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Les personnes et les choses du Quiou sont qualifiées de l'adjectif quiouaien (J O, 22 octobre 1931).
Au milieu du XIIème siècle, la chapelle Notre-Dame du Quiou (capella Sancte Marie de Caihou) était en Plouasne, d'après une charte du prieuré Saint-Malo de Dinan. Dès le XVème siècle, la Quiou était devenu une paroisse distincte, dans le diocèse de Saint-Malo. Le première municipalité y fut élus au début de 1790.
Des deux monuments cités ici, seul le premier a fait l'objet d'une mesure de protection :
1) Le château du Hac (XVème et XVIème siècles), inscrit sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques le 24 février 1926 ;
2) La chapelle de Tréveleuc, où il reste une porte du XVIème siècle.
Voici quelques événements qui ont marqué l'histoire du Quiou :
1) Le 25 mars 1796, René Garnier, "curé d'office" du Quiou (c'est-à-dire recteur intérimaire de cette paroisse) fut assassiné par les colonnes mobiles ;
2) Le 18 juillet 1944, le château d'eau du Quiou a été détruit par une explosion ;
3) Au début de 1975 ont été fermés les fours à chaux du Quiou, exploitant les calcaires de Tréfumel (voir la notice de Tréfumel).
(Bulletin d'informations des maires).
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