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Le nom-adjectif ethnique propre à Langrolay est langrolaisien. Il se disait déjà vers 1937.

Les armes qui figuraient en maint exemplaire sur l'église, du XVIème siècle à la Révolution, étaient d'azur à dix billettes d'argent, poséess 4, 3, 2 et 1 (procès-verbaux des 27 janvier 1623 et 9 avril 1681, aux archives de Beauchêne). Il s'agissait des armes de la famille de Beaumanoir. Les Beaumanoir de Beauchêne, issus de la branche du Besso (en Evran), étaient en effet seigneurs fondateurs de la paroisse.

Langrolay était une paroisse du diocèse de Saint-Malo dès 1437 (Arch. de la Loire-Atlantique, B 1297/4). Cette paroisse a élu sa première municipalité au début de 1790. Le nom de la commune est devenu Langrolay-sur-Rance par le décret du 25 novembre 1970.

Par l'arrêté préfectoral du 2 mars 1973, Langrolay-sur-Rance a été associé à Plouër-sur-Rance pour former Plouër-Langrolay-sur-Rance.

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Plusieurs monuments anciens subsistent à Langrolay :

1) L'église Saint-Laurent semble être, comme le château, des premières années du XVIIIème siècle ;

2) Le château de Beauchêne, propriété de la famille de Saint-Jouan, a été construit par Jacques Gouin de Beauchêne avec les bénéfices de ses expéditions dans les Mers du Sud (1698-1701) ;

3) Le petit pont appelé la Voute, avec un portail daté de 1659, passe au-dessus d'un chemin creux qui longe la propriété de Beauchêne ;

4) Les croix de la Ville-Daniou, dont l'une semble du haut Moyen Age et l'autre, plus récente, à double traverse, appartient à un type propre au pays de Dinan ;

5) La croix Boissière au hameau de la Ville-Chevalier.

Aucun de ces monuments n'est protégé au titre de la législation des monuments historique.

 

Par contre, il y a eu deux inscriptions de sites :

1) La pointe du Châtelet et ses abords, ainsi que les moulins des Rochettes, inscrits le 5 novembre 1945 ;

2) Le reste du littoral comprenant notamment la grève du Morlet, inscrit le 21 janvier 1974.

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Le 7 août 1944, à l'arrivée des troupes américaines, un obus allemand tiré du clocher du Minihic-sur-Rance a tué une dizaine de personnes, dont deux soldats américains, à la Bénatais. Les noms des victimes civiles ont été inscrits sur le piédestal de la croix de la Bénatais.

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Le souvenir de deux personnages conmus, ayant vécu à Beauchêne, est attaché à l’histoire de Langrolay :

1) Jacques Goüin de Beauchêne, seigneur de Beauchêne, né et mort à Saint-Malo (1652-1730). En 1698, il commanda la première expédition française dans les Mers du Sud. Au détroit de Magellan, il prit possession, au nom du roi, d’une île qu’il appela île Louis-le-Grand. Il remonta ensuite les côtes du Chili puis il regagna la Rochelle en 1701 en doublant le cap Horn et en découvrant à l’est de la Terre de Feu, une île à laquelle il donna son nom, l'île Beauchêne (une des îles Malouines, aujourd’hui îles Falkland). Il fut lieutenant général de l’amirauté de Saint-Malo ainsi que son fils ;

2) Louis-Joseph comte de Querhoënt, né à Saint-Malo en 1784. D'abord officier de hussards, il participa aux guerres de l'Empire et de la Restauration de 1809 à 1826. Sous la IIème République, il fut membre de l'Assemblée législative du 13 mai 1849 au 2 décembre 1851. S'intéressant à l'arboriculture, il fit planter dans le parc de Beauchêne des essences rares. Il mourut à Beauchêne le 3 février 1866.

(Bulletin d'informations des maires).

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