Web Internet de Voyage Vacances Rencontre Patrimoine Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Bienvenue !

JULES VERNE

  Retour page d'accueil      Retour "Ville de Nantes"  

Boutique de Voyage Vacances Rencontre Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Boutique de Voyage Vacances Rencontre Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Quelques repères chronologiques sur la vie de Jules Verne (1828 - 1905)

 

Jules Verne

« L'an mil huit cent vingt huit, le huit février à trois heures du soir, devant nous soussigné adjoint et officier de Gabriel l'état civil, délégué de Monsieur le Maire de Nantes. Chevalier de la Légion d'Honneur, a comparu Monsieur Pierre Verne, avoué, âgé de vingt neuf ans, demeurant rue de Clisson quatrième canton, lequel nous a présenté un enfant, du sexe masculin, né ce jour à midi, de lui déclarant et de dame Sophie Henriette Allotte son épouse âgée de vingt sept ans, et auquel enfant il donne les prénoms de Jules Gabriel - les dites déclaration et présentation faites en présence de Messieurs François Jacques Jean Marie Tronson, juge d'instruction au Tribunal Civil de Nantes, âgé de quarante ans, demeurant rue de Bel Air, et Alexandre Verne propriétaire, âgé de quarante cinq ans, demeurant place Royale, lesquels ainsi que le père ont signé avec nous le présent acte, d'après lecture leur faite. Joseph Doucet, Pierre Verne, François Tronson, Alexandre Verne » (Extrait des Registres de l'État Civil de la Ville de Nantes conservés aux Archives de la Mairie). 

   

Le 8 Février 1828, naissance à Nantes, rue Olivier de Clisson (dans l'île Feydeau), de Jules Gabriel Verne, fils de Pierre Verne originaire de Provins et de Sophie Allotte de la Fuye, mariés le 19 février 1827 en l'église Sainte-Croix. Son père, l'avoué Pierre Verne, qui exerçait à Nantes (au n° 2 du Quai Jean Bart), était fils d'un juge au tribunal de Provins. Peu s'en fallut qu'à son tour le jeune homme n'entrât dans la basoche, sinon dans la magistrature. En tout cas, il fit son droit, ou feignit de le faire. Après avoir été un écolier moyen, il ne fut qu'un étudiant médiocre. Ce qui prouve, une fois de plus, qu'il n'est pas nécessaire d'avoir brillé au collège pour triompher dans la vie et que la précocité des enfants ne signifie pas grand chose.

Destiné primitivement à reprendre la charge paternelle, Jules Verne eut besoin de toute son énergie pour échapper à un sort qu'il considérait comme fatal. Il se sentait possédé par le démon littéraire et n'avait pas la moindre envie qu'on l'en exorcisât.

En 1829, la famille Verne s'installe quai Jean Bart à la naissance de Paul, frère cadet de Jules. A son frère Paul viendront succéder trois filles (Mathilde, Anna et Marie). En 1837-1847, Jules Verne fait ses études à Nantes : au collège Saint-Stanislas [Note : dans un extrait du palmarès des prix décernés aux élèves le 22 août 1839, on pouvait lire " classe de sixième : Jules Verne de Nantes, 3ème accessit de géographie "], au Petit Séminaire et au Collège Royal. En 1839, il tente de fuguer en tentant de s'embarquer sur le long courrier « La Coralie » ancré à Paimboeuf et en partance pour les Indes.

En 1844, Jules est élève de Rhétorique et fréquente, avec ses amis Genevois et Maisonneuve, le « Cercle des Externes » chez le Père Bodin, libraire. Il écrit une première tragédie en vers qui n'a guère de succès. En 1847, fiançailles puis mariage de Caroline, sa cousine tant aimée, à qui il porta beaucoup d'affection. En  1847, Jules Verne commence sa licence de droit à Nantes. Jules part à Paris passer un premier examen de droit et pour terminer ses études.

Malgré les hésitations de ses parents, Jules et son ami Edouard Bonamy se rendent à Paris le 10 Novembre 1848, et trouvent pour loger une chambre au 24 de la rue de l'Ancienne Comédie, dans le quartier de l'Odéon.

Ayant, obtenu d'aller à Paris, Jules Verne se croit d'abord né pour la scène et s'empresse de se lier avec un certain nombre d'auteurs dramatiques, dont quelques-uns avaient déjà fait leurs preuves, dont les autres comptaient les faire plus, tard, ou ne devaient jamais les faire. En 1849, Jules Verne fait la connaissance d'Alexandre Dumas et fréquente différents salons Parisiens. Il rencontre Girardin et Théophile Gautier. Il se passionne alors pour la Comédie. Le 21 février 1849, il assiste à la première de la " Jeunesse des Mousquetaires " dans la loge d'Alexandre Dumas. Avec quelques amis écrivains, musiciens, peintres, Jules institue un dîner périodique, qu'il surnomme celui des « Onze sans femmes »

En 1850, il avait vingt-deux ans, grâce à l'amitié d'Alexandre Dumas, le théâtre historique donne les Pailles rompues le 12 juin 1850, un acte en vers qui aura exactement douze représentations. La pièce est jouée à Nantes le 7 novembre 1850 au théâtre Graslin.

Mme Marguerite Allotte de la Fuye (qui a décrit la vie de Jules Verne dans l'ouvrage " Jules Verne, sa vie, son oeuvre "), bien qu'elle soit la nièce de Jules Verne, ne cherche pas à nous tromper sur la valeur de son oncle en tant que poète et que dramaturge. Et pourtant il persista dans cette voie qui n'était pas la sienne. La comédie des Pailles rompues ne fut pas un enfant unique, elle eut plusieurs petites soeurs débiles comme elle et vouées à une mort aussi prompte. Il est vraiment curieux de voir comment on peut s'abuser soi-même sur sa propre vocation...

En  1851, Jules Verne rencontre Jacques Arago. Il devient secrétaire du Théâtre Lyrique de 1852 à 1854, jusqu'au décès de son directeur, nommé Sevestre.

En 1853, il écrit « Martin Paz » puis « Maître Zacharius », en 1854. En mai 1856, Jules  Verne se rend à Amiens et fait la connaissance d'Honorine de Viane (sa future épouse). Il entre alors, la même année 1856, chez Eggly, agent de change, rue de Provence. Avec Charles Maisonneuve, Jules Verne, aidé financièrement par son père, décide d'acheter une part de la charge d'Eggly pour 50.000 Frs. 

Le 10 Janvier 1857, Jules Verne épouse Honorine Hebe Morel (ou Honorine de Viane), née du Fraysne de Viane dans la mairie du 3ème arrondissement à Paris. Cette dernière, était veuve à 26 ans et mère de deux enfants. Le couple s'installe Boulevard Poissonnière.

Le 25 Juillet 1859, Jules Verne s'apprête à partir pour l'Angleterre et l'Ecosse, où il sera amené à visiter plusieurs villes, entre autres Edimbourg et Liverpool..

L'inspiration est comme l'instinct, une de ces choses mystérieuses dont on perdrait son temps à vouloir chercher l'origine. La maison où Jules Verne est né se trouve dans une île de la Loire, et Mme Aliotte de la Fuye voit là une sorte de prédestination. Je pense qu'il vaut mieux n'y voir qu'une coïncidence. Il y a beaucoup d'îles dans son oeuvre, mais qui n'ont aucun rapport avec une île de la Loire. Et, personnellement, Jules Verne ne devait pas éprouver un grand attrait pour les îles, non  plus d'ailleurs que pour les mers ou les continents lointains. Il a fort peu voyagé : une première escapade en Ecosse avec un ami, un bref aller et retour en Amérique, une croisière en Méditerranée, c'est à peu-près tout. Il travaillait surtout d'après les livres et d'après ses visions intérieures. Son extraordinaire imagination et ses lectures lui suffisaient.

En 1860, il rencontre Nadar avec qui il échange de nombreuses informations surtout sur la navigation aérienne. Le 1er Juin 1861, il fait jouer une comédie intitulée « Onze jours de Siège ». Le 15 Juin 1861, il visite la Scandinavie (Norvège) en compagnie de son ami Hignard.

Le 3 Août 1861, naissance de son fils Michel. En Automne 1862, première rencontre avec HETZEL (son futur éditeur). Parution de « Cinq Semaines en Ballon » en 1863. L'éditeur Hetzel accepte le manuscrit de « Cinq semaines en ballon » et signe un contrat avec Jules Verne, qui doit fournir deux volumes par an pendant 20 ans. Par ce contrat, Jules Verne percevra 20.000 Francs par an, soit 10.000 Francs par volume.

Ce furent Nadar et son ballon le « Géant » qui déclenchèrent chez Jules Verne l'idée peut-être latente jusqu'alors en lui d'écrire "Cinq semaines en ballon". Encore ne l'écrivit-il que sous la forme d'une narration scientifique assez froide. Et ce fut l'éditeur Hetzel qui lui conseilla d'en tirer un roman. Le livre parut pour les étrennes de 1863, avec un succès presque foudroyant. Jules Verne avait trouvé sa formule d'expression, celle qui lui convenait par-dessus toutes les autres et qui n'appartenait qu'à lui. Elle lui a fourni la matière de cent quatre volumes que des générations de petits français ont lus et relus et qui ont été traduits dans les langues de l'univers entier. D'où lui est venue cette formule, à laquelle il n'a nullement songé au cours de sa jeunesse et qu'il n'a réalisée que vers trente-cinq ans ?

Parution en 1863 de « De la terre à la lune » en feuilleton. Fort de son succès, Jules Verne décide de quitter la Bourse la même année.

Parution en 1865 du « Voyage au centre de la terre ». Il achète son premier bateau le « Saint Michel I » à la même époque.

Le 20 Mars 1866, Jules Verne quitte Paris et s'installe au Crotoy (en Somme).

En 1867, Jules Verne traverse l'Atlantique sur le « Great-Eastern » avec son frère Paul et visite les chutes du Niagara.

En décembre 1868, il remet à Hetzel le manuscrit de « 20.000 Lieues sous les mers ».

Ses contemporains connaissaient alors mal Jules Verne. Ils se le représentaient sous les apparences d'un globe trotter inlassable. On raconte qu'un jour, des petits Anglais se cotisèrent pour lui offrir « la plus grosse canne de Londres », qui l'aiderait à marcher dans ses pérégrinations. Une autre fois, un huissier de ministère auquel il tendait sa carte lui avança précipitamment une chaise en lui disant : « Asseyez-vous, monsieur Jules Verne vous devez être bien fatigué après tout ce que vous avez fait ! ». Mais l'ignorance du public, ou de certaines portions du public (et cette ignorance était peut-être de la mauvaise foi) alla plus loin : n'a-t-on pas prétendu, ne lui a-t-on pas affirmé à lui-même qu'il était Juif polonais et qu'il avait déserté sa patrie et sa religion à la suite d'un mariage manqué ? Bien mieux, n'a-t-on pas nié son existence et attribué la paternité de ses romans à une Société « Jules Verne et Cie », exploitée commercialement par la maison Hetzel ? Il prit ces légendes en riant. Il s'inquiétait peu des inepties qu'on pouvait répandre sur son compte. Il n'avait pas d'orgueil, il laissait sa réputation se faire toute seule à son gré. Elle était cependant immense et, même à une époque de publicité littéraire intensive, comme la nôtre, on a peine à concevoir l'importance que des foules considérables attachaient à la publication de ses oeuvres : et non pas seulement parmi la jeunesse, mais parmi les adultes et les gens cultivés.

On prétendait encore qu'au moment où le Tour du Monde en 80 jours paraissait dans les colonnes d'un journal (Le Temp), un Américain, se présenta aux bureaux du journal et, avec une impatience fébrile, demanda communication du manuscrit. Elle lui fut naturellement refusée. Alors il expliqua qu'obligé de partir pour les Etats-Unis, il était incapable d'attendre l'arrivée des journaux français à New-York pour connaître la fin de l'histoire, et, donna l'ordre de lui câbler, chaque soir le texte du feuilleton. Certifiée par le plus grand de nos quotidiens, cette anecdote doit être exacte. Elle est significative. Quel écrivain retrouvera jamais une pareille popularité ?.. Aucun écrivain ne la retrouvera probablement jamais. Le talent du romancier n'était pas seul en cause. L'état d'esprit du public et des circonstances heureuses ont contribué à sa réussite. Il faut être impartial, conserver de la clairvoyance dans l'admiration. Jules Verne avait un style coulant, mais sans éclat. Certaines de ses plaisanteries nous feraient aujourd'hui sourire. Et l'on rencontre bien des longueurs dans ses ouvrages. Le lecteur de 1860 ou de 1880 était moins difficile à satisfaire que celui de 1928 et d'aujourd'hui. Il demeurait simple, accessible à l'émotion, goûtant la bonne cuisine bourgeoise parce qu'on ne l'avait pas encore blasé par l'abus des condiments. Il lisait moins, mais il lisait mieux. Il ne passait pas d'un volume à un autre sans répit. D'ailleurs, ce que Jules Verne lui racontait était nouveau. Il inaugurait un genre. Mettre la science de l'époque à contribution, bien, mieux, anticiper sur la science future, cela n'avait pas encore été fait. C'était le moment de le faire. Il arrivait en ce milieu du XIXème siècle où la machine à vapeur commençait à transformer le monde, où  les premiers travaux sérieux sur l'électricité et sur la navigation aérienne éveillaient l'attention du peuple. Cinquante ans plus tôt, on ne l'eût guère suivi. Cinquante ans plus tard, c'eût été trop tard. Aujourd'hui, les anticipations nous amusent sans nous passionner. Nos enfants ne s'étonnent plus de rien. Ils ont des jouets merveilleux, ils voient planer des avions tous les jours, ils écoutent par la T. S. F. des voix qui parlent à cinq cents ou mille kilomètres d'eux. Quant à des romans d'aventure, on leur en fabrique en série et qui ne sont pas tous à dédaigner. Mais s'ils les lisent avec curiosité, cette curiosité ne dure pas. Un second Jules Verne, quelque soit son talent, ne saurait plus les captiver, encore moins séduire leurs pères, et les tirages fabuleux ne seraient plus pour lui. 

Sur l'homme que fut Jules Verne, Mme Allotte de la Fuye nous apporte des révélations également attachantes. Etait-il bien l'homme de son  oeuvre ?  Oui, en ce sens qu'il y avait mis, beaucoup de lui-même. Il avait, comme le capitaine Némo, son héros favori, trois passions : la liberté, la musique et la mer. Il avait aussi un humour charmant, un sens du comique dont on aperçoit le reflet dans plusieurs de ses personnages (par exemple le Passe-Partout du Tour du monde, le vieux professeur de Bourses de voyage, la fantaisie du Docteur Ox, etc.). Des extraits tout à fait amusants de sa correspondance en témoignent. Mais il avait en outre un penchant assez vif pour la gauloiserie ; il assaisonnait ses conversations de fantaisies rabelaisiennes qui étaient parfois un peu lourdes ; et cela, il n'a pas voulu le mettre dans son oeuvre. « J'ai toujours eu, écrivait-il à Georges le Bastard, le désir de composer des ouvrages tels qu'un garçon bien élevé puisse, sans rougir, les lire à ses soeurs ». Et il disait encore : « Si je ne suis pas toujours ce que je devrais être, mes personnages seront ce que je voudrais être ». Rien ne l'honore davantage que cette modestie et que ce scrupule. Il s'adressait aux enfants qui l'écoutaient comme un oracle, et il s'est appliqué à respecter leur innocence. C'était un honnête homme dans toute la force du mot.

En 1870, Jules Verne reçoit la Légion d'Honneur. Le 19 Juillet 1870, la Guerre éclate. Le 3 novembre 1871, mort de Pierre Verne, père de Jules, à Chantenay. En 1872, Jules Verne se fixe à Amiens dont sa femme est originaire. Il occupe le siège de Gresset à l'Académie amiénoise. En 1874, le Tour du monde en 80 jours au théâtre, est un triomphe. En 1874, il acquiert le bateau « Saint Michel II ».

En 1877, Jules Verne séjourne à Nantes. Le succès des adaptations de certains de ses romans joués au Châtelet et son « Histoire des grands Voyages et des Grands Voyageurs » lui permettent d'acquérir, en 1877, le « Saint-Michel III », bateau à voile et à vapeur mu par un moteur de 25 Chevaux. Il embarque en 1878 sur le « Saint Michel III » et se rend en Algérie et au Maroc. En 1879, deuxième voyage en Ecosse.

En 1880, triomphe de « Michel Strogoff » au théâtre. En 1881, il retourne en Norvège toujours sur son bateau, le « Saint-Michel III ». En 1881, il navigue jusqu'à la Mer Baltique. En 1884, il fait une croisière en Méditerranée, sur le Saint Michel III.

En 1886, Jules Verne est blessé d'une balle de révolver par son neveu Gaston, le fils de son frère Paul. Il est contraint de vendre le « Saint Michel III » dont l'entretien est excessif. Le bateau est acheté par le Prince de Monténégro. Hetzel meurt à Monte-Carlo.

En  1887, mort de Sophie Verne, mère de Jules, à Nantes. En 1889, Jules Verne est élu Conseiller Municipal d'Amiens sur une liste radicale. En 1892, il est promu Chevalier de la Légion d'Honneur. Paul Verne, frère de Jules, meurt à Paris, en 1897.

En 1902, Jules Verne est affligé d'un début de cataracte et d'une demie-surdité. Vers les derniers temps de sa vie, son caractère s'est assombri. Il ne sortait plus, il ne voyait presque personne. Une blessure accidentelle lui avait enlevé l'usage normal de ses jambes. Il ne quittait sa petite maison d'Amiens que pour aller à la mairie, car il était conseiller municipal de sa ville d'adoption. Et il poursuivait sa tâche. D'année, en année, les romans se succédaient, empreints cependant d'une philosophie plus grave et désabusée qu'autrefois. La série des Voyages extraordinaires est close en 1906, avec le Volcan d'or, qui est un ouvrage posthume. Jules Verne n'avait lâché sa plume que pour mourir. Il est paralysé et meurt de diabète le 24 Mars 1905, à l'âge de 77 ans.

Jules Vernes et L. Benett, l'illustrateur d'une grande partie de l'oeuvre de Jules Verne ... L'artiste et l'écrivain sont inséparables (extraits de René Duverne, 1928).

L'écrivain Jules Verne

Note : Ouvrages sur les Voyages extraordinaires par Jules Verne : Cinq semaines en ballon (1863) - Les Aventures du capitaine Hatteras (1867) - Voyage au centre de la Terre (1864) - Le Comte de Chanteleine (1864) - De la Terre à la Lune (1865) - Les Enfants du capitaine Grant (1868) - Vingt mille lieues sous les mers (1869-1870) - Autour de la Lune (1870) - Une ville flottante (1871) - Les Forceurs de blocus (1871) - Aventures de trois Russes et de trois Anglais dans l'Afrique australe (1872) - Le Pays des fourrures (1873) - Le Tour du monde en quatre-vingt jours (1873) - Le docteur Ox (1874) - L'Ile mystérieuse (1874-1875) - Le Chancellor (1875) - Martin Paz (1852 publié en 1875) - Michel Strogoff (1876) - Hector Servadac (1877) - Les Indes noires (1877) - Un capitaine de quinze ans (1878) - Les Cinq Cents millions de la Bégum (1879) - Les Révoltés de la Bounty (1879) - Les Tribulations d'un chinois en Chine (1879) - La Maison à vapeur (1880) - La Jangada (1881) - L'école des Robinsons (1882) - Le Rayon vert (1882) - Dix heures en chasse (1881) - Kéraban le Têtu (1883) - L'Etoile du Sud (1884) - L'Archipel en feu (1884) - Mathias Sandorf (1885) - Robur le Conquérant (1886) - Un billet de loterie (1886) - L'épave du Cynthia (1886) - Frrit-Flacc (1884) - Nord contre Sud (1887) - Le Chemin de France (1887) - Gil Braltar (1887) - Deux ans de vacances (1888) - Famille sans nom (1889) - Sans dessus dessous (1889) - César Cascabel (1890) - Mistress Branican (1891) - Le Château des Carpathes (1892) - Claudius Bombarnac (1892) - P'tit Bonhomme (1893) - Mirifiques Aventures de maître Antifer (1894) - L'Ile à hélice (1895) - Face au drapeau (1896) - Clovis Dardentor (1896) - Le Sphinx des glaces (1897) - Le Superbe Orénoque (1898) - Le Volcan d'Or (1899-1900, publié en 1906 et en 1989 dans sa version d'origine) - Le Testament d'un excentrique (1899) - Seconde patrie (1900) - Le Village aérien (1901) - Les Histoires de Jean-Marie Cabidoulin (1901) - Les Frères Kip (1902) - Bourses de voyage (1903) - Un drame en Livonie (1904) - Maître du Monde (1904) - L'invasion de la mer (1905) - Le Phare du bout du monde (1903 publié en 1905 et en 1999 dans sa version d'origine) - L'Agence Thompson and Co (1907) - La Chasse au météore (1901 publié en 1908 et en 1986 dans sa version d'origine) - Le Pilote du Danube (1908) ou Le Beau Danube Jaune (1896, publié en 1988 dans sa version d'origine) - Les Naufragés de Jonathan (1909) ou En Magellanie (1897, publié en 1987 dans sa version d'origine) - Le Secret de Wilhelm Storitz (1901, publié en 1910 et en 1985 dans sa version d'origine) - L'étonnante Aventure de la mission Barsac (1919).

 © Copyright - Tous droits réservés.