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André LE GALL et François LAGEAT, prêtres guillotinés à Lannion
en exécution de la loi des 29-30 vendémiaire an II.

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André LE GALL et François LAGEAT, et Ursule TIERRIER, dame TAUPIN, leur receleuse.

167. — André Le Gall, fils de Charles et de Marie Le Bescond, naquit à Pleudaniel et fut baptisé dans l’église de cette paroisse le 20 décembre 1758. Il appartenait à une famille assez nombreuse et possédait au moins deux frères Pierre et Charles et une sœur, Isabelle, qui épousa Guillaume Le Quellec. On n’a trouvé aucun renseignement sur son enfance, non plus que sur sa jeunesse cléricale. C’est en vain que l’on a recherché trace de ses ordinations sur les registres d’insinuations de l’évêché de Tréguier, qui sont dans un état de conservation lamentable. Il faut attendre l’an 1782, époque à laquelle l’abbé Le Gall occupa un poste dans le ministère paroissial pour trouver mention de sa personne.

C’est à Penvénan, dans le doyenné de Tréguier, que M. Le Gall débuta dans les fonctions vicariales. Sa signature apparaît pour la première fois sur les registres de catholicité le 11 octobre 1782. Le 30 mars 1784, l’abbé Le Gall signe pour la dernière fois sur les mêmes registres à l’occasion d’un baptême.

L’année suivante, on trouve ce prêtre transféré à Cavan, doyenné de La Roche-Derrien. On y relève pour la première fois son nom sur un registre le 1er novembre 1785. Il accomplit son dernier acte de ministère public, dans cette paroisse, le 28 novembre 1791. On était alors en pleine Révolution. Le recteur M. Le Gall avait prêté le serment constitutionnel, mais tous les efforts des tenants du nouvel état de choses ne purent contraindre son vicaire à suivre cet exemple lamentable. Après avoir réclamé son traitement le 26 mars 1791, ainsi que le 4 juillet et le 27 septembre de cette même année, M. l’abbé Le Gall dut s’éloigner de la paroisse de Cavan et alors commença pour lui une existence errante et pleine de périls.

Nous laisserons ici M. Le Gall pour faire la biographie de son compagnon d’infortune.

168. — Le futur abbé Lageat naquit dans la partie du village du Pont-Losquet, situé en Langoat, doyenné de Tréguier. Si on s’en rapporte au récit d’un témoin contemporain, appelé Le Du, qui a consigné avant son trépas quelques notes sur M. Lageat, celui-ci était né avec des qualités distinguées : doux, pieux, spirituel. Dès l’âge de cinq ans, il se plaisait à l’église. Le vicaire de sa paroisse se prêta à lui apprendre à lire et à écrire et vers l’âge de douze ans, il entra au collège de Tréguier où il obtint des succès. Plus heureux que son confrère Le Gall, on possède les dates de ses différentes ordinations.

Il reçut sa première tonsure à Tréguier des mains de Mgr Le Mintier le 5 juin 1784. Le même prélat lui conféra les ordres mineurs dans sa ville épiscopale le 12 mars 1785. Neuf jours après, il était ordonné sous-diacre. Son diaconat est du 12 septembre de la même année. Quant au sacerdoce, il le reçut avec dispense d’âge, le 10 juin 1786.

L’abbé Lageat attendit trois années avant d’être nommé vicaire de Pleubian, doyenné de Pleumeur-Gautier. On trouve pour la première fois sa signature sur le registre des baptêmes de cette paroisse le 2 février 1789 et la dernière le 16 septembre de l’année suivante. Les heures sombres de la Révolution avaient sonné. Pleubian allait sous peu posséder un curé intrus. M. Lageat ayant refusé de prêter le serment constitutionnel, se vit obligé d’abandonner son vicariat et de chercher asile dans son pays natal aux environs de Tréguier, d’où il rayonna dans les paroisses voisines, qui toutes, à l’exception de Camlez, profitèrent de son ministère. Il devait y rencontrer son confrère André Le Gall, venu lui aussi se réfugier dans ce canton.

On doit à M. Lageat de connaître l’emploi de son temps au cours d’une partie de l’année 1792. A la suite d’une requête adressée par la commune de Coatreven, il exerça publiquement le ministère dans cette localité avec la permission de l’administration du district de Lannion. Il ne se cacha qu’après la loi du 26 août 1792, mais quoique cela, toujours d’après ses dires, il continua d’avoir son domicile à Coatreven.

L’abbé Durand, curé de Tréguier en 1847, qui a recueilli plusieurs épisodes de l’époque révolutionnaire, dont les témoins vivaient encore de son temps, rapporte que « l’abbé Lageat parcourait les campagnes sous un costume de « Rochois » — c’est ainsi que l’on désignait les marchands d'étoupes de La Roche-Derrien, — prétextant le commerce des vieilles marmites, des ferrailles et de la graine de lin. Certain jour, il pénètre dans une ferme et demande s’il n’y a pas « de la graine à vendre ». C’est le temps des récoltes et de nombreux moissonneurs sont attablés. Le métayer prévenu de la visite, invite le « rochois » à monter au grenier et tandis qu’on discute le marché, l’abbé prend la main de sa fille, la place dans celle du gars, son fiancé, reçoit leur serment et les unit pieusement. Quand on redescend à la salle, aucun de ceux qui boivent là ne se doute qu’un mariage vient d’être célébré et le « rochois » s’éloigne, satisfait de l'affaire qu’il a conclue ».

169. — Cependant malgré toutes les précautions dont s’entouraient aussi bien l’abbé Le Gall que son confrère M. Lageat, un mariage que célébra, celui-ci au mois de février 1794 devint la cause de son arrestation et de celle de M. Le Gall. Dénoncé par Guillaume Salaün, frère du nouvel époux, à l’agent national du district de Lannion, celui-ci, sur le vu de cette pièce et sans perdre de temps, envoya à Tréguier un commissaire appelé Joseph-Marie Cadillan, déjà fort expert dans ces sortes de missions.

MM. Le Gall et Lageat et, dit-on, deux autres prêtres, MM. Lallier et Guillaume, se trouvaient réfugiés en ce moment même chez la personne, que Salaün, dans son exaltation pour le nouvel état de choses, avait désignée comme donnant asile à des proscrits. C’était une femme, mère de cinq enfants en bas âge et répondant au nom de Marie-Ursule Tierrier. Son époux, Pierre Taupin, valet de chambre de Mgr Le Mintier, évêque de Tréguier, avait suivi son maître dans son exil à Jersey.

170. — Mme Taupin était née à Montfort-l’Amaury, près Versailles, le 16 août 1755, de Jean-Baptiste, journalier, et de Catherine Binet, unis en légitime mariage. Elle fut baptisée le lendemain 17 août. Cette personne fit preuve dans toute la tragédie qui s’ouvrit pour elle le 11 février 1794 d’un admirable esprit de foi et d’un héroïsme sans pareil.

Un détachement du bataillon d’Etampes, guidé par le commissaire Cadillan, susnommé, ayant fouillé de la cave au grenier la demeure de Mme Taupin, finit par découvrir et arrêter sous les combles les prêtres Le Gall et Lageat. Quelques autres de leur compagnie parvinrent à se sauver.

La chasse avait été fructueuse. Deux prêtres étaient prisonniers. On avait aussi appréhendé leur hôtesse comme coupable d’avoir abrité deux prêtres proscrits. Il ne restait plus maintenant qu’une formalité à accomplir, s’assurer par un interrogatoire en règle de l’identité de tout ce gibier de guillotine.

Cadillan y procéda sans désemparer en présence de deux membres de la municipalité de Tréguier, dont l’un se trouvait appartenir à la famille du trop célèbre Renan.

Les deux prêtres avouèrent sans difficulté leur qualité d’ecclésiastiques insermentés et non soumis aux lois prescrivant la déportation. Ils reconnurent aussi avoir fait du ministère, mais ils refusèrent de répondre à toute question qui aurait pu compromettre qui que ce soit. Mais cette précaution était inutile avec Mme Taupin, incapable d’un mensonge pour sauver sa tête. Du reste, ses interrogateurs lui furent manifestement hostiles et lui posèrent à la fin des questions destinées sans aucun doute à la perdre. On ne pouvait en effet que la condamner à la déportation comme receleuse d’ecclésiastiques, la loi ne prévoyant pas encore pour ce délit la peine de mort à cette époque. Mais la législation en vigueur, rendant passible de la peine capitale les propos qualifiés « contre-révolutionnaires », on s’ingénia à lui en faire prononcer de cette espèce. Il ne suffisait donc pas à son juge de lui faire avouer qu’elle avait sciemment caché des ecclésiastiques proscrits poussée par le seul motif de sa religion, on lui fit déclarer qu’elle aurait été contente de périr pour son roi et sa Religion, mettant ainsi le sceau à sa perte.

171. — A la suite de cet interrogatoire, on enferma en prison et les deux prêtres réfractaires et Mme Taupin ; celle-ci séparée de ses cinq jeunes enfants qu’elle ne devait plus revoir sur cette terre. Le lendemain qui était le premier jour de mai, Cadillan à la tête de vingt-cinq hommes de troupes, prit au corps de garde les trois captifs, pour les conduire à Lannion où siégeait momentanément le Tribunal criminel des Côtes-du-Nord.

Le lendemain, le Directoire du district de Lannion délibérait sur le compte des trois prisonniers. Au terme de la loi, aucune tergiversation n’était possible. Le tribunal criminel devait au plus tôt statuer sur leur sort. Aussi les membres du Directoire du district de Lannion lui adressèrent-ils sans tarder une réquisition d’avoir à juger Le Gall, Lageat et Mme Taupin, leur receleuse.

Besné, l’accusateur public, près le Tribunal criminel des Côtes-au-Nord, était expéditif. Sitôt qu’on lui eut déféré l’affaire, il s’empressa de rédiger « sa plainte » auprès de Le Roux de Chef du Bois, président dudit Tribunal. Il inculpait tout à la fois Mme Taupin d’avoir recelé sciemment des prêtres insermentés, ainsi que d’avoir tenu « des propos tendant au rétablissement de la royauté », crime réprimé à cette époque plus sévèrement encore que le fait d’avoir donné asile à des prêtres réfractaires. Quant aux abbés Le Gall et Lageat, leur cas était clair et il suffisait de requérir l’application de la loi, pour faire tomber leurs têtes.

En réalité, l’affaire de Mme Taupin faisait intimement corps avec la leur : la cause initiale de son arrestation n’était-elle pas son dévouement absolu à la cause religieuse ? — Si dans son esprit simpliste, la cause du Roi s’unissait à celle de la Religion, c’est qu’elle ne voyait pas ce qu’on pouvait attendre d’un gouvernement dont la politique visait même la destruction de sa propre création religieuse : l’église constitutionnelle. Tant et si bien qu’aux yeux de Mme Taupin, le libre exercice du catholicisme n’était compatible qu’avec le rétablissement de la Royauté. « Ma religion, déclare-t-elle, est la première et la seule cause de mon opinion ». Cette mentalité était celle de tous les bons catholiques à cette époque.

172. — Conformément au réquisitoire de Besné, le tribunal procéda à un nouvel interrogatoire des prisonniers. Les débats s’ouvrirent le 3 mai dans la grande salle occupant le rez-de-chaussée de l’ex-auditoire de Lannion. Les deux prêtres comparurent d’abord. Ce n’était du reste qu’une pure formalité. Il s’agissait seulement de constater leur identité. Les accusés n’ignoraient pas le sort qui leur était réservé. Aussi leurs réponses sont-elles fort brèves, sèches, et presque ironiques parfois. Seul l’interrogatoire de Mme Taupin présente un réel intérêt. Devant ses juges, son audace et son énergie semblent s’exalter encore et elle affirme en des termes magnifiques et ses convictions religieuses et ses sentiments royalistes, les seconds, avec la mentalité des honnêtes gens en ce moment, lui semblant légitimement découler des premiers.

Qu’on lise plutôt ce dramatique dialogue.

« D. Ton nom ? — R. Je m’appelle Ursule Tierrier, originaire de Montfort-l’Amaury, mon père s’appelait Jean-Baptiste Tierrier, ma mère Catherine Binet, je suis âgée de trente-huit ans, j’avais épousé Pierre Taupin.

D. Ton mari n’est-il pas émigré ? — R. Oui, il est avec Monseigneur.

D. Quel est ce seigneur dont tu parles ? — R. L’évêque de Tréguier.

D. N’as-tu pas recélé chez toi deux prêtres ? — R. Oui, Monsieur.

D. Depuis quand étaient-ils chez toi ? — R. Je n’ai pas positivement remarqué l’époque, il peut y avoir un mois.

D. Les connaissais-tu auparavant et à quelle intention les recélais-tu ? — R. JE N’AVAIS PAS L’HONNEUR DE LES CONNAITRE, JE LES RECÉLAIS POUR LE BIEN.

D. Les connaissais-tu par leurs noms et prénoms ? — R. Non, Monsieur.

D. As-tu dit depuis ton arrestation que tu étais contente de mourir pour ton Roi et ta Religion, où as-tu tenu ces propos, et devant qui ? — R. J’avoue avoir tenu les propos et je crois que ce fut à la municipalité après mon arrestation.

D. Avais-tu tenu ce propos-là auparavant ? — R. Je n’en ai point de connaissance.

D. Persistes-tu dans les mêmes sentiments ? — R. Toujours, Monsieur.

D. Tu aimais donc bien ton roi, désirerais-tu en avoir un autre ? — R. Je l’aimais comme je devais le faire et je désire en avoir un autre.

D. Tu abhorres donc le régime républicain ? — R. Absolument.

D. Est-ce le désir de revoir ton mari qui te fait penser et parler ainsi ? — R. MA RELIGION EST LA PREMIERE ET LA SEULE CAUSE DE MON OPINION.

D. Tu rétablirais donc la royauté si tu pouvais le faire ? — R. Je le ferais si j’en avais le pouvoir, mais une femme n’est capable de rien ».

Après l’interrogatoire de Mme Taupin, nul ne pouvait plus se faire illusion sur son sort. Elle devait suivre dans la mort les deux prêtres auxquels elle avait donné asile. Mais ses juges eurent en la condamnant un raffinement de barbarie. L’arrêt contenait à son égard une disposition particulière que voici : « Ordonne que ladite Tierrier sera transférée sous bonne et sure escorte, de la maison de justice en la maison d'arrêt de Tréguier, et que le jugement sera exécuté à son égard sur la place de la commune de Tréguier, dans les vingt-quatre heures ; le tout à la diligence de l’accusateur public ».

173. — MM. Le Gall et Lageat furent exécutés à Lannion, à 3 heures de l’après-midi, quelques heures seulement après leur condamnation. Ils allèrent l’un et l’autre au supplice au chant du Veni Creator, bientôt remplacé par celui du Miserere. Leurs restes, après avoir été déposés au cimetière Saint-Nicolas, reposent maintenant dans la chapelle des Dames de la Retraite, où une inscription rappelle aux fidèles qu’ils ont été mis à mort pour la Foi et l’on vient prier sur leur tombe.

Quant à Mme Taupin, sa tête tomba sous le couperet de la guillotine le lendemain à 10 heures dans la ville de Tréguier.

Le souvenir de M. Le Gall est demeuré très vivant dans la paroisse de Pleudaniel, où des collatéraux de sa famille perpétuent encore son nom et la croyance à son martyre. Il en est de même à Pleubian pour ce qui concerne M. Lageat, où une inscription, placée dans l’église, conserve sa mémoire, ainsi qu’à Tréguier par rapport à Mme Taupin. Dans cette localité, c’est l’opinion commune que cette personne fut mise à mort en haine de la Foi, tout comme les deux prêtres auxquels elle donnait asile.

Des complaintes bretonnes, encore en honneur dans cette région, ont été composées tant à la mémoire de Mme Taupin qu’à celle des prêtres Le Gall et Lageat.

174. — Les sentiments royalistes de Mme Taupin n’étaient qu’une résultante et non la source de ses convictions, et pour le prouver, on s’appuiera sur certains de ses propres propos : « Ma religion, déclara-t-elle à ses juges, est la première et la seule cause de mon opinion ». Elle ne pouvait énoncer rien de plus expressif, ni de plus affirmatif. Or, elle avait d’autant plus de mérites à s’exprimer ainsi que son cœur de mère devait éprouver d’affreux déchirements à la pensée que son trépas allait rendre orphelins ses cinq enfants en bas âge et nul doute qu’en prononçant ses sublimes paroles, son courage ne subit de rudes assauts. Il ne faiblit pas cependant, et la soutint jusqu’au bout dans son sacrifice. Vêtue de blanc, portant à son corsage cinq fleurs symboliques des tendres membres de sa jeune famille, elle gravit au chant de l'Ave Maris Stella les degrés de l’échafaud, offrant généreusement à Dieu le sacrifice de sa vie.

Un tel héroïsme ne semble pouvoir trouver sa source que dans une foi religieuse poussée jusqu’à l’exaltation la plus sublime. Il appartient à la Sacré Congrégation des Rites de juger si le trépas de Mme Taupin présente vraiment les conditions requises pour obtenir les honneurs de la béatification. Une décision affirmative remplirait de joie le pays de Tréguier.

BIBLIOGRAPHIE. — Guillon, Les Martyrs de la Foi, etc., op. cit. (1821), p. 411 et 418, t. IV : Mme Taupin, p. 633. — Tresvaux du Fraval : Histoire de la Persécution révolutionnaire en Bretagne, op. cit, (1845), II, p. 33 et sq. — Geslin de B. et Anat. de Barthélemy : Etudes sur la Révolution en Bretagne, Saint-Brieuc, 1858, in-8°, p. 85 et sq. — Revue de Bretagne, t. XIII, 1895 ; Lucas : Histoire de Pleubihan, p. 101 et sq. — Hémon : La légende de Le Roux Chef du Bois, Rennes, 1899, in-8°. — G. Lenôtre : Bleus, Blancs et Rouges, Paris, in-8°, 7ème édition, p. 2 à 118. — Lemasson, Les Actes des Prêtres insermentés du diocèse de Saint-Brieuc, mis à mort de 1794 à 1800, etc., Saint- Brieuc, 1927, p. 40 à 62. On trouve dans ce recueil tous les actes ofiiciels du procès. — Le Collège de Tréguier par un ancien élève (M. France), Saint-Brieuc, in-8°, 1895, p. 50 et 55. On y voit que M. Lageat obtint l’excellence en seconde en 1781. — Istor Breiz ou Histoire populaire de la Bretagne, en breton et en français (1868), 4ème édit., p. 712-716.

(Archives des Côtes-du-Nord, fond du tribunal criminel du département, dossier Le Gall, Lagéat et Mme Taupin).

(Articles du Procès de l'Ordinaire des Martyrs Bretons).

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