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LA SITUATION FÉODALE DE SAINT-LÉONARD DE FOUGÈRES

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Quelques terres en Saint-Léonard (Voir LE BOUTEILLER, manuscrit à la bibliothèque municipale).

Lieu noble de BONABRY. En 1633, à Jean Lejeune de la Tendrais ; en 1677, à Francis des Nos de la Tendrais ; en 1775 et 1783, à M. de Brémorin ; lors de la. Révolution, aux Gaallon qui, en 1792, vendirent Bonabry aux Tréhu de Monthierry. Cette terre avait été grevée en 1660 par Marie de Bonnefosse, dame de la Tendrais, d'une rente de 126 livres an profit du couvent de Saint-François. L'hôpital Saint-Louis en bénéficia après la Révolution.

Les BUFFARDS ; au XVème siècle, aux Dorange ; en 1500, à Colas Sarcel ; en 1532 et 1553, à Raoul Sarcel ; en 1644, à Adrien Vivien ; en 1732, à Louise Longuet, qui porta cette terre à Julien Frontin.

La CHATTIÈRE ; en 1677, à Eusèbe Pelet ; au XVIIème siècle, aux Couyer ; au XIXème siècle, aux du Bois le Bon.

Lieu noble de la CHESNARDIÈRE ; en 1432, à Roland Galyot ; en 1434, à la déguerpie (Vve) de Michel Morel ; au XVIème siècle, aux Champion. Thomasse Champion porta la Chesnardière à François Harpin de Marigny dont la fille unique épousa Pierre de Malnoë. En 1593, cette terre fut confisquée par Mercœur. Au XVIIème siècle, aux Courtais ; puis par alliance aux Coustard et aux Couyer.

Lieu noble de la HAUTE-LAUDRONNIÈRE ; en 1515, à Geoffroy le Petard ; en 1642, à Antoine Chaussière ; en 1680, à Eusèbe Lelièvre de la Ville-Guérin ; au début du XIXème siècle, aux des Bouillons.

Prieuré d'INÉ (voir : les chapelles de la paroisse).

MARE-BOUILLON. Le nom vient probablement de Jehan Bouillon, mort en 1353. En 1575, à Jehan Le Meneust, du chef de sa femme, Françoise Guérin ; en 1642, à Michel Lemeneust ; au siècle dernier, aux Lemercier de Cure.

Lieu roturier des ORIÈRES, ou mieux des HORRIÈRES (Horrea : les granges — Le Bouteiller). C'était la grange du prieuré d'Iné et de celui de Laignelet. En 1412, à Guillemette du Crespy, veuve de Nicolas Bousset ; en 1434, à Thomas Pétuet ; en 1541, à Thomas Pétuet ; au XVIIème siècle, aux de la Villegontier qui y habitaient ; puis aux Reste jusqu'au XIXème siècle.

Le clos BULOT est signalé dès la fin du XIVème siècle.

BULOT : au XVIème siècle et au XVIIème siècles, aux Reste ; en 1715, à Jean Locquet ; en 1821, à Hippolyte Fournel.

La DORANGERIE : doit tirer son nom de Raoullin Dorange (XVème siècle), et semble avoir été possédée par les Dorange jusqu'en 1737 où François Fournel épousa Catherine Dorange. Les Fournel l'ont possédée jusqu'au XIXème siècle, mais à cette époque la terre n'était plus entière. Les Champs-Dorange, qui en avaient fait partie, appartenaient à M. Pierre, médecin.

(Emile Pautrel).

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