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LES ANCIENNES ECOLES DE GUINGAMP.

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Nous ne savons rien des écoles de Guingamp au moyen-âge ; la science alors s'était réfugiée dans les cloîtres et les prieurés : les moines et les prêtres furent les seuls instituteurs de ce temps-là. En cherchant une école, nous trouverions très-certainement un monastère.

Guingamp eut cependant, à une époque assez reculée, une école ou collège municipal, placé sous l'autorité de la communauté de ville et entretenu à ses frais.

Nos plus vieux comptes nous montrent les bourgeois propriétaires d'une rente de 8 sols, 3 deniers, sur un courtil, près des Jacobins, qui porte le nom de Liors an Scol.

Dans le compte de 1516, il est assez longuement question d'une instance soutenue par le procureur des bourgeois par devant le scolastique de Tréguier, « touchant les escolles de Guingamp ». Cette affaire, qui coûta à la ville deux ou trois quartes de vin d’Anjou, qui furent présentées à Monsieur le scolastique, en lui faisant la remontrance et supplication me paraît avoir été motivée sur ce que la ville n'avait pas de maître d'école. En effet, le chapitre est terminé par un article dans lequel le procureur se décharge d'avoir « envoyé ung piéton en la paroisse de Pestivien, devers ung nommé Maistre Loys Le Baron, mestre d'escolle, affin qu'il eust pris la charge des escolles du dit Guingamp ».

En 1519, on envoie « en la paroisse de Mezle, vers Maître Jéhan Lalainmat, pour savoir son intention s'il estoit délibéré de venir tenir les escolles en cette ville ».

En 1566, on paye « 10 liv. 10 s. à Messires Jean Marchant et Jean Belhom, maistres d'escole en cette ville ». — A partir de cette date, le maître d'école figure régulièrement au budget.

Les gages du maître d'école étaient, en 1603, de vingt-quatre écus par an (Archives Municipales).

Les classes se faisaient, à cette époque, dans une chambre de la maison que possédaient à Guingamp les moines de Bégar, et que la ville affermait pour cet usage. Cette maison se nommait la Petite-Abbaye : c'est celle qui fait l'angle de la rue Etroite-Notre-Dame et de la Venelle du Four.

Le principal était, le plus ordinairement, un prêtre de Guingamp, souvent un des vicaires de Notre-Dame.

Le 3 février 1606, « sur la remontrance du maître d'école de cette ville qu'à son grand préjudice, Dom Allain Le Colledou et Dom. Jean Le Bihan tiennent écoles particulières, ordonné que réitérés commandements seront faits aux dits Colledou et Le Bihan, et deffenses de ne tenir aucunes écoles ouvertes ou privées en cette ville ou faubourgs sous peine de prison et d'être contraints de se retirer hors cette ville ».

Ce monopole, un peu draconien, ne porta point bonheur au collège communal. Le 24 février 1621, on se vit forcé de chasser le principal pour sa mauvaise conduite. Le 6 avril de la même année, « Maître Charles Haquart est nommé et élu pour maître d'école et précepteur de la jeunesse de cette ville, parce qu'il aura de gages cent vingt livres par chacun an, fors la première année qu'il aura cent cinquante livres, et aux conditions ci-après :  1° Parce qu'il aura un second pour l'assister à faire leçon aux moins avancés ; 2° Qu'ils entreront deux fois le jour en classe, devant et après diné ; le matin à huit heures, pour en sortir à onze heures en été et en hyver à dix heures ; le soir à trois heures et en sortiront à six en été ; en hyver, ils entreront à deux heures et en sortiront à quatre heures et quatre heures et demie, selon la longueur des jours ; 3° Qu'il fera, une fois la semaine, le catéchisme, et apprendra à ses écoliers les rudiments de la doctrine chrétienne ; 4° Qu'aux processions, ils les fera marcher devant, en rang, sans tumulte ni insolence ; 5° Qu'à l'église, il les fera se mettre dans certain lieu, ayant l'oeil dessus, afin qu'ils ne fassent aucune chose indigne du lieu ; 6° Qu'ils exerceront les écoliers, tant en public qu'en privé, par disputes et déclamations ».

Les archives du collège, pendant les XVIIème et XVIIIème siècles, n'offrent rien de curieux, sinon que, de 1676 jusqu'au règlement de 1706, le principal fut un des délibérants de la communauté de ville.

Au commencement du XIXème siècle, le collège de Guingamp fut placé sous la domination universitaire : l'établissement eut alors quelques brillantes années. La période révolutionnaire avait été mortelle pour les lettres ; les premiers jours de calme furent une véritable renaissance : tous les collèges s'emplirent comme par enchantement. Celui de Guingamp compta plus de cent cinquante élèves, et l'on y enseigna le cours complet des études. Mais bientôt les circonstances changèrent : les pères de famille optèrent naturellement, qui pour un grand établissement universitaire, qui pour une maison ecclésiastique. Rennes, Tréguier, Plouguernével, Dinan, Saint-Méen, Paris même, virent arriver les écoliers guingampais, et Guingamp n'eut plus, en 1832, qu'à fermer les portes de son collège communal, totalement déserté.

Deux ans après, on songea à le rétablir. Avant tout, il était nécessaire de construire un édifice convenable pour loger à la fois le collège et l'école primaire mutuelle, par laquelle les administrateurs de 1830 avaient remplacé les Frères de l'Instruction Chrétienne, car les bâtiments de l'ancien collège n'étaient qu'une masure en ruines. On rêvait, on se plaisait à rêver pour le nouvel établissement un avenir magnifique ; on vota d'enthousiasme, et les constructions commencèrent sur un plan colossal. L'emplacement appartenait à l'hospice, c'était l'ancien Hôpital-Général ; on s'en rendit acquéreur, moyennant une rente de 1.400 francs ; on consacra au bâtiment toutes les ressources déjà réalisées pour d'autres objets, toutes les ressources prévues pour l'avenir, une somme totale de 70.000 fr. environ.

Ce fut l'origine du malaise qui entrave et qui entravera longtemps tous les bons vouloirs des administrations qui se sont succédé depuis lors et la cause de la dette énorme qui grève le budget municipal de la ville de Guingamp.

En effet, toutes les illusions dont on s'était bercé, toutes les espérances que l'on avait conçues ne tardèrent pas à s'évanouir ; rien n'était changé autour de nous ; les raisons qui avaient amené la fermeture du collège, en 1832, subsistaient encore. Les comptes de l'établissement se balancèrent toujours par un déficit de quatre mille francs en moyenne ; le nombre des écoliers n'a guère dépassé cinquante et est toujours allé en diminuant ; il était réduit à vingt-quatre, quand, en 1851, l'établissement ferma de nouveau ses portes.

Le collège mort a été heureusement remplacé par une institution libre, subventionnée par la ville, et dirigée par des prêtres du diocèse, sous le haut patronage de Mgr. l'Evêque de Saint-Brieuc et Tréguier. Cette institution, qui, au rebours du collège universitaire, voit chaque année s'accroître le nombre des élèves, est en pleine voie de prospérité.

J'ai dit que la révolution de 1830 avait appelé à Guingamp des instituteurs lancastriens pour remplacer les Frères de l'Instruction Chrétienne, auxquels était confiée, depuis 1820, l’école primaire communale. L'école mutuelle occupe aujourd'hui l'aile nord du bâtiment du collège : elle compte de nombreux élèves.

Avant l'arrivée des Frères du vénérable abbé J .-M. de Lamennais, quatre ou cinq instituteurs privés éduquaient, dans autant d'écoles, les enfants de la ville et des paroisses voisines. Les Frères furent d'abord, et jusqu'en 1830, au nombre de deux. Leurs classes se tinrent successivement dans l'ancienne maison des Ursulines et au collège. La Révolution de 1830 se hâta de les en expulser, et ils durent se réfugier, avec leurs élèves, pendant tout l'hiver de 1831, dans un méchant grenier, ouvert à tous vents, où la pluie tombait comme sur la place publique : c'est là que l'auteur de ce livre a pour la première fois, essayé de noircir quelques feuilles de papier. Il fallait bien le dévouement de nos maîtres et l'insouciance de notre âge pour tenir une semaine dans cet immonde galetas : nous y tînmes une année entière. Pendant ce temps, la persécution mesquine que l'on faisait endurer aux pauvres Frères portait ses fruits : le nombre des écoliers doublait, et l'on jetait les fondements de ce bel établissement, l'un des plus importants de la Congrégation, où huit Frères suffisent à peine aujourd'hui. C'est l'histoire toujours vieille et toujours nouvelle des oeuvres chrétiennes.

Nous ne trouvons aucune trace d'établissement public ou privé, voué à l'instruction des filles avant le XVIIème siècle. En 1638, la communauté de ville eut à délibérer sur une double proposition faite par les Ursulines et les Bénédictines de Saint-Malo. Considérant que la demande des Ursulines remontait à 1625, la communauté opta pour ces dernières, et refusa l'offre des Bénédictines, en les remerciant toutefois de l'honneur qu'elles avaient fait à la ville.

Cependant, les Ursulines n'arrivèrent à Guingamp qu'au mois d'août 1654 : j'ignore les causes qui firent traîner en longueur cette importante affaire. J'ai dit ailleurs que M. Pierre Le Bricquir, vicaire de Notre-Dame, recueillit d'abord, dans son hospice du faubourg de la Trinité, les nouvelles religieuses, dont il fut le premier directeur. Elles étaient au nombre de huit, choisies parmi les professes de Tréguier, par Balthazar Grangier lui-même, qui leur donna pour supérieure Madame de Bégaignon, Mère Thérèse de Jésus.

L'établissement prit une extension rapide : il fallut bâtir de nouveaux édifices. L'évêque de Tréguier, qui avait posé la première pierre, vint, au mois de septembre 1666, bénir la maison complètement achevée.

Cette belle et vaste communauté sert au milieu du XIXème siècle de caserne au dépôt de remonte, et la riche et élégante chapelle dédiée à saint Joseph a été convertie en grenier à foin.

Les Ursulines, chassées de leur maison en 1792, ne sont plus revenues à Guingamp. L'éducation des filles est confiée, au milieu du XIXème siècle, aux Filles de la Sagesse, dont l'école est plus que jamais florissante. Les Dames de la Croix et les Hospitalières dirigent aussi des pensionnats, qui se recrutent principalement parmi les familles aisées des cultivateurs du canton.

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Je ne terminerai pas ce chapitre sur l'école sans dire un mot du noyau de bibliothèque publique que l'on a pu sauver du naufrage, et qui, je l'espère, sera augmenté quelque jour.

L'ancienne communauté de ville montra, pour la conservation de ses archives, un soin pieux. Jusqu'au commencement du XVIème siècle, chaque maire sortant de charge déposait, entre les mains des auditeurs des comptes, une liasse de toutes les pièces concernant sa gestion, c'est ce qu'on appelait son sac ; plus, un cahier assez volumineux, contenant son compte, que l'on appelait son livre. Au commencement du XVIème siècle, on substitua aux actes séparés, des registres où s'inscrivirent tous les titres importants, et surtout les titres de propriété. L'un de ces registres est appelé, en 1510, le Livre de velin ; l'autre, le Papier couvert de rouge. Tous deux ont disparu ; mais on conserve un certain nombre de Comptes, dont le plus vieux est de 1447, et des actes séparés de diverses natures, dont le plus ancien date de 1428. Il existe aussi deux volumes in-folio manuscrits, des délibérations les plus importantes de la communauté, qui remontent jusqu'à 1603, et qui sont un véritable chef-d'oeuvre de rédaction et de calligraphie. A partir de 1755, nous possédons le texte même des procès-verbaux des diverses assemblées municipales ; mais ils sont bien plus difficiles à consulter, parce qu'ils ne sont pas accompagnés d'une table très-complète, comme les deux volumes d'extraits. — Une autre série de registres, dont l'importance est fort grande, a passé des sacristies dans les mairies : je veux dire les registres de baptême, de mariage et de sépulture. Le plus vieux livre baptistaire de Notre-Dame de Guingamp est de 1540 ; il porte en tête : « Henri Le Levrier, marchant et bourgeois de cette ville de Guingamp, a donné ce présent libvre céans, l'an de grâce mil cinq cent quarante ». La première inscription est celle du baptême Jehannette, fille du donateur ; cet acte, à la date du 28 mai 1540, est en latin : le français n’apparaît que dans la seconde moitié du XVIIème siècle. La série est complète. Les registres des autres paroisses sont, au contraire, très-modernes et très-incomplets, si ce n'est ceux de Saint-Michel, qui sont déposés à la mairie de Grâces, et qui remontent à 1600.

A côté de ces archives, qui sont certainement le rayon le plus précieux d'une bibliothèque communale, on aimerait à trouver la collection des ouvrages dus à des écrivains guingampais. La chose serait peut-être assez difficile à réaliser en ce qui concerne les auteurs anciens, bien qu'ils soient peu nombreux et peu féconds. Je copie la liste donnée par M. Kermoalquin et les nouveaux éditeurs d'Ogée.

C'est d'abord Christophe Le Roy, dont on a une vie latine de Françoise d'Amboise, imprimée à Paris en 1604, in-8°. Viennent ensuite Louis Doublet, auteur de plusieurs ouvrages ascétiques et de deux oraisons funèbres de Louis XIII ; René Breton, jacobin, auteur du Job chrétien ou saint Eustache, martyr, imprimé à Rennes en 1659, in-8° ; le P. Jégou, missionnaire-jésuite, dont on a une Préparation à la Mort, réimprimée en 1721, in-12 ; Matthieu Cozon de Launay, auteur d'un Commentaire manuscrit sur la Coutume de Bretagne, qui est à la bibliothèque de Rennes ; Nicolas Salaün, auteur de brochures dont j'ignore les titres mêmes. A cette liste, il faut joindre les noms de M. le comte de Kerespertz, charmant esprit dont il nous reste des comédies que le journal la Foi Bretonne a eu la bonne fortune de publier dans son feuilleton ; de M. Auguste Cillart de Kermainguy, qui a publié quelques romans, et, enfin, de M. Charles Hello, avocat-général, puis conseiller à la Cour de Cassation, auteur des ouvrages suivants Traité sur le Régime Constitutionnel, Philosophie du Droit, Philosophie de l'Histoire de France, Essai sur la vie et les ouvrages de Dumoulin, De l'Inamovibilité des Juges, etc. — Je tais les noms d'auteurs vivants. [Note : Quelque pauvre que soit cette liste, elle serait encore plus réduite, si ceux qui l'ont dressée l'avaient bornée aux écrivains nés à Guingamp même : ainsi, Louis Doublet est très-certainement briochin ; le P. Jégou est né très-probablement à Plouisy : M. de Kermainguy, à Ploumagoar, etc.].

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Après les lettres viennent les arts.

Dès le commencement du XVIIème siècle, la communauté payait 36 livres de gages à un maître de musique. Je ne connais aucun sculpteur ; mais nous revendiquons un peintre d'une distinction réelle et d'un mérite incontestable : François Valentin naquit à Guingamp, le 3 avril 1738. Son père, Jacques Valentin, était chassegueux de Notre-Dame. Le petit François, tout enfant, au lieu de s'abandonner aux jeux de son âge, ne prenait plaisir qu'à griffonner sur des ardoises des figures et des paysages grossiers. Cette précoce vocation frappa un riche bénéficier, l'abbé de Séverac. En examinant les ébauches du bambin, il crut découvrir les signes certains d'une rare aptitude artistique. Il proposa à la mère Valentin de se charger de l'éducation de François. C'était un coup du ciel et un grand débarras ; on se garda de refuser. M. de Séverac amena à Paris le petit Breton, et, quand il en fut temps, le plaça dans l'atelier de Vien. L'abbé ne s'était pas trompé, il y avait vocation véritable ; il y eut travail opiniâtre, et, par suite, surprenants progrès. Quelques années plus tard, nous trouvons Valentin pensionnaire du roi, à Rome. De Rome, il alla au Mont-Cassin, où il travailla assez longtemps, et d'où il revint à Paris. Il y peignit pour M. de Bellescize, évêque de Saint-Brieuc, la grande toile du Martyre de saint Etienne, son chef-d'oeuvre, que le prélat donna à Sainte-Geneviève. On l'admire aujourd'hui à l'église Saint-Etienne-du-Mont. L'une des énormes pancartes si bizarrement appendues à l'abside de Guingamp, a la prétention d'être la copie du tableau de Saint-Etienne-du-Mont. Le mercenaire qui a badigeonné cet outrage à la mémoire de notre artiste, avait-il considéré l'original pendant un quart-d'heure ? J'en doute.

Une brillante carrière semblait s'ouvrir pour Valentin : il ne voulut pas la tenter. Simple de goûts, austère d'habitudes, le peintre breton ne put se faire à l'idée de vivre dans le tourbillon parisien : il revint en Bretagne et se fixa à Quimper. C'est là qu'il mena une existence laborieuse et modeste, content de peu de gloire, et semant ses tableaux, toujours travaillés avec talent et avec amour, dans les plus pauvres églises de village. Il mourut le 27 septembre 1805, et fut enterré sous le porche de la petite église de Kerfunteun, où je ne sais quel préfet du Finistère lui a consacré une épitaphe du style le plus malencontreusement grotesque.

Notre-Dame ne possède aucun tableau de Valentin : il voulait faire quelque chose pour sa paroisse natale ; il en parlait souvent ; mais il ne trouva aucune place convenable pour l'oeuvre importante qu'il projetait. En 1793, la municipalité de Guingamp réclama du district plusieurs toiles remarquables dont on avait dépouillé les chapelles et les paroisses, et insista surtout pour qu'on lui abandonnât les Valentin, auxquels elle attachait un double prix. On ne fit aucun droit à cette requête, et j'ignore ce que sont devenus les tableaux qui en faisaient l'objet.

Valentin cultiva aussi le pastel avec un grand succès. Quelques familles, à Guingamp, conservent de lui d'admirables portraits travaillés à ce procédé. Feu M. le comte de La Fruglaye avait acheté le riche portefeuille laissé par le laborieux artiste, et ce n'est pas une des moindres curiosités de Keranroux.

La fabrique de Guingamp sera-t-elle assez heureuse pour remplacer, par une véritable toile de Valentin, les deux tristes contrefaçons par lesquelles une admiration, plus généreuse que bien inspirée, a cru honorer la mémoire de notre peintre ?. (S. Ropartz).

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