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Saint Martin de Vertou.

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Saint Martin naquit d'une famille très distinguée de la ville de Nantes, dans la première moitié du sixième siècle. Il se montra, dès l'enfance, doué des qualités les plus heureuses. Ses parents le firent instruire avec grand soin, et il surpassa bientôt tous les jeunes gens de son âge dans la science et la vertu. Il se faisait particulièrement remarquer par le charme et l'éloquence de sa parole. Mais il abandonna de bonne heure les études et les occupations mondaines pour se donner tout entier aux exercices de la piété, et réduire son corps en servitude par les pratiques de la pénitence [Note : La fête de saint Martin se célèbre le 24 octobre dans les paroisses dont il est le patron. Elle est remise au 23 dans le reste du diocèse, à cause de la fête de saint Raphaël, qui se fait le 24].

Comme il faisait chaque jour de nouveaux progrès dans la vie spirituelle, saint Félix qui était monté sur le siége épiscopal de Nantes, vers l'an 560, jeta les yeux sur lui pour l'élever au diaconat, et lui conféra la dignité d'archidiacre. Saint Martin se trouva appelé par cette dignité à partager avec son évêque l'administration générale du diocèse, les archidiacres remplissant alors les fonctions qui furent dévolues plus tard aux vicaires généraux. Il devait être âgé au moins de vingt-cinq ans : c'était l'âge fixé à cette époque par les lois de l'Eglise, pour pouvoir être appelé à l'ordre du diaconat. Le plus ancien historien de sa vie nous fait connaître, d'un mot, la manière dont saint Martin remplit le ministère qui lui avait été confié, en disant qu'on exprimerait difficilement avec quelle sainteté il vécut dans cet état, et combien fut grand le nombre d'âmes qu'il gagna à Jésus-Christ.

Les superstitions païennes n'avaient pas encore complètement disparu de la Gaule. Il y avait, à quelque distance de Nantes, une ville nommée Herbauges qui demeurait opiniâtrement attachée à l'idolâtrie. Elle était située dans un territoire fertile, et très florissante par son commerce. Saint Félix, profondément affligé de voir le culte des idoles persévérer dans le voisinage même de la ville épiscopale, appela à lui son saint archidiacre : « Vous voyez, mon très cher fils, lui dit-il, que l'ancien ennemi du genre humain conserve son empire, même de nos jours. Comment ne rougissons-nous pas de n'avoir point encore fait disparaître les souillures des idoles d'un pays qui nous touche ? Allez-donc vers la ville d'Herbauges, annoncez à ce peuple infidèle la parole de Dieu, et tâchez de le soumettre à, la foi de Jésus-Christ ».

Saint Martin obéit avec empressement aux ordres de son évêque. Il se rendit à Herbauges et commença à prêcher les vérités éternelles. Il y demeura longtemps sans retirer aucun profit de sa prédication. Ce peuple méchant se raillait du prédicateur, et le chassait tantôt d'un lieu, tantôt d'un autre. Il n'y eut qu'un seul habitant d'Herbauges, nommé Romain, qui embrassa la foi avec son épouse. Il donna l'hospitalité dans sa maison au saint missionnaire qui ne cessait d'annoncer la parole de vie à cette malheureuse cité. La population d'Herbauges persévéra dans son mépris de l'Evangile, et saint Martin, se souvenant de la parole du divin Maître qui ne veut pas qu'on jette les perles aux animaux immondes, de peur qu'ils ne les foulent aux pieds, finit par éprouver une grande tristesse de l'inutilité de ses efforts. Il connut par une inspiration divine que la ville infidèle était destinée à périr, et il en sortit avec ses hôtes. Ils en étaient déjà loin, lorsque la cité tout entière s'abîma dans les eaux qui envahirent le sol sur lequel elle était bâtie, et forment aujourd'hui le lac de Grand-Lieu. Que ce fait doive être considéré comme un miracle opéré par la justice de Dieu pour punir un peuple coupable, ou qu'il soit le résultat des causes naturelles dont la Providence divine sait également se servir pour châtier les crimes des hommes, toujours est-il que la ruine d'Herbauges, engloutie dans les eaux, est une des traditions les plus anciennes et les plus constantes de nos pays. Cette tradition est confirmée par les monuments historiques, et consignée, en particulier, dans la première Vie de saint Martin, écrite avant l'invasion des Normands, deux cents ans au plus tard après la mort du saint abbé. L'imagination populaire y a mêlé, dans la suite des siècles, diverses circonstances empruntées au récit de la ruine de Sodome et de Gomorrhe ; mais il ne paraît pas possible de révoquer en doute le fait même de la destruction d'Herbauges, en punition de ses désordres et de son idolâtrie.

La ruine de cette ville coupable plongea saint Martin dans une grande douleur. Il s'accusait d'être l'auteur de la perte de ce malheureux peuple qu'il pleurait. amèrement, et il prit la résolution de se retirer dans la solitude pour s'y livrer aux exercices de la pénitence. Il y vécut avec une austérité qui rappelait celle des solitaires de la Thébaïde, se nourrissant d'herbes et de racines, et n'ayant pour se désaltérer que l'eau d'une fontaine. Le plus ancien de ses biographes ajoute que cette eau, quand il la puisait, se changeait pour lui en un vin excellent.

C'est à cette époque de sa vie que saint Martin dut entreprendre les voyages dont le souvenir nous a été conservé par les historiens. Beaucoup de circonstances fabuleuses ont été ajoutées au récit de ces lointaines pérégrinations. Mais il est difficile de ne pas admettre que le saint abbé ait accompli le pèlerinage de Rome. Les traditions anciennes de son monastère affirment qu'il avait rapporté des régions transalpines, c'est-à-dire d'Italie, la règle donnée par lui à ses religieux. L'auteur de sa vie nous apprend que son voeu le plus ardent avait été de visiter le tombeau de saint Pierre et la chaire du Prince des Apôtres ; qu'il avait beaucoup travaillé pour aplanir les difficultés des chemins aux pèlerins qui entreprenaient le voyage de Rome ; et qu'au souvenir de la Ville-Sainte, on le voyait dans sa maison verser de douces larmes. Ce sont des faits si connus, ajoute le biographe, qu'il est inutile de s'y arrêter. Nous regrettons de ne pas avoir aujourd'hui plus de détails sur le voyage à Rome de saint Martin. Ce peu que nous savons suffit, du moins, pour nous faire comprendre le tendre attachement qu'eut pour le siége apostolique un des saints les plus vénérés de l'Eglise de Nantes.

Saint Martin vécut longtemps dans la solitude, tout occupé de la contemplation des choses divines. Le Seigneur ne voulut pas qu'une si grande lumière demeurât cachée sous le boisseau. Le serviteur de Dieu habitait la forêt de Dumen ou de Roche-Noire, qui paraît avoir couvert une partie du pays de Retz et s'être étendue jusqu'à la rive méridionale de la Loire, lorsqu'un ange l'avertit en songe, ainsi que nous le lisons dans son office, de revenir parmi les hommes. Saint Martin se hâta d'obéir à la volonté de Dieu et vint à Vertou : c'était une colline agréablement située sur le bord de la Sèvre, couverte de frais ombrages, et le pays environnant offrait toute espèce de ressources pour la facilité de la vie. Il y résidait depuis peu de temps, que déjà la bonne odeur de ses vertus avait attiré autour de lui des foules nombreuses. Quelques-uns de ceux qui venaient le visiter se joignaient à lui, et, marchant à la lumière de ses exemples, embrassaient son genre de vie. D'autres lui donnaient des terres considérables pour qu'il pût y bâtir des monastères ou subvenir aux besoins des pauvres. D'autres, enfin, lui offraient leurs enfants pour qu'il les élevât dans le service de Dieu.

Saint Martin contruisit à Vertou un monastère célèbre, sous l'invocation de saint Jean-liaptiste. Il y réunit un grand nombre de religieux avec lesquels il mena une vie tout angélique. Nous avons déjà dit qu'il leur donna une Règle que, d'après la tradition du monastère, il avait apportée d'Italie. Etait-ce la règle de saint Benoît, mort vers l'an 543 ? On pourrait le penser, en voyant les biographes de saint Martin louer la précision et la sagesse des constitutions monastiques laissées par lui à ses religieux, presque dans les mêmes termes dont saint Grégoire-le-Grand se sert pour caractériser la règle du patriarche des moines d'Occident. La question demeure néanmoins incertaine. Quoi qu'il en soit, le saint abbé de Vertou doit, à bon droit, être considéré comme un des grands propagateurs de la vie monastique à la fin du sixième siècle.

La famille religieuse qu'il avait formée acquit un tel renom de sainteté qu'elle fut en honneur dans toute la Neustrie, c'est-à-dire dans les provinces occidentales de la Gaule. Saint Martin y fonda de nombreux monastères. Il paraît même avoir étendu son action jusqu'en Angleterre. Parmi les maisons qui lui durent leur origine, les deux plus célèbres furent le monastère de Durivum, aujourd'hui Saint-Georges, près Montaigu, et celui des deux Jumeaux, dans le diocèse de Bayeux.

Le nom de ce dernier rappelait un miracle éclatant opéré par saint Martin. Un seigneur puissant de cette contrée avait perdu deux enfants jumeaux, qu'une mort prématurée avait enlevés, avant qu'ils pussent recevoir le baptème. Les parents étaient plongés dans la douleur. Saint Martin était leur ami, et, à son retour d'Angleterre, venant pour les visiter, il les trouva dans la tristesse profonde que leur causait la perte de leurs enfants, morts la veille. Le saint chercha la consolation du côté du Ciel pour les malheureux parents ; il adressa à Dieu de ferventes prières, et obtint, par ses mérites, que les deux jumeaux fussent rendus à la vie. Plus tard ils embrassèrent l'état religieux dans le monastère fondé sur le patrimoine de leur famille.

Saint Martin confia la supériorité de ses diverses maisons à des hommes d'une vertu éprouvée ; mais il se réserva toujours le gouvernement de celle de Vertou ; ce qui ne l'empêchait pas de visiter en temps opportun les monastères qu'il avait fondés et qui semblent avoir formé une sorte de congrégation sur laquelle il exerçait une autorité générale. Dans ses visites, il veillait, avec une sollicitude extrême, à ce qu'aucun de ses religieux ne s'écartât des observances de la règle monastique. Il les encourageait, et par ses exemples et par ses exhortations, à tendre sans cesse à la perfection. Néanmoins, il savait, à l'exemple de Notre-Seigneur, condescendre à l'infirmité de ceux qui étaient encore faibles, tandis qu'il reprenait avec sévérité les orgueilleux.

Nous apprenons aussi, par ses biographes, qu'en serviteur fidèle, qui ne laisse pas infructueux le talent qui lui est confié, il travaillait à gagner des âmes à Jésus-Christ, en allant annoncer aux peuples la parole sainte ; que son zèle ne se bornait pas aux populations voisines de Vertou ; qu'il étendait, même au loin, ses missions.

Le trait distinctif du saint abbé était l'amour de l'humilité dont son âme était toute pénétrée : aussi, parlait-il sans cesse à tout le monde du soin avec lequel nous devons éviter l'orgueil. C'était son entretien habituel. Sa vie mortifiée, ses vêtements pauvres étaient une exhortation plus éloquente encore au mépris des honneurs et des plaisirs mondains. En voyant ses jeûnes continuels, son assiduité aux veilles de la nuit, on ne comprenait pas comment les forces de son corps pouvaient suffire à la multiplicité de ses travaux quotidiens. Mais Notre-Seigneur, ajoute pieusement le vieil historien de sa vie, multipliait pour lui les dons de son amour ; il ne voulait pas que son serviteur, au milieu des fatigues supportées pour sa gloire, fût privé des douceurs de la contemplation. Un autre biographe a fait d'un mot le panégyrique de saint Martin, en disant que toute sa personne portait si visiblement l'empreinte de l'humilité et de la sainteté, qu'on ne pouvait le regarder sans se sentir pénétré du mépris du monde.

Le saint abbé était allé prêcher la parole de Dieu, assez loin de Vertou ; l'ange du Seigneur lui apparut pendant son sommeil et lui ordonna de retourner à son monastère, en lui annonçant que l'heure de sa mort était proche. Saint Martin obéit et reprit le chemin de Vertou. Il en était encore à une lieue environ, quand le son des cloches, plus éclatant que de coutume, avertit les frères de son arrivée. Ils sortirent à sa rencontre, en chantant des psaumes et des cantiques, et le conduisirent processionnellement au monastère. Saint Martin se rendit d'abord à l'église, et, dans une fervente oraison, recommanda son troupeau au bon Pasteur, Notre-Seigneur Jésus-Christ. Puis, se levant, il conduisit tous les moines dans le cloître et y planta au milieu, en leur présence, le bâton qu'il portait toujours à la main. « Ce sera, leur dit il, le signe de mon affection pour vous, parce que j'ai aimé, plus que tous les autres, cette maison que j'ai fondée par la miséricorde de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Ce bâton que je plante en cet endroit vous rappellera ma présence et produira des fruits de salut dans les âges à venir. Vous ne me verrez plus vivre et converser avec vous, parce que le temps de ma délivrance approche. J'ai combattu le bon combat, j'ai consommé ma course, j'ai gardé la foi ; montrez-vous prêts à suivre l'exemple que je vous laisse, et marchez dans la voie du Christ où je vous ai précédés, afin que vous ayez part à ma couronne. Je vous donne la paix du Christ, je vous laisse l'amour de la paix et ma dilection. Je vous recommande à Dieu que vous avez suivi, afin que vous puissiez, par son secours, parvenir au royaume céleste ». Et, ayant donné le baiser de paix à tous les frères, il partit pour Durivum ou Saint-Georges.

On conserva fidèlement, dans le monastère de Vertou, la mémoire des derniers adieux du saint abbé. Le bâton desséché qu'il avait planté au milieu du cloître devint un grand arbre, et, selon la prédiction de l'homme de Dieu, servit à l'utilité de plusieurs. Les personnes, atteintes de la fièvre ou d'autres maladies, venaient en cueillir les jeunes branches, qui leur servaient de remède. L'arbre de saint Martin était couvert d'un épais feuillage. Que de fois, dit son biographe, qui écrivait vers la fin du neuvième siècle, nous avons regardé et embrassé cet arbre, avec un pieux amour de notre Père ! Et il ajoute que les habitants du pays l'avaient en si grande vénération, que les seigneurs bretons ne manquaient jamais, quand ils venaient au monastère, d'aller faire une prière au pied de l'arbre de saint Martin, avant d'entrer dans l'église. Le célèbre Alain Barbe-Torte, qui délivra Nantes du joug des Normands, agissait toujours de la sorte, et il disait que c'était un usage reçu de ses ancêtres. Le savant Mabillon assure qu'on voyait encore le tronc de cet arbre au dix-septième siècle, et que les habitants étaient très empressés d'en détacher quelques fragments qu'ils conservaient avec dévotion.

Saint Martin avait bâti, à Durivum, deux monastères, l'un pour les hommes et l'autre pour les femmes. Il commença la visite de ces maisons qu'il poursuivit avec soin, donnant à chacun de ses disciples les conseils de salut qui lui étaient nécessaires ; mais bientôt il fut pris de la fièvre. Les progrès du mal l'avertirent que le souverain Juge était à la porte et frappait pour qu'on lui ouvrît, et il attendit avec joie l'heure de sa sortie de ce monde. Ses disciples entouraient son lit et se désolaient d'être bientôt privés de la présence de leur Père. Tout à coup une troupe de démons lui apparut, cherchant à l'effrayer par un bruit horrible. Mais saint Martin, ainsi qu'on le raconte du grand évêque de Tours qui portait le même nom, confiant en la bonté toute puissante de Notre-Seigneur, s'écria à haute voix : « Que faites-vous ici, esprits de ténèbres ? retirez-vous et fuyez, j'ai été racheté par le sang de Jésus et je n'aurai pas part à votre damnation ». La troupe des démons disparut à l'instant même, et le saint abbé rendit en paix son âme à Dieu, le 24 octobre L'année de sa bienheureuse mort est incertaine ; il est probable qu'elle arriva au commencement du septième siècle.

Une grande contestation s'éleva après sa mort, entre les religieux de Durivum et ceux de Vertou. Ceux-ci réclamèrent avec instance le corps de leur bienheureux Père, et vinrent pour le transporter dans leur monastère. Les religieux de Durivum prétendaient que le Ciel s'était prononcé en leur faveur, et que le serviteur de Dieu devait avoir son tombeau là où il avait achevé le cours de sa vie mortelle. La contestation devenait de plus en plus vive entre les deux partis ; les moines de Vertou profitèrent de l'obscurité de la nuit, et pendant que ceux de Durivum se livraient au sommeil, ils enlevèrent le corps du saint abbé et prirent en hâte le chemin de leur monastère. Plusieurs miracles signalèrent cette première translation. Un paralytique recouvra le mouvement de ses membres en touchant le voile qui couvrait le cercueil. La vue fut rendue à un aveugle qui se recommandait à la protection du saint.

Le corps de saint Martin fut déposé à Vertou, dans l'église de Saint-Jean-Baptiste, qu'il avait lui-même bâtie. Il y demeura pendant deux cents ans, ou même davantage, et un grand nombre de miracles s'opéra à son tombeau. Mais, en 843, à l'époque où les Normands pillèrent la ville de Nantes, et massacrèrent saint Gohard dans la cathédrale, avec une foule de prêtres et de fidèles, les moines de Vertou durent songer à chercher un asile où ils fussent à l'abri des incursions de ces Barbares. Ils quittèrent leur maison, emportant avec eux ce qu'ils avaient de plus précieux et le corps du saint abbé renfermé dans une châsse d'or, ornée de pierres précieuses. Ce départ s'accomplit au milieu d'une désolation générale. Les religieux allèrent se fixer au monastère de Saint-Jouin-sur-Marne, qui leur appartenait, et ils y déposèrent le corps de saint Martin près de celui de saint Jouin. Il y demeura jusqu'à l'époque des guerres de religion, au quinzième siècle. Les calvinistes profanèrent le tombeau et dispersèrent les ossements sacrés. La tête de saint Martin avait été donnée à l'abbaye de Saint-Florent, près de Saumur, et un os du bras au monastère de Vertou. Ces saintes reliques ont disparu au moment de la Révolution. Le culte du saint abbé s'étendit au loin ; plusieurs églises furent bâties sous son invocation, et sa fête fut célébrée et l'est encore aujourd'hui dans plusieurs diocèses de l'Ouest de la France. Le diocèse de Nantes compte six paroisses placées sous le patronage de saint Martin. (extrait d'un ouvrage de Mgr. Richard, 1898).

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