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MAROUE

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La commune de Maroué (bzh.gif (80 octets) Maroue) fait partie du canton de Lamballe. Maroué dépend de l'arrondissement de Saint-Brieuc, du département des Côtes d'Armor (Bretagne).

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de MAROUE

Maroué vient, semble-t-il, du breton « marfirez » (grande forêt) ou du gaulois "Maro-ialos" (grande clairière).

Maroué est une ancienne paroisse primitive qui englobait jadis outre le territoire actuel de Maroué, ceux de Lamballe, La Poterie (aujourd'hui en Lamballe), Landéhen, Saint-Trimoel, La Malhoure et Penguily (moitié nord).

Maroué est mentionné pour la première fois en 1217, lors d'un don de l'évêque de Saint-Brieuc (du nom de Sylvestre) à l'abbaye de Saint-Florent de Saumur : il s'agit de la chapelle Notre-Dame du Breuil et du tiers de l'église Saint-Pierre de Maroué.

Ville de Maroué (Bretagne).

Maroué (Maroe) est une paroisse dès 1225 (Anc. év. III, 340). Certains faubourgs de Lamballe (Saint-Lazare, Mouéxigné, …) appartenaient autrefois à la paroisse de Maroué. Sous l'Ancien Régime, Maroué dépend du diocèse de Saint-Brieuc et possède deux succursales : Saint-Yves de la Poterie (érigée 1607) et Saint-Trimoël (érigée en 1782). Ces deux paroisses deviennent par la suite des communes.

Avant 1789, la paroisse de Maroué avait pour seigneur le duc de Penthièvre. Elle relevait de la subdélégation de Lamballe et du ressort de Saint-Brieuc, son évêché. La cure était à l'ordinaire.

Maroué est érigé en commune en 1790 puis est réuni à Lamballe par arrêté préfectoral du 29 décembre 1972, à compter du 1er janvier 1973, avec le statut de commune associée. Par une ordonnance du 5 mai 1830, Maroué cède à Landéhen le village de La Gabinière en échange de l'enclave de La Grenouillère. Par une ordonnance du 12 mai 1830, Maroué cède à Lamballe le village du Petit-Lanjouan, le moulin de Saint-Sauveur, le village de Lescouët, une fraction près du Pré-Faruel et de la route de Brest, une fraction près du Nid-de-Pie et enfin le village de la Salle-Plestan. Par la loi du 4 avril 1849, Maroué cède à Saint-Aaron la section de la Villeneuve.

On rencontre les appellations suivantes : Eccl. S. Petri de Maroio (en 1217), Par. de Maroe (en 1225), Maroyo (en 1234), Par. de Maroy (en 1238, en 1256, en 1289), Maroio (en 1251), Maroy (en 1256), Maroe (en 1268), Maroyo (en 1286), Eccl. de Maroeyo (vers 1330), Maroue (en 1426, archives de Loire-Atlantique, B2978).

Ville de Maroué (Bretagne).

Note 1 : La commune de Maroué n'est plus formée que d'une faible partie de l'ancienne paroisse de ce nom. Maroué s'étendait autrefois jusque dans la ville de Lamballe ; elle a perdu dans le dernier siècle deux trèves importantes, la Poterie et Saint-Trimoël, devenues paroisses elles-mêmes, et, depuis le cadastre, toute la partie qui entrait en Lamballe. — L'église de Maroué fut brûlée au Xème siècle par les Normands ; elle était située à 1.000 m. environ de Lamballe, sur la route de Moncontour. Le seigneur du château des Salles, château dont il ne reste plus que des ruines informes, donna sa chapelle pour servir d'église. Cette chapelle fut agrandie d'une nef, et depuis peu l'on y a ajouté deux chapelles latérales et une tour. — Outre cette église, il y avait cinq chapelles : Saint-Gernouin, Craïmaignan, chapelles de Maroué, de Saint-Jacques et de Saint Barthélémy, ces deux dernières situées dans les faubourgs de Lamballe. Il ne reste plus que la chapelle de Maroué, où l'on dit quelquefois la messe. Jadis les paroisses de la côte venaient en procession à cette chapelle, par suite d'un vœu qu'elles avaient fait en 1420 pour être délivrées de la peste ; alors elle était très fréquentée par les pèlerins : cette pieuse coutume s'est perdue pendant la Révolution. Il y avait encore en Maroué un prieuré à Saint-Melaine. Ce prieuré, qui appartenait à l'ordre des bénédictins, a été remplacé par une auberge, dite de la Corne : la chapelle sert de magasin.— Dans le XVIIème siècle, on comptait en cette paroisse soixante-deux maisons nobles ; aucune d'elles n'était fortifiée. La Cornillière, Guinguen, les Noës, la Rivière, le Colombier, etc., sont devenus métairies ; Launay, Quefferon, la Villeneuve, Beauregard, le Chauchix, les Hauts-Fossés, la Cherquetière, Coriot, la Guévière, le Bosquilly, sont habités par des propriétaires. — On citait jadis comme une œuvre remarquable le portail de la chapelle de Maroué. En 1829, le desservant de la commune le fit détruire sans que personne osât s'opposer à ce vandalisme. La chapelle, privée de son beau portail, a perdu aussi l'assemblée qui avait lieu annuellement en cet endroit et qui a été transportée près de Noyal. — Maroué, comme beaucoup d'autres lieux, a commencé par une agglomération de maisons autour d'un ermitage, vers le Vème siècle. Lamballe en fut détaché plus tard par les ducs de Bretagne, pour y fonder un château fort ; puis Lamballe a presque absorbé Maroué, d'abord pour le spirituel, et ensuite pour le temporel. Jadis, tout à l'entour du château, ce qui n'était pas fortifié était en Maroué ; et l'on cite, comme souvenir de celle préexistence de la petite commune, que des recteurs de Notre-Dame de Lamballe, logés entre les deux ponts de Bariot et de Saint-Jacques, ont été obligés de venir faire leurs Pâques dans l'église de Maroué. — On dit que Quellereau et la Caillibotière ont appartenu aux Templiers ; nous n'en avons aucune preuve directe (Marteville et Varin, 1843).

Note 2 : la commune de Maroué est formée des villages : le Tertre-Hello, Beauregard, le Rocher, la Caillibotière, le Pont-au-Prévost, Hicadoret, le Pont-Grossard, la Corne-de-Cerf, la Salle-Blanche, le Chauchix, la Chapelle, la Lande-Boudan, la Roche-au-Lion, la Caisse-d'Or, la Fresnaie, la Ville-Ropitel, Gautrel, le Bosquilly, Cariol, Chapelle-Guyomard, la Mare-Bedo, le Coudray, Quellereuc, les Goissiaux, Bouridel, Villeneuve, les Hauts-Fossés, Saint-Germain, les Portes-Hainault, le Pramet, la Grenouillère, les Ormes, la Guevière, les Champs-Urbants, les Tertres, le Madray, le Made, Levantoué, la Ville-ès-Lan, Trevily. Parmi les villages : Lanjarnet, La Trinité, Trémélia, Trévily, Tréguien.

Note 3 : Liste non exhaustive des maires de Maroué : F. Martin (1790), L. Méheust (1798), Louis Langlois (1800), Julien Langlois (1808), Couffon de Kerdellec (1815), Mathurin Aumont (1843), P. de Trémaudan (1843), T. Aumont (1848), etc ...

Voir   Ville de Maroué (Bretagne) " Le cahier de doléances de Maroué en 1789 ".

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PATRIMOINE de MAROUE

l'église Saint-Pierre (1828-1868). L'église primitive de Maroué aurait été brûlée au Xème siècle par les Normands. Elle aurait été alors remplacée par la chapelle dépendant du château des Salles, qui a disparu de nos jours. En forme de croix latine, elle comprend un clocher extérieur, une nef avec bas côtés de six travées, un transept et un choeur. Elle a été entièrement reconstruite au XIXème siècle mais l’on a conservé entre le clocher et la nef une porte du XIVème siècle. Les deux ailes furent construites suivant devis du 19 septembre 1828 par Nivet entrepreneur de Lamballe ; puis les plans de la tour furent dressés le 9 octobre 1836 par Auguste Guernion, architecte, et l’adjudication en fut faite le 7 mai 1837. Peu après, l’on fit la nef, et la statistique de 1845 indique « Eglise en partie nouvellement construite, l’autre partie devra être démolie et réédifiée ; cinq centimes additionnels ont été votés de 1843 à 1846, tour carrée de 24 mètres neuve ». La nef porte l’inscription : HANC CIRUS DE ST MELOIR RESTAURAVIT CUI LAUS J. M. ROUVRAIS Rr. En 1866 le choeur qui remontait au milieu du XVIème siècle fut reconstruit et bénit le 29 octobre 1868 ; enfin, le clocher fut restauré par M. Louis Sébilleau entrepreneur, suivant devis du 12 octobre 1888. Mobilier : En 1669, les paroissiens de Maroué avaient commandé à Marc du Rufflay, maître sculpteur, et Jean Hervé, maître menuisier, deux petits autels dédiés l’un à la sainte Vierge et l’autre à saint Avy avec six statues dont quatre subsistent encore : celles de sainte Anne, saint Joachim, saint Avy et sainte Radegonde, qui furent dorées en 1670 par Julien Moinet peintre de Lamballe. Lutrin du XVIIème siècle. Tout le reste du mobilier, y compris les autels latéraux, date du milieu du XIXème siècle (R. Couffon). On y trouve une porte du XIVème siècle, située entre la nef et le clocher. Le choeur de l'église est béni le 29 octobre 1868. L'église abrite les statues de saint Avy (XVII-XXème siècle) et de sainte Radegonde (XVI-XXème siècle) ;

Eglise de Maroué (Bretagne).

la chapelle Saint-Guillaume de la Cornilière (XVIIème siècle), aujourd'hui ruinée. Il s'agit de la chapelle privative du château du même nom, disparu vers 1918. Cette chapelle est convertie en grange en 1895 ;

la chapelle Notre-Dame du Breuil ou Notre-Dame de Maroué, mentionnée dès 1128, reconstruite au XIVème siècle puis en 1877 avec réemploi d'éléments du XIVème siècle. Petit édifice rectangulaire avec chevet à pans coupés. Mentionnée dès 1128, elle fut donnée à Saint-Florent de Saumur et reconstruite au XIVème siècle. A la Révolution, elle appartenait au séminaire de Saint-Brieuc ; et, sur son lambris, étaient peintes les images des sept saints. Vendue comme bien national, elle fut donnée à la fabrique le 4 novembre 1823 par Charles-Mathurin Sevoy de la Ville-Josse et érigée en chapelle de secours le 15 avril 1826. Le pignon ouest fut refait en 1829, mais la chapelle était en ruines en 1857. Elle fut presque totalement reconstruite en 1877 et bénite le 29 juillet 1877 (R. Couffon). Cette chapelle reçoit en 1363 l'une des côtes de saint Yves, offert par Charles de Blois à l'église collégiale Notre-Dame de Lamballe ;

Chapelle de Maroué (Bretagne).

la chapelle Saint-Nicolas de Cariot (XVIIème siècle), aujourd'hui transformée en cellier. Elle était à l’ouest du manoir, à l’entrée de la cour ;

les anciennes chapelles, aujourd'hui disparues : - la chapelle Saint-Gernouin (Saint-Germain ?). Elle existait encore en 1750. En 1790, l’abbaye de Saint-Aubin possédait le trait de dixme de Saint-Gernouin affermé 100 livres. - la chapelle de Craïmaignan (ou Cramaignan). - la chapelle de Saint-Jacques, désaffectée en 1937. Dite aussi hôpital Saint-Jacques, à la présentation du seigneur de Gautrel. - la chapelle de saint Barthélemy (qui étaient situées jadis dans les faubourgs de Lamballe). - la chapelle de Quefferon. Edifice moderne de plan rectangulaire. Sur le pignon, pierre ancienne sculptée aux armes des Cargouet de Ranléon. - la chapelle Saint-Fiacre des Noez. - la chapelle Sainte-Melaine, désaffectée en 1937. Elle avait été donnée par le comte de Penthièvre à l'abbaye rennaise en 1145 ; l’édifice récent était du XVIIIème siècle. - la chapelle des Portes-Plouays, située au nord-est du manoir ;

l'ancien prieuré de l'ordre des Bénédictins, aujourd'hui disparu. Au XIXème siècle, le prieuré avait été transformé en auberge et sa chapelle servait de magasin ;

les croix de Tréméliac, du bourg, de Saint-Jarnouen, du cimetière ;

l'ancien presbytère (1765), transformé en mairie ;

le château de Quefféron (vers 1650), propriété de la famille Halna du Fretay ;

Château de Maroué (Bretagne).

le manoir de Quefféron (vers 1600). Propriété de Pierre de Rogery en 1536 et de Julien Haugoumar en 1569 ;

le manoir de Tréméliac ou Trémiliac (XVIème siècle), propriété du sieur de Vaunoaise en 1536 ;

le manoir du Corgne (XVIème siècle). Propriété de Jean de Corgne et de son épouse Perrine Chaignon en 1510 ;

le manoir du Cariot (XVIIème siècle) ;

le manoirs des Hauts-Fossés (XVIIème siècle). Propriété de François Baillif en 1569 ;

le manoir du Quémadeuc (XVIIème siècle). Propriété de la famille de Teryac ou Tryac en 1536 ;

le manoir des Portes-Halna (vers 1500). Propriété de Roland Halna en 1536 ;

le manoir de Lanjamet (vers 1600), propriété de la famille de Vaucouleur de Lanjamet (du XVIème au XVIIIème siècle). Propriété de Jean Vaucouleur en 1476. Il est restauré au XXème siècle ;

le château ou manoir de Kerrozen ou de la Charquetière (XIXème siècle). Edifié en 1872, il est la propriété de M. de La Guérande. L'ancien domaine de La Charquetière appartenait à la famille Glé (Lancelot Glé), puis à Jehan Josset en 1536 et à Gilles Josset en 1569 ;

Château de Maroué (Bretagne).

le manoir de Trévilly (XVIème siècle). Propriété de Jean Le Moenne en 1440, de François de Plumaugat (sieur de La Haye) en 1536, des familles de La Cornilière et Kermarec de Trauront (aux XVIIème et XVIIIème siècles) ;

le manoir de Launay (vers 1500). Propriété de Roland Le Corgne en 1510. Le porche date de 1751. Une chapelle y est mentionnée en 1937 : " Petit édifice rectangulaire avec chevet à pans coupés datant du XIXème siècle " (R. Couffon) ;

les deux manoirs de la Corne (vers 1700) ;

le manoir de la Lande-es-Glémet. Propriété des héritiers d'Olivier Guillemet en 1536 ;

le manoir des Portes-Plouays (vers 1500) ;

la maison des Hayes. Propriété de Lancelot Clement en 1510 et de Raoul Le Forestier en 1536 ;

les maisons à la Tenue (1782), au Quartier (XVIIème siècle), à Quefféron (1654 et 1658), au Champ-Rôti (1762-1766), à Beaulieu (XVIIème siècle), au Petit-Coudret (vers 1500), au Grand-Coudret (vers 1500) et à la Mare-Bédo (vers 1500) ;

les fermes de Kerdellec (1769) et de Quinguen. Le domaine de Quenguen (ou Quinguen) appartenait à Raoul Grosseteste en 1510 et en 1536 ;

l'ancien moulin de Quefféron et ceux à eaux de Soutteville, de la Planche, Belle-Minguy, Provost, Peignot, de la Cornillière, ainsi que ceux à vent de Calignet, de la Ville-Minguy, de Saint-Lazare ;

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ANCIENNE NOBLESSE de MAROUE

Il existe une famille de Maroy (Maroué), mentionnée depuis 1257 et jusqu’à 1268. L'un d'eux, Pierre vend les dîmes de Maroué à Jean de Montfort en 1257 (Anciens évêchés de Bretagne, III, 249, 256, 258);

" On y connaît les jurisdictions suivantes : Guenguen, moyenne-justice, et Lanjamet, moyenne-justice, à M. de Lanjunet ; le Bouhouga, basse-justice, à M. Micault de Foulville ; le Breil, basse-justice, à M. le Normand de Lourmel ; Quefferou [Quefferon], basse-justice, à M. Gouyon de Thaumatz ; la Roche-Richard, basse-justice, à M. Varin du Colombier ; la Ville-Canio, basse-justice, à M. Josset du Quengo. — Les maisons nobles suivantes se voient dans ce territoire : la Cornillière, en 1380, appartenait à Hervé Rufflay, sieur de la Cornillière : en 1600, Anne du Rufflay épousa Christophe Eudes. André du Rufflay, chevalier, seigneur de la Cornillière, vivait en 1680. — Lanjamet appartenait, en 1530, à Robert, chevalier, seigneur de Lanjamet ; en 1680, à Guillaume de Lanjamet, conseiller au Parlement de Bretagne ; aujourd'hui à M. de Lanjamet, de la même famille. La Landelle, la Ville-Gaudu, Lescourt, Braineblain, le Colombier, Guenguen et l'Ebergement des Marches : cette dernière, appartenait, en 1430, à N. Hervés ". (Ogée, 1780).

Urvoy, sr. de la Villeoury, — des Fermes, en Maroué, — de la Cassouère, en Landéhen, — des Champscourt, — de Closmadeuc et du Tertre, paroisse de la Maloure, — de la Touche-Bréhant, — de Belorient, — du Duault, — de Saint-Glen, — de Carboureux et de Saint-Bédan, en Saint-Brandan, — de Portzamparc, en Plounévez-Moëdec, — de Troudelin, en Saint-Thual, — des Rabines, — de la Roche, — de Kerstainguy, en Allineuc, — de la Ville-Gourio, — de Chaigné. Ancienne extraction. — Huit générations en 1668. — Réformes et montres de 1440 à 1513, en Maroué, Landéhen et la Maloure, évêché de Saint-Brieuc. Blason : D'argent, à 3 chouettes de mer ou poules d'eau de sable, membrées et allumées de gueules, posées 2 et 1 ; aliàs : un chevron chargé d'une barre (Sceau de 1418). On trouve dans cette famille : Etienne, croisé en 1248, d'après M. de Courcy. — Barthélémy, passant un accord avec le chapitre de Dol en 1277. — Guillaume et Olive, sa femme, font un échange de terre, en Plouguenast, avec Olivier de Rohan, en 1323. — Jean ratifie le traité de Guérande, en 1381. — Olivier, sr. de la Villeoury, prête serment au duc en 1437 et épouse Marguerite Rosty, dont : 1° Olivier, marié à Catherine Bourdais ; 2° Pierre, marié à Anne Couespelle, auteur des diverses branches de cette famille. — Claude, sr. de Troudelin, chevalier de l'ordre en 1580. — Gilles, sr. de Saint-Glen, de la Villegourio, etc., fils de Julien et de Rose Urvoy, chevalier de l'ordre en 1633, gentilhomme de la chambre du roi Louis XIII, sénéchal de Lamballe, épousa, en 1633, Marguerite Le Vicomte, dame de Kerusanno, fille de Vincent et de Jeanne du Cosquer. — Toussaint-Joseph, sr. de Saint-Bédan, page du roi en 1737. — Marie-Françoise-Hyacinthe de Saint-Bedan, reçue à Saint-Cyr en 1736. — Un abbé de Ménat (diocèse de Clermont), en 1765. — Un maréchal de camp en 1845. Les Urvoy se sont alliés aux Lanjamet, aux Nepvou de Crénan, Quimper de Lanascol, etc., etc. Pierre de Villier de l'Isle-Adam (fils de Marie-Jeanne-Josèphe de Kersauson, née au Vijac le 17 avril 1747 et baptisée à Guipavas, le 19 du même mois, et de N... Villiers de l'Isle-Adam) épousa Julie Urvoy de Portzamparc. De ce mariage sont issus : 1° Emilie, née vers 1815, mariée à N... Le Masne, dont deux enfants : Henry et N... ; — 2° Jules, né en 1817, veuf sans enfants ; — 3° Félix, né en 1822, marié à N..., dont deux enfants : Joseph et Marie ; — 4° Marie, qui a épousé un O'Rorch, Irlandais d'origine, dont quatre enfants : André, Edmond, Marie et Anne (J. de Kersauson).

Maroué renfermait soixante deux maisons nobles : le château de Quefferon, Launay, Beauregard, la Ville-Neuve, le Chauchix, la Cherquetière, les Hauts-Fossés, la Guevière, Coriot, le Bosquilly, Guenguen, la Cornillière (qui appartenait en 1380 à Hervé Rufflay, sieur de la Cornillière), les Noës, la Rivière, le Colombier, etc... L'hébergement des Marches appartenait, en 1430, à M. Hervé. Lanjamet appartenait, en 1530, à Robert, seigneur de Lanjamet et en 1680, à Guillaume de Lanjamet (conseiller au parlement de Bretagne). Guenguen et Lanjamet, à M. de Lanjamet, avaient moyenne justice. Le Bouhouga (à Micault de Foulville), le Breil (à La Normand de Lourmel), Quefferon (à Gouyon de Thaumatz). La Roche-Richard (à Varin du Colombier), la Ville-Canio (à Josset du Quengo). Elles avaient toutes basse justice. Quellereau et la Caillibotière auraient appartenu, dit-on, au Templiers.

Dans une réformation non datée (mais semble-t-il du début du XVème siècle), on mentionne plusieurs nobles de Maroué : Olivier Thomelin (sieur du Boas), Roland Le Dennes, Guillaume de Cargouet, Geffroy Le Piquart, Jean de Languen, Jehan Jagu, Jean de Cargouet (de La Cornillère en Lamballe), Lancelot Goueon, Jean Le Moenne (de Trevilli), Geffroy de Languen, Alain Guillemet, Louis Le Picquart, Jean Le Moene (sieur de Beauregard), Olivier Rimou, Jacques Vaucouleur, Olivier Le Metayer, Robin Le Cau, Jean Le Frete, Pierre Le Frette, Guillaume Ourri, Roland Daouet, Alain de Tremereuc, Perrot Ourri, Roland du Breil, Thibaud des Deserts, Robert du Breil, Alain de L'Escouet, Guillaume Rimo, Guillaume de Lesmelleuc, Pierre Madeuc, Eonnet de Brehand, Geffroy Bernard, Thomas de La Roche, Roland de La Roche, Jean Le Corgne, Guillaume d'Argent, Jean Crestien, Jean Le Borgne, Pierre Martel, Jacquet Le Grand, Julien Hervé, Jean Vaucoullour (ou Vaucouleur), Roland de La Boexiere, Jean de Brehand, Jean Halena, Jouhan Homeneix, Jehan Tremauden (l'aîné), Guillaume de Couespelle (de Frettay), Olivier Le Fonteneys, Olivier de Cargouet, Olivier Urvoay, Guille de Lorgeril, Olivier Chietel, Olivier Chaton. Ont été anoblis par lettres du duc : Eon Haulteville ou Hauteville, Etienne Noel et Roland Chaton.

Lors de la réformation du 12 octobre 1426 sont mentionnés à Maroué, par lieu-dits, les nobles suivants : - de l'Espinette : Guillaume de Cargoet, Michel Urben et Geffroy Le Picart. - des faubourgs de Mouessigne : Geffroy de Brehant, Johan Orget et Aliette Madeuc. - de Craoneugien : Julien Vaucoulour, Jehan de Brehant, Roland de la Bouesse, Jehan Raoul, Jehan de Cremauden, Jehan Omnes (Louis Bouart et Jehan Regnouart se disent aussi nobles). - de Saint-Melaine en Lamballe : Guillaume Pillart et Guillaume Millon. - du Bosquily en Lamballe : Jehan Bernard de La Hersardaie, Jehan de La Roche, Geffroy Bernart, Johan de La Roche et ses fils, Pierre Crestien et Pierre Martel (Thomas Morel et son frère, Alain Le Ribaut, Julien Herve et Jaquet Le Grant se disent aussi nobles). - de Saint-Sauveur : Olivier Thomelin, Eonnet Le Moine, Alain Le Lestonet, Jacques Vaucouleur ou Vaucoulour, Olivier Le Tan (Olivier Le Meteer se dit aussi noble). - de Tréméliac en Lamballe : Jehan de Languen, Geffroy de Languen, Jehan de Cargouet (le Vieux), Jehan de Cargouet (le Jeune), Guillaume Le Moine, Louis Le Picart, Bertrand Hidoux, Jehan Jagu (fils d'Yves) et Pierre Jagu (Roland Jagu se dit aussi noble). - La Nozguen : Guillaume de Lorgeril et Jehan Gueho (Olivier Urvoy et son fils, Johan Chaton, Olivier Chaton, Olivier Badoual et Etienne Nouel se disent aussi nobles). - le Chemin Perroux : Alain du Breil, Colin du Breil, Perrot Oury, Roland du Breil, Alain de Tremereuc et Guillaume Rimo (Philippot Hauteville et son fils se disent aussi nobles).

Lors de la réformation de 1440 sont mentionnés à Maroué les nobles suivants : Jean Jahu, Roland de La Roche, Jean Chretien, Jean de Cargouet (de la Cornillière en Lamballe), Jean Le Moenne (de Trévily en Lamballe), Louis Le Picquart, Jean de Langan, Geffroy de Langan, Jean Jagu. Se disent aussi nobles : Pierre Jaheu et Gilles Clement. En la dîme de Saint-Sauveur, on mentionne les nobles suivants : Olivier Thomelin (sieur du Bois), Eonnet Le Moenne (sieur de Beauregard), Alain de L'Escoet, Olivier Rinou, Pierre Le Freté, Jacques Vaucouleur, Jean Le Freté et Olivier Le Meteer. En la dîme du Chemin-Peroux, on mentionne les nobles suivants : Alain du Breil, Alain de Tremereu, Roland Daouet, Pierre Ourry, Colin du Breil, Alain Guillemet, Guillaume Runo et Roland du Breil. En la dîme de l'Epinette, on mentionne les nobles suivants : Olivier Le Denays (de Gaucheret), Roland de La Cornilliere, Guillaume de La Cornilliere et Geffroy Le Sicart. En la dîme de Saint-Melaine, on mentionne les nobles suivants : Guillaume de Saint-Meleuc et Pierre Madeuc. En la dîme de Bosquily en Lamballe, on mentionne les nobles suivants : Pierre Bernard, Thomas de La Roche, Jean Le Corgne, Pierre Martel, Geffroy Bernard, Roland de La Roche, Jean Chrétien et Guillaume d'Argent. Jacques Le Grand et Julien Hervé se disent aussi nobles. En la dîme de Cramaignan, on mentionne les nobles suivants : Julien Vaucouleurs, Roland de La Bouexière, Jean de Bréhant et Jehan Halena. Jean Tremaudan et Jean Homeneix se disent aussi nobles. En la dîme de l'Amorgan, on mentionne les nobles suivants : Guillaume de L'Orgeril, Pierre de Couespel, Olivier de Fontenays et Guillaume de Couespel. Olivier Urvoy et Olivier Chartier se disent aussi nobles.

Lors de la "revue et monstre généralle des nobles, ennobliz, exemptz et aultres tenantz fiefs nobles et subjects aux armes de l’Evesché de Saint-Brieuc, tenue à Moncontour par haut et puissant Messire Tristan du Perrier, Comte de Quintin ; noble et puissant Messire Guyon de la Motte, Chevalier, sieur de l’Orfeuil et de Vauclerc ; Messire Amaury de la Moussaye, Chevalier, sieur du dict lieu de la Moussaye, commissaires commis et députez par mandement patent du Duc nostre souverain seigneur, quant à ce, les viije, ixe et xe jours de janvier l’an mil iiiie lxix ", on mentionne, en janvier 1469, pour Maroué :
– Messire Olivier Thomelin, (1000 l.) a présente pour lui Olivier Ferrière, homme d’armes etc. et 6 chevaux bien en poinct.
– Jean et Denis de Lescouët.
– Bertrand Hervé.
– Guillaume Le Denais.
– Guillaume de Trémerreuc.
– Jean Ourry.
– Robin Glé, par Lancelot Glé.
– Jean de Lescouët, par Robert Le Nonersin.
– Eonnet Le Métayer.
– Eonnet de Bréhant, par son fils Gabriel.
– Olivier Le Mouënne.
– Olivier Guillemot et Dom Gilles, son frère.
– Guillaume de la Motte.
– Pierre de Cargouët.
– Jean Le Corgne, par Guillaume Le Corgne.
– Jean Le Chevrier.
– Guillaume de Bréhant.
– Jean Vaucouleurs, par Jean son fils.
– Jean d’Argent.
– Rolland de la Roche.
– Jean Rimou.
– Robert de Saint-Meloir.
– Geffroi Hillion, par Jean son fils.
– Jean Halna et Guillaume Halna.
– Lancelot Clément, pour son père.
– Jean de Langan.
– Jean de Chaignon.
– Jean Vaucouleurs, de l’ordonnance.
– Guillaume Houeix.
– Morice et Gilles de Lesmelleuc.
– Jean Marquier.
– Jean Le Grand.
– Rolland Houeix.
– Henry Le Piquart.
– Guillaume Bernard, de Bosquilly.
– Rolland de Cargouët.
– Guillaume Rouault.
– Rolland de Lorgeril.
– Guillaume Quémerreuc.
– Rolland Le Borgne.
– Alain Le Baillet.
– Jean Le Piquart.
– Mathurin Trémaudan.
– Bertrand Badoual.
– Pierre Hauteville.
– Robin Le Faulx.
– Guillaume Le Moënne, de la maison du Duc.
– Dame Margot de la Porte.
– Geffroi et Thomas Chatton.
– Guillaume Le Fontenay.
– Mathelin de Couëspelle.
– Rolland Chatton.
– Pierre Urvoy, par Rolland Urvoy.
– Pierre Bernard, par Jean Bernard son héritier et Eon l’Evesque.
– Guillaume Urvoy.
– Guillaume de Trémerreuc.
– Rolland de Lescouët, pour lui et Agaice de la Vigne.
– Bertrand Guyomar.
– Perrine du Breil, par Pierre de la Brousse.
– Pierre, Jean et Bienvenu de la Frecte.
– Eonnet Le Métayer.
– Guillaume Le Mouënne.
– La fille feu Lancelot Gouëon.
– Dame Jeanne de Tiercent.
– Rolland Danouët.
– Jean Le Chevrier.
– Eonnet de Lesmelleuc.
– Gabriel de Bréhant.
– Guillaume Quémerreuc.

Lors de la réformation du 8 mars 1536 sont mentionnées à Maroué les maisons nobles suivantes : La Caillibotière (à Jehan Thomelin, fils d'Olivier Thomelin), Beauregard, Rymaz et Hicadoret (au sieur de Beauregard en Lamballe), La Ville-Bily et Quémadeuc (à Bertrand de Tryac), Tertre-Hello (à Guillaume Le Meteer), La Droiture (à Roland Le Taulx, fils de Denis Le Taulx), une autre maison La Droiture (aux héritiers de Jacques Vaucouleur), La Villeuneuve (à Jacques de Lescouet, anciennement à la famille Le Meignen), Praeill (aux héritiers de Denis Poullain, anciennement à Jehan Chaynon), Lourmel (à Jehan Guyomar, fils de Guille Guyomar), Lescouet (à Jehan Le Nepvou ou Nepveu, sieur de Crenan), Le Pont-Grossard (à Alain Bertho), Lanjouan (à Jehan de La Chapelle). En la dîmerie de La Poterie : La Moglais (à Jacques de Lescouet), Le Breil et La Ville-Glée (à la famille de Quelen), une autre maison du Breil (à la famille Le Noir, sieurs des Perrières), La Marre-Addez (à Guillaume de La Roche, sieur des Noës), Le Val-Aubin (à Jehan de Lescouet), Saint-Belienne et La Marre (à Jehan de Lescouet), Bien-y-Vient (à Jacques du Bosq, anciennement à la famille Tremerreuc), La Motte (à Thébaud Le Tuaugan), Les Portes (au sieur de Lanjamet), La Ville-Gaudin (à Louis Collet, sieur de La Ville-au-Ve). En Saint-Melaine, dîmerie de Maroué : Saint-Melaine (au sieur de Beuffues, puis à Jehan de Pledran), La Saint-Plestan (à la famille Le Breton, sieurs de La Ville-Cadoret), Belle-Issue et Le Clos (à Mathurine de Brehant), La Roche-au-Lion (à Jehan de Clesmelleuc), La Lande-Boudan (à Jehan de Bouden), La Guévière (aux héritiers de Denis Poullain), La Ville-Glé-Morandaye (à Guillaume Bouillye ou Bouillie). En la dîmerie de Bosquily en Lamballe : Quelleneuc (à Mathurin Bernard, fils de Jehan Bernard), Cariol (à Jacques Le Voyer), Les Noës et la Huche (à Guille de La Roche), La Heche ou Huche (à Jean Boudan, anciennement à dame des Landes), Chauchix (à François Guillaume), La Charquetière (à Jehan Josset), La Fontaine-Froide et La Ville-Glas (à Olivier Malescot), Le Couldrey (à Jacques Le Blanc), La Ville-Escoy (au sieur de Camgueret, anciennement à Roland Le Borgne), une autre maison La Ville-Escoy (à Vincent Guyomar), La Hautière (à Olivier Le Voyer, anciennement à la famille Froytargeant), La Salle-Villeon (au sieur de La Ville-au-Ve), La Ville-Ropitel (au sieur de la Ville-Robitel ou Ropitel), La Ville-Gouranton (à Thébaud de Queangan), Les Portes (au sieur de Queangan ou Quenguen), Bosquily (à Jehan Bernard), Fresche ou Fraîches (au sieur de La Ville-Cario), Le Melleuc (à Jehan Le Corgne). En la dîmerie de Cramygnan : Lanjamet (au sieur de Lanjamet), Bouridel (à Jacques Sauvaget), Quémadeuc (à la famille de Teryac), La Repinrou (à Jehan de La Boessiere, seigneur de La Ville-Tanet), La Porte-Halna (à Roland Halna). En Lanorgan : Marcheix, Bébougal et Le Gouelo (au sieur d'Uzel), La Ville-Hercouet (à Simon de L'Orgery), La Ville-Canyo (à Mathurin Le Charetier), Les Vaux (à Guyon Chaton), Bonabry (à Charles Urvoy), Fretaye (à dom Jehan de Couespelle), Les Portes (au sieur de La Ville-Gallays), les Fermes (à Jehan Urvoy). En Tréméliac en Lamballe : Tréméliac et Le Bocage (au sieur de Vannoaise), Les Hayes (au sieur de La Ville-es-Lan), Trévily (à François de Plumaugat, sieur de La Haye), La Ville-es-Lan (à Raoul Le Forestier), La Cornillière (au sieur du Breguel), La Lande-es-Glamet (aux héritiers Olivier Guillemet), La Fosse-David et Les Portes (à Guillaume Le Picart), Foulle-Ville (aux héritiers de Jehan de Langan), Les Hayes (à Jehan Bertho, sieur de Beaulieu, anciennement à Laurent des Hayes), le Plessis-Maroué (à François Poullain, fille de Guille Poullain). En la dîmerie de Lespinette : Maroué (à Raoul Grosseteste, anciennement à Olivier Thomelin), Gautrel (à Jacques Le Danays), Camablot (au sieur de Gautrel), Quefféron (à Pierre de Rogery), Quenguen (aux héritiers de Raoul Grosseteste).

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Saint-Brieuc de 1480, on comptabilise la présence de 76 nobles de Maroué :

Bertrand BADOUAL (1,5 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Alain BAELLET (20 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Guillaume BERNARD de Bosquilly (60 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Jehan CHAIGNON (40 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une jusarme ;

Geoffroy CHATON de les Vaux : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Roland CHATON (5 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Lancelot CLEMENS (1,5 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Geoffroy D’ARGENT (10 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Eonnet DE BREHANT de Belleissue (100 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Gabriel DE BREHAND ;

Guillaume DE BREHAND (10 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Mathelin DE COUESPELLE (30 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Pierre DE KERGOUET (100 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Roland DE KERGOUET (5 livres de revenu) ;

Roland DE KERGOUET (20 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Guillaume DE LA MOTTE (3 livres de revenu) : porteur d’une brigandine ;

Margot DE LA PORTE (100 livres de revenu) ;

Roland DE LA ROCHE (1 livre de revenu) ;

Jehan DE LANGAN (20 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une pertuisane ;

Denis DE LESCOUET de Lescouet (30 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Jehan DE LESCOUET (20 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Jehan DE LESCOUET de Lescouet (80 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Roland DE LESCOUET (40 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Eonnet DE LESMELLEUC (100 livres de revenu) ;

Gilles DE LESMELLEUC (25 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Morice DE LESMELLEUC (60 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une pertuisane ;

Roland DE LORGERIL (30 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Robert DE SAINCT MELAIR (10 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Jehanne DE TIERCENT (200 livres de revenu) ;

Guillaume DE TREMERREUC (20 livres de revenu) ;

Guillaume DE TREMERREUC (20 livres de revenu) : porteur d’une brigandine ;

Perrine DU BREIL représentée par Pierre DE LA BROUSSE (80 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Robin GLE (30 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une jusarme ;

Jehanne GOUEON (300 livres de revenu) ;

Olivier GUILLEMOT (10 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Bertrand GUYOMAR (5 livres de revenu) ;

Guillaume HALNA (5 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Jehan HALNA (10 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Pierre HAULTE VILLE (2 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Bertrand HERVE (40 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Geoffroy HILION (8 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une jusarme ;

Guillaume HOMENEIX (10 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Roland HONNERES (20 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Roland HONNES : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une jusarme ;

Roland LE BORGNE (5 livres de revenu) ;

Jehan LE CHEUVE (4 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Jehan LE CHEVRIER (30 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Jehan LE CORGNE de la Villegouranton (5 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Gilles LE DENOYS de Gautrel (100 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Guillaume LE FONTENAYS (40 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Pierre LE FRECTE : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Bienvenue LE FRETTE (2,5 livres de revenu) ;

Jehan LE FRETTE (60 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Jehan LE GRAND (2 livres de revenu) ;

Eonnet LE METAYER (40 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une jusarme ;

Eonnet LE METAYER (40 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Guillaume LE MOUENNE (5 livres de revenu) ;

Guillaume LE MOUENNE (300 livres de revenu) : excusé comme appartenant à la maison du duc ;

Olivier LE MOUENNE (60 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Jehan LE PICQUART (50 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Henri LE PIQUART (50 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Robin LETAUX (3 livres de revenu) ;

Jehan MARQUIER (3 livres de revenu) : porteur d’une salade (casque) et comparaît armé d’une vouge ;

Jehan OURY (40 livres de revenu) : porteur d’une brigandine ;

Guillaume QUEMESREUC : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Guillaume QUEMESREUC (3 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Bertrand REBOURS (30 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Guillaume ROUAUST (20 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer ;

Jehan RYMO (1 livre de revenu) ;

Olivier THOMELIN, de le Bois, la Calebotière (1000 livres de revenu) : comparaît comme homme d’armes ;

Mathelin TREMAUDAN (2 livres de revenu) : porteur d’une salade (casque) et comparaît armé d’une pertuisane ;

Guillaume URVOY (12 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Pierre URVOY (50 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

Jehan VAUCOULEUR (300 livres de revenu) : excusé comme appartenant à une compagnie d’ordonnance ;

Jehan VAUCOULEUR (30 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge ;

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