Web Internet de Voyage Vacances Rencontre Patrimoine Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Bienvenue !

FAMILLE GOYON-MATIGNON

  Retour page d'accueil       Retour " Ville de Matignon "   

Boutique de Voyage Vacances Rencontre Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Boutique de Voyage Vacances Rencontre Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

La maison de GOYON dont le nom s'écrit Gouyon, Goyon et quelquefois Gouëon (ces orthographes se trouvent parfois toutes trois dans les anciens titres ; dans l'Histoire de Bretagne de D. Lobineau, l'orthographe Gouyon est seule usitée) est, tant par elle-même que par ses alliances, dont plusieurs avec la maison de Bretagne avant le IIIème siècle, et depuis avec la maison de France, aussi bien que par les dignités dont plusieurs de ses membres ont été revêtus, et par les services qu'elle a rendus à l'Etat, une des plus illustres et des plus anciennes de Bretagne et même de France.

Le château de la Roche-Goyon, qui existe encore et qui appartenait à cette ancienne famille jusqu'à ce que, sous les Bourbons, l'Etat s'en fût emparé pour en faire une forteresse, était bâti dès 931.

Aux Etats de Bretagne, tenus par le duc Eudon en 1057, les Goyon furent maintenus dans leur rang de premier banneret de Bretagne dont avaient joui leurs ancêtres, rang que leur postérité a toujours conservé depuis.

En 1096, Etienne Gouyon accompagna Alain Fergent à la conquête d'Angleterre par Guillaume le Conquérant, où il se distingua par sa valeur ; il l'accompagna ensuite à la terre sainte. L'histoire de Bretagne mentionne aussi leur existence, attestée par des titres authentiques, en 1075, 1080, 1130, 1148 et 1181, où l'enquête d'Henri II, roi d'Angleterre, constate qu'ils possédaient alors le fief de Dol.

En 1170, Etienne Gouyon avait épousé Lucie de Matignon, fille et héritière de Denis de Matignon, sire de Matignon qui vivait en 1149.

Etienne Gouyon et Lucie de Matignon firent des donations à différents monastères en 1209, 1214 et 1219.

Depuis cette époque, la filiation de la famille se prouve par une suite non interrompue d'actes authentiques tous rapportés dans l'histoire de Bretagne, et même par leurs tombeaux qu'on voit dans l'église collégiale de Matignon, qu'elle a fondée.

Depuis ce mariage, ses membres se sont appelés Goyon-Matignon, ou bien Goyon ou Matignon, indifféremment ; et les branches cadettes, pour se distinguer de la branche aînée, ont ajouté un nom de fief tel que Saint-Loyal, Vaurouault, Miniac, etc., etc., à leur nom patronymique.

Les armes de cette maison sont pour les GOYON, un lion de gueules rampant, armé, couronné, et lampassé d'or sur champ d'argent. Les MATIGNON portent d'or à deux fastes nouées de gueules et un orle de neuf merlettes de même, quatre, deux trois posées entre les fasces. Leur sceau est ou l'écu des Goyon seul ou bien écartelé de Matignon, savoir : Premier et quatrième Goyon, deuxième et troisième Matignon avec les devises : HONNEUR A GOYON. - LIESSE A MATIGNON.

En 1450, le chef de la branche aînée ayant épousé l'héritière de Thorigny en Normandie, se fixa dans cette province ; il fut cependant enterré dans l'église de Matignon.

Entre autres dignités, la famille Goyon compte : un amiral et deux maréchaux de Bretagne, six chambellans des ducs de Bretagne, un grand écuyer de France, plusieurs chambellans et conseillers des rois de France, entre autres de Charles VII, Louis XI et Charles VIII.

Plusieurs chevaliers de l'ordre du roi antérieurement à l'institution de l'ordre du Saint-Esprit ; un colonel général des Suisses sous François Ier, deux maréchaux de France, dont l'un remplit les fonctions de connétable de France au sacre de Henri IV, un troisième eut le brevet de retenue de cette haute dignité militaire. Un gouverneur général de la Guienne ; huit lieutenants généraux de la province de Normandie dont un tint à Rouen les Etats extraordinaires de 1546, et un autre ceux de 1616, 1623 et 1624. Six chevaliers du Saint-Esprit ; deux prélats commandeurs de l'ordre du Saint-Esprit ; un grand nombre de lieutenants généraux, maréchaux de camp, gouverneurs de places et officiers des armées du roi, des dignitaires et chevaliers de l'ordre de Saint-Louis, huit évêques qui ont occupé les sièges de Lisieux, Condom, Coutances, Avranches et Saint-Pol-de-Léon.

Sous les Valois, la branche aînée portait les titres de : Sire de Matignon, de la Roche-Goyon, de l'Esparre, prince de Mortagne, marquis de Lonray, comtes de Thorigny, de la Roche-Tesson, de Silly, de Gacé, de Selles et de Moyon, barons de la Marque, de Saint-Lô, de la Houlette, de Briquebec, de Blosseville, d'Orglandes, etc., tous titres accordés pour services essentiels rendus à l'Etat, ainsi qu'il est mentionné dans les lettres d'érection et surtout dans celles du 16 août 1460, 14 octobre 1477, 19 juin 1524 et septembre 1565.

En 1596, Charles Goyon-Matignon, fils du premier maréchal du nom, épousa Eléonore d'Orléans Longueville, fille et héritière de Léonor d'Orléans duc de Longueville et d'Estouteville, et de Marie de Bourbon, duchesse d'Estouteville, comtesse de Saint-Paul, cousine au troisième degré, du roi de France Henri IV.

Odet de Gouyon-Matignon, frère aîné de Charles, mort sans postérité, était chevalier du Saint-Esprit, lieutenant général et avait eu le brevet d'amiral de France.

Depuis l'alliance d'Orléans-Longuéville, cette branche portait au premier et quatrième de Goyon ; au deuxième, d'Orléans Longueville ; au troisième, de Bourbon Saint-Paul.

Le 20 octobre 1715, Jacques-François-Léonor Goyon-Matignon épousa Louise-Hippolyte Grimaldi, fille aînée et héritière du prince de Monaco, duc de Valentinois, à charge par lui de prendre le nom et les armes de Grimaldi sans pouvoir ni lui ni ses descendants ajouter d'autres noms à celui de Grimaldi, ni d'écarteler ou changer les armes, « de sorte que Jacques-François-Léonor Goyon-Matignon s'appellera désormais Jacques-François-Léonor Grimaldi ». Ainsi qu'il est textuellement porté dans les lettres patentes du 24 juillet 1715, renouvelées en décembre 1715 et enregistrées au parlement de Paris le 2 septembre 1716. Dans ces lettres patentes, on constate que les Goyon descendent en droite ligne des maisons de Châlons, Bourgogne-d'Hocberg, Orléans-Longueville, Rohan, Estouteville, Luxembourg, Bretagne, Savoie, Bourbon, et qu'ils étaient parents des ducs de Bretagne, et reconnus et ayant signé comme tels en 1455 au mariage de Marguerite de Bretagne avec François d'Estampes, depuis duc de Bretagne, sous le nom de François II, père d'Anne de Bretagne, femme des rois de France Charles VIII et Louis XII, au mariage de laquelle ils furent appelés comme parents.

Famille Grimaldi : Jacques François Léonor de Goyon de Matignon. Famille Grimaldi : Louise-Hippolyte, princesse de Monaco.
Blason des Grimaldi.

Blason des Grimaldi.

Fuselé d'argent et de gueules.
       

Note : Louise-Hippolyte Grimaldi, princesse de Monaco est la fille du prince Antoine Ier et de Marie de Lorraine (12 août 1674-30 octobre 1724), elle-même fille de Louis Ier d'Armagnac (fils d'Henri de Lorraine, comte d'Harcourt) et de Catherine de Neufville de Villeroi.

Jacques François Léonor de Goyon de Matignon, né le 21 novembre 1689 à Torigni-sur-Vire et décédé le 23 avril 1751 à Paris, est prince souverain de Monaco du 29 décembre 1731 au 7 novembre 1733. Il était le fils de Jacques III de Goyon de Matignon, comte de Torigni (1644-1725) et de Charlotte de Goyon de Matignon (1657-1721). En 1731, au décès de son épouse Louise-Hippolyte de Monaco, princesse de Monaco, il devient prince souverain de Monaco, sous le nom de Jacques Ier de Monaco, duc de Valentinois, pair de France.

Le prince Honoré est le troisième enfant et deuxième fils de la princesse Louise de Monaco (1697-1731) et de Jacques Ier de Goyon, comte de Torigni puis prince de Monaco (1689-1751). Lorsque sa mère meurt, son père devient prince de Monaco sous le nom de Jacques Ier. Honoré devient à ce moment-là prince héritier de Monaco. Honoré est également un membre de la famille royale de France en tant qu'arrière petit-fils du Roi-Soleil.

Par le mariage de Charles Gouyon-Matignon avec Eléonor d'Orléans-Longueville, ils avaient droit aux duchés de Longueville et d'Estouteville ainsi qu'au comté de Saint-Paul, et par suite de la mort de la duchesse de Nemours, à la principauté de Neuchâtel et au duché de Nemours.

Quant aux alliances plus modernes, entre les plus illustres on peut citer celle avec la maison de Lorraine, celle d'Harcourt, de la Moussaie, et enfin, pour la branche qui vient de s'éteindre, avec celle des Montmorency. Madame la duchesse de Montmorency, née Goyon-Matignon (Louise-Caroline) morte en mars 1846, était le dernier rejeton de la branche précédant celle de Saint-Loyal ; celle-ci devint l'aînée par cette mort ; suit la généalogie :

 

GÉNÉALOGIE DES GOYON.

SEIGNEURS DE SAINT-LOYAL.

I.

Etienne Goyon, seigneur de la Roche-Goyon. Il avait fait en 1209 et 1219 des donations à l'abbaye de Saint-Aubin-des-Bois, il était mort en 1225.

Femme, Lucie, dame de Matignon, dénommée aux diverses fondations de son mari, vivait encore en 1225.

Fils, Alain Goyon, qui suit.

II.

Alain Gouyon, fit don à l'abbaye de Saint-Aubin-des-Bois en 1219 et 1229, et fit un testament en août 1251.

Femme, Luce de la Roncerie ou Rouxière, nommée au testament d'Alain.

Fils, Etienne Goyon, qui suit :

III.

Etienne Goyon, deuxième du nom, a ratifié la donation de son père en 1245 et 1246.

Femme, nom inconnu.

Fils, Alain Goyon, qui suit.

IV.

Alain Goyon, deuxième du nom, fit une transaction en 1278 et une autre en 1289. Vivait en 1302, mort le 25 mars 1321. Enterré en l'église des Cordeliers de Séez, où est son tombeau. L'obituaire du couvent mentionne mentionne la date de son décès.

Femme, Mathilde, nommée dans la transaction de décembre 1278.

Fils, Bertrand Goyon, qui suit.

V.

Bertrand Gouyon, premier du nom, sire de Matignon, fonda en septembre 1323 une chapelle à l'église de Matignon.

Femme, l'héritière de la Roche-Dérien (de la maison de Bretagne).

Fils, Etienne Gouyon, qui suit.

VI.

Etienne Gouyon, troisième du nom, sire de Matignon, Matignon, des fondations en 1339 et 1342, était mort en 1363.

Femmes, première, Jeanne, morte avant la fondation fondation 1339.

Deuxième, Alix Paynel, mariée en 1339, vivait encore en 1342.

Fils, Alain Goyon, qui suit.

VII.

Alain Goyon, troisième du nom, sire de Matignon, mourut avant son père, signa les fondations de 1339 et 1342.

Femme, Jacqueline de Rieux.

Fils, Bertrand Goyon, qui suit :

VIII.

Bertrand Gouyon, deuxième du nom, sire de Matignon, Matignon, la ratification du traité de Guérande le 6 avril 1380.

Femme, Jeanne de Dinan, fille de Roland de Dinan et de Jeanne de Craon.

Fils, Jean Gouyon, qui suit, deuxième fils de Bertrand. Bertrand.

Son frère aîné continue la branche aînée actuellement éteinte ; Mme la duchesse de Montmorency (Louise-Caroline morte en mars 1846, en était la dernière héritière.

IX.

BRANCHE DES BEAUCORPS.

Jean Goyon, fut fait prisonnier le 6 octobre 1387, avec son cousin, Bertrand Goyon, troisième du nom, sire de Matignon.

Femme, Jeanne de Beaucorps, fille et héritière de Geoffroy de Beaucorps.

Leur fils aîné créa la branche des seigneurs de Beaucorps, éteinte avant 1669. La veuve du dernier des Beaucorps fit reconnaître ses trois filles, seuls enfants qu'elle eut, et dont elle était tutrice comme nobles en 1669.

Deuxième fils, Alain Goyon, qui suit.

X.

BRANCHE DES VAUROUAULT.

Alain Gouyon vivait en 1386 ; son cousin Bertrand Gouyon, troisième du nom, sire de Matignon, l'afféagea l'afféagea différents biens le 15 février 1393. Il l'institua commandant de son château de la Roche-Goyon le 26 septembre 1437.

Femme, Matheline, fille de Jean, .seigneur de Molière et de Marie d'Anjou, fut partagée le 18 juillet 1386.

Fils, Jean Goyon, qui suit.

XI.

Jean Goyon, seigneur de Vaurouault, était marié en 1440, mourut le 9 avril 1459.

Femme, Isabelle Duverger, dame Duverger.

Fils, Pierre Goyon, qui suit.

XII.

Pierre Goyon, seigneur de Vaurouault, était marié en 1443 et vivait en 1481.

Femme, Catherine de la Moussaye, fille de Roland de la Moussaye, seigneur de Lorgeril, fut partagée le 11 novembre 1443.

Fils, François Goyon, qui suit.

XIII.

François Goyon, seigneur de Vaurouault, partagea avec sa soeur, le 23 juillet 1504, était mort en 1556.

Femme, Françoise Madeuc, partagée le 11 février 1521.

Fils, Jean Goyon, qui suit.

XIV.

Jean Gouyon, seigneur de Vaurouault, transigea avec Lancelot Collas, son cousin-germain, le 15 juillet 1484.

Femme, Madeleine de Boisriou, était mariée en 1473.

Fils, Lancelot Goyon, qui suit.

XV.

Lancelot Goyon, seigneur de Vaurouault, était mort en 1587.

Femme, Renée Lambert.

Se firent donation mutuelle le 5 février 1577, était morte en 1587.

La branche des Vaurouault continue par Charles, fils aîné de Lancelot. Le dernier de cette branche, Armand Goyon, seigneur de Vaurouault, ancien page de Louis XVIII, officier des chasseurs de la garde royale, fut tué en duel en 1822, sans avoir été marié.

Fils puîné, Jean Gouyon, qui suit, tige des seigneurs de Saint-Loyal.

XVI.

BRANCHE DES SAINT-LOYAL.

Jean Gouyon fut partagé le 29 juin 1587 par son frère aîné, Charles Goyon, seigneur de Vaurouault.

Femme, Jacquemine Desnos, dame de Vaumeloisel et de Lamotte-Collas.

Fils, Lancelot Goyon, qui suit.

XVII.

Lancelot Goyon vivait en 1614.

Femme, Bertranne Langlais du Prémorvan, mariée par contrat de mariage le 17 février 1614.

Fils, Michel Goyon, qui suit.

XVIII.

Michel Goyon, seigneur de Saint-Loyal, se fit maintenir maintenir de la réformation de la noblesse de Bretagne Bretagne 1669, comme noble d'extraction et d'ancienne chevalerie, ainsi qu'il appert de l'arrêt du parlement dé Bretagne du 25 février 1669, mentionné dans tous les armoriaux et livres de blason concernant la noblesse de Bretagne postérieure à cette date de 1669.

Femme, Amaurie Dumas.

Fils, François Gouyon, qui suit.

XIX.

François Gouyon, seigneur de Saint-Loyal.

Femme, Catherine de Lamotte, dame de La Vallée.

Fils, Louis-Marcel Goyon, qui suit.

XX.

Louis-Marcel Goyon, seigneur de Saint-Loyal.

Femme, Hélène Soyer.

Fils, Servan-Anne Goyon, qui suit.

XXI.

Servan-Anne Goyon, seigneur de Saint-Loyal.

Femme, Jeanne Lefebvre.

Fils, Guillaume Goyon, fut naturalisé gentilhomme autrichien en 1785, il eut le commandement d'une expédition envoyée dans l'Inde et en Chine par l'empereur Joseph II. Mort en 1790, sans avoir été marié.

Fils puîné, Servan-Jean Goyon, qui suit.

XXII.

Servan-Jean Gouyon, seigneur de Saint-Loyal, était mort en 1779.

Femme, Prudence Onfroy, morte en 1825.

Fils, Jean Gouyon, officier de la marine royale, était mort en 1786 sans avoir été marié.

Fils puîné, Mériadec Goyon, ancien élève de l'école royale militaire, officier au régiment royal Roussillon (infanterie). Officier supérieur des armées royales de l'Ouest, fut tué en 1795.

Fils puîné, Servan-Gabriel-Julien Goyon, qui suit.

XXIII.

Servan-Gabriel-Julien Goyon, servit dans la marine royale de France, fit la campagne des princes émigrés en 1792. Fut officier supérieur des armées royales de l'Ouest ; il y fut blessé dangereusement et y exerça des commandements importants, avec MM. Collas de la Baronnais, ses cousins et beaux-frères, fut nommé chevalier de Saint-Louis en 1794, mourut en 1847.

Femme, Céleste Collas de la Baronnais.

Premier fils, Gabriel Goyon.

Deuxième fils, Mériadec de Goyon, colonel d'état-major, commanfeur de la Légion-d'Honneur et d'ordres étrangers, marié le 2 août 1853, à Mme la comtesse d'Angot, née Cazes.

XXIV.

Gabriel Gouyon, seigneur, de Saint-Loyal, né le 27 mars 1801, nommé conseiller auditeur à la cour royale de Rennes en mars 1824. Démissionnaire par refus de serment en août 1830. Succède en 1847 au titre de marquis de Goyon-Matignon et autres, à la mort de son père devenu héritier de ces titres, à celle de Mme la duchesse de Montmorency, née Goyon-Matignon, décédée en mars 1846.

Femme, Agathe-Marie de Boisjourdan, fille de feu M. Louis de Boisjourdan, ancien député sous la Restauration, mariée le 22 septembre 1828.

Fils, Christian-Gabriel Goyon, né le 4 août 1829.

Fille, Marie-Thérèse Goyon.

Note : Cette généalogie et la note qui la précède ont été copiées, partie dans la généalogie imprimée et les notes concernant la famille Goyon-Matignon qui se trouvent dans l'histoire des grands officiers de la couronne par père Anselme, partie dans la généalogie manuscrite qui se trouve à la Bibliothèque impériale, section des manuscrits, dossier Goyon de Matignon et autres documents concernant cette famille, et qui avaient servi à l'établissement des 128 quartiers fournis par M. le maréchal de Matignon, comte de Gacé, etc., lorsqu'il fit ses preuves pour être reçu chevalier du Saint-Esprit au commencement du XVIIIème siècle. Pour la partie postérieure à Jean-Michel Goyon, seigneur de Saint-Loyal, elle a été établie sur des papiers et documents de famille. Jean Mériadec et Servan-Gabriel-Julien Gouyon, avaient tous trois été forcés de prouver quatre degrés de noblesse pour entrer dans la marine royale et à l'école royale militaire.

Voir Famille Gouyon-Matignon " La maison Gouyon-Matignon et ses branches ou rameaux

 © Copyright - Tous droits réservés.