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PLOUZELAMBRE

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La commune de Plouzélambre (bzh.gif (80 octets) Plouzelambr) fait partie du canton de Plestin-les-Grèves. Plouzélambre dépend de l'arrondissement de Lannion, du département des Côtes d'Armor (Trégor - Bretagne).

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de PLOUZELAMBRE

Plouzélambre est pour Plou-Zélambre et signifie paroisse de Zélambre. Saint Sylvestre (saint, pape du IVème siècle) a été substitué à Saint Zélambre au patronnage de la paroisse de Plouzélambre.

Plouzélambre est une ancienne paroisse primitive qui englobait autrefois les territoires de Saint-Michel-en-Grève et de Tréduder (érigé en succursale le 2 août 1843). Une tradition prétend que sur l'intervention de saint Gildas, saint Sylvestre serait venu délivrer la paroisse de Plouzélambre d'une épidémie de rage. La paroisse de Plouzélambre a élu sa première municipalité au début de 1790. Le nom de la commune s'est fixé sous la forme actuelle à partir de 1800 environ.

L'ancienne paroisse de Plouzélambre dépendait de l'évêché de Tréguier, de la subdélégation de Lannion et du ressort de Morlaix. La cure était à l'alternative.

On rencontre les appellations suivantes : Ploeselembr (fin XIVème siècle), Ploesellembre (en 1426 et en 1444), Ploeselembre (en 1440), Plouzelempre (XVIIème - XVIIIème siècle), Plouzelembre (en 1731).

Voir aussi la situation de la paroisse de Plouzélambre durant la Révolution.

Note 1 : la commune de Plouzélambre est formée des villages : Kermadec-Izellan, Kermadec-Huellan, Bodo, Bras, Pen-an-Oern, Kerouaslé, Run-an-Glugar, Kerguereven, Kervegant, Kermeur, Kermabilon, Kercaradec, Kerbavé, Croas-Martin, Run-an-Gazel, Guern-an-Vézec, le Roudour, Keroudot, Toul-an-Lan, Toul-an-Groas, etc....

Note 2 : Liste non exhaustive des recteurs de PLOUZELAMBRE : Noble Yves Oget, jusqu’en 1720. - François Calvez (à partir de 1720), recteur de Loguivy-les-Lannion. - Jean le Montréer, jusqu’en 1764. - Jean le Montréer (à partir de 1764), neveu du précédent, etc ....

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PATRIMOINE de PLOUZELAMBRE

L’EGLISE de Plouzélambre et les CHAPELLES de Saint Siméon et de Saint Mélar.

Chapelle Saint-Mélar. Saint-Mélar, de même que la plupart des saints de la Bretagne, n’a jamais été canonisé à Rome. On le confond à tort avec Méloir, abbé, que la paroisse de Tréméloir, dans l’arrondissement de Saint-Brieuc, a pris pour patron. Mélar ou Mélair était fils de Méliau et de la princesse Aurèle. Il avait pour oncle Rivod, assassin de son père, et qui bientôt devait être aussi le sien, après l’avoir affreusement mutilé. En effet la légende rapporte que Rivod ayant plusieurs fois tenté inutilement d’empoisonner son neveu, envoya une troupe de forcenés pour le tuer. Mais ceux-ci, vaincus par les larmes de la mère et par la résignation du jeune prince, se contentèrent de lui couper la main droite pour l’empêcher de manier à l’avenir une épée, et le pied gauche pour qu’il ne pût plus monter à cheval : c’était le rendre impuissant à régner. Mélar, qui était très pieux, faisait toujours le signe de la croix sur les aliments qu’on lui servait, ce qui dit la légende, rendit vaines toutes les tentatives d’empoisonnement. Mélar, ainsi mutilé, se retira dans le monastère de Quimper, où on lui fit faire un pied d’airain et une main d’argent, dont il se servit si bien, qu’il surpassa en adresse les guerriers les plus expérimentés. Comme la majorité du prince approchait et que les mutilations dont il avait été l’objet n’avaient fait qu’augmenter l’affection des Domnonéens pour lui, Rivod résolut de s’en débarrasser pour toujours. Il gagna à force de promesses et d’argent, le comte Kerioltan et son fils nommé Justin. Ces deux misérables s’introduisirent dans le château où Budic gardait le jeune prince, et lui tranchèrent la tête. Justin se rompit le cou en cherchant à fuir, mais son père parvint jusqu’à Rivod et lui remit la tête de Mélar ! Trois jours après, Rivod pris d’un accès de frénésie, expirait en écumant de rage, et Kerioltant, monté sur une colline pour embrasser du regard, dans toute son étendue, la seigneurie qui lui avait été donnée comme récompense de son forfait, perdait tout à coup la vue. La chapelle Saint-Mélar, dite Runan-Belard. — Petit édifice rectangulaire portant l'inscription : FAICT 1623. Fermé sous la Révolution, il fut rouvert au culte le 11 prairial an III. Statues anciennes de saint Melar, en roi, tenant sa main coupée ; sainte Vierge, saint Cadeau (sic) et poutre de gloire avec Crucifix.

Plouzélambre : chapelle Saint-Melar

 

Plouzélambre : chapelle Saint-Melar

 

Plouzélambre : chapelle Saint-Melar

Plouzélambre : chapelle Saint-Melar

Plouzélambre : chapelle Saint-Melar

   

Eglise Saint-Sylvestre. Edifice des XVème et XVIème siècles comprenant une nef avec bas côtés de cinq travées et demie et une partie droite correspondant à la tour, à la chapelle des fonts et au porche. Il date de plusieurs époques. Le chevet est du XVème siècle, la nef en partie du XVIème siècle, époque dont datent également les deux porches, le clocher de 1753. Il a été profondément modifié à la fin du XVIIIème siècle à la suite de l'expertise de Félix Anfray, qui dressa le devis des réparations le 17 juillet 1781, devis qui jugeait indispensable la suppression des deux chapelles en ailes, ce qui fut exécuté en 1787. Il a été à nouveau réparé en 1901. Sur la sacristie, inscription : THOMAS. Rr., 1824 - M. HENRY. Tr. Au sud, porche avec chambre d'archives du XVIème siècle, dans la longère nord, deux fenêtres à meneaux portant des quartefeuilles, et une litre funèbre aux armes des Kerveleguen et des Kérampuil - Kerbavé. Cette église renferme un beau retable de la Renaissance en bois sculpté, relégué dans un coin : il est divisé en sept groupes représentant des scènes de la Passion et chaque personnage à quarante centimètres de hauteur. Dans le cimetière on trouve un élégant ossuaire du XV-XVIème siècle, avec balustres et colonnes en granit, ayant au fond un autel en pierres, une croix à fût très élevé de la même époque : la hampe supporte quatre personnages taillés dans le même bloc. Une croix presque semblable existe sur la route du Pontou. L'église de Saint-Sylvestre a été restaurée en 1781-1787 puis en 1901. Le retable du maître-autel date de 1675. L'église possède une cloche à inscription armoriée de 1773. Le porche principal (XVème siècle), le calvaire et la clôture du cimetière ont été inscrits sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques le 22 janvier 1927 " Mobilier : Maître-autel portant sur le retable l'inscription Y. GUILLAUME, RECTEUR. 1675. Chaire du XVIIème siècle avec panneau représentant la défaillance de la sainte Vierge ; aigle de lutrin du XVIIème siècle ; fonts Renaissance ornés de godrons ; sta­ues anciennes de la sainte Vierge, saint Sylvestre, saint Yves, saint Siméon, saint Jean évangéliste ; chandelier pascal en bois de style XVIIIème siècle et, au bas de l'église, bénitier portant la daté de 1838. Cloche portant un écusson bandé de six pièces avec franc canton (sans doute Lezormel) et l'inscription suivante : « L’an 1773, Messire J. C. de Lisormel, Recteur de Ploumiliau, syndic du Clergé, et Messire Jean Le Montréer, Recteur de Plouzelambre. Eté nommé par Mre Marie du Bahuno, marquis du Liscoët et Haute et puissante Dame Marie Claude du Cleuz du Gage, comtesse de Lanascol ». Dans le cimetière, ossuaire du XVème siècle avec statues anciennes : Crucifix, Pieta, sainte Anne avec la sainte Vierge et l'Enfant " (R. Couffon).

Eglise de Plouzélambre (Bretagne)

Voir aussi   Plouzélambre " Description de l'église de Plouzélambre "

Un oratoire (oratoire Saint-Sylvestre) en granit, composé d'une voûte portée sur quatre colonnes, nommé le Reposoir (XVIème ou XVIIème siècle). Dans l'oratoire ont été incorporés des matériaux plus anciens, entre autres deux piliers (XVème siècle). Classé monument historique le 24 novembre 1930.

L'oratoire Saint-Sylvestre de Plouzélambre (Bretagne).

 

L'oratoire Saint-Sylvestre de Plouzélambre (Bretagne).

 

L'oratoire Saint-Sylvestre de Plouzélambre (Bretagne).

   

RUN-AR-BELAR (colline de Mélar) tire son nom de sa proximité de la chapelle dédiée à saint Mélar (chapelle de Runan-Bélard de 1623). Ce manoir était terre noble et le moulin du même nom en dépendait.

KERVEGUEN, haute justice, appartenait à la famille du Lude ou de la Lande, dont les armes étaient : d’argent à trois cotices de gueules, au franc canton de même. Cette maison a fourni un capitaine de Morlaix sous les ducs de Bretagne. Du château de Kerveguen, il ne reste plus qu'un pignon en granit, décoré de crosses, et dont les ramparts reposent sur des lions (XVIème siècle). Près de l'ancien château de Kerveguen, on peut voir les ruines d'une villa gallo-romaine. Les Kerveguen portaient le titre de fondateur de l'église où ils avaient une chapelle, jusqu'en 1787.

Ruine du château de Kerbavé ou Kerpavé  (XVème siècle) avec fenêtres à meneaux en croix et sièges dans les embrassures qui ont deux mètres d'épaisseur. On y voit une pierre tombale provenant d'une ancienne chapelle et représentant un personnage couché, les mains jointes, vêtu d'une cotte de mailles recouverte d'une courte casaque; à la ceinture, une large et courte épée; à ses pieds, un chien couché. Dans la cour, un puits dans margelle est daté de 1620.

Château de Kerbavé ou Kerpavé à Plouzélambre (Bretagne).

  

Château de Kerbavé ou Kerpavé à Plouzélambre : chevalier Harel  (Bretagne).

Autres édifices à citer :

- un fragment de voie romaine à Kerbavé ;

- la chapelle Saint-Siméon, détruite. Elle était dite très délabrée dans la statistique du 15 ventôse an X et avait été rouverte le 11 prairial an III ;

- la fontaine Saint-Mélard de Kerguereven ;

- la fontaine Saint-Sylvestre (XVIème siècle). Son eau était connue jadis pour guérir la lèpre ;

- le manoir de Kerbavé-Bras, de Coquil, au bourg ;

- la maison de Kerouet (1663) ;

- la ferme de Keramboé, dont l'étable porte la date de 1759 ;

- la ferme de Toul-an-Groas (étable : 1790) ;

- A Plouzélambre, Anatole Le Braz, parle d'une forge, à l'exrémité du bourg sur la route de Saint-Michel-en-Grève qui occupait les ruines d'un antique sanctuaire de Saint-Efflam, détruit, prétend-on, vers 93, par un bataillon de vandales étampois (Anatole Le Braz, Vieilles histoires du pays breton, Champion 1897)

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ANCIENNE NOBLESSE de PLOUZELAMBRE

La seigneurie de Kerveguen possédait un droit de haute justice et appartenait à la famille du Lude ou de la Lande.

La seigneurie de Kerpavé (ou Kerbavé) appartient au marquis de La Rivière (en 1682), seigneur dudit lieu en Tréduder, à Budes de Blanchelande (en 1711), à Jean-Baptiste de Budes, seigneur de Guébriand (en 1724), et enfin à Jean Spiridion de Budes.

Les Leizour (Le), sr. de Lanascol (en Plouzélambre) et de Pontreuzou (en Camlez), sont mentionnés dans des Réformations et Montres entre 1481 et 1513, dans la paroisse de Plouzélambre. Leur blason porte " De gueules à trois coquilles d'argent, au croissant de même en abyme ". Yves Le Leizour, de la paroisse de Plouzélambre, anobli avec Guillaume son fils, par lettres du duc de 1439. Jeanne, fille du précédent, mineure en 1481, épouse Jean Quemper [Note : Nicolas, homme d'armes de la compagnie de Jean de Penhoët en 1420, père d'Alain et aïeul de Jean, marié en 1474 à Jeanne de Leizour, dame de Lanascol. Un lieutenant des maréchaux de France à Lannion en 1740 (voir Pol Potier de Courcy)]. Quemper (Alain), seigneur de Lanascol (Plouzélambre) (1596) [Arch. Côtes-d'Armor 2E511]. Quemper (Gilles), seigneur de la Garraine (ou Garennes), fils de Alain Quemper. En 1600, Gilles Quemper demeurait en la paroisse de Plouzélambre au manoir de Lanascol. Les Quemper (de), sr. de Keranroux (en Ploubezre), châtelain de Lanascol en 1647 (en Plouzélambre), sont aussi seigneur de la Garennes, seigneur de la Lande et de Kermenguy (en Ploumilliau). Cette famille Quemper apparaît dans des Réformations et Montres, entre 1427 et 1545, en la paroisse de Ploubezre et Plouzélambre . Leur blason porte " D'argent au léopard de sable, accomp. en chef de trois coquilles rangées de même ". Devise : " En bon repos ".

Les Morice, sr. de Kerpavé (en Plouzélambre), de Guernarc'han (en Plougonven), du Nivirit (en Tréduder) apparaissent dans les Réformations et Montres, entre 1441 et 1543, dans les dites paroisses. Leur blason porte " D'argent à trois bandes de gueules, au franc canton de même, chargé d'une coquille d'argent ".

Les Roslogot, sr. dudit lieu, paroisse de Ploumilliau apparaissent dans la Réformation de 1445 en la paroisse de Ploumilliau. En 1426, sont mentionnés Jehan et Yves de Roslogot à Ploumilliau [Note : Les Roslogot n'y sont plus mentionnés en 1481, mais apparaissent dans la paroisse de Plouzélambre, comme seigneurs de Kerveguen]. Leur blason porte " D'argent à la tour de sable, accostée de deux grues de même pendues par le bec aux créneaux de la tour ". Cette famille s'est fondue dans Plouézoc'h. Les Plouézoc'h, sont les seigneurs dudit lieu (en Plouézoc'h), du Quelennec (Plounérin), du Crec'h (en Lanmeur), de Roslogot (en Ploumilliau), de Kergomar (en Saint-Michel-en-Grève). Ils apparaissent dans des Réformations et Montres, entre 1427 et 1543, dans les paroisses de Plounérin, Ploumilliau et Saint-Michel-en-Grève. Leur blason porte " De sable fretté d'or, à la bordure engreslée de gueules ".

Les Rouge (Le), seigneurs d'Ancremel (en Plouigneau) étaient aussi seigneurs de Treffrien, de Begaignon, de Kerbiriou et de Mezoulouarn (en Plestin), de Kerveguen (en Plouzélambre), de Kerhuel (en Saint-Michel-en-Grève). Ils apparaissent dans les Réformations et Montres entre 1427 et 1543 et porte " D'argent fretté de gueules " [Note : Yvon, écuyer de Bertrand du Guesclin en 1371 ; Guyon vivant en 1481, épouse Isabeau de la Lande, dont : 1° François, conseiller aux Grands-Jours, maître des requêtes de l'hôtel du roi François Ier, marié à Guillemette Loz, père et mère d'Aliette, mariée en 1513 à René de Coëtlogon, sr. de Méjusseaume ; 2° Gilles, président universel de Bretagne en 1500, sénateur de Milan en 1515, marié à Jeanne de Romelin et mère d'Anne, mariée en 1536 à Julien, seigneur de Coëtlogon. De la maison de Coëtlogon, la seigneurie d'Ancremel a passé aux du Rufflay (voir Pol Potier de Courcy : " Nobiliaire et Armorial de Bretagne ")].

Les Bigot (Le), sr. de Kerveguen (en Plouzélambre) portent " D'argent à un écureuil de pourpre, couronné d'or ".

Les Roi (Le), seigneurs de Kervilléon (en Plouzélambre portent " D'azur au lion d'or ".

Les Lande (de la), sr. dudit lieu (en Ploumilliau), de Kerveguen (en Plouzélambre) apparaissent lors de la Réformation de 1463 dans la paroisse de Plouzélambre. Le blason porte " D'argent à trois cotices de gueules au franc-canton de même ". Jean de la Lande est capitaine de Morlaix en 1443. Cette famille s'est fondue dans Le Rouge, puis Coëtlogon et Quemper.

En 1710, dans un " Rolle de répartition de la somme de treize mil sept cent trente livres qui doit estre imposée sur touttes les seigneuries et fiefs ecclésiastique et laïques de l'évesché de Tréguier " (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, C 3479), on trouve mentionnées à Plouzélambre (Plouzélempre) la seigneurie de Querveguen au sieur marquis de La Rivière (60 livres) et la seigneurie de Querpavé au sieur Blanche Landes Budde (10 livres). La seigneurie de Querpavé, inférieure à Runfao, n'est pas connue comme ayant exercé une juridiction. En 1682 elle appartient, ainsi que Leurven, au marquis de La Rivière. En 1711 elle est à Budes de Blanchelande, en 1724 à Jean-Baptiste de Budes, seigneur de Guébriand et enfin à Jean Spiridion de Budes, maréchal de camp des armées du roi, époux de Marguerite de Chabenat, décédé dès le début de la Révolution [Références : 1 E 1870 (AD 22) ; B 1804 (AD 44)] (Y. Botrel).

Lors de la Réformation des fouages de 1426, les nobles suivants sont mentionnés à Plouzélambre (Ploesellembre) : Jehan de la Lande, Jehan son fils, et les enfants de Jehan Morice.

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Tréguier de 1481, on comptabilise la présence de 5 nobles de Plouzélambre (alors qu'en 1426, on ne comptabilisait, semble-t-il, que 3 nobles) :

Jehanne LE LEIZOUR (5 livres de revenu), défaillant.

Jehan MORICE (80 livres de revenu), porteur d'une brigandine, comparaît en archer.

Roland ROUSLOGOT (30 livres de revenu), porteur d'une brigandine, comparaît en archer.

Yvon ROUSLOGOT (40 livres de revenu), porteur d'une brigandine, comparaît en archer.

François LE ROUGE (200 livres de revenu).

(inspiré en partie de "Côtes-du-Nord, histoire et géographie de toutes les communes du département – tome 4 paru en 1859" (B. Jollivet)).

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