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LE MENEZ-BRÉ ET SA CHAPELLE.

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Si la montagne de Bré a aujourd'hui une célébrité, à nulle autre inférieure, dans toute la haute et la basse Bretagne et dans les provinces limitrophes, elle ne la doit qu'aux foires importantes qui se tiennent sur son extrême sommet.

Mais l'Armorique est une terre privilégiée, et, comme la Grèce classique, elle n'a pas un pic si abrupte et si inculte, un rocher si nu et si désert, sur lequel on ne puisse récolter une fleur de la légende ou de l'histoire.

Ville de Pédernec (Bretagne) : la chapelle du Méné-Bré.

Tandis que les maquignons et les bouviers marchanderont à Bré les produits recherchés de toutes les races bretonnes, car Tréguier, Quimper, Léon, Vannes et Saint-Brieuc, se donnent là rendez-vous, le voyageur lettré qui se sera agenouillé dans la chapelle assise au plus haut sommet de la montagne, sous le vocable de Saint Hervé, pourra, au retour, inscrire sur son album quelques traditions locales, dont les unes remontent aux temps merveilleux où l'histoire de chaque peuple est un poëme, et les autres nous sembleraient d'hier, si la Révolution n'avait pas mis des siècles entre hier et aujourd'hui.

« L'avenir entendra parler de Guinclan. Un jour les Bretons élèveront leurs voix sur le Menez-Bré, et ils s'écrieront en regardant cette montagne : ici habita Guinclan ; et ils admireront les générations qui ne sont plus et les temps dont je sus sonder la profondeur ».

Guinclan, qui habita sur la montagne de Bré, était un barde célèbre du Vème siècle, que Nennius n'hésitait pas à mettre sur le même rang que Talhaern, Aneurin et Taliésin, les grands prophètes de la Bretagne insulaire. « Guinclan, dit le P. Grégoire de Rostrenen (Dictionnaire Français-Breton, t. II, p. 468) Guinclan, dont j'ai vu les prophéties à l'abbaye de Landéveneck entre les mains du R. P. D. Louis Le Pelletier, était natif du comté de Goélo, en Bretagne Armorique, et prédit, environ l'an 450, comme il le dit lui-même, ce qui est arrivé depuis dans les deux Bretagnes ». Le curieux manuscrit de Landevenec, qui n'était nécessairement qu'une copie et que D. Le Pelletier faisait remonter au XVème siècle, a été emporté par l'ouragan du vandalisme révolutionnaire, et c'est à grand peine que nos érudits peuvent aujourd'hui recueillir de la bouche des paysans des fragments plus ou moins authentiques des chants de Guinclan.

La tradition porte que Guinclan était païen, elle ajoute, dit M. de la Villemarqué, que le barde « fut longtemps poursuivi par un prince étranger qui en voulait à sa vie. Ce prince s'étant rendu maître de sa personne, lui fit crever les yeux, le jeta dans un cachot où il le laissa mourir, et tomba lui-même, peu de temps après, sur un champ de bataille, sous les coups des Bretons, victime de l'imprécation prophétique du poëte ».

Après la figure de cet illustre barde, que rappellent encore les chanteurs aveugles qui sollicitent votre aumône au milieu de la foire, la légende évoque, sur cette même colline de Bré, la silhouette grandiose d'un autre aveugle, du Patron de la chapelle, de saint Hervé le thaumaturge. Je renvoie le lecteur à Albert Le Grand, et je ne cite que l'épisode de la vie de saint Hervé, qui eut pour théâtre la montagne dont j'esquisse la monographie.

Commore, scélérat titré, qui tenait sous sa loi tout le Nord de l'Armorique, et qui dispute à Gilles de Retz l'horrible gloire d'avoir servi de type à la monstrueuse figure de Barbe-Bleue, avait mis le comble à ses crimes en massacrant sainte Triphine, sa femme, fille du comte de Vannes. Les évêques armoricains se réunirent en synode pour frapper l'assassin d'une excommunication solennelle. Cette assemblée ne se pouvait célébrer en une ville quelconque, à cause de la crainte du tyran ; on se donna rendez-vous sur le sommet désert du Menez-Bré, et ce fut là que se tint le concile. L'évêque de Léon voulut que saint Hervé, son diocésain, l'y accompagnât, et comme saint Hervé était privé de la vue, et marchait toujours pieds nus, leur marche fut lente et ils arrivèrent les derniers. Cela fit murmurer un des membres de la réunion, qui s'écria en colère : « Cela valait bien la peine de nous faire attendre pour cet aveugle ! ». Saint Hervé répondit avec douceur : « Mon frère, pourquoi me reprochez-vous ma cécité, Dieu ne peut-il pas vous rendre aveugle aussi bien que moi ? ». Incontinent, l'autre tomba à terre, le visage couvert de sang, et perdit la vue. Les assistants supplièrent saint Hervé de le guérir : le saint demanda un peu d'eau bénite ; mais il n'y avait point d'eau en un lieu si élevé. Le thaumaturge fit le signe de la croix en terre avec son bourdon, on creusa à l'endroit indiqué et on trouva une belle source. Les évêques présents donnèrent leur bénédiction à l'eau miraculeuse dont on lava les yeux de l'aveugle qui recouvra la vue, « et en mémoire de ce miracle, fut au sommet de cette montagne édifiée une chapelle en l'honneur de Saint Hervé et des Saints de Bretagne ».

Bien des siècles après, cette même chapelle devint le sujet d'un interminable procès que je vais essayer d'exposer, en abrégeant beaucoup : mon intention étant de faire connaître les parties belligérantes beaucoup plus que les détails du litige.

Les religieux de Bégard ayant obtenu du Roi la création de deux foires, dont ils devaient recueillir les bénéfices à la coutume, et qui se tiendraient sur la montagne de Bré, la première le 2 août, et la seconde le 22 septembre de chaque année, présentèrent requête au sénéchal de Lannion, pour se faire mettre en possession des droits de ces deux foires et pour régler l'ordre du marché. En conséquence , le 2 août 1638, vers les huit heures du matin, au milieu d'une grande affluence de peuple que la foire avait attirée, le sénéchal vaquait à la mise en possession des Religieux et à l'assignation des places de chaque denrée, « sçavoir : jouxte la muraille au dehors du cimetière, du costé de l'espittre, pain, viande et fruicts ; vis-à-vis de la sortie dudict cimetière, vers la maison que lesdicts religieux ont faict bastir, audict Ménébré, du costé du levant : beurre, fil, lin, chanvre et toiles ; de l'autre costé du cimetière, aussy vis-à-vis du jardin, estant jouxte et au derrière de ladicte maison : le marché du bled et grains ; entre ledict cimetière, du costé de l'espittre et une pièce de terre, cernée de fossés : le marché de toutes sortes de bestiaux : » quand en l'endroit se présentèrent MM. du Cleuziou, de Runegoff, du Porzou et du Largez, qui protestèrent contre tout ce qui se faisait là, en fraude des droits de leurs seigneuries sur la montagne.

Déjà M. du Cleuziou avait obtenu le 16 septembre 1632, une sentence du présidial de Rennes qui, contrairement aux prétentions des moines de Bégard, l'avait autorisé à réintégrer ses armes sur la maîtresse vitre de la chapelle.

Le procès recommença comme de plus belle et ne se termina qu'en 1730, par une transaction passée entre RR. PP. D. Jan Le Normant, prieur ; D. François Thebault, sous-prieur ; D. René Moulin ; D. Bonaventure Hervieu ; D. Barthelemy Dandin ; D. Jean-Baptiste Morin ; D. Louis du Boys, procureur ; D. Claude Le Garellès ; D. Jean Pennel et frère François Neuzic, composant la communauté de Bégard, ordre de Cîteaux, d'une part ; et Messire Joseph-Marie Raison du Cleuziou, d'autre part. Cette transactien consacrait tous les droits prétendus par M. du Cleuziou. Le procès n'avait pas été sans aigreur ; mais les religieux s'étaient enferrés. Ils accusaient M. du Cleuziou d'avoir falsifié les armes de l'abbaye, qui étaient celles de Bretagne et qui se trouvaient en la chapelle de Bré et d'y avoir, en mutilant quelques hermines dont on avait fait des annelets, substitué celles du Cleuziou, qui sont aussi d'hermines à trois annelets de sable. M. du Cleuziou répondait : « à côté des prétendues armes de votre abbaye, que vous dites mutilées par moi, et en alliance, se voit un écusson vairé ; voulez-vous me dire comment une abbaye a des alliances, et avec qui un de vos abbés s'est marié jadis ? — Or, moi j'ai des alliances, et cet écusson, juxta-posé au mien, est celui des Kergorlay, vairé d'or et de gueules et il est là, parce que un de mes ancêtres maternels, Mahé du Cleuziou, épousa au XVIème siècle, Jeanne de Kergorlay ». L'argument portait : les moines le sentirent. Ils s'avisèrent alors qu'ils avaient eu jadis deux abbés de la maison de Kernavanois, qui porte vairé d'or et de gueules, au canton d'argent semé de cinq hermines. Ce fut une précieuse découverte, et D. du Boys, le procureur de l'abbaye, qui paraît avoir été l'âme de cette affaire, dans les derniers temps, et que la lettre suivante fera connaître, se promettait de l'exploiter avantageusement contre M. du Cleuziou.

« Bégar, ce 11 juillet 1729. — Mon très-Révérend et très-honoré Prieur, MM. le procureur du roy et l'alloué de Lannion, Kervennou et Desportes, ont passé ici ce matin pour aller à Rennes. Les deux premiers y vont à ce que l'on m'a dit pour les instigations que leur suscite M. de Garjean ; mais je crois bien qu'ils feront leur possible pour nous faire supporter l'endos de l'affaire de Lannion. Le nommé Geffroy vient d'être condamné à être pendu et à avoir la langue coupée, en confirmation de la sentence des juges de Lannion. Je crains fort qu'étant auparavant appliqué à la question, il ne déclare avoir commis les crimes sous notre fief. Le commissaire, en le tournant un peu, pourra peut-être bien le porter à ce faux ou vrai aveu. J'ai averti M. Riou de tout, et aussitôt que le condamné passera par ici, je me rendray au moment à Lannion pour sçavoir le vent du bureau, afin de pouvoir vous en informer. J'ay été surpris, mon très-honoré prieur, de ne pas recevoir, l'ordinaire dernier, de vos nouvelles, et surtout par rapport au jugement de Geffroy. Pitteu, par erreur, m'a mandé que c'estoit Le Goff qui avoit été condamné à être pendu, et qu'à l'égard des autres on avoit tardé de faire droit jusqu'à exécution de l'arrêt.

Monseigneur de Tréguier nous surprit ici le samedy au soir, en nous envoyant seulement un exprès une petite demi-heure avant son arrivée. Nous fîmes de notre mieux. Il en partit le dimanche à six heures pour faire sa visite à Coatascorn et de là à Tréguier.

J'arrive dans le moment de Bré avec le dénommé dans le petit billet, qui m'a fait voir clair comme le jour, que ce sont les armes de M. l'abbé de Kernavanois qui sont à Bré, et les mêmes que celles de Saint Efflam. Nous avons mal exposé que c'étoient toutes des hermines qui étoient dans la partie de Bretagne : il n'y avoit que les cinq premières qui formoient le premier quartier de Bretagne. Le second quartier, directement au-dessous, étoit trois vaires dont on a visiblement pratiqué des hermines, et les trois annelets ont été pratiqués dans les vuides entre les vaires. Jeudy prochain, je vous envoiray une description dudit écusson, parce qu'il est tard et que je veux faire partir Quilgars demain à quatre heures. Les hermines d'en bas et les hermines d'en haut sont toutes différentes ; celles pratiquées au dépens des vaires ont des pointes dans le bas et sont beaucoup plus larges et au niveau des autres vaires, et les hermines du franc quartier d'en haut n'ont point de pointe et sont beaucoup plus étroites et plus allongées. Rien n'est si facile que de faire d'un vaire une hermine. Tous céans se portent bien, à l'exception de dom Bonaventure et de Dandin qui ne sont pourtant que faibles et point alités. J'ay l'honneur d'être, avec un profond respect, votre très-humble et très-obéissant serviteur, F. du Boys. ».

P. S. « Consultez sur la situation présente de l'écusson qui, pour sûr, est telle que je vous l'expose, et s'il ne conviendroit pas de présenter une nouvelle requête en forme de désistement de ce que nous avons avancé que la partie de Bretagne était toute d'hermine et qu'on y avoit pratiqué trois annelets au dépens de trois desdites hermines, ce qui n'est pas vray, puisque les hermines sont pratiquées en l'endroit et au dépens des vaires ».

Ou je me trompe, ou D. du Boys était un rusé compagnon, et ceux qui l'avaient nommé procureur de l'abbaye, n'avaient fait que rendre justice à son genre spécial de mérite.

L'adversaire, M. du Cleuziou, n'était pas de même nature et je le crois tout-à-fait incapable d'avoir falsifié les armoiries d'autrui pour y substituer plus ou moins adroitement les siennes. En effet, M. Joseph-Marie du Cleuziou vécut et mourut en odeur de sainteté. Nous avons ses mémoires écrits de sa main, en trois ou quatre pages. Je ne crois pas qu'il existe une autobiographie plus franche et plus sincère dans son exquise simplicité, et je ne résiste pas au plaisir de mettre sous les yeux du lecteur ce portrait en pied d'un gentilhomme breton « fait par lui-même ».

« Je suis né à Lannion, le 8 février 1685, baptisé dans l'église paroissiale, et tenu sur les fonts par deux pauvres de l'hôpital. On me donna les noms de Joseph-Marie. J'avois quatre sœurs, dont deux religieuses, une mariée, et l'autre est morte fille. Je perdis mon père à l'âge de sept ans. Ma mère nous mena l'année suivante à Tréguier, où elle mourut deux ans après. Mon tuteur m'envoia chez le recteur de Chàtelaudren, où je fus deux ans. D'où j'allai au collège, à Rennes, où j'eus le malheur de trouver des libertins, qui abusèrent de ma facilité pour me corrompre. Je fus admis à la congrégation de la Sainte Vierge ; je reçus le petit habit du Mont-Carmel et fus reçu à la confrérie du Rosaire. Ces protections de Marie m'ont préservé de bien des malheurs, tant à Rennes qu'à Paris et au service, où j'entrai, dans la seconde compagnie des mousquetaires, au mois de mars 1703. J'y fis campagne, en Flandre et en Allemagne. J'avois perdu mes chevaux et mon équipage en Allemagne, à l'exception de mon cheval de compagnie, qui me rendit à notre quartier de Nemours et qui y mourut aussi ; et comme je n'étois pas en état de me remonter, ne touchant guère d'argent de la maison, depuis que mon tuteur, qui m'avoit fait émanciper, ne se mêloit plus de mes affaires, je quittai le service en 1705 et je me rendis à la maison que je trouvai bien délabrée, par le défaut de réparations, et sans aucun meuble. Je pensai donc à m'établir. Pour m'y disposer, je fis une retraite au séminaire de Tréguier, et Dieu me fit la grâce de rencontrer une épouse vertueuse et de bonne maison — (Marie-Anne Hingant de Kerduel), — avec une bonne dot en rente et en argent, ce qui me mit en état de me meubler et de m'arranger. J'épousai le 29 juin 1706, et Dieu bénit notre mariage de trois enfants : Madeleine-Jeanne, Pierre-Jean-Marie et Elisabeth. Mais au bout de cinq ans et trois mois, j'eus le malheur de perdre mon épouse. Je pensai alors à me rendre d'Eglise ; mais comme mes enfants étoient en fort bas âge et demandoient mes soins, et que d'ailleurs j'avais entrepris de rebâtir ma maison, je demeurai dans l'état où j'étois. L'éducation de mes enfants et mon bâtiment m'occupèrent longtemps, et dans la suite je me trouvai chargé d'une tutelle fort onéreuse et de procès qui demandoient toute mon attention. Mon fils ayant épousé Mlle de la Boëssière, en 1740, je pensai à me retirer du monde ; mais elle mourut au bout de l'an, sans lui donner d'héritiers. Ma fille cadette tomba aussi dans une maladie de langueur, dont elle est morte. Je ne pus me résoudre à quitter mes enfants dans cet état. Mais après la mort de ma fille, mon fils ayant épousé Mlle Françoise-Claude de Kergariou de Kergrist, de bonne maison, riche et de bonne conduite, je pensai à travailler uniquement à mon salut. J'allai d'abord à la Chartreuse d'Auray, au mois de juin 1746 ; mais n'y ayant pas trouvé le P. Prieur, qui étoit allé au chapitre à Grenoble, je ne pus avoir de réponse positive. Sur ces entrefaites, les Anglais ayant entrepris le siége de Lorient, je m'y rendis avec les autres gentilshommes. D'où étant allé au Port-Louis et passant auprès des Recollets de Sainte-Catherine, je fus inspiré de m'y retirer ; et ayant communiqué mon dessein au père Supérieur, ex-provincial, j'y passai six mois, au bout desquels je pris l'habit du Tiers-Ordre de saint François, et, un an après, je fis profession entre les mains du même père Supérieur, à présent Provincial. Je passe tous les ans quatre mois dans cette communauté, y vivant comme les religieux, et le reste de l'année au Cleuziou ou au Guerlosquet. Je dis tous les jours les petites Heures canoniales, ou l'Office de la Sainte Vierge, Vêpres et Complies, sept Pater et sept Ave pour la confrérie du Mont-Carmel ; je dis aussi tous les jours l'Office de la sainte Croix et le Chapelet, le plus souvent qu'il m'est possible, hors le temps que je suis en voyage ou malade. Je fais abstinence les mercredye et les Avents. Je me conforme cependant aux maisons où je me trouve pendant les Avents et les mercredys, ne voulant pas que l'on fasse d'ordinaire particulier pour moi : le tout suivant les règles qu'en a faites notre père Saint François. Je suis aussi associé à la Frairie Blanche, établie dans l'église Notre-Dame de Guingamp, par le duc Pierre II, pour entretenir l'union entre l'Eglise, la noblesse et le tiers-état. Je désire être participant des prières et bonnes œuvres qui s'y font. Telles sont les résolutions que j'ai prises, comme il est porté par la règle ; le tout à la plus grande gloire de Dieu. Amen. — Au Guerlosquet, le 28 aoust 1752. — Joseph-Marie RAISON, Frère du Tiers-Ordre de la Pénitence ».

Au-dessous, une main étrangère a écrit. « M. Du Cleuziou est mort au Cleuziou, le 20 janvier 1754 ».

(M. S. Ropartz).

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