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La chapelle Notre-Dame de Bonne-Nouvelle ou Saint-Yves de Lannégan à Lanrivain.

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Lannegan... le lieu du combat.

Si, dans les lignes qui précèdent, le Maire de Lanrivain et le Président de l'Association n'ont rien celé des concours qui leur furent apportés pour la restauration de la chapelle de Lannegan, la modestie leur a fait taire que cette aventure a germé dans la tête et dans le cœur des gens d'ici, en cette commune au faîte de l'Argoat, sur son versant atlantique.

Avec eux, autour d'eux, l'Abbé Pierre Bournot, Albert Le Goff, Jean Connan, Théophile Le Ny et tant d'autres, des agriculteurs et des retraités, ils ont pris conscience que ce tas de pierres envahi de végétation était leur commun patrimoine, et qu'il n'y avait rien d'autre à faire qu'à l'arracher à un demi-siècle d'indifférence. Par cette salutaire réaction, surmontant leurs diversités, ils se sont unis non seulement pour restaurer un lieu de culte, mais encore pour rendre à la vie une « chose de beauté » chantée par le poète. Est-ce assez surprenant, et réconfortant, exemplaire aussi ?

Chapelle de Lannegan en Lanrivain (Bretagne).

Après quoi, le reste leur a été donné par surcroît : l'aide financière de l'Etat, celle du Département, tous les concours nécessaires... Oh bien sûr ! il a fallu du temps et des démarches, et organiser des festou-noz pour emplir les caisses. Mais on sait bien ici qu'aucune terre ne produit sans qu'on la force et que quatre années ne pèsent rien auprès de quatre siècles restitués dans leur fraîcheur, dans leur splendeur désormais perceptibles quoique inachevées, dans leur fragilité aussi qu'on a pu mesurer tout au long de ces décennies de ruine et de silence.

Autrefois, on eût gravé tout cela dans le granit, en abréviations sibyllines pour le commun, à déchiffrer sur place, sous le lichen. Au siècle de l'image, c'est cette plaquette mille et mille fois reproduite et qu'on emporte avec soi qui désormais fera date et dira ce qui fut fait, et comment, et par qui. Au pardon de Saint Yves et de Notre-Dame de Bonne-Nouvelle, le cantique chantera aussi cette belle histoire.

Qui nierait qu'elle soit exemplaire ? Tant de ruines, chargées d'ans, d'histoire et de légende, endormies sous d'identiques végétations, en proie à la rigueur des temps, à l'indifférence des hommes quand ce n'est pas aux dépeceurs et aux pillards, n'attendent qu'un semblable sursaut du cœur et de l'esprit. Lannegan montre une voie, celle de l'effort, avec, au bout du chemin, la renaissance.

Lanrivain (Bretagne) : chapelle de Lannegant.

A l'histoire, ici incertaine et presque muette, je préfère la légende, confortée par l'étymologie, même fragile et contestable : Lannegan... le lieu du Combat. Cette restauration fut aussi un combat. En ce lieu, aujourd'hui, il est gagné. Pourquoi pas demain, ailleurs ? (Christian Pellerin).

En ruines depuis cinquante ans, la chapelle de Lannegan a retrouvé vie. Comme bon nombre de chapelles de la Bretagne intérieure, éléments importants de la vie rurale traditionnelle, elle avait été peu à peu abandonnée. Elle n'avait jamais eu, au contraire de la chapelle du Guiaudet toute proche, un pardon renommé, garant de sa survie. A l'écart des grandes routes, dissimulée dans le bocage, elle apparaît, à qui sait la découvrir, au détour d'un chemin creux bordé d'ajoncs. Elle est au centre d'un village niché en contrebas de la route et protégé par un rideau d'arbres séculaires. Formé d'habitations relativement récentes, le hameau présente une grande unité, due principalement à l'usage d'un même matériau, un granit beige extrait d'une carrière des environs.

L'origine du toponyme Lannegan reste mystérieuse. La tradition orale rapporte qu'en cet endroit, les seigneurs voisins du Gollédic et du Grand-Launay se livrèrent un combat acharné ; nul ne sait quelle en était la cause et quelle en fut l'issue. Mais le vainqueur avait fait vœu d'ériger une chapelle en l'honneur de Notre-Dame. C'est pourquoi l'étymologie populaire interprète le nom de Lannegan par Lann g-Kann : le lieu du combat. Cette interprétation est sans doute le fruit de l'imagination pour s'expliquer un mot que l'on ne comprenait plus. Il semble plus vraisemblable d'y reconnaître le « Lann », c'est-à-dire le « territoire consacré » d'un saint éponyme dont on a perdu le souvenir, et l'existence d'une chapelle vient à l'appui de cette hypothèse. Rappelons également que les textes du XVIIIème siècle orthographiaient le toponyme : « Lanegant », ce qui nous éloigne encore un peu plus de la racine « Kann » : combat. Mais il est bien possible que, dans le passé, le territoire ait été l'enjeu d'une lutte d'influence, ou d'un conflit de prééminences comme il y en eut tant, entre les détenteurs des seigneureries toutes proches dont les manoirs du Gollédic et du Grand-Launay conservent encore le souvenir, et de là serait née la légende du combat.

Notre-Dame de Lannegan dépend de la paroisse de Lanrivain. Jusqu'en 1807, Lanrivain était elle-même, ainsi que Canihuel, Kérien et Sainte-Tréphine, une « fillette » c'est-à-dire une trève de la paroisse de Bothoa. Une trève était, à l'origine, un hameau ou une portion excentrique d'un territoire paroissial trop vaste, où les nécessités du ministère religieux avaient déterminé l'établissement d'une chapelle, érigée par la suite en « succursale » de l'église paroissiale. Ces succursales ont été généralement transformées par l'administration moderne en paroisses et communes. La paroisse de Bothoa était en effet particulièrement vaste : avec ses quatre trèves, elle s'étendait sur vingt-huit kilomètres du Nord au Sud, vingt-trois kilomètres d'Est en Ouest et couvrait près de quatorze mille hectares entre le Blavet et le Sullon. C'était la plus grande paroisse de l'actuel département des Côtes-du-Nord. En 1860, la paroisse et le doyenné de Bothoa ont été transférés au Pélem, l'ancienne chapelle du château, dédiée à Saint-Nicolas, devenant alors église paroissiale. Bothoa relevait de l'évêché de Quimper et Lanrivain appartient donc à la partie cornouaillaise des Côtes-du-Nord (aujourd'hui Côtes-d'Armor).

Le pardon était toujours célébré à date fixe, le dimanche suivant le 19 Mai. Il réunissait les habitants du village et de toute la paroisse en l'honneur de Notre-Dame de Bonne-Nouvelle et de Saint Yves. Le dernier pardon a été célébré en 1925. Lors des processions on y chantait le cantique à Saint Yves de Tréguier et on portait les bannières qui, depuis, ont été déposées à la chapelle du Guiaudet. Le nouveau cantique retrace la légende de la fondation et l'histoire de la restauration de Lannegan. Autrefois les cérémonies étaient suivies d'une vente aux enchères de blé et de cochons de lait dont le produit servait à l'entretien du desservant. Les comptes de 1790 en font déjà état : la vente avait rapporté vingt-six livres deux sous qui représentaient le revenu le plus important de la fabrique de Lannegan.

La première mention de Notre-Dame de Lannegan remonte à 1671 : le 11 Octobre, Jean Cozic, de la métairie noble du Colledic, y est inhumé [Note : Archives départementales des Côtes-d'Armor. Registres paroissiaux Lanrivain]. Dans l'Ancien Régime cette pratique n'était pas exceptionnelle ; il dut y avoir d'autres inhumations, ce qui explique qu'on ait retrouvé de nombreux ossements lors de la restauration de la chapelle.

Le 11 Février 1673, un mariage y est célébré dont les bans avaient été publiés au cours de la grand' messe.

Puis il faut attendre 1790 pour en retrouver la trace : le 23 Octobre, Henry Le Flohic, fabricien en charge de la chapelle, présente ses comptes. Il y est question d'une fondation privée de Joseph Jannou, des achats d'une petite cloche et d'une burette. Le procés-verbal d'inventaire des biens mobiliers de la chapelle en 1794, fait état :
« d'un calix d'argent et platine, quatre chandeliers de cuivre jaune, une Iambe (une lampe) de pareil métal ...... une cloche nommée Eusèbe-Marie pesant environ 200 Livres » (qui fut sans doute livrée au Directoire et fondue). Il y avait aussi dans la chapelle « une armoire de bois mêlé estimée 6 Livres » [Note : Archives départementales des Côtes-d'Armor. Série 2 G. Bothoa].

Selon l'érudit René Couffon, la chapelle aurait été vendue comme bien national en 1810. Les textes ne confirment pas cette information, mais en 1840 l'édifice appartient à la commune.

En 1852, on acheva le lambris. En 1866, la charpente et la couverture furent remises à neuf et en 1885, le pavage était refait (Archives paroissiales de Lanrivain). En 1927, la toiture s'effondra.

L'étude des documents ne permet pas actuellement d'attribuer à un quelconque seigneur fondateur la construction de la chapelle. Les diverses notices jusqu'ici publiées affirment l'existence d'un aveu daté de 1579, dans lequel Ysabeau Budes et son époux Barthélemy Pinart, seigneurs de Cadouallan en Ploumagoar se déclareraient seigneurs fondateurs de la dite chapelle. Cette affirmation n'a jamais pu être vérifiée d'autant qu'une confusion est possible avec un Lannegant en Plusquellec (Côtes-d'Armor).

Il existe bien en effet un aveu daté de 1583 dans lequel Barthélemy Pinart se qualifie seigneur de Cadouallan, Lotermen et Lannegant et se reconnaît posséder des fiefs dans les paroisses de Trézélan, Botlézan, Coatascorn, Guénézan et Lanneven mais il n'est pas question de Lanrivain. Or, dès 1546 et jusqu'en 1649 les Pinart, seigneurs de Cadouallan, tiennent des convenants (terres en fermages) à Lanrivain sous la seigneurie des Kervilio.

Quant à un éventuel lien entre la chapelle Notre-Dame et le manoir du Gollédic, aucun des aveux de cette seigneurie rendus en 1649 et 1691 n'en fait mention, pas plus que ceux des autres seigneuries (Beaucours, Kerbastard, Kerguillio, Le Pellinec) qui prétendaient avoir des droits dans la trève de Lanrivain.

Néanmoins, l'écu frappé d'une croix à la traverse pommetée ou tréflée qui surmonte la porte de la chapelle Sud laisse supposer qu'il y a bien eu fondation privée. Il n'a pu être identifié.

Faute de documents c'est donc dans l'étude de l'édifice lui-même qu'il faudra chercher des indications sur l'histoire de sa construction. Comme la majorité des édifices religieux, la chapelle est « orientée », c'est-à-dire que son chœur regarde à l'Est. L'édifice se présente comme un long vaisseau rectangulaire unique sur lequel se greffe au Sud une chapelle, tel un bras de transept ; le vaisseau se termine à l'Ouest par un massif constitué d'un mur épais surmonté d'un clocher auquel est accolé une tourelle d'escalier dite « lanterne ». Le mur Nord de la nef et le mur Est du chœur sont les parties les plus anciennes ; la fenêtre du mur Est est à elle seule un élément de datation précis : sa forme en arc brisé aigu, le quadrilobe du remplage (éléments de pierre inscrits dans le vide de la baie), la profondeur des ébrasements, tout indique une construction du 15ème siècle. La forme générale du pignon Est, très pentu, à rampants moulurés et, à l'intérieur, la continuité du banc de pierre régnant à la base des murs, confirment cette datation.

La chapelle Sud ouvre sur la nef par deux grandes-arcades dont les moulures pénètrent directement dans des colonnes ceinturées de bancs de pierre. Ce type de supports n'est pas courant et il est à noter qu'on le retrouve dans la nef de l'église de Magoar (à 3 kms au Nord). Cette structure indique généralement la première moitié du 16ème siècle ou au plus tôt la fin du 15ème siècle.

Cette double arcade s'explique par une volonté d'économie lors de l'adjonction de cette chapelle. Une ouverture complète du mur latéral du vaisseau aurait nécessité une prouesse technique de charpenterie, évitée par le percement des deux arcades et le maintien du mur-gouttereau qui les surmonte ; ceci a permis de ne pas déposer la charpente existante. Les couvrements intérieurs des deux espaces, vaisseau et chapelle, sont perpendiculaires et déterminent une croisée mais les deux vaisseaux restent individualisés. Il en résulte une disposition très rare, que l'on retrouve aussi à la chapelle Saint-Jean du Faouët (Morbihan).

Quoiqu'identiques par leur forme à la fenêtre du mur Est du chœur, les fenêtres de la chapelle Sud diffèrent nettement par leur ébrasements moins profonds et surtout par la nouvelle forme de remplage qui y est utilisé : la fleur de lys. Cet emblème royal a longtemps été considéré comme le symbole du rattachement du duché de Bretagne à la couronne de France en 1532 ; il est préférable d'y voir celui du second mariage de la duchesse Anne avec Louis XII, roi de France, en 1498. Actuellement, le plus ancien remplage de ce type connu est daté de 1507 et se situe dans la chapelle Saint-Nicolas en Gourin (Morbihan).

A la même campagne de travaux (fin du 15ème, début du 16ème siècle), il faut rattacher bien évidemment la fenêtre Sud de la nef et la porte voisine. Si le décor de cette porte reprend le vocabulaire ornemental gothique traditionnel, sa forme en accolade est peu courante et sa facture est d'une rare qualité. La porte Ouest de la chapelle latérale en reprend le contour simplifié : l'accolade n'y est pas appareillée, elle est réduite à une simple échancrure dans une grande pierre formant linteau. Elle est surmontée de l'écu armorié.

Une élégante lucarne, semblable à celles que l'on trouve dans les manoirs, s'insère curieusement entre la fenêtre fleurdelysée et la chapelle Sud. Elle n'est pas conforme à l'usage du temps, qui veut que les lucarnes soient en réalité des fenêtres « passantes », c'est-à-dire interrompant l'égoût du toit ; ici, l'appui de la baie est au niveau de la corniche et la lucarne est ainsi toute entière au niveau du toit. Il semble bien qu'il s'agisse là encore d'une reprise opérée après la construction de la nef en ménageant la charpente existante ; une reprise sans doute destinée à éclairer plus largement un vaisseau assez obscur.

On ne peut s'empêcher d'évoquer une fois encore l'église de Magoar dont la façade Sud présente trois fenêtres en lucarne d'un type semblable, dont l'une, en particulier, est tout à fait comparable à celle de Lannegan : on y retrouve le motif d'amortissement en boule (visible à Lannegan sur une photographie de 1950) et le remplage réduit ici à ses amorces, paraît identique. Il manque à cette lucarne ses crossettes, c'est-à-dire les pierres sculptées qui forment les premières assises du pignon ; elles existaient encore en 1950. A droite, il s'agissait d'un animal assis ; à gauche, subsiste la queue à écailles d'un animal fantastique, sorte de chimère ou de dragon ailé. L'exubérance de ces figures que l'on retrouve dans de nombreux édifices de la région (Lanrivain, Kerpert, Kérien, Magoar...) paraît être le trait distinctif d'une sculpture locale.

Dans son ensemble la partie Ouest de la chapelle est plus complexe. Une reprise dans la maçonnerie est apparente immédiatement à gauche de la porte Sud de la nef : la corniche est différente et un empattement mouluré court à la base du mur. Bien que reprenant un schéma ancien (clocher accosté d'une tourelle d'escalier dans le mur, gros contrefort aux angles), la façade Ouest appartient par son décor au 17ème siècle. Les singes des crossettes sont des figures rares et tardives tant par le réalisme de la facture que par le choix d'un sujet exotique. Des éléments antérieurs semblent avoir été remployés : la porte et la flèche, remontée sur le clocher, à décor « Renaissance » (losanges, calices, arc en plein-cintre à agrafe et nervures). On y devine l'influence de l'art du Val-de-Loire qui apparaît pour la première fois dans cette région vers 1530, à l'église de Bulat-Pestivien et, quelques années plus tard, à la magnifique basilique de Guingamp.

Sous son apparente simplicité, la chapelle Notre-Dame est donc un édifice complexe, fruit de campagnes de constructions successives, de reprises, d'additions. Elle est bien typique, à cet égard, de l'architecture religieuse traditionnelle en Bretagne, où chaque nouveauté stylistique ou technique a provoqué des modifications et des changements de parti dans les chantiers en cours.

MOBILIER.

La chapelle conserve un ensemble assez exceptionnel de quatre autels et de consoles moulurées destinées à supporter des statues. Celles-ci ont été dispersées après l'effondrement de la toiture en 1927 et réintégrées après la restauration.

Le groupe de Saint Yves entre le riche et le pauvre (17ème siècle) est d'une grande qualité. Le thème est bien connu : l'avocat départage équitablement le riche à sa gauche et le pauvre à sa droite. Le riche, représenté en courtisan, semble tout droit sorti d'une comédie de Molière. Le pauvre (figure volée en 1967) a été remplacé récemment par une sculpture de M. Pierre Philippe, de Saint-Nicolas-du-Pélem.

Le Christ en Croix (début du 18ème) est impressionnant par ses grandes proportions.

La Vierge à l'Enfant (première moitié du 17ème siècle) était promenée sur un brancard lors de la procession ; malheureusement la tête de l'Enfant Jésus est mutilée.

Une cloche de bronze est toujours pendue dans le clocher. Elle porte l'inscription suivante : JE M'APPELLE PIERRE MARIE, PARRAIN PIERRE HERVEZ, MARRAINE MARIANNE LE GOUARDAN EPOUSE DE M. TERVEZ, FABRIQUE, DON FRANÇOIS LE PENNEC DESSERVANT, BRIENS F. A MORLAIX, DEDIÉE POUR LA CHAPELLE DE LANNEGANT COMMUNE DE LANRIVAIN. Elle est ornée d'une croix à rinceaux érigée sur un tertre et d'une vierge de Bonne-Nouvelle.

Sources manuscrites :
A. D. 22 : E. 929. E 10 V12, Registres paroissiaux
A. D. 35 ; 1 F 1263, I F 1268.
A. M. H. Rennes : dossier 18- IX- 1950.
A. P. Lanrivain.
Sources imprimées :
Audo (Abbé), Bothoa et ses trèves…, Annuaire des Côtes-du-Nord, 1847 p, 41.
Couffon (René), Répertoire des églises et chapelles du diocèse de Saint-Brieuc et Tréguier (1939).
Frotier de la Messelière (Vicomte H.). Le pays de Quintin, son passé, ce qu’il en reste, 1947, p. 26, pl. XI-XII : dessins du 26 octobre 1931.
Frotier de la Messelière (Vicomte H.). Saint-Brieuc, principal centre touristique des Côtes-du-Nord, Société d'Emulation des Côtes-du-Nord, 1932.

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