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GUERN

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La commune de Guern (bzh.gif (80 octets) Gwern) fait partie du canton de Pontivy. Guern dépend de l'arrondissement de Pontivy, du département du Morbihan (Bretagne).

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de GUERN

Guern vient de « Gwern « (aulne), qui fait référence à une zone marécageuse.

La paroisse de Guern englobait autrefois la trève de Le Sourn (anciennement nommée Saint-Michel), et de Locmeltro. Il faut y rattacher aussi les territoires des anciennes trèves de Pontivy (à savoir Stival et Tréleau) ainsi que Malguénac.

Ville de Guern (Bretagne).

Guern est mentionné dès 1125 dans les archives de Rohan. Guern, qui faisait autrefois partie du doyenné de Kemenet-Guégant, est érigé en commune en 1790. En 1790, la commune de Guern fait partie du canton de Melrand, et, en 1801, elle est rattachée au canton de Pontivy.

On rencontre les appellations suivantes : Guerne (en 1464, en 1477, en 1481), Guern (en 1417, en 1536).

Ville de Guern (Bretagne).

Note 1 : Le bourg de Guern, à 12 kilomètres de Pontivy et à 62 de Vannes, est le chef-lieu d'nne paroisse, limitée au nord par Séglien et Mal­guénac, au sud par Bieuzy et Melrand, à l'ouest par Bubry et Locmalo. Sa forme allongée a nécessité de bonne heure l'établissement de deux trêves, l'une à l'extrémité orientale, sous le nom de Saint-Michel, l'autre à l'extrémité occidentale, sous le nom de Saint-Meldéoc ou Loc-Meltro. Il est très possible que la paroisse de Bieuzy ait été formée en partie à ses dépens. Sa superficie est de 5286 hectares, dont la moitié environ est sous culture, le reste se partageant entre landes, prairies, bois, etc. Les terres sont fertiles en grains et en fruits ; elles sont arrosées par plusieurs ruisseaux, qui coulent vers le midi, et qui indiquent par là même la pente générale du sol. Depuis l'érection du Sourn en succursale et en commune, sa surface n'est plus que de 4714 hectares, et sa population de 2766 habitants en 1891. Le mot Guern, comme on l'a déjà vu dans l'article précédent, est breton et signifie Aunaie, et, par extension, terrain humide. Les Celtes ont laissé sur ce territoire quelques traces de leur séjour : M. l'abbé Mahé mentionne un menhir de 4 mètres de hauteur, près de Kervail. Une voie romaine, venant de Carhaix, traverse ce pays, en passant près des villages de Talhoet, de Botraden, Questiave et Montguern. Il est probable que des camps de la même époque protégeaient le parcours de la voie. En 1125, Alain Ier, vicomte de Rohan et de Castel-Noec, en fondant le bourg de Castennec et le prieuré de la Coarde, donna aux moines de Saint-Sauveur de Redon « une place pour établir une maison et un jardin devant l'église de Saint-Pierre de Guern, et le quart des dîmes, des offrandes, des prémices, des sépultures et de tous les autres revenus paroissiaux ». Ce qui fut confirmé par Morvan, évêque de Vannes, avec le consentement de l'archidiacre Raoul et des chanoines de la cathédrale ; le prélat ajouta, pour sa part, le droit, pour l'abbé et les moines, de présenter le titulaire de la paroisse (Cartulaire de Redon, p. 350). Cet état de choses ne dura pas très longtemps : l'abbaye perdit ses revenus en Guern, et la paroisse revint au droit commun, c'est-à-dire à la collation libre. Plus tard, au XIVème ou XVème siècle, les dîmes de la paroisse furent unies aux deux archi-prêtrises de la cathédrale, et le recteur fut réduit à une portion fixe, qui ne dépassait pas le tiers du revenu. Cette dîme était affermée 600 livres en 1636, et 900 en 1730. Le recteur ayant renoncé, en 1768, à sa part de dîme, pour recevoir une pension fixe de 500 livres, la ferme totale des dîmes monta immédiatement à 2,460 livres. Bientôt les pensions aussi furent élevées, et, en 1790, le Chapitre payait, pour les archiprêtres : 700 livres au recteur de Guern, 350 livres au vicaire du bourg, et 200 à celui de Saint-Michel ; il lui restait moins de 1200 livres à partager entre les archiprêtres (Joseph-Marie Le Mené - 1891);

Note 2 : Liste non exhaustive des maires de Guern : Pierre Le Mouel (1790-1791), Vincent Lavenant (1791-1792), Olivier Le Beller (1792-1793), Le Rouzic, Postic, Louis Le Mouel (1806), Joseph Le Cam (1833-1859), Julien Le Mouel (1859-1863), Louis Mathurin Bigouin (1863-1869), Joseph Marie Kervégant (1869-1878), Jacques Philippe (1878-1896), Alexis Kervégant (1896-1907), Louis Le Cam (1907-1919), Julien Bellec (1919-1947), Mathurin Le Pimpec (1947-1965), Eugène Le Goff (1965-1989), Yves Perez (1989-2001), Joseph Le Bouédec (2008-?), etc...

Ville de Guern (Bretagne).

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PATRIMOINE de GUERN

l'église Saint-Pierre et Saint-Paul (XVème siècle), reconstruite en 1788 par Julien Pichot de Pontivy après un incendie et restaurée au XIXème siècle. L'édifice sert d'écurie à la Révolution. L'église est terminée entre 1802 et 1827. Elle est flanquée d'un porche à baldaquin du côté Sud. Les fonts baptismaux se trouvent du côté Nord. L'église abrite une statue en bois polychrome de la "Vierge allaitant" (Notre-Dame de Joie) datée du XVIème siècle et provenant de la chapelle de Locmeltro. On y voit également une statue en bois polychrome de saint Isidore et une huile sur toile qui représente un "Christ gisant", oeuvre d'Eugène Vientejol et qui date de 1898 ;

Eglise de Guern (Bretagne).

Nota : L'église paroissiale a pour titulaire saint Pierre, apôtre, à qui l'on a depuis longtemps adjoint saint Paul. C'est un édifice, en forme de croix latine, qui n'offre rien de particulier. En 1693, pour se conformer an goût du temps, on plaça au maître-autel un retable et un tabernacle faits à Pontivy, pour la somme de 370 livres. En 1783, un incendie détruisit le chœur, la sacristie, et les deux chapelles des transepts, et il fallut les rebâtir aussitôt. Les chapelles publiques de Guern sont les suivantes : — 1° Notre-Dame de Quelven, à 2 kilomètres à l'est du bourg, la construction la plus remarquable de la paroisse. C'est un édifice du XVIème siècle, de style flamboyant, en grand et moyen appareil, en forme de croix latine. Ses dimensions sont de 32 mètres sur 16. Le choeur est polygonal ; les bas côtés ne vont que jusqu'au milieu de la nef ; les colonnes sont cylindriques et les arcades ogivales. Sur la charpente on lit la date de 1582. Les verrières présentent l'arbre de Jessé, ou la généalogie du Sauveur, la Vierge tenant l'enfant Jésus, saint Christophe le transportant au milieu des eaux, etc... Les tympans sont constellés des armes des familles de Rohan, de Rimaison, de Baud, de Fournoir, .... Au bas côté sud, se trouve une tribune en pierre, de style renaissance, avec les armes de Rimaison : d'argent à 5 fasces de gueules. La statue de Notre-Dame de Quelven offre cette particularité curieuse de s'ouvrir comme un triptyque ou une armoire et de présenter aux regards plusieurs scènes de la Bible, sculptées en bas relief. Elle est unique dans le diocèse. La tour, placée à l'ouest et remarquable par la beauté de sa flèche en pierre, s'est écroulée en 1837. Relevée quelques années après 1841, par les soins de l'architecte Richard, puis délaissée faute de ressources, elle a été enfin terminée en 1861. Malheureusement la flèche est un peu trop courte pour les proportions considérables de la base. La façade méridionale de la chapelle est, comme toujours, la plus ornée ; chaque fenêtre est surmontée d'un pignon à crochets. Le porche latéral, pris sur la nef, renferme dix niches peu profondes, et donne accès dans l'église par une porte à double baie, très ornée. Une autre porte à deux baies en anse de panier, surmontée d'une accolade, décore le transept sud. — 2° Saint-Brieuc, au sud-ouest, est une chapelle qui n'offre rien d'extraordinaire. — 3° Saint-Jean, au village de ce nom, vers le sud-ouest, possède une tribune et un retable intéressants. — 4° Saint-Meldéoc, à Locmeltro, vers l'ouest, siège d'une ancienne trève. Ses fenêtres ogivales présentent des restes de meneaux en trilobes et quatrefeuilles, avec des fragments de vitraux, où se trouvent les armes de Rohan et de Rimaison. Dans le cimetière de la chapelle, on voit deux colonnes cylindriques, ayant l'une 1m,60 hors de terre, et l'autre 2m,50 de hauteur ; elles ne portent aucuns inscription, mais le voisinage de la voie romaine fait naturellement penser à des bornes milliaires. — 5° Saint-Salomon, au village de ce nom, vers le nord-ouest. — 6° Saint-Eloi, au village de Bederel. — 7° Saint-Gilles, au village de Guervér. — 8° Saint-Georges, au village de ce nom, à 3 kilomètres vers l'est un peu au delà de Quelven. — 9° Saint-Yves, aujourd'hui détruit. — 10° Saint-Julien, au village du Sourn, siège d'une paroisse en 1845. (Voir Le Sourn). — 11° Saint-Michel, sur le bord du Blavet, ancienne trève de Guern, appartient aujourd'hui au Sourn. Il y avait en outre une chapelle privée au château de Ménorval, sous l'invocation de saint Jérôme et de sainte Catherine. Les chapellenies étaient ici au nombre de deux seulement : — 1. Celle de Notre-Dame de Quelven, fondée probablement par les seigneurs de Rimaison, et dotée, entre autres, d'une maison, d'un jardin, d'un courtil, etc... qui furent vendus à la Révolution ; un prêtre y réside encore en 1891. — 2. Celle de Saint-Jérôme et Sainte-Christine, desservie dans la chapelle du château de Ménorval, et fondée par les seigneurs da lieu. Les frairies étaient groupées autour des chapelles publiques, mentionnées ci-dessus. Guern dépendait jadis du vicomté de Rohan, du doyenné de Porhoet, et de la sénéchaussée de Ploërmel. En 1790, il fut érigé en commune, du canton de Melrand, et du district de Pontivy. En 1791, le recteur Mathurin Le May refusa le serment schismatique, ainsi que ses vicaires, mais plus tard il se fourvoya dans la petite Eglise. Pendant les troubles de la Révolution, on vendit les maisons et les jardins de Notre-Dame de Quelven, le bois du placître de Saint-Julien, une pièce de landes près de Saint-Michel, le presbytère de Guern et ses dépendances. De leur côté, les Chouans recrutèrent ici de nombreux volontaires. En 1801, Guern fut rattaché au canton de Pontivy : ce qui fut accepté, l'année suivante, par l'autorité ecclésiastique. En 1845, il perdit le territoire du Sourn et de Saint-Michel, qui fut érigé en paroisse, et plus tard en commune (Joseph-Marie Le Mené - 1891).

Eglise de Guern (Bretagne).

Voir aussi   Ville de Guern (Bretagne) "L'histoire de la paroisse de Guern et ses recteurs"

la chapelle Notre-Dame de Quelven (XVème siècle). Cette chapelle de pèlerinage, mentionnée en 1401 et en 1451, est reconstruite dans le dernier quart du XVème siècle : transept et choeur sont datés par le blason (situé sur le clef de voûte) du cardinal Cibo, évêque de Vannes de 1490 à 1502. En 1451, le pape Nicolas V accorde des indulgences aux pèlerins se rendant à Quelven. La nef est terminée vers 1510, mais la voûte prévue est remplacée par un lambris de couvrement en 1582 (date portée sur les sablières). La chapelle a subi quelques restaurations au XVIIème siècle : la charpente lambrissée, posée en 1582 au niveau de la nef et du bas-côté Sud, est réparée en 1633 et 1634 par L. Gicquel. La tour, qui s'écroule le 28 février 1837, est reconstruite entre 1843 et 1865 : elle mesure 70 mètres de haut et la flèche mesure 16 mètres de haut. La chapelle orientée comprend une nef de trois travées, avec bas-côtés aux derniers travées seulement, un transept à croisillons peu débordants et un choeur à cinq pans. A l'intérieur, les grandes arcades en tiers-points à plusieurs archivoltes pénètrent dans les piles cylindriques. Le choeur, le transept et le bas-côté Nord sont voûtés d'ogives. A la clef de la voûte du choeur est un écusson d'hermines plein. La chapelle est éclairée par de grandes fenêtres en tiers-points à réseau flamboyant. Le croisillon Sud est orné d'une arcature aveugle, en plein cintre, ornée de coquilles. Le porche Sud, voûté d'ogives, et le portail à deux baies du croisillon Sud sont particulièrement décorés. Il y a lieu de signaler la tribune en pierre du bas-côté Sud, portée par des arcades en tiers-points pénétrant dans des colonnettes, flanquées de pilastres polygonaux à décoration Renaissance. On voit les blasons des familles de Rohan et Rimaison sur la tribune seigneuriale datée du XVIème siècle. En 1709, le facteur Henri Augustin Brière conçoit un orgue d'inspiration baroque. L'orgue comprend 2 buffets décorés, 3 claviers, 25 jeux et 1738 tuyaux parlants. La statue en bois de la Vierge ouvrante date du XV-XVIème siècle. Le bas-relief d'albâtre de la fin du XVème siècle représente le couronnement de la Vierge. Le groupe sculpté en bois polychrome, saint Georges à cheval terrassant le dragon, date du XIVème siècle (vers 1350) et provient de l'ancienne chapelle Saint-Georges. Deux des fenêtres du choeur ont des vitraux assez bien conservés, du XVIème siècle, représentant, l'un (celui du transept Sud) l'arbre de Jessé, l'autre la Vierge tenant l'Enfant, saint Christophe et d'autres saints personnages. Aux autres fenêtres, se trouvent des fragments de vitraux où l'on voit, entre autres, les écus des Rohan et des Rimaison. Les verrières du choeur reproduisent l'Assomption de la Vierge, entourée de sainte Anne et saint Yves. Le vitrail du choeur représente les douze apôtres. Une maquette ex-voto en bois représentant le navire "Notre Damme damour" date de 1746 ;

Chapelle de Guern (Bretagne).

 

Chapelle de Guern (Bretagne).

la chapelle Saint-Jean (1585), reconstruite probablement au début du XVIIème siècle au village de ce nom. Il s'agit d'un édifice de forme rectangulaire et très fruste. Les tribunes à panneaux sculptés datent de la seconde moitié du XVIème siècle. Le retable du maître-autel date du XVIIème siècle. On y voit un cadran solaire. Trois sablières présentent des scènes sculptées où deux licornes sont tenues à distance par un personnage aux bras écartés, et deux crocodiles avalent deux personnages qui se tiennent par la main ;

l'ancienne chapelle Saint-Meldéoc, édifiée au XVème siècle au village de Locmeltro. Il s'agissait d'un petit édifice rectangulaire à fenêtres en tiers-points à réseau flamboyant. On y trouvait quelques fragments de vitraux où l'on remarquait les écussons des Rohan et des Rimaison. Un curieux bénitier cylindrique avait été creusé dans une borne milliaire coupée à mi-hauteur ;

l'ancienne chapelle Saint-Salomon (XVIIème siècle), située jadis au village de ce nom ;

l'ancienne chapelle Saint-Georges (XVIIème siècle), située jadis au village de ce nom ;

l'ancienne chapelle Saint-Eloi, reconstruite à la fin du XVIIIème siècle au village de Bederal et aujourd'hui disparue ;

la Scala Sancta (XVIIIème siècle). Il s'agit d'un autel extérieur de pardon, proche de celui de Sainte-Anne-d'Auray, et qui date de 1738. A la fin du XVIIIème siècle, les pierres tombales du cimetière servent à réparer les marches ;

la fontaine de Quelven (XVIème siècle), située près de la chapelle Notre-Dame de Quelven. Elle comporte deux bassins ;

Fontaine de Guern (Bretagne).

le manoir de Ménorval (1557), situé à Mané-er-Val. La seigneurie est encore surnommée "Mané-er-Val". Le manoir est édifié pour François de Baud. Puis il devient successivement la propriété des familles Quérangal, Goublaye-Nantois, Mahé (en 1918), Bonniec (vers 1970). Une aile porte la date de 1557 et les initiales "F.B.". On y trouve une fenêtre richement sculptée avec pilastres, fronton et coquilles. La porte qui date du XVIème siècle est entourée de deux pilastres qui supportent un fronton triangulaire. Il possède une chapelle privée, dédiée à sainte Catherine et à saint Jérôme, détruite au début du XXème siècle et reconstruite d'après un plan de 1912 ;

la chaumière (1639). L'inscription sur le linteau voûté date la maison ;

la maison du diable (XVIIème siècle), située à Locmeltro ;

le four (XVIème siècle), situé à Saint-Jean et reconstruit sur la place du village. Il est entouré de fermes et d'une chapelle datée de 1585 ;

13 moulins dont le moulin à vent de Kerdisson et les moulins à eau de Kerali, Kerhiec, Pont de Quelven, Quillio, Guermeur, Stand Du, Niziau, Spiric ou Spirit, Saint-Jean, Henven et le Ponthou ;

Chapelle de Guern (Bretagne).

A signaler aussi :

le menhir du diable, situé en Kerhiec (époque néolithique) ;

la voie romaine Vannes-Carhaix qui passe entre Ménorval et Kergoff ;

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ANCIENNE NOBLESSE de GUERN

Les seigneuries de Guern étaient les suivantes :

1.     Coetniel, basse justice, aux Kerangal, en 1790.

2.     Henven, basse justices aux mêmes.

3.     Kermarquer, aux Cadoudal de Plumelec.

4.     Kermelinaire, au nord-ouest, aux Kermellec.

5.     Kerriec, berceau d'une famille de ce nom.

6.     Livouec.

7.     Locrio, à l'ouest, aux Rolland.

8.     Mané-Tanguy, aux Kerriec et aux Kerangal.

9.     Ménorval, à la duchesse d'Elboeuf, puis aux Kerangal.

10.    Niziave, à l'extrémité nord-ouest.

11.    Penvern, à l'est.

12.    Quelven, au village de ce nom.

13.    Quilio, à l'ouest.

14.    Roz-Kervenic, moyenne et basse justice.

15.    Salo, au nord-ouest.

16.    Ty-Riden, à l'est-sud-est.

(de Joseph-Marie Le Mené).

 

A la réformation de 1427, on comptabilise la présence de 4 nobles à Guern : Guillaume des Forges et Guillaume son fils, Charles Carnac, Guillaume Cor.

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 8 septembre 1464, on comptabilise la présence d'un seul noble de Guern.

Bonabes LE BAILLIFF (50 livres de revenu) : porteur d'une brigandine ;

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 4 septembre 1481, on comptabilise la présence de 9 nobles de Guern.

Bonabes LE BAILLIFF (10 livres de revenu) : porteur d'une brigandine, comparaît en archer ;

Le fils Ollivier CLEZOUET : défaillant ;

Le fils Ollivier TIREDEN  (10 livres de revenu) : porteur d'une brigandine, comparaît armé d'une jusarme ;

Eon LE HUAM (100 soulz de revenu) ;

Guillaume MOUEFORT ou MOURFORT (100 soulz de revenu) ;

Jehan PERTIEN ou PESTIVIEN (100 soulz de revenu) ;

Henry ALANO (10 livres de revenu) ;

Guillaume BAUD, remplacé par Guillaume Rouger : porteur d'une brigandine, comparaît en archer ;

Jehan KERMADIO ;

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