves de l'Histoire de Bretagne, I, 486). Les moines de Combourg ne semblent pas, toutefois, avoir joui fort longtemps de l'église de Noyal, car au XIIIème siècle le prieuré de Saint-Denis ayant été fondé dans la cathédrale de Rennes, cette église de Noyal fut unie au nouveau bénéfice. Comment s'opéra ce changement? Il fut peut-être une conséquence de la cession féodale du territoire de Bazouges et de ses environs par l'archevêque de Dol au baron de Fougères (Voir M. Maupillé, Notices historiques sur les Paroisses du canton d'Antrain, 36). Le prieuré de Saint-Denis était une fondation faite en faveur des chanoines réguliers de l'abbaye de Rillé, tout particulièrement chers au seigneur de Fougères, et celui-ci y put fort bien coopérer. On ne possède plus malheureusement, en effet, l'acte de fondation du prieuré de Saint-Denis. Ce qui paraît certain, c'est que dès son origine le prieur de Saint-Denis de Rennes reçut de l'ordinaire le droit de présenter le recteur de Noyal et d'exiger de lui une modique pension ; il usa de ces privilèges jusqu'à l'extinction de son prieuré en 1728. Le Rôle diocésain ms. de 1646 dit que le recteur de Noyal jouissait alors d'un revenu de 1 200 livres. En 1679, M. Pigeault, recteur, déclara de son côté posséder, sous la mouvance de la châtellenie de Bazouges, son presbytère avec sa cour, deux jardins et un verger situé au bas du bourg. A cette dernière époque, la fabrique de Noyal jouissait d'un trait de dîme appelé le Dîmereau de l'église (Archives départementales de la Loire-Inférieure).

Le village de Noyal est mentionné en 1095 sur un acte de donation aux moines du prieuré de Combourg sous l'appellation de "Noyalium". Vers la même époque, et toujours En 1516, il est écrit "Nulliaco Subtus Bazogia". Ce n'est que vers le milieu du XVIème siècle que le nom de Noyal-sous-Bazouges apparaît sous sa forme définitive.
On rencontre les appellations suivantes : Ecclesia de Noel (en 1066), Nogialium ou Noyalium (en 1095), Noyallum subtus Bazogiis ou Nulliaco subtus Bezagid (en 1516).

Note : liste non exhaustive des recteurs de la paroisse de Noyal-sous-Bazouges : Jean de Saint-Main (vers 1550). Jacques Morin (1600-1611). T. Gaucher (1612). Guillaume Ybert (chanoine et chantre de Dol, 1619-1628). Etienne Le Camus (1628). Jean Fournier (chapelain de Saint-Léonard de Fougères, 1647 et 1650). François Pigeault (natif de Guipry, fils de Christophe Pigeault, seigneur de la Mélatière, recteur en 1669, assista au synode de 1701). Julien-Sébastien Malherbe (prêtre du diocèse, 1712). Philippe Adam (prêtre de Coutances, il fut pourvu en 1713 ; décédé en 1745). Jacques-Félix Pinot (sieur de Launay, pourvu le 8 mars 1745, il résigna en 1770 et devint chanoine de Rennes). Julien Thomas (pourvu le 6 mars 1771, il gouverna jusqu'à la Révolution et se réfugia à Jersey, où il mourut, dit-on). Pierre-Julien Brodin (1803-1815). François-Joseph Juin (1815, décédé en 1824). Julien Lesguer (1824, décédé en 1864). François Gauthier (1864-1868). Georges Bouleuc (à partir de 1868), ...

Voir  
 " 
 Le
cahier de doléances de Noyal-sous-Bazouges en 1789
 ".
 " 
 Le
cahier de doléances de Noyal-sous-Bazouges en 1789
 ".
Voir  
 " 
 Informations 
 diverses sur la ville de Noyal-sous-Bazouges
 ".
 " 
 Informations 
 diverses sur la ville de Noyal-sous-Bazouges
 ".
Voir  
 " 
 Origines 
 de la paroisse de Noyal-sous-Bazouges
 ".
 " 
 Origines 
 de la paroisse de Noyal-sous-Bazouges
 ".

PATRIMOINE de NOYAL-SOUS-BAZOUGES
 l'église
    Saint-Martin (1855-1856), oeuvre de l'architecte Jean Marie Anger et édifiée à l'emplacement d'un sanctuaire
    primitif roman qui avait été restauré aux XVème et XVIème siècles, puis
    démoli en 1855. De l'ancienne église de Noyal-sous-Bazouges, dédiée à
    saint Martin de Tours dès l'an 1066, il ne reste plus rien. Cet édifice de
    style roman, restauré au XVIème siècle, tombait naguère en ruine. On l'a
    remplacé par un nouveau sanctuaire dans lequel on a replacé deux portes de
    style ogival fleuri provenant de la partie relevée au XVIème siècle. Dans
    cette ancienne église, le seigneur de Combourg, issu de la maison de Dol,
    était à l'origine considéré comme seigneur supérieur, et l'on voyait
    encore ses armoiries dans la vitre derrière le maître-autel en 1679. A
    cette même époque, le seigneur de Beauvais-Moulines jouissait des droits
    de fondation et de prééminence ; il avait son enfeu et ses pierres
    tombales dans le choeur, ses armoiries, portant une croix guivrée (nota : cet
    écusson, que nous ne savons trop à quelle famille attribuer, se retrouve,
    ainsi que les blasons du Boishalbran et de Moulines, dans la décoration
    assez curieuse de l'ancien manoir de Beauvais-Moulines) , 
    dans la maîtresse vitre au-dessous de celles du sire de Combourg, et sa
    lisière, semblablement armoriée, tout autour de l'édifice (nota : archives
    départementales de la Loire-Inférieure. — Le seigneur de Beauvais-Moulines
    avait aussi au bourg de Noyal le droit d'un marché le mercredi de chaque
    semaine et de deux foires aux fêtes de saint Méen et de sainte Gertrude.
    Une vieille fontaine, dite de Saint-Méen, située près du bourg,
    témoigne, ainsi que cette foire, de l'importance qu'avait jadis à Noyal-sous-Bazouges
    le culte de ce saint abbé. La confrérie du Rosaire fut érigée dans l'église de Noyal-sous-Bazouges
    par les soins du recteur, M. Adam, et approuvée par l'ordinaire le 11 mai
    1736 (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 9 G, 14). La première
    pierre de la nouvelle église de Noyal fut bénite le 30 septembre 1855, et
    dès le 29 avril 1856 le recteur, M. Lesguer, put bénir l'édifice
    (Registre paroissial). Cette église, construite en plein cintre, vient d'être
    décorée avec goût dans le style de la renaissance. M. Hérault y a placé
    des autels à baldaquin en bois sculpté, et l'intérieur de l'édifice a été
    polychromé d'une façon fort satisfaisante (Pouillé de Rennes). Sa maîtresse-vitre portait en 1679 les armes des seigneurs
    de Combourg et des seigneurs de Beauvais-Moulines : ces derniers
    possédaient dans l'église une litre et un enfeu. Un portail de l'église
    actuelle date du XIV-XVème siècle. L'église abrite une statue de saint
    Martin (XVIIème siècle) et un tableau intitulée "Descente de
    Croix" (XVIIème siècle) ;
l'église
    Saint-Martin (1855-1856), oeuvre de l'architecte Jean Marie Anger et édifiée à l'emplacement d'un sanctuaire
    primitif roman qui avait été restauré aux XVème et XVIème siècles, puis
    démoli en 1855. De l'ancienne église de Noyal-sous-Bazouges, dédiée à
    saint Martin de Tours dès l'an 1066, il ne reste plus rien. Cet édifice de
    style roman, restauré au XVIème siècle, tombait naguère en ruine. On l'a
    remplacé par un nouveau sanctuaire dans lequel on a replacé deux portes de
    style ogival fleuri provenant de la partie relevée au XVIème siècle. Dans
    cette ancienne église, le seigneur de Combourg, issu de la maison de Dol,
    était à l'origine considéré comme seigneur supérieur, et l'on voyait
    encore ses armoiries dans la vitre derrière le maître-autel en 1679. A
    cette même époque, le seigneur de Beauvais-Moulines jouissait des droits
    de fondation et de prééminence ; il avait son enfeu et ses pierres
    tombales dans le choeur, ses armoiries, portant une croix guivrée (nota : cet
    écusson, que nous ne savons trop à quelle famille attribuer, se retrouve,
    ainsi que les blasons du Boishalbran et de Moulines, dans la décoration
    assez curieuse de l'ancien manoir de Beauvais-Moulines) , 
    dans la maîtresse vitre au-dessous de celles du sire de Combourg, et sa
    lisière, semblablement armoriée, tout autour de l'édifice (nota : archives
    départementales de la Loire-Inférieure. — Le seigneur de Beauvais-Moulines
    avait aussi au bourg de Noyal le droit d'un marché le mercredi de chaque
    semaine et de deux foires aux fêtes de saint Méen et de sainte Gertrude.
    Une vieille fontaine, dite de Saint-Méen, située près du bourg,
    témoigne, ainsi que cette foire, de l'importance qu'avait jadis à Noyal-sous-Bazouges
    le culte de ce saint abbé. La confrérie du Rosaire fut érigée dans l'église de Noyal-sous-Bazouges
    par les soins du recteur, M. Adam, et approuvée par l'ordinaire le 11 mai
    1736 (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 9 G, 14). La première
    pierre de la nouvelle église de Noyal fut bénite le 30 septembre 1855, et
    dès le 29 avril 1856 le recteur, M. Lesguer, put bénir l'édifice
    (Registre paroissial). Cette église, construite en plein cintre, vient d'être
    décorée avec goût dans le style de la renaissance. M. Hérault y a placé
    des autels à baldaquin en bois sculpté, et l'intérieur de l'édifice a été
    polychromé d'une façon fort satisfaisante (Pouillé de Rennes). Sa maîtresse-vitre portait en 1679 les armes des seigneurs
    de Combourg et des seigneurs de Beauvais-Moulines : ces derniers
    possédaient dans l'église une litre et un enfeu. Un portail de l'église
    actuelle date du XIV-XVème siècle. L'église abrite une statue de saint
    Martin (XVIIème siècle) et un tableau intitulée "Descente de
    Croix" (XVIIème siècle) ;

 la
    croix (1780), située à Chalonge ;
la
    croix (1780), située à Chalonge ;
 la
    croix (XIXème siècle), édifiée par Mathurin Garçon ;
la
    croix (XIXème siècle), édifiée par Mathurin Garçon ;
 la
    croix Hampin, orné d'un écusson ;
la
    croix Hampin, orné d'un écusson ;
 le
    manoir du Quartier (XV-XVIème siècle),
    qui relevait de la seigneurie de Combourg. Il possédait jadis une chapelle
    privée et un droit de haute justice. La chapelle Sainte-Suzanne, mentionnée
    dans le Pouillé ms. de Rennes au commencement du XVIIIème siècle,
    devait être celle du manoir du Quartier, dont on conserve la porte transférée
    aujourd'hui à Beauvais-Moulines. Cette porte, de style ogival fleuri,
    annonce que le sanctuaire du Quartier était une jolie construction du
    XVème siècle (Pouillé de Rennes). Propriété successive des seigneurs
    le Quartier juveigneurs de la Ballue (en 1430), puis des familles d'Arvilliers (en 1591), du
    Matz seigneurs du Brossay (vers 1603), de Gouyon (en 1744 et en 1789) ;
le
    manoir du Quartier (XV-XVIème siècle),
    qui relevait de la seigneurie de Combourg. Il possédait jadis une chapelle
    privée et un droit de haute justice. La chapelle Sainte-Suzanne, mentionnée
    dans le Pouillé ms. de Rennes au commencement du XVIIIème siècle,
    devait être celle du manoir du Quartier, dont on conserve la porte transférée
    aujourd'hui à Beauvais-Moulines. Cette porte, de style ogival fleuri,
    annonce que le sanctuaire du Quartier était une jolie construction du
    XVème siècle (Pouillé de Rennes). Propriété successive des seigneurs
    le Quartier juveigneurs de la Ballue (en 1430), puis des familles d'Arvilliers (en 1591), du
    Matz seigneurs du Brossay (vers 1603), de Gouyon (en 1744 et en 1789) ;
 la
    maison Boullault (1566) ;
la
    maison Boullault (1566) ;
 la
    maison natale de Gille-Anne Lodin (1598). Gilles-Anne Lodin était député
    au conseil des Cinq-Cents et président du tribunal civil de Rennes ;
la
    maison natale de Gille-Anne Lodin (1598). Gilles-Anne Lodin était député
    au conseil des Cinq-Cents et président du tribunal civil de Rennes ;
 la
    maison natale de Théodore Chalmel (XVIIIème siècle). Théodore Chalmel
    est auteur de monographies sur plusieurs communes d'Ille-et-Vilaine ;
la
    maison natale de Théodore Chalmel (XVIIIème siècle). Théodore Chalmel
    est auteur de monographies sur plusieurs communes d'Ille-et-Vilaine ;
 la
    Maison des Plaids ou l'Ancien Presbytère (1566), située au bourg de
    Noyal-sous-Bazouges ;
la
    Maison des Plaids ou l'Ancien Presbytère (1566), située au bourg de
    Noyal-sous-Bazouges ;
 le
    puits (XVIIème siècle) du Clos-Harel ;
le
    puits (XVIIème siècle) du Clos-Harel ;
 la
    vieille fontaine de Saint-Méen, située près du bourg de
    Noyal-sous-Bazouges ;
la
    vieille fontaine de Saint-Méen, située près du bourg de
    Noyal-sous-Bazouges ;
 le moulin
    à eau de Courget ;
le moulin
    à eau de Courget ;
A signaler aussi :
 le
    menhir "La Pierre Longue" ou "Pierre de Lande-Ros", situé au lieu-dit Landerosse ;
le
    menhir "La Pierre Longue" ou "Pierre de Lande-Ros", situé au lieu-dit Landerosse ;
 la
    pierre surnommée "autel de saint Léger", situé dans  le Champ de
    l'Autel. Elle sert aujourd'hui de piédestal à une croix de 1781, située à Polygone. Une
    légende prétend que saint Léger, évêque d'Autun au VIIème siècle, y a
    célébré la messe ;
la
    pierre surnommée "autel de saint Léger", situé dans  le Champ de
    l'Autel. Elle sert aujourd'hui de piédestal à une croix de 1781, située à Polygone. Une
    légende prétend que saint Léger, évêque d'Autun au VIIème siècle, y a
    célébré la messe ;
 l'ancien
    manoir de Fontenil. Propriété des seigneurs de Fontenil (en 1448),
    Bourbans (en 1513 et en 1603), Anger sieurs de la Fosse (en 1680) ;
l'ancien
    manoir de Fontenil. Propriété des seigneurs de Fontenil (en 1448),
    Bourbans (en 1513 et en 1603), Anger sieurs de la Fosse (en 1680) ;
 le
    manoir de Beauvais-Moulines. Propriété successive des familles de Launay
    (en 1404), de Pontfoul (vers 1436), de Lassy (en 1475), du Chastellier
    seigneurs de la Chesnelière (en 1580), Mercoeur (en 1593), du Boys (en
    1602), du Boishalbran (en 1669), Clément (en 1680), du Chastellier (au
    milieu du XVIIIème siècle), Grout seigneurs de la Grassinaye, de Béchenec.
    On y voit un puits. Il possédait jadis un droit de haute justice et
    relevait d'abord de la seigneurie de Combourg, puis de celle de la Ballue en
    Bazouges-la-Pérouse en 1678 ;
le
    manoir de Beauvais-Moulines. Propriété successive des familles de Launay
    (en 1404), de Pontfoul (vers 1436), de Lassy (en 1475), du Chastellier
    seigneurs de la Chesnelière (en 1580), Mercoeur (en 1593), du Boys (en
    1602), du Boishalbran (en 1669), Clément (en 1680), du Chastellier (au
    milieu du XVIIIème siècle), Grout seigneurs de la Grassinaye, de Béchenec.
    On y voit un puits. Il possédait jadis un droit de haute justice et
    relevait d'abord de la seigneurie de Combourg, puis de celle de la Ballue en
    Bazouges-la-Pérouse en 1678 ;

 l'ancien
    manoir du Pont. On y trouve plusieurs dates : 1650, 1710 et 1830. Il possède
    une chapelle privée ;
l'ancien
    manoir du Pont. On y trouve plusieurs dates : 1650, 1710 et 1830. Il possède
    une chapelle privée ;
 l'ancien
    manoir de la Corbinière ou du Rocher-Blot. Il possédait jadis une chapelle
    privée fondée par François Boscher et Jeanne Ménard en 1670. En effet, en
    1670, François Boscher, notaire royal, et Jeanne Menard, sieur et dame du Désert,
    ayant fait bâtir une chapelle « en l'honneur de Nostre-Dame de
    Bon-Secours », près de leur maison de la Corbinière, y fondèrent
    deux messes hebdomadaires tous les jeudis et samedis. Cette pieuse fondation
    fut approuvée le 14 février 1670 par Mgr de la Vieuville (Archives
    départementales d'Ille-et-Vilaine, 9 G, 14). Julien Garnier, prêtre de
    Bazouges, fut présenté en 1719 pour desservir cette chapelle, qui existait
    encore à la fin du XIXème siècle ; naguère on s'y rendait même en
    procession aux Rogations (Pouillé de Rennes). Propriété
    de la famille Boscher sieurs du Désert au XVIIème siècle ;
l'ancien
    manoir de la Corbinière ou du Rocher-Blot. Il possédait jadis une chapelle
    privée fondée par François Boscher et Jeanne Ménard en 1670. En effet, en
    1670, François Boscher, notaire royal, et Jeanne Menard, sieur et dame du Désert,
    ayant fait bâtir une chapelle « en l'honneur de Nostre-Dame de
    Bon-Secours », près de leur maison de la Corbinière, y fondèrent
    deux messes hebdomadaires tous les jeudis et samedis. Cette pieuse fondation
    fut approuvée le 14 février 1670 par Mgr de la Vieuville (Archives
    départementales d'Ille-et-Vilaine, 9 G, 14). Julien Garnier, prêtre de
    Bazouges, fut présenté en 1719 pour desservir cette chapelle, qui existait
    encore à la fin du XIXème siècle ; naguère on s'y rendait même en
    procession aux Rogations (Pouillé de Rennes). Propriété
    de la famille Boscher sieurs du Désert au XVIIème siècle ;
 la
    maison du XVème siècle, située au village des Longrais ;
la
    maison du XVème siècle, située au village des Longrais ;

ANCIENNE NOBLESSE de NOYAL-SOUS-BAZOUGES
Une partie importante de la paroisse, sous le nom de fief de Godeheust, relevait de Combourg, en arrière-fief de Fougères, ayant, semble-t-il, été portée à la seigneurie de Combourg par une fille de Méen II, appelée Godeheust.
Voir  
 " 
 Seigneuries, 
 domaines seigneuriaux et mouvances de Noyal-sous-Bazouges
 ".
 " 
 Seigneuries, 
 domaines seigneuriaux et mouvances de Noyal-sous-Bazouges
 ".
A la montre de 1541 des feudataires de l'évêché de Rennes il n'est mentionnée aucune personne de "Noyal soubz Bazoges".
(à compléter)
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