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Le presbytère de Mûr-de-Bretagne

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Le mardi 1er janvier 1658 au prône de la grand'messe dominicale célébrée par messire G. Gallerne, recteur de la dise paroisse, les paroissiens de Mûr étant assemblés en forme de corps politique, tant pour le service divin que pour disposer de leurs affaires publiques, messire Jean Jean, en l'absence de messire Jean Pensivy, curé, fait savoir en langue vulgaire que messire Guillaume Galerne, recteur, prétend actionner la paroisse au siège présidial de Vannes, sauf recours contre les trêves de saint Guen et saint Connec, pour lui bâtir à neuf ou au moins lui remettre en dues réparations la maison presbytérale de la dite paroisse, située au bourg de saint Guen, tant de couvertures, murailles, jardin, meubles de bois, lingerie, vaisselle, etc., comme à gens de telle qualité et dignité appartient, de tout quoi la dite maison rectoriale est de très longtemps dépourvue, fors seulement d'un bout de la vieille maison, où il y a quelques vestiges de couverture, et de l'autre bout quelques vieilles murailles ruinées sans aucune couverture, au reste dépourvues de tout jusques aux portes et fenêtres qui sont pourries et de nulle valeur ; le recteur s'appuie sur les instructions de l'évêque de Quimper, en vertu desquelles il présente sa réclamation. Les paroissiens, d'une commune voix, répondent qu'ils n'ont pas à débattre de mettre en réparations la dite maison tôt ou tard ; le recteur, quand il a été nommé, leur fit promesse de les soulager en toutes choses à son possible, ils le supplient de persister dans ce sentiment : il est bien logé au bourg de saint Guen ; la paroisse ne peut subvenir au coût des réparations. Le recteur consent et proteste de son désir de soulager et gratifier la paroisse, comme il l'a toujours fait ; les paroissiens le remercient unanimement, priant Dieu de lui prolonger les jours et lui donner paradis à la fin, non seulement pour le service qui leur rend actuellement, mais pour toutes les faveurs qu'ils ont reçues de lui ; ils reconnaissent tous que le presbytère n'est pas logeable : les murs et couvertures sont tellement détériorés que la paroisse et les trêves devront prendre la charge de les remettre en état et garantir le recteur ou ses héritiers, s'ils étaient inquiétés soit par l'autorité supérieure, soit par le successeur du recteur, pour défaut de réparations ; le presbytère n'a pas été livré en état ni les clefs remises non seulement au recteur actuel, mais même au précédent, comme il appert d'un acte du dimanche 6 février 1633 ; tous répondront solidairement de leur promesse envers le recteur et ses héritiers, sauf leur recours contre les tréviens qui doivent participer à la charge. De tout quoi procès-verbal est dressé.

Messire Guillaume Galerne (ou Gallerne) eût pour successeur son neveu, Yves Galerne, qui continua à habiter saint Guen et renouvela la transaction passée entre la paroisse de Mûr et son prédécesseur.

Une déclaration du 8 juillet 1691, fournie par les fabriciens de saint Pierre pour le recouvrement du droit d'amortissement, donne des renseignements à cet égard : il y est dit que la maison presbytérale de Mûr est située de tout temps immémorial dans le bourg trévial de saint Guen, elle consiste dans un grand corps de logis, toutefois sans boisage ni couverture, tombé en ruine depuis quelque temps. soit par la négligence des recteurs et leurs héritiers qui en ont joui, ou par celle des paroissiens et tréviens. Quant à la pièce de terre chaude et labourable dans laquelle ladite maison est située, on déclare avoir eu avis communément que les parents des deux derniers sieurs recteurs en ont joui, depuis le temps qu'ils possèdent la dite cure, privativement aux paroissiens, et l'ont actuellement ensemencée sous seigle, ne sachant si c'est de l'ordre de la fabrique ou de l'ordre de messire Yves Galerne, sieur recteur à présent de ladite paroisse et l'un des héritiers du défunt et précédent recteur ; on déclare ne pouvoir justement coter quelle somme doit être payée annuellement au recteur pour son logement, mais on est certain que le recteur a touché en 1686 ou 1689 desdits paroissiens et tréviens une somme de neuf cents livres tant pour son logement du passé que pour sa vie durant.

L'indication donnée par les fabriciens dans cette déclaration était exacte ; elle fut confirmée quelques jours après, le 29 juillet 1691, par le dépôt aux archives de la pièce dont ils affirmaient l'existence ; en effet à cette date du 29 juillet 1691, nous voyons M. Hervé Le Ralle inventorier diverses pièces déposées aux archives, parmi lesquelles un acquit qu'il a obtenu du sieur recteur de Mûr pour son logement suivant transaction y référée, stipulée générale, datée du 7 août 1689, signée G. Galerne, recteur de Mûr.

Des rôles de capitation de 1701 à 1704 indiquent que les domestiques du sieur recteur de Mûr sont sur le rôle de la trêve de saint Guen où le dit sieur demeure, dans sa maison, au bourg de saint Guen : on déclare en outre que messieurs les autres ecclésiastiques demeurent chez leurs parents et n'ont ni valets ni servantes.

Cette situation devait bientôt changer : messire Yves Galerne mourut en 1712 après avoir été pendant trente-un ans recteur de la paroisse ; son successeur messire Philippe Olimaut de Kerneguez vint habiter Mûr. Le 29 juillet 1714 il réunit dans la sacristie les délibérants de Mûr, saint Guen et saint Connec, qui consentent unanimement à payer au sieur recteur la somme de soixante livres par année, tant pour le passé qu'à l'avenir, pour son logement ; cette somme sera payable en novembre : Mûr fournira trente livres, saint Guen vingt livres, saint Connec dix livres ; on promet en outre de rembourser au recteur les frais de l'instance touchant son presbytère, suivant le mémoire qu'il en fournira avec pièces au soutien ; de son côté le recteur se désiste de sa requête signifiée le 1er courant et réserve ses droits relativement à la construction de son presbytère.

Messire de Kerneguez mourut en odeur de sainteté le 17 mai 1720 ; il eut pour successeur messire Yves Le Berre, licencié en droit canonique et civil, de l'université de Paris. Le 19 mai 1737, messire Yves Le Berre réclame, comme l'avaient fait ses prédécesseurs, un logement convenable ; le général de la paroisse de Mûr décide d'emprunter cinquante-quatre livres à la fabrique de sainte Suzanne pour solder l'année échue le 1er de ce mois du logement du sieur recteur, sauf à s'entendre ultérieurement avec les tréviens de saint Guen et saint Connec pour obtenir un commandement de la cour et répartir sur les contribuables de toute la paroisse, trèves comprises, l'indemnité annuelle de logement due au recteur, jusqu'au jour où on trouvera des fonds suffisants pour bâtir un presbytère.

Messire Le Berre mourut le 14 novembre 1752 ; son successeur messire Hervé Le Coq obtint en 1755 un arrêt du conseil d'État qui condamne les paroissiens, s'ils ne lui fournissent un presbytère, à lui payer une somme de soixante-quinze livres pour son logement ; en mai 1756, le général de la paroisse de Mûr consent à payer la moitié de cette somme : le recteur percevra les quinze livres qui représentent le prix de location du terrain où se trouvait l'ancien presbytère ; il réclamera trente livres aux tréviens de saint Guen et saint Connec, et la paroisse de Mûr établira un rôle spécial pour lui assurer les trente autres livres ; cette somme cessera d'être payée le jour où on bâtira un nouveau presbytère. Le recteur accepte ces conditions.

La trêve de saint Guen fit des difficultés, elle prétendit que l'emplacement de l'ancien presbytère lui appartenait privativement ; le 10 décembre 1756, le général de Mûr maintient sa décision du 9 mai précédent et invite la trève de saint Guen à justifier amiablement de ses prétentions.

Un aveu rendu par la paroisse de Mûr le 12 janvier 1772 porte que le presbytère de cette paroisse situé au bourg trévial de saint Guen est depuis longtemps en ruine : des anciens logements on ne voit plus que quelques restes de murs presque à ras de terre, sans boisage ni couverture ; la pièce de terre où sont situées ces ruines se trouve au nord du placître de sainte Marie-Magdeleine.

Messire Hervé Le Coq, après les démarches qu'il avait faites en 1755, se contenta de la reconnaissance de ses droits, et n'insista pas pour le paiement de l'indemnité qui lui était due ; le général de Mûr avait établi des rôles d'imposition pour faire face au paiement de l'indemnité pendant les trois premières années, mais en présence du silence du recteur, il ne les fit pas recouvrer, et cessa ensuite de prévoir cette, dépense ; en 1777, messire Hervé Le Coq réclama tout d'un coup les vingt et une années échues faisant une somme de 1.575 livres ; le 22 août, le général décida qu'on consulterait des avocats ; après avoir obtenu cette consultation, il se réunit le 7 décembre 1777 avec les généraux des trêves de saint Guen et saint Connec, en la sacristie de Mûr : on commence par déclarer que de temps immémorial les trois généraux délibèrent chacun chez eux ; les tréviens de saint Guen pour ne pas compromettre leurs droits déclarent qu'ils se retirent pour délibérer chez eux ; ceux de saint Connec décident de faire cause commune avec la mère paroisse, il est fait toutefois la plus expresse réserve pour que la délibération prise en commun ne crée pas un précédent attentatoire aux libertés de chacun ; on décide que des rôles seront établis pour solder les indemnités dues au recteur, mais en même temps qu'on demandera les autorisations nécessaires pour l'établissement du rôle, on soulèvera contre le recteur une action reconventionnelle pour le faire condamner à réparer à ses frais le choeur de l'église paroissiale, et on réclamera à saint Guen les loyers indûment perçus par cette trêve pour le terrain de l'ancien presbytère. Il paraît qu'en effet la trève de saint Guen s'était mise en possession de ce champ : le 24 mai 1778, elle prend connaissance des décisions arrêtées dans la réunion générale de septembre après qu'elle s'était retirée, elle soutient qu'elle est seule propriétaire de l'ancien presbytère, elle offre de le réédifier à ses frais à condition que le recteur viendra l'habiter, mais elle s'oppose à ce qu'on vende le terrain pour employer le prix à construire un presbytère à Mûr.

Le 22 février 1778, le général de Mûr prend une délibération nouvelle dans laquelle il énumère, ses griefs, renouvelle les prétentions qu'il a émises précédemment, et conteste en outre au recteur le droit de prélever le tiers des offrandes sauf celles faites au grand autel ; la violence de cette délibération dût exercer une impression défavorable sur les juges ; l'affaire fut portée devant le présidial de Vannes. Un jugement en date du 6 mai 1779 reconnaît le droit du recteur de prendre le tiers des offrandes qui se font dans les chapelles de saint Jean, Notre-Dame de Pitié, sainte Suzanne et sur la tombe de M. Kerneguez, condamne la paroisse aux dépens et à la restitution, au profit de M. Le Coq, de cent quarante-sept livres qu'elle avait retenues sur sa part des offrandes, si mieux n'aime à dire d'expert et d'après les comptes de la fabrique et autres documents à cette fin recevables. Le général consentit à payer la somme allouée sans plus de contestations.

Restait à régler la part contributive du recteur et de la paroisse dans l'entretien et les réparations de l'église : le 22 août 1779, le général recherche aux archives les pièces pouvant fournir des indications sur les modifications que l'église a subies depuis le commencement du siècle. Devant le présidial de Vannes, la fabrique soutient que le recteur percevant le tiers des offrandes doit seule subvenir à l'entretien et aux réparations du choeur et du chanceau ; le recteur ne conteste pas le principe, mais il fait remarquer que, s'il doit entretenir le choeur, il ne peut dépendre de la fabrique d'en agrandir les proportions comme elle l'a fait en 1718 ; la partie de l'édifice mise par la coutume à la charge du recteur ne pas excéder le tiers de la dimension totale de l'église  [Note : En principe le recteur entretient le choeur, la fabrique la nef ; on avait fini par admettre que la part à la charge du recteur était de moitié pour les petites églises, du tiers pour les grandes ; l’église de Mûr devait être comprise dans cette dernière catégorie, son chœur ancien occupait exactement le tiers de l’édifice] ; les paroissiens ont fait faire des agrandissements, ils ne peuvent les mettre à la charge du recteur, celui-ci ne doit entretenir que le tiers de l'église à partir du pignon d'en haut ; d'ailleurs le choeur ne menace pas ruine, comme les paroissiens le prétendent, il est suffisamment tenu en état de propreté ; si les peintures son couvertes de poussière, la faute en est aux paroissiens qui ont produit cette poussière en faisant faire de grands travaux dans la nef. Une expertise fût ordonnée tant pour fixer les limites respectives du choeur et de la nef que pour constater la solidité et la propreté du sanctuaire.

Le 21 septembre 1780, les experts rédigent leur rapport ; ils constatent que l'église est plus longue au nord qu'au midi ; il n'y a pas d'autre autel que le maître-autel et celui de la chapelle du seigneur ; ils fixent au second tirant à partir du levant la limite du choeur formant la partie à la charge du recteur ; les marches du sanctuaire doivent être renouvelées ; la balustrade a besoin de réparations ; le pavé doit être refait dans le sanctuaire et la partie de la nef mise à la charge du recteur ; le mur nord forme un coude parce qu'il a été mal raccordé, quand on a allongé l'église. Il est d'ailleurs en bon état quoique poussant au vide d'un pouce, il suffira de le regarnir à la chaux ; l'induit intérieur est à refaire ; le mur midi est lézardé, cela provient du tassement des constructions faites les dernières, l'aplomb est conservé, on se contentera de boucher les crevasses et de blanchir ; la voûte de la chapelle du seigneur, construite partie en pierre de taille, partie en moellon, présente à la clef un vide qu'il est urgent de regarnir ; le pignon du choeur est solide, il faut seulement le blanchir et remettre en place une pierre qui manque ; la vitre au nord doit être décrassée ; quatorze carreaux sont à remplacer ; les stalles et autres sièges du choeur sont en bon état ; toutes les peintures sont couvertes de poussière et doivent être décrassées par une personne compétente ; la charpente au dessus du choeur est bonne, le lambris est semblable à celui de la nef et en bon état ; il paraît être de la même époque et n'avoir jamais été peint ; les sablières formant corniches de chaque côté ont été peintes de différents ornements semés d'hermines, mais il suffirait de les repeindre en blanc ; la toiture du chœur doit être réparée ; le montant de la réparation totale du choeur et dépendances s'élèvera à 673 livres 8 sols 2 deniers. Les experts donnent acte d'une effraction ou effondrement qui a été fait entre midi et deux heures dans la voûte de la chapelle de Launay-Mûr et dont ils n'ont pu connaître l'auteur.

Le 27 juin 1782, le présidial de Vannes condamna la fabrique à supporter les frais du procès et à faire nettoyer le choeur : il décida que les autres réparations seraient faites aux dépens du recteur et fixa au tiers de l'église l'étendue du choeur et chanceau.

Cette sentence mit fin au procès pendant entre Messire Hervé Le Coq et la paroisse au sujet du presbytère et des actions reconventionnelles soulevées à la suite. Plusieurs points sont réglés par une ordonnance de l'intendant de Bretagne, en date du 18 janvier 1782 et une sentence rendue par M. d'Haucour, son subdélégué à Pontivy, le 27 février 1782, lesquelles spécifient les moyens d'exécution des jugements du présidial de Vannes, et donnent les autorisations nécessaires pour parvenir au paiement. La propriété du vieux presbytère est attribuée à la paroisse entière soit moitié pour la mère paroisse, un tiers pour saint Guen, un sixième pour saint Connec. Une délibération du général de Mûr, en date du 16 juin 1783, a pour objet de réclamer aux tréviens de saint Guen le paiement des loyers de l'ancien presbytère qu'ils ont indûment perçus ; elle s'appuie sur l'arrêté du 27 février. Le 18 avril 1784, le général donne ordre à M. Yves Moigno de toucher du fermier et du général de saint Guen le reliquat dû à la paroisse de Mûr, conformément à la sentence de M. d'Haucour ; le 14 mai 1786, il rappelle une délibération qu'il a prise le 22 janvier précédent et enjoint au fabricien en charge de publier, faire bannir et affermer l'ancien presbytère sis à saint Guen aux conditions les plus avantageuses et au plus haut donnant pour une période de sept ans. Le 1er mai 1785, le sieur Chopitel, vérificateur des domaines, relève sur les registres du général plusieurs contraventions, le général s'en excuse en invoquant son ignorance : il avait négligé de faire contrôler des délibérations sujettes aux droits ; l'une est relative au presbytère de saint Guen ; le général offre de payer : en 1788 l'administration des domaines précise sa réclamation : elle réclame 56 livres 5 sols pour droit de nouvel acquêt sur la pièce de terre située au bourg de saint Guen, sur laquelle était bâti l'ancien presbytère, parce que cette pièce de terre a été mise dans le commerce par suite de la location qui en a été faite ; le général paie la somme réclamée.

Une loi du 3 brumaire an IV déclara les presbytères propriétés communales ; le 27 ventôse an IX, le sous-préfet de Loudéac explique aux maires que cette loi attribue aux communes les bâtiments seulement, mais non les jardins et terres qui en dépendent, que la municipalité doit tenir les constructions en bon état de réparations, qu'elle peut s'y réserver une pièce pour installer la mairie et louer les autres appartements.

Le 11 floréal an XIII, le sous-préfet demande au maire de Mûr combien de prêtres sont nécessaires pour le service de la paroisse, dans quel état se trouvent l'église et le presbytère, quelles ressources on peut réunir pour ces objets. Le 30 du même mois, le maire répond qu'il y a actuellement un curé et un vicaire, mais que deux vicaires seraient indispensables ; les offrandes suffisent pour entretenir l'église ; il n'y a pas de presbytère : la commune, a affermé au prix de cent francs par an une maison pour loger le curé, elle n'a aucune ressource.

Une lettre du sous-préfet du 24 février 1838 presse le maire de construire un presbytère : au lieu de bâtir, on installa le clergé dans une maison avec jardin, elle est sise dans la partie basse du bourg [Note : Depuis que ces lignes ont été écrites, le presbytère de Mûr a été reconstruit en 1902, par M. l’abbé Monnier, curé de Mûr] ; elle avait été achetée par la commune en 1833 pour y établir une école ; l'école fut transférée ailleurs, puis installée sur l'esplanade de sainte Suzanne dans une construction achevée en 1846 et dont une partie est occupée par la mairie et la justice de paix.

Sur l'emplacement de cet édifice se trouvait un calvaire qui a été transporté vers le milieu de l'esplanade entre la chapelle et la maison communale. L'appropriation du presbytère ne fût terminée qu'en 1848.

(René Le Cerf).

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