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Château et Seigneurie de la Ville-ès-Mero en Ploërmel |
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Manoir et métairie noble avec fief et rôle, situés à 5 kilomètres à l'Est de la ville de Ploërmel, près de Rochefort. Elle dut appartenir primitivement à une famille Merot ou Mérault, qui donna également son nom à un pont jeté près de là sur l'Oyon, en face du château de la Touraille et dit « le Pont-Mero ».
La Ville-ès-Mero appartenait au XVIème siècle avec Rochefort aux Cado.
Jean Cado, seigneur de Rochefort, de Kerboclion, de Vaupinel, était en 1560 époux de René Pellerin et seigneur de la Ville-ès-Mero. Il eut, entre autres :
Raoulette Cado, dame de la Ville-ès-Mero, épouse en 1594 de Jean de Luxembourg, seigneur de Villeneuve, et dite en 1639 « dame de la Villeneuve-Luxembourg ». Son mari acheta en 1618, le 29 janvier, le fief de Saint-Maur et de la Bourdelaye des du Guémadeuc. Il eut :
1° Louis, baptisé à Ploërmel le 18 décembre 1594 ;
2° Catherine, baptisée à Campénéac le 13 juillet 1597, qui épousa François Privé, seigneur des Baignons ;
3° Claude, baptisé à Ploërmel le 2 août 1598 ;
4° Jean de Luxembourg, seigneur de la Ville-ès-Mero, baptisé à Ploërmel le 17 octobre 1599, qui vendit le 30 septembre 1649 la Ville-ès-Mero à :
Jean de l'Espine, seigneur de Rochefort, du Hino, mort en 1665, ayant eu, entre autres :
Anne de l'Espine, dame de la Ville-ès-Mero, de Rochefort, du Hino, qui épousa en 1665 Vincent Abillan, seigneur de Quéjau, lequel rattacha la Ville-ès-Mero à sa terre de Quéjau, avec laquelle elle vint par alliance en 1769 aux Tuault de la Bouverie.
La Ville-ès-Mero vint par acquêt vers 1860 aux Dames Ursulines de Ploërmel.
C’est au début du XXème siècle une ferme d’environ 20 hectares, appartenant à M. Coué, de Campénéac (M. de Bellevue).
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