Web Internet de Voyage Vacances Rencontre Patrimoine Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Bienvenue !

LES GRACES DE NOTRE-DAME DE DELIVRANCE

  Retour page d'accueil       Retour Ville de Quintin   

Boutique de Voyage Vacances Rencontre Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Boutique de Voyage Vacances Rencontre Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

GRÂCES ACCORDÉES PAR NOTRE-DAME DE DÉLIVRANCE DE QUINTIN.

Quintin : Notre-Dame de Délivrance

Depuis la grande manifestation du 4 mai 1873, le culte de Notre-Dame de Délivrance et de la Ceinture de la sainte Vierge n’a cessé de se développer. 

A partir de ce jour béni, la vieille madone du porche de la Collégiale a été l’objet de la dévotion la plus fervente ; aucun fidèle ne sortait plus de l’église sans la saluer par les trois Ave Maria recommandés par le Souverain Pontife. Elle est redevenue la confidente dans toutes les douleurs, la conseillère dans toutes les difficultés, l’objet de l’action de grâces dans toutes les joies.

Presque à chaque heure du jour, quelque pieux chrétien était agenouillé à ses pieds, et les cierges, entretenus devant elle par la dévotion et la reconnaissance, ne se sont point éteints un seul jour. 

Deux quenouilles chargées de lin ont été placées auprès de la sainte image, et les jeunes filles de la ville, comme autrefois leurs mères et leurs aïeules, se sont appliquées avec une foi naïve à filer un écheveau de fil pour Notre-Dame de Délivrance, toutes les fois qu’elles avaient une grâce à obtenir de la Reine du Ciel.

Quand on pénétrait dans la Collégiale, la présence de la sainte relique était indiquée à l’autel de la sainte Vierge par des lampes constamment allumées. Plusieurs d’entre elles sont retenues à perpétuité par la piété de fidèles, redevables de quelque bienfait signalé à Notre-Dame de Délivrance ; les autres étaient allumées pour quelques jours seulement, d’ordinaire à l’occasion d’une neuvaine à la sainte Vierge.

Sur l’autel, à la place du tabernacle, une armoire d’une forme artistique quoique sévère, oeuvre d’un sculpteur quintinais, renfermait le reliquaire de la sainte Ceinture. Au-dessus du reliquaire apparaissait une belle statue de Notre-Dame de Délivrance en argent, offerte par la piété des fidèles et la générosité d’une noble dame, dont Quintin n’oubliera jamais les bienfaits. De riches candélabres, chargés constamment de cierges allumés, complétaient la décoration de l’autel. Chaque mois, des messes fondées à perpétuité et annoncées au prône de la grand'messe, étaient célébrées à l’autel de la sainte Vierge pour les fondateurs et tous ceux qui se recommandent à Notre-Dame de Délivrance ; et on devait donner avec le temps plus de solennité à ces pieuses réunions.

Le culte de notre sainte relique n’est pas resté enfermé dans nos murs. Les rubans bénits et mis en contact avec la Ceinture de Marie ont été de plus en plus recherchés et ont produit au loin des grâces signalées, dont quelques-unes peuvent être appelées à bon droit de véritables miracles. Les plus nombreuses et les plus éclatantes ont été opérées en faveur de femmes enceintes ou d’enfants arrivant à la vie. Entre plusieurs faits de ce genre, nous citons comme au hasard les suivants, arrivés à des personnes dont nous pourrions dire les noms.

A Landerneau, une pauvre jardinière avait eu le malheur d’accoucher à plusieurs reprises d’enfants mort-nés. Enceinte de nouveau, elle tremblait, convaincue qu’une semblable infortune la menaçait encore, lorsque sa maîtresse lui donna une ceinture bénite à Quintin, en l’exhortant à avoir confiance dans la sainte Vierge. La pauvre femme prit le ruban ; mais elle n’osa demander à Marie qu’une seule grâce, que son enfant pût recevoir le baptême à l’église. Deux jours après, elle était prise des douleurs de l’enfantement. Deux médecins, appelés auprès d’elle, s’en allèrent, persuadés qu’un malheur était imminent et avouant que leur science était impuissante. Seule, la pauvre femme ne se lassait ni d’espérer, ni de prier, toujours dans la même intention. L’enfant naît enfin, mais presque expirant. On s’empresse de l'ondoyer sur-le-champ ; mais la mère, convaincue que la sainte Vierge lui accordera certainement sa demande, exige qu’il soit porté aussitôt à l’église. On accède à ses désirs, quoiqu’on ne doutât pas que l’enfant ne mourût en chemin. On arriva cependant à l’église ; le prêtre eut le temps de suppléer à toutes les cérémonies du baptême ; mais à peine avait-il achevé que l’âme de ce petit innocent s’en allait au ciel remercier Marie de lui avoir procuré le bonheur éternel. La mère se remit promptement et remplie désormais d’une confiance entière dans sa ceinture bénite, elle la garda soigneusement et la prit dès les premières annonces d’une nouvelle grossesse. Elle ne douta pas cette fois que la sainte Vierge ne lui fît mettre au monde un enfant viable. Sa foi n’a pas été trompée. Elle a eu une fille très vigoureuse, dont la santé parfaite console ses parents de leurs malheurs passés.

Près de Pont-Labbé, une paysanne avait failli périr dans ses deux premières couches. Les troisièmes s’annonçaient terribles et, d’après toutes les probabilités humaines, la pauvre mère devait y laisser la vie. Une jeune dame du voisinage lui prêta une ceinture bénite à Quintin, qui fut reçue comme gage d’une protection assurée de Marie. Cette foi simple eut sur-le-champ sa récompense. L’enfant et la mère furent sauvés.

Célestine Le Forestier, femme de Charles Rescourio, demeurant à Pontivy, avait eu cinq enfants tous mort-nés ; et à chacune de ses couches, sa vie avait été en grand péril. Quand elle devint enceinte pour la sixième fois, les médecins ne lui dissimulèrent pas le danger que courait sa vie. La pauvre femme était dans l’état d’anxiété la plus cruelle, lorsqu’une personne pieuse, émue de compassion envers elle, lui donna une ceinture de la sainte Vierge, bénite à Quintin. Célestine la reçut avec la foi et la consolation la plus vive, comme un gage certain d’une protection assurée du ciel. Sa confiance ne fut pas trompée. Quelques semaines après, elle mettait heureusement au monde une petite fille pleine de vie et de santé ; elle recouvra elle-même promptement ses forces et fut en état de nourrir et soigner seule son enfant.

L’envoi des ceintures bénites est fait d’ordinaire par M. le Curé de Quintin, par de pieuses zélatrices ou par les Soeurs du Saint-Esprit, qui dirigent le bureau de bienfaisance. Par les mêmes intermédiaires, des offrandes, presque toujours modestes mais très nombreuses, sont arrivées de tous les points de la France, comme actions de grâces à Notre-Dame de Délivrance. Un jour, c’était une noble dame qui envoyait cent francs du fond du Dauphiné ; une autre fois, c’était une jeune femme qui faisait remettre à Notre-Dame de Délivrance un louis d’or, premier cadeau que venait de recevoir son fils nouveau-né. L’envoi était accompagné d’une lettre touchante, dans laquelle la jeune mère racontait qu’ayant eu le malheur de perdre ses deux premiers enfants, à l’heure même de leur naissance, elle était sous le coup d’une angoisse indicible, quand elle se vit enceinte pour une troisième fois. Elle était convaincue qu’elle perdrait son enfant et succomberait elle-même. Les Soeurs du Conquet, sa paroisse, lui procurèrent une ceinture. « Je l’ai reçue, écrivait-elle, comme un gage assuré de la protection de la sainte Vierge ; aussi, dès ce moment, remplie de confiance en la ceinture que je portais, je ne craignais plus ni pour moi ni pour mon enfant. Je n’ai pas été trompée. J’ai conservé cet enfant pour lequel j’avais tant pleuré. Depuis j’en ai eu encore un autre, beau et fort comme son frère. Je ne puis être assez reconnaissante envers Marie, ma bonne Mère ».

Notre-Dame de Délivrance ne s’est pas seulement montrée secourable pour une seule des infirmités humaines. Sans parler des grâces spirituelles qu’elle accorde sans cesse à ses clients, nous pourrions relater des faits, dans lesquels il est difficile de ne pas voir une protection de Marie. En 1879, un jeune homme, né à Pontivy, mais habitant Paris, avait été pris, à la suite d’une maladie aiguë, de douleurs violentes dans tous les membres et souffrait le martyre. Il revint dans sa ville natale auprès de sa mère ; mais ni les soins dévoués de celle-ci, ni la science de trois médecins ne purent lui procurer aucun soulagement. Une personne pieuse, qui propage avec zèle la dévotion à Notre-Dame de Délivrance, parla à la mère de la précieuse ceinture, comme d’un remède qui réussissait souvent après l’application inutile des moyens humains. Le jeune homme refusa d’abord de s’en servir ; mais, à la suite d’une nuit plus douloureuse que les autres, il réclama de lui-même la ceinture. Les douleurs se calmèrent immédiatement ; au bout de quelques jours, le jeune homme put retourner à Paris et reprendre ses occupations, à la grande surprise des médecins qui ne comprenaient rien à cette amélioration subite. En partant, il voulut emporter sa ceinture ; depuis il ne l’a jamais quittée et sa santé s’est toujours maintenue parfaite.

A Saint-Brieuc, une pieuse mère, Mme P..., a l’habitude de faire porter à ses enfants en bandoulière sous leurs vêtements, la ceinture de la sainte Vierge. L’un d’entre eux, âgé de six ans, avait la vue tellement faible qu’il ne pouvait se diriger seul. Un jour, trompant la vigilance de sa mère, il s’était échappé dans la rue Saint-Gilles, lorsqu’une charrette pesamment chargée le renversa à terre et une des roues du lourd véhicule lui passa sur le corps. Ce ne fut qu’un cri parmi toutes les personnes qui virent cet accident ; on croyait l’enfant mort. La mère elle-même arrivait en tremblant. Quelle ne fut pas sa surprise de trouver son fils sain et sauf ? Ses habits étaient sales et déchirés, mais il n’avait pas la plus légère contusion. En le déshabillant, l’heureuse mère vit seulement une marque rouge qui indiquait sur l’épaule de son fils la trace de la roue de la charrette ; mais à cet endroit même, l’enfant portait la précieuse-ceinture, qui avait amorti le coup et lui avait sauvé la vie.

Une jeune fille âgée de quatorze ans, était élevée à Rennes, dans le pensionnat de Saint-Laurent, tenu par les Dames de Saint-Thomas-de-Villeneuve. Vers la fin de novembre 1877, le mauvais état de sa santé la fit rentrer dans la maison paternelle. Une fièvre typhoïde se déclara presque aussitôt, avec les symptômes les plus alarmants. La jeune malade perdit complètement connaissance, au point qu’elle se croyait toujours au pensionnat et ne reconnaissait pas ses parents. Le vendredi 19 décembre, elle entra en agonie, sans que sa mère s’en aperçût. On croyait qu’elle reposait, lorsqu’une voisine, venant pour voir la malade, s’approche de son lit et voit la sueur de la mort qui perlait déjà sur son front. « Allez vite chercher le médecin », dit-elle aux parents abusés. Le père y courut ; à peine le docteur fut-il arrivé qu’apercevant le danger, il conseilla de faire venir sans retard le prêtre : « la malade, ajouta-t-il, ne passera pas la nuit ». Informée de l’état désespéré de sa chère élève, la supérieure du pensionnat de Saint-Laurent, qui est quintinaise, lui envoya immédiatement une ceinture de la sainte Vierge, bénite à Quintin. On la mit sur l’enfant vers six heures du soir.

Aussitôt la malade parut plus calme ; cependant la nuit se passa dans de cruelles anxiétés pour tous ceux qui l’entouraient, lorsqu’à quatre heures du matin, la jeune fille appela sa mère et lui demanda à manger. La connaissance lui était revenue et elle mangea sans être incommodée. Grâce à la protection de la sainte Vierge, le danger avait disparu et bientôt elle fut complètement guérie.

Si nous pouvions dresser ici la liste des clients de Notre-Dame de Délivrance, au moyen des lettres qui demandent des prières ou des actions de grâces ; à côté d’humbles paysannes, nous devrions inscrire plusieurs des noms les plus illustres de l’aristocratie française. Des médecins, des magistrats, des officiers de terre et de mer ont foi dans la protection de notre sainte Relique aussi bien que les pauvres tisserands de Quintin. Puissent ces pages voler bien loin de notre cité pour répandre de plus en plus le culte de notre sainte Patronne ! Puisse leur lecture inspirer à ceux qui souffrent, à ceux qui désespèrent de recourir avec confiance à Marie, si justement appelée le Salut des infirmes, le Refuge des pécheurs, la Consolation des affligés !

Le voeu de 1871 a été pleinement accompli, avec un élan de piété et une magnificence qui a dépassé toutes les espérances. Notre-Dame de Délivrance a sa fête et la précieuse Ceinture, son reliquaire ; cependant la piété des Quintinais n’était pas satisfaite. A chacune des fêtes solennelles du premier dimanche de mai, la vieille Collégiale paraissait de plus en plus pauvre, délabrée, insuffisante pour le chiffre de la population, indigne en un mot de la précieuse relique qu’elle abritait. Le désir de tous était de la remplacer par un édifice consacré sous le vocable de Notre-Dame de Délivrance et de n’épargner aucun sacrifice pour cette nouvelle et pieuse entreprise.

Appelé à succéder en 1875 à M. l’abbé Guillemot, dans la cure de Quintin, M. l’abbé Gilbert Blanchet, comptant avec raison sur le concours d’une administration intelligente et chrétienne, s’est mis courageusement en avant pour cette grande oeuvre. Son appel a été entendu tout d’abord par les descendants de la famille ducale de Lorge-Quintin, qui, des prérogatives de leurs pères, ne réclament que l’honneur de prendre une large part à toutes les bonnes oeuvres de la ville et de la contrée. Il est inutile de citer des noms vénérés de tous et qui rappellent les plus hautes vertus et d’héroïques sacrifices.

La population quintinaise répondit avec un admirable élan à l’exemple du don princier de cette noble famille : conseil municipal, Fabrique de l’église, propriétaires, commerçants, ouvriers, jusqu’aux plus pauvres habitants, tous voulurent apporter leur pierre au sanctuaire de Notre-Dame de Délivrance. La Vierge Marie a vu à ce moment du haut du ciel des actes d’amour et d’admirable générosité, qui suffiraient à eux seuls pour assurer à toujours sa bénédiction à notre cité.

Quintin : M. Le chanoine Blanchet

Un jour, l’antique Collégiale fut démolie ; seule la vieille tour resta debout et ses cloches appelèrent encore les fidèles à la prière. La chapelle de Notre-Dame de la Porte, sauvée de la profanation, devint l’abri provisoire de la paroisse : la Ceinture de la Sainte Vierge, son reliquaire, la statue d’argent de Notre-Dame de Délivrance, la vieille madone du porche, toutes ces choses saintes, qui sont comme le palladium de notre cité, trouvèrent leur place dans ce vieux sanctuaire, rendu à la prière, grâce à un nouveau et généreux sacrifice.

Les fondements de la future église furent jetés dans le sol ; malgré des difficultés pénibles et inattendues, la foi des habitants de Quintin ne se démentit pas un seul instant, et la génération qui a voulu la construction du sanctuaire de Marie a réalisé ses désirs.

Les plans avaient été dressés par un habile architecte, M. A. Baillargé, connu par le projet magnifique de restauration de saint-Martin de Tours. Ce fut M. Th. Maignan qui les exécuta, avec M. Yves Bellec comme entrepreneur.

Le 6 mai 1883, l’évêque de Saint-Brieuc, Monseigneur Bouché, bénissait solennellement la prière principale ; quatre ans après, le nouvel édifice, était achevé. Le jeudi 11 août 1887, M. le chanoine Blanchet, curé-doyen, avait la grande joie de le bénir, comme délégué de l'Evêque, et le Saint Sacrement, escorté par une foule pieusement émue, quittait l’église provisoire pour prendre possession de sa demeure définitive.

Bâtie sur les fondations mêmes de la vieille Collégiale, l’église de Notre-Dame de Délivrance en rappelle les dispositions principales. A l’entrée, sur le tympan intérieur du porche, l’image de la Reine de la cité, tenant une quenouille à la main, se détache sur un fond d’or en mosaïque. Celle que l'Eglise se plaît à invoquer comme la Porte du ciel, Janua cœli, semble placée là pour attendre ses visiteurs et les introduire près de son divin Fils.

En franchissant le seuil du temple, par delà le maître-autel où réside l'Hôte divin de nos tabernacles, le pèlerin aperçoit au fond de l’abside, sur un autel somptueux en marbre blanc, le reliquaire de la précieuse Ceinture, surmonté de la statue de Notre-Dame de Délivrance, et sa première prière est comme nécessairement pour la patronne principale de l’église et de la cité.

Saint Thurian a conservé, lui aussi, les droits que lui assure son ancien patronage ; son autel se voit, du côté de l'Evangile, dans le transept nord, faisant face aux fonts baptismaux.

La dévotion à sainte Anne si chère à nos aïeux, les dévotions au Sacré-Coeur et à saint Joseph qui sont la gloire et la consolation particulière de notre temps, ont à juste titre trouvé place dans le nouvel édifice.

Quintin : Statue de Notre-Dame de Délivrance

Statue de Notre-Dame de Délivrance portée en procession.

C’est ainsi qu’à force de sacrifices et de prières, les pieux fidèles de Quintin ont vu aboutir cette sainte entreprise conçue dans un véritable amour de Dieu et de Marie. Et enfin est venu le jour solennel [Note : Annoncée plusieurs mois à l’avance par S. G. Monseigneur Serrand, Evêque de Saint-Brieuc et Tréguier, la consécration de l’église de Notre-Dame de Délivrance a été fixée au dimanche 5 octobre 1930. Les évêques originaires du diocèse, heureux de donner à notre madone, vénérée un témoignage de leur filiale dévotion, ont accepté de participer à l’imposante cérémonie, de consacrer les six autels, et de présider la grande procession mariale, l’après-midi, à travers les rues de la ville] où le Pontife du Seigneur oint avec le saint chrème les murailles du nouveau sanctuaire et en consacre les autels. Avec quels sentiments de reconnaissance tous redisent la prière que l’ancien peuple d'Israël, par la bouche de son roi, adressait à Dieu au jour de la dédicace du Temple : « Soyez béni, Seigneur, qui avez donné la paix à votre peuple, selon votre promesse. Soyez avec nous, Seigneur, notre Dieu, comme vous avez été avec nos pères, ne nous abandonnant pas, ne nous rejetant pas de votre face. Inclinez nos coeurs vers vous, afin que nous marchions dans toutes vos voies, que nous conservions vos commandements, votre culte et tout ce que vous avez ordonné à nos pères ; que les paroles de cette prière que nous faisons devant vous, Seigneur, vous soient présentes nuit et jour, afin que chaque jour vous fassiez justice à vos serviteurs et à votre peuple. Amen ».

[Note : Benedictus Dominus qui dedit requiem populo suo Israel, juxta omnia quae locutus est. Sit Dominus Deus noster nobiscum, sicut fuit cum patribus nostris, non derelinquens nos, neque projiciens ; sed inclinet corda nostra ad se, ut ambulemus in universis viis ejus, et custodiamus mandata ejus, et caeremonias ejus et judicia quiaecumque mandavit patribus nostris. Et sint sermones mei isti, quibus deprecatus sum coram Domino, appropinquantes Domino Deo nostro die ac nocte, ut faciat judicium servo suo, populo suo Israel per singulos dies. (III Reg. VIII 26-59)] (Alphonse Guépin).

 

Quintin : Couronnement de Notre-Dame de Délivrance

 

Quintin : Couronnement de Notre-Dame de Délivrance

 

Quintin : Couronnement de Notre-Dame de Délivrance

 

Quintin : Couronnement de Notre-Dame de Délivrance 

 © Copyright - Tous droits réservés.