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SEIGNEURIE DE BAHUREL

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BAHUREL dans le pays de Redon

Bahurel est un nom de famille encore existant dans le Pays de Redon. Il est à remarquer que parmi les grées ou collines qui entourent Redon, plusieurs portent des noms de famille sans suffixe. Tel est le cas de Galerne, Laillé, Cado, Vial et Bahurel. Ce sont probablement des noms de meuniers restés attachés à leurs moulins.

Les premiers seigneurs de Bahurel furent les Guéguen, qui appartenaient à l'une des familles les plus considérables de Redon au XVème siècle. Jamet Guéguen, mort avant 1498, était sieur de Bahurel, Brillangault et les Chapelays, et officier de la maison du Duc. En 1465 il reçut des lettres ducales portant exemption de fouages et tailles de sa métairie de Brillangault en récompense de ses loyaux services (Note : Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, H. 176. Les dites lettres signées A. Gibon, secrétaire au duc). Par suite de cet exemption de fouage, il dut comparaître à la montre du 21 avril 1477 tenue à Vannes : il s'y fit représenter par Alain Apuril à cheval avec brigandine, salade, épée, dague et vouge. Lors de celle du 4 septembre 1481 tenue à Auray, il s'y rendit lui-même en tenue d'archer. Il épousa Jeanne Pailleul. On leur connaît au moins quatre enfants : - 1° Olivier Guéguen, sieur de Brillangault, mort sans postérité ; - 2° Jean Guéguen qui paraît être mort aussi lui sans postérité ; - 3° Bertranne Guéguen qui suit ; - 4° Jeanne Guéguen mariée avant 1507 à Louis Cotart, seigneur de Bocudon, dont postérité (voir Bocudon). « Noble. Demoiselle » Bertranne Guéguen, fut dame de Bahurel, Brillangault et les Chapelays. Elle était mariée dès 1498 à François Cotart, frère cadet de Louis, mari de sa soeur et fils de Guillaume Cotart et Jeanne Apuril, seigneur et dame de Bocudon. En secondes noces elle épousa, vers 1514, Guillaume du Plessix, seigneur du Plessix Saint-Dolay et de Villeneuve. Ils habitaient Bahurel en 1516 « avec leurs gens et famille ». Bertranne comparut en 1536 à la réformation des fouages de la paroisse de Redon, comme exempte de cet impôt et tenant Bahurel, Brillangaut et les Chapelays. Le 29 juin 1538 mandement ducal fut donné au premier huissier, à l'instance de Frère Yves Johannès, docteur en théologie, inquisiteur de la Foi, et de messire Guillaume Le Coustelier et Gilles de la Rivière, officiaux de Redon « quant à fin de prendre au corps messire Jean Couldebouc, alloué de Redon, Roland Couriolle, procureur audit lieu et Bertranne Guéguen, et les mener prisonniers à Redon pour vers eux procéder touchant le crime de sortige dont ils sont accusés » (Bibliothèque Nationale, F.F. 22.312). François Cotart et Bertranne Guéguen eurent au moins 7 enfants nés à Bahurel et baptisés à Redon, parmi lesquels il convient de citer Olivier Cotart qui suit et Jeanne Cotart baptisée le 18 avril 1511, mariée vers 1540 à Michel de la Touche, sieur de la Touche. Elle fut dame de Brillangault et de la Ville Happe dont postérité.

Olivier Cotart, sieur de Bahurel, épousa Guillemette Couldebouc, fille et héritière de Guillaume Couldebouc et de Jeanne Cecillon, sieur et dame du Tuel. Ils eurent, autre autres : - 1° Jeanne Cotart, baptisée le 12 novembre 1546, qui vivait encore célibataire en 1567 ; - 2° Louise Cotart, dame de Bahurel et du Tuel qui suit.

Louise Cotart, dame de Bahurel et du Tuel, épousa Jean de Clay, sieur de la Meslaie, qui appartenait à une famille noble de Fougeray qui possédait en cette paroisse la Meslaie, le Loray et la Venourie. Jean mourut avant 1593 ayant eu autre autres : - 1° Jeanne de Clay, dame de la Meslaie qui suit ; - 2° Perrine de Clay, mariée à Pierre Gauvain, seigneur de la Sauldraye avec lequel elle habitait, en 1595, le Rocher en Ercé près de Liffré ; - 3° Françoise de Clay qui habitait Bahurel la même année ; - 4° Catherine de Clay, célibataire en 1594.

Jeanne de Clay dite en 1582 héritière de la Meslaie, de Bahurel et du Tuel, habitait Bahurel en 1582 et 1584. Elle était femme en 1585 de Jacques de Charnières, écuyer, seigneur du Pont aux Roches, veuf d'Yvonne de la Houlle, dame de la Villebriend. Il appartenait à une famille noble du Maine qui portait pour armes d'argent à 3 merlettes de sable, et était homme d'armes de la compagnie du sire de Bouillé, lieutenant du Roi en Bretagne (Voir Dom Morice, M. 398). Après la mort de Jeanne de Clay, survenue en 1592, et ayant eu 6 enfants dont un seul survécut, une fille, qui était en 1594 sous la tutelle de son père, Jacques se remaria en troisièmes noces à Noëlle Perrinays, fille de Jean et de Marie Bibelet qui avait été baptisée à Redon le 26 juillet 1567 dont il eut au moins un fils.

A la mort de leur soeur Jeanne, Perrine, François et Catherine de Clay et leur beau-frère Jacques de Charnières, partagèrent les biens provenant des successions d'Olivier Cotart et Guillemette Couldebouc, leurs grands-parents. Bahurel échut à Perrine et Françoise. Alors Pierre Gauvain et sa femme Perrine de Clay, seigneur et dame de la Sauldraye, demeurant en leur manoir du Rocher en Ercé, et Françoise de Clay, demeurant à Bahurel, vendirent par acte du 28 septembre 1594, passé au Port de Redon (devant les notaires de Redon, Jean Brenugat et Sébastien Leliepvre) à sire Pierre Bibelet et Ysabeau Cacaret, sieur et dame de la Gaudichaye, demeurant au port de Redon, le manoir et la terre de Bahurel pour 1.200 écus d'or (Voir les Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 61 bis).

Quelle était cette famille Bibelet qui acheta Bahurel aux de Clay dont elle était parente ou alliée ? Le grand-père de Pierre Bibelet, vivant à la fin du XVème siècle, occupait une situation prépondérante dans la haute bourgeoisie de Redon. Son père, Yvon Bibelet, épousa vers 1550 Guillemette Pislart, dame de la Porte Pislart. Quant à lui, sieur de la Gaudichaye et de la Porte Pislart (en Redon), il était châtelain (intendant) de Rieux en 1580 et épousa en 1578, Ysabeau Cacaret, parente des de Forges et fille de Pierre Cacaret, sieur de la Sante en Glénac, et de Claude Le Marié, de la maison du Pont d'Oust. Ysabeau Cacaret avait une soeur, Françoise Cacaret, mariée par contrat du 21 juin 1588 à Jean du Bouexic, seigneur de la Driennays (Voir la Bibliothèque Nationale, F.F. Nouveau d'Hozier).

Pierre Bibelet fut procureur et administrateur de l'Hôpital de Redon. Par son testament du 1er décembre 1596 il donna aux pauvres une rente annuelle et perpétuelle de 8 écus sol et engagea pour en assurer le paiement la maison et dépendance de la Porte Pislart (Voir les Archives communales de Redon. Fonds de l'Hôpital).

Pierre Bibelet et Ysabeau Cacaret, sieur et dame de Bahurel, la Gaudichaye et la Porte Pislart eurent 8 enfants dont tous moururent en bas âge à l'exception d'Hélène qui suit.

Hélène Bibelet, baptisée le 8 décembre 1580, se maria deux fois : d'abord à Julien de la Bigotaye, sieur de Gavresac (en Avessac), veuf de Marie du Harel et fils de Pierre de la Bigotaye et de Julienne Guiho, dame de Scitz de Gavresac. Ledit Julien ayant été inhumé devant le maître autel de l'église d'Avessac le 11 septembre 1597, Hélène se remaria avant novembre 1598 à Jacques Jollan, sieur de Clerville, dont on va parler.

La famille Jollan qui existe encore est originaire du pays de Guérande et porte pour armes de gueules à un chevron d'argent accompagné en chef de 2 croissants et en pointe d'une étoile de même [Nota : Bibliothèque Nationale Mémorial d'Hozier, art. 328 (Bretagne). Le brevet sur parchemin signé d'Hozier fait partie des archives de la famille Jollan de Clerville sous le n° 28. Il porte comme mention : " réception et enregistrement des armes de la famille Jollan délivré à Pierre Jollan sieur de Clerville. Tout ce qui concerne ici les Jollan de Clerville est extrait de leur généalogie dressée par moi d'après leurs titres de famille, les actes paroissiaux, etc, etc, ...".]. Elle remonte au moins à Denys Jollan, né vers la fin du XIVème siècle et qui est cité à la réformation des fouages de 1426 à Guérande parmi les nobles gentilshommes habitant la rue Saint-Michel « ès fors bourg d'Evesque ». Le 24 juin 1433 le duc Jean V rendit un mandement en faveur de « noz bien amez feaulx Denis Jollan, Jehan et Thomasse Jollan ses enffans et Thomasse Le Moulnier femme dudict Jehan » portant anoblissement de tous leurs biens (original aux Archives de la Loire-Inférieure, B. 127). Citons aussi Jean Jollan, sieur de Crenigan, dont la soeur Perrine épousa Guillaume de Kercabus et dont la fille, Catherine de Kercabus, fut guérie miraculeusement par saint Vincent Ferrier à l'âge de 4 ans en 1452 (Voir l'Enquête pour la canonisation de saint Vincent Ferrier. Déposition de Jehan Jollan).

Comme beaucoup de familles nobles d'entre La Roche-Bernard et Le Croisic, les Jollan embrassèrent le calvinisme dès son apparition en Bretagne. Jean Jollan, seigneur de Bourlebo en Guérande, imitant ses parents, les seigneurs de Bouvran, se fit calviniste certainement, en partie du moins, sous l'influence de Pierre de Tournemine, baron de Camzillon en Piriac, dont il était officier. Il épousa en premières noces vers 1560 Jeanne Le Marié qui possédait des biens en Piriac et appartenait à la même famille que Claude Le Marié, femme de Pierre Cacaret, sieur de la Sante et mère d'Isabeau Cacaret, laquelle épousa, en 1578, Pierre Bibelet, seigneur de Bahurel.

Noble homme messire Jacques Jollan, sieur de Clerville, avocat en la Cour de Parlement de Bretagne était fils cadet de Jean Jollan, seigneur de Bourlebo et de Jeanne Le Marié. C'est lui qui continua la famille parce que son frère ainé, Daniel Jollan, sieur des Roches, n'eut que des filles et que Pierre Jollan, seigneur de Bouvran, n'eut pas postérité. Il fut baptisé à Piriac en octobre 1574 par le ministre protestant de cette paroisse, Perruquet, alors réfugié en Angleterre à la suite des événements de la Saint-Bar­thélemy, mais revenu tout exprès pour ce baptême qui se fit en assemblée secrète au château de Camzillon (Crevain, p. 164). Sa femme Hélène Bibelet mourut vers 1620, probablement à Gavre­sac ; alors Jacques Jollan se remaria vers 1625 à Marie de l'Estoc, calviniste comme lui, fille de Daniel de l'Estoc, sieur de la Va­chonnerie, greffier de la cour de Blain, et de Marie Geslin. Remar­quons à ce propos que les enfants de son premier mariage furent tous baptisés catholiques à Redon, et que ceux du second le furent protestants à Blain et que lui-même mourut protestant en 1631. D'Hélène Bibelet, il eut 13 enfants tous morts en bas âge à l'exception de Jeanne Jollan qui suit et de Sébastienne Jollan, baptisée à Redon le 16 septembre 1610, mariée par con­trat du 8 août 1629 à Philippe Le Corgne, seigneur de la Noë Haslé et de Launay, dont postérité. De Marie de l'Estoc il eut : - 1° Pierre Jollan, sieur de Clerville, lieutenant des Eaux, Bois et Forêts du marquisat de Blain, qui a continué la famille ; - 2° Suzanne Jollan, demoiselle de Clerville, née vers 1628, mariée le 9 décembre 1668 à Daniel Bouroeau, écuyer, sieur du Chesnevert, pasteur de l'église réformée de la Vieuville ; - 3° Renée Jollan, mariée à Blain, devant le ministre protestant, à Pierre Le Prince, écuyer seigneur de Malaquet, commandant d'une compagnie pour le service du Roi en Hollande.

Jeanne Jollan, baptisée à Redon le 3 août 1605, fut dame de Bahurel et de la Gaudichaye. Elle épousa par contrat du 2 janvier 1635 Augustin Guillemot, écuyer seigneur des Vaux, chef de nom et d'armes, fils et héritier principal et noble de Jacques Guillemot et Françoise de Quehaugant, seigneur et dame de la Rivière, d'une famille d'ancienne extraction du pays de Lamballe portant pour armes d'azur à un lion d'or, lampassé, couronné et accompagné de 3 molettes de même. Ils eurent 10 enfants dont quatre seulement semblent avoir survécu : - 1° Marguerite Guillemot, dame de Bahurel qu'elle habitait en 1669, mariée le 28 janvier 1672 à François Debray, sieur de la Dehannaye dont postérité ; - 2° Marie Guillemot qui habitait Bahurel en 1670 et 1677, dite dame du Tertre, célibataire ; - 3° Pierre Guillemot, écuyer seigneur de la Guérinais, chef de nom et d'armes, mort avant 1676 sans postérité ; - 4° Jean Guillemot qui suit.

Jean Guillemot, baptisé à Redon le 9 octobre 1646, écuyer seigneur de la Fesnaye, la Guerinaye, Bahurel et la Gaudichaye, habitait Bahurel en 1679. Il épousa à Casson, le 20 août 1686, Suzanne Prampart, dame des Liffaudières, laquelle mourut à Bahurel et fut inhumée à Redon dans l'église le 22 mai 1699. Son mari mourut aussi « à sa maison de Bahurel », le 17 décembre 1720 et fut inhumé le lendemain dans le choeur de l'église.

Bonne Constance Guillemot, leur fille unique et héritière, fut mariée le 25 novembre 1705 à René-Joseph Rado, fils de François Rado et Perrine Coué, seigneur et dame du Matz, baptisé à Caden, le 17 juin 1670, et qui se qualifiait seigneur de Tréhuen (en Arzon) et de Coetmenach. Ils habitèrent Bahurel, où René-Joseph mourut le 12 octobre 1733 ; il fut inhumé le lendemain « en présence de plusieurs personnes et les bourgeois et marchands du port, de la ville et des faubourgs ». Sa femme avait été inhumée dans la même église le 28 novembre 1716. De ce mariage issurent 8 enfants, entre autres : - 1° Jeanne-Françoise Rado, dont on parlera plus loin ; - 2° Marie Rado, dame de Tréhuen, née le 9 août 1711, mariée le 24 septembre 1749, à Saint-Jacut, à messire François-Louis-Nicolas de Kersauson, chevalier seigneur de Kerjan, officier d'infanterie. Elle mourut veuve à Bahurel, le 14 juin 1782, laissant un fils François-André-Joseph-Rémy-Marie de Kersauson de Kerjan, baptisé à Rochefort-en-Terre le 20 octobre 1752, qui fut prêtre et mourut en sa demeure, faubourg Notre-Dame à Redon, le 6 mars 1808 ; - 3° Renée-Gillette Rado, qui ne paraît pas s'être mariée et vivait en 1749 ; - 4° Julienne-Marie Rado, vivante en 1732 ; - 5° Andrée Rado, dame du Rilin, baptisée le 9 février 1715, mariée à Rieux, à Messire Jean-François de Kersulguen, chevalier, originaire de Trédarsec, évêché de Tréguier, morte à sa maison de la Fouaye, en Saint-Jacut, et inhumée le 24 septembre 1771, sans postérité [Note : Le mariage a eu lieu le 19/11/1755 à Rieux. Lui, il est né le 16/06/1709 à Trédarzec (22) et baptisé le 20, fils de François Claude (écuyer) et de Anne Gilette Le Moine, Sieur et Dame du Penher. Jean-François de Kersulguen s’est remarié le 27/10/1772 à Morlaix (29) à la paroisse Saint-Mathieu avec Marie Jeanne Thomase De Coetanlem de Landerneau (29). Ils ont eu des enfants à Morlaix et ont été baptisés à la paroisse de Saint-Martin].

Jeanne-Françoise-Marie Rado, aînée, fut dame de Bahurel. Baptisée le 24 août 1706, elle épousa, le 7 septembre 1728, messire Joseph Lambart, chevalier seigneur du Plessis-Rivaud, en Allaire, fils de Louis Lambart et de Jeanne de Lentivy (pour la famille Lambart, voir Lanruas). De ce mariage sont issus au moins cinq enfants, parmi lesquels nous citerons, les autres étant décédés jeunes : - 1° Marie-Hyacinthe Lambart qui se maria deux fois et n'eut pas postérité de ces deux mariages. En premières noces elle épousa, le 26 janvier 1763, en la chapelle Saint-Barthélemy de Redon, messire Augustin de Paignon, écuyer seigneur du Rozay en Redon, lequel fut inhumé le 13 décembre 1776, en secondes, le 3 mai 1782, messire Ambroise d'Osmond de Centeville, fils du seigneur de Lanruas, en Redon, morte le 18 nivôse an VII ; - 2° Marie-Anne Lambart, née au Plessix-Rivaud, le 6 mars 1733, dont on va parler ; - 3° Joseph-René de Lambart, chevalier seigneur du Plessix-Rivaud et de Bahurel, baptisé à Allaire le 26 octobre 1734, officier au régiment de Poitou, mort le 19 mars 1782 sans postérité.

En 1802, Marie-Anne Lambart seule survivait. Le 24 floréal an X (1802) elle fit donation de ses biens (Bahurel et le Plessis-Rivaud) à ses héritiers, c'est-à-dire aux Le Provost de la Voltais représentant les Lambart du Plessix-Rivaud et à son cousin germain, l'abbé de Kersauson, représentant les Rado de Bahurel. Puis elle entra en religion sous le nom de Soeur Marie de Saint-Joachim de Lambart, de l'ordre de N.-D. de Charité, au Petit Couvent de Vannes, où elle était professe depuis 1763 et où elle mourut le 23 décembre 1810.

L'abbé de Kersauson ne garda pas longtemps Bahurel qu'il vendit, le 23 prairial an XIII (1805), à Alexandre-René-François Rozt qui portait d'argent à 6 boutons de rose au naturel 3. 2. 1., et fut conseiller général d'Ille-et-Vilaine. (R. de Laigue). 

Nota : texte actualisé et modifié par rapport au texte original. 

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