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La paroisse de Trévron durant la Révolution.

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Renseignements ecclésiastiques. — Trévron, cure de l'évêché de Saint-Malo, relevait, avant la Révolution, de l'archidiaconé de Dinan et du doyenné de Plumaudan. Depuis le 11 septembre 1777, la présentation de ce bénéfice appartenait à l'abbé de Marmoutiers, mais auparavant, ce privilège était dévolu au grand prieur de Léhon.

L'église, alors comme aujourd'hui, avait pour titulaire l'illustre diacre Saint Laurent. (cf. art. Quévert). Le propriétaire du Chalonge (en l'espèce, l'année 1753, Jean-Baptiste-Annibal-Rennes de Farcy, comte de Muée, du fait de son mariage avec Marie-Jeanne du Breil, héritière du Chalonge) se trouvait être seigneur fondateur et prééminencier dans l'église de Trévron. Cependant, d'après les titres féodaux, ce n'était pas leur beau château du Chalonge qui valait à ces personnages de pouvoir se parer de ces titres enviés, mais bien leur seigneurie de la Grande Gibonnais, à présent transformée en ferme, mais qui fut possédée jusqu'au milieu du XVIème siècle par la vieille race chevaleresque des Ruffier, que l'on voit figurer avec honneur à la première ainsi qu'à la septième croisade. Leur nom se retrouve encore aujourd'hui porté en additif par les anciens manoirs du Vau-Ruffier, en Plouasne, du Bois-Buffier en Pleslin, ainsi que du Pont-Ruffier en Le Hinglé, et leurs armes, « d'azur semé de billettes d'argent », se voient toujours près de la porte nord-ouest de l'église de Trévron. Après l’extinction des Ruffier, les du Breil du Chalonge acquirent de leurs héritiers, vers le milieu du XVIIème siècle, les terres et seigneuries de la Grande Gibonnais et du Pont-Ruffier, ce qui accrut considérablement leur influence dans la contrée. (Cf. Archives de Loire-Inférieure, B 1331, f° 152, ter).

D'après un arrangement passé en 1181 entre les moines de Saint-Magloire de Léhon et ceux de Saint-Magloire de Paris, on voit qu'à cette date, les premiers possédaient en pleine propriété l'église Saint-Laurent de Trévron avec son bourg, son cimetière, les terres, les dîmes et les moulins qui s'y trouvaient rattachés. En 1182, Albert, évêque de Saint-Malo, confirma dans sa possession l'abbaye de Léhon, ne faisant du reste en cela que ratifier un acte de 1156 souscrit par Jean, évêque de Saint-Malo, son prédécesseur.

De cette donation, les moines de Léhon conservaient encore, en 1557, un lieu appelé le prieuré et métairie de Léhon, dans lequel il y avait un grand « court de logis et pourpris comme déport avec court et issues, plus une quantité de terre plantée en vignes, bois de haute futaye et taillis avec garenne à lapins, le tout contenant environ cinq journaux de terre et un journal en pré » (Archives de Loire-Inférieure, B 864) [Note : Les propriétés de Léhon vendues à Trévron le 12 mars 1791 furent la pièce du Baschamps, acquise par Gilles Cariguel ; le moulin du Pont au Mont, acheté par un sieur Le Bigot, et les masures d'une maison adjugées au sieur Collichet et consorts.].

Au moment de la Révolution, les propriétés du prieuré de Léhon à Trévron consistaient en un bailliage valant 498 livres de revenu et, dans les dîmes de la paroisse affermées en 1777, la somme de 1.425 livres aux sieurs Barthélémy Renault et Yves Auviel. Le résultat le plus clair pour le recteur de cette paroisse, c'est qu'il se trouvait être réduit dès cette époque à la portion congrue.

Le Pouillé de la Bastie note l'église de Trévron comme « pas absolument mal. Cependant, ajoute-t-il, il n'y a point de sacristie et peu d'ornements ». L'on remarque encore en 1925 dans l'église actuelle les statues de bois de la Sainte Vierge, de Sainte Anne, de Saint Laurent, de Saint Malo et de Sainte Marguerite, qui doivent provenir de l'ancien édifice.

En 1769, lors d'une visite épiscopale, le procès-verbal qui en fut rédigé, mentionne une fois de plus l'absence d'une sacristie, et cette situation durait depuis longtemps déjà, car dès 1711, les religieux de Léhon avaient gracieusement concédé « proche la chapelle St-Julien » 15 pieds de terrain nécessaire pour élever cette construction, mais telle fut la puissance d'inertie et les moyens dilatoires mis en oeuvre par le général de Trévron, qu'il fallut attendre jusqu'à 1782 pour voir enfin bâtir cet édifice, indispensable complément de toute église.

Quant au presbytère de Trévron, alors recouvert en pierres du pays, et mesurant 22 pieds de large sur 36 de long, le Pouillé de la Bastie l'indique comme « très médiocre, mais peu éloigné de l'église ». En 1705, les paroissiens avaient décidé de lui faire pour 800 livres de réparations, mais sans doute ne furent-elles pas exécutées, car dès le 15 février 1707, le recteur Bertrand Mahé demandait au général de Trévron de lui construire un presbytère neuf, l'ancien semblant irréparable.

Il n'existait vraisemblablement à Trévron, au XVIIIème siècle, ni chapelle domestique fondée et desservie, ni chapelle frairienne, du moins nul document à notre connaissance n'en fait mention.

La fabrique de Trévron n'avait d'autre revenu que la générosité des fidèles. Cependant, la piété d'un Trévronnais l'avait poussé à fonder un service annuel pour le repos de son âme, et, dans cette fin, il avait hypothéqué un boisseau de blé sur le revenu d'un de ses champs. C'était là du reste la seule fondation de Trévron existant en 1790.

En 1746, les recettes de la fabrique de Trévron se montaient à 114 livres 17 sols et ses dépenses à 97 livres 5 sols. En 1753, les trésoriers en charge, Joseph Legros et Julien Lecriou, présentaient un compte de 237 l. 19 s. en avoir et de 221 l. 6 s. comme dépenses. Les Trévronnais s'étaient montrés cette année fort généreux pour leur église : c'est ainsi que leurs dons en filasses s'étaient élevés à 21 l., à 34 l. pour le beurre, à 4 l. pour la viande, à 23 l. pour le fil, à 3 l. pour les pommes et à 23 l. 14 s. pour de jeunes porcelets. Il est vrai, par contre, que la fabrique de Trévron avait eu à couvrir une grosse dépense dans la réfection des murs du cimetière, laquelle lui revint à la somme d'environ 100 livres.

Sous l'ancien régime, Trévron était groupé pour la station des prédications avec Léhon et Calorguen, et Mgr. des Laurents avait fixé son jour d'adorations au 18 avril de chaque année.

La Révolution conserva Trévron comme paroisse et lui adjoignit les parties septentrionales de Plumaudan et de Saint-Maden, avec les communes de Saint-Carné et du Hinglé.

Ainsi qu'à cette époque dans bon nombre de localités, l'église de Trévron fut fracturée et dévalisée le 20 juin 1792. Deux ans plus tard, l'argenterie de l'église de cette paroisse, transportée par ordre à Dinan, fut expertisée le 24 août 1794. On trouva un ostensoir, un pied de calice, la couverture d'une petite custode, le tout pesant 3 marcs, 7 onces, 3 gros et demi d'argent blanc ; un encensoir et sa navette, pesant ensemble 4 marcs, 7 onces, 4 gros d'argent blanc ; un ciboire, un calice, 2 patènes, une coupe de calice, la coupe d'une petite custode et un croissant, le tout pesant 5 marcs, 1 once d'argent doré ; une croix pesant 9 marcs, 2 onces, 5 gros d'argent doré. Le tout fut expédié aux ateliers de la Monnaie. On y joignit 4 marcs, 4 onces, 2 gros de galon d'argent et 7 onces, 3 gros de galon d'or. La vente du mobilier et des ornements de l'église de Trévron, confisqués précédemment, produisit 157 fr. le 4 juin 1794.

Le 25 mai de l'année suivante, l'église de cette paroisse fut momentanément ouverte au culte catholique sur pétition individuelle des habitants, mais nous ignorons qui la desservit à cette époque.

En janvier 1802, d'après le sous-préfet Gagon, on commençait à réparer l'église de cette paroisse.

 

CLERGÉ.JEAN BODIN, recteur, né à Evran, le 6 avril 1744, du mariage de Jacques et de Jeanne Renouvel, fit ses études à Dinan. On le note au Séminaire comme « annonçant de l'esprit et des dispositions, mais sans être aussi studieux qu'il serait désirable ; pourrait mieux faire à ses examens ; voix faible, mais juste ».

Ordonné prêtre le 11 mars 1769, l'abbé Bodin devint vicaire de Plélan-le-Petit de 1770 à 1774. Il remplissait les mêmes fonctions à Trévron, lorsqu'il succéda comme recteur de cette paroisse à M. René Fouéré, décédé le 12 août 1782, lequel avait été nommé à ce poste le 30 avril 1753.

Les lettres de provision de M. Bodin sont du 17 septembre 1782. Lors de la Révolution, il refusa le serment constitutionnel le 13 février 1791 et, n'ayant pas été remplacé dans sa cure, faute de candidats, il toucha encore son traitement comme recteur en mai 1792. Ce prêtre, qualifié par la loi de fonctionnaire public, dut cependant s'exiler en cette qualité à Jersey à la date du 11 septembre de cette année, et la municipalité de Trévron profita de sa déportation pour réclamer, le 2 octobre suivant, à sa famille, 59 l. 5 s. pour les réparations qu'elle jugeait que son recteur aurait dû faire exécuter au presbytère qu'on l'obligeait d'abandonner. Bien plus, le mobilier de ce prêtre, mis en vente comme appartenant à un « réfractaire », produisit 979 l. 14 s. le 2 février 1794, au profit de la République. Car tels étaient les agréments du régime jacobin.

L'abbé Bodin assista à Jersey, le 8 novembre 1793, aux funérailles de sa châtelaine, Marie-Jeanne du Breil, dame du Chalonge et comtesse de Muée, que les menaces des révolutionnaires avaient contrainte à se réfugier à l'étranger. (L'Estourbeillon : Les Familles Françaises à Jersey, op. cit., p. 44).

M. Bodin figure aussi sur les registres de Mgr. de Cheylus, évêque de Bayeux, comme bénéficiaire d'un secours mensuel de 40 livres, de juillet à octobre 1796. Il est vraisemblable que le recteur de Trévron repassa en Bretagne vers cette époque, et fit dès lors, tout en se cachant, du ministère auprès de ses ouailles.

Le préfet Boullé, lorsqu'il rédigea son enquête, aux environs de 1802, note en effet ce prêtre comme « revenu à Trévron depuis six ans, ayant de bonnes moeurs, à laisser à sa place ». C'est ce que fit du reste Mgr. Cafarelli, qui rétablit officiellement l'abbé Bodin dans ses fonctions rectorales de Trévron et du Hinglé réunis, le 16 janvier 1804. Il décéda à Trévron le 27 janvier 1812, âgé de 68 ans. Son successeur fut l'abbé JEAN-FRANCOIS ANDRÉ, dont nous verrons la biographie à l'article Evran, où il fut vicaire avant et après la Révolution.

JEAN BOHIER, vicaire, naquit à Tréfumel le 18 mars 1747, de Louis et de Françoise Ridouard. Après d'assez médiocres études théologiques, il reçut la prêtrise à Rennes par dimissoire, en avril 1772. Il vint comme vicaire de Trévron à la fin de 1783, et modela sa conduite sur celle de son recteur, par rapport à la Constitution Civile. Après avoir reçu pour la dernière fois son traitement comme vicaire de Trévron, le 21 juin 1792, M. Bohier s'exila à Jersey au mois de septembre de cette année. Nous perdons complètement de vue, après cette date, les traces de cet ecclésiastique qui, à n'en pas douter, dut mourir en exil.

Etait séminariste de Trévron, lors de la Révolution, JULIEN DU PONCEL, fils de Joseph et de Marie Foutel, qui reçut la tonsure dans l'église Saint-Sauveur, à Saint-Malo de l'Isle, le 18 septembre 1790. Nous ne croyons pas qu'il ait persévéré dans son dessein de se faire prêtre, mais, vers 1760, nous trouvons François du Poncel, l'un de ses oncles, vicaire à Pleurtuit.

Etait originaire de Trévron : JULIEN LE GROS, né le 6 février 1736 au village de la Herviais, de François et de Julienne Nogues. Après avoir étudié au Collège de Dinan, il embrassa l'état ecclésiastique. On le note, au cours de son Séminaire, qu'il fit à Saint-Servan, comme « médiocre à tous ses examens », mais on remarque cependant qu'il était « doué d'une petite voix juste, savait un peu son chant et se trouvait passable sur le latin ».

Nous avons déjà vu la carrière de cet ecclésiastique comme curé constitutionnel de Brusvily. Nous compléterons sa biographie à l'article de Saint-Michel de Plélan, dont il fut le curé de 1774 à 1791.

 

CLERGÉ CONSTITUTIONNEL. JOSEPH BOURREAU DE CHAVIGNY, curé, était originaire de Montsoreau (Maine-et-Loire), où il naquit le 2 juillet 1764, de Jacques-François, sr. de la Ferronière, « bourgeois », et de Marie-Louise Le Grolleau. Après avoir fait profession chez les bénédictins de Saint-Maur, en 1785, il se trouvait en 1790 religieux à l'abbaye de Saint-Jacut de l'Isle. Il avait alors 26 ans lorsqu'il fit connaître son intention de sortir du cloître. Il habitait encore Saint-Jacut le 28 mai 1791 et devint vicaire de Plouër avec l'intrus Hercouet, le 1er octobre de cette année, mais il ne s'assermenta comme tel que le 4 décembre suivant. (Archives des Côtes-d'Armor, L 161). Après s'être attiré dans ses fonctions l'inimitié des catholiques, Bourreau quitta Plouër quelques jours après, le 16 septembre 1792, date de son élection à la cure de Trévron.

L'évêque Jacob signa, le 25 de ce même mois, l'institution canonique de Chavigny et, le 30 suivant, J.-B. Gauttier, de Dinan, alors vicaire épiscopal, vint présider son installation comme curé intrus de Trévron.

Dans une de ses lettres, l'ex-moine se donne comme administrant les trois communes de Trévron, Le Hinglé et Saint-Carné, et réclame à ce titre 1.800 livres d'appointements. (Archives des Côtes-d'Armor, série L/ v). Il fit même un baptême à Calorguen, le 14 octobre 1792, et l'on trouve sa signature comme officier public sur les registres d'état-civil de Trévron jusqu'au 14 juillet 1793.

Devant la tournure des événements, Chavigny abdiqua prudemment son état et fonctions le 8 mars 1794, ce qui ne l'empêcha pas de se voir emprisonné quatre jours plus tard à Dinan, par ordre du représentant Ruamps, en date du 12 mars, en même temps que ses effets mobiliers étaient placés sous sequester [Note : Voici le libellé de l'ordre d'arrestation de Chavigny. Ceux des autres prêtres constitutionnels, sont semblables, aux noms prés : « Joseph Bourreau, curé de Trévron, par ordre de Ruamps, représentant du peuple près l'armée des cotes de Brest, sera saisi et mis en arrestation jusqu'à la paix. - Signé : Ruamps ».

Libéré sous condition, sur sa promesse de se conformer à l'arrêté de Le Carpentier qui enjoignait de prendre femme aux membres du clergé constitutionnel las de leur captivité, le sieur Bourreau de Chavigny, chez qui les passions parlaient plus haut que la Foi, jugea qu'il lui était loisible, au milieu du bouleversement général des institutions et des moeurs, de faire litière de ses engagements les plus sacrés. (Archives des Côtes-d'Armor, Lm 5, 67).

Le 7 thermidor an II (25 juillet 1794), il contracta donc mariage à la mairie de Trévron avec une personne étrangère à cette localité, nommée Guillemette R.., d'un an plus âgée que lui. Cette jouvencelle, exempte de préjugés, et à laquelle ses 31 ans ne laissaient même plus l'excuse de l'ingénuité, avait vu le jour à Saint-Remy du Plain (Ille-et-Vilaine), du mariage de Joseph et d'Hélène G...

Nous ne croyons pas que l'ex-moine demeura longtemps à Trévron après son union sacrilège. Le 21 février 1795, nous le voyons réclamer sa pension à titre d'ecclésiastique abdicataire, et, le 31 juillet de l'année suivante, il résidait à Combourg, lorsqu'il utilisa ses assignats en achetant deux pièces de terre qui dépendaient précédemment de l'église de Meillac.

Voici, retrouvé aux Archives d'Ille-et-Vilaine, par M. l'abbé Julien Hervé, de Montfort, le signalement de l'ex-moine de Saint-Jacut vers 1798. On se convaincra à sa lecture que son possesseur ne devait rien avoir d'un Adonis ; qu'on en juge plutôt : « taille 5 pieds, cheveux et sourcils châtains, yeux roux, nez long, bouche moyenne, menton rond, front bas, visage ovale ».

Il faut croire qu'une fois rentré dans le monde laïque, Bourreau de Chavigny n'y fit pas de brillantes affaires. En tout cas, la mort de ce pauvre dévoyé est assez singulière. Nous en empruntons le récit au registre des décès de la ville de Combourg pour l'année 1811, lequel transcrit au folio 14 un jugement rendu par le Tribunal civil de Saint-Malo, le 14 juin de cette année, à la requête de Jean B... tuteur des enfants mineurs de Joseph Bourreau huissier à Combourg et de Guillemette R.., au nombre de quatre, deux fils et deux filles. Ce jugement, dont le regretté chanoine Boudon avait bien voulu nous adresser une copie, déclare qu'un particulier décédé à l'hôpital militaire Saint-André, à Napoléon-Vendée (présentement La Roche-sur-Yon), le 6 janvier 1811, et enregistré à la mairie de cette ville sous le nom de Jacques Vilain, terrassier, de père et mère inconnus, domicilié de Combourg (Ille-et-Vilaine), était en réalité Joseph Bourreau, huissier à Combourg, disparu de cette localité depuis Juillet 1810. Pour rendre cet arrêt, le tribunal de Saint-Malo s'appuie sur deux lettres écrites par cet individu durant qu'il était à l'hôpital Saint-André. La première, datée du 26 novembre 1810, était signe Joseph Bourreau, mais la deuxième, du 18 décembre suivant, était signée Jacques Vilain. Or, ces deux lettres furent reconnues authentiques, et l'une et l'autre de l'écriture de Joseph Bourreau, huissier à Combourg. (A. Lemasson).

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