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L'ÉVÊCHÉ DE CORNOUAILLE A LA FIN DE L'ANCIEN RÉGIME

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L'ÉVÊCHÉ DE CORNOUAILLE.

Etendue et population. — L'évêché de Cornouaille ou de Quimper s'étendait sur une superficie d'environ 5.900 kilomètres carrés, soit 298 lieues carrées, lieues de 25 au degré. En 1778, Ogée évaluait cette superficie à 294 lieues [Note : Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne. Art. Quimper]. C'était, pour l'étendue, le second des évêchés bretons, équivalent aux trois évêchés réunis de Léon, Tréguier et Dol, à près de la moitié de la Bretagne bretonnante.

Les distances étaient considérables entre les parties extrêmes de l'évêché : 143 kilomètres à vol d'oiseau, de la pointe du Raz au Leslay, 75, de Bolazec à l'estuaire de la Laita. Une trentaine de paroisses ou trèves, situées sur la rive gauche du Blavet étaient éloignées de Quimper de plus de 20 grandes lieues anciennes. Les plus écartées se trouvaient séparées du siège épiscopal par 26 lieues de mauvaises routes.

Le trait le plus caractéristique de la configuration de l’évêché était l'existence, au N.-E., d'une pointe s'enfonçant jusqu'à la longitude de Saint-Brieuc et de Vannes et couvrant tout le cœur de la Basse-Bretagne. Cette région excentrique ne se rattachait à la Cornouaille qu'au seul point de vue religieux ; elle fut toujours une dépendance féodale des grands fiefs situés plus à l'Est, relevant des juridictions ducales puis royales de Saint-Brieuc et de Ploermel [Note : Cf., A. de La Borderie, Histoire de Bretagne, t. III, p. 68 et sqq. — A. Brette, Atlas des bailliages et juridictions assimilées]. L'histoire de l'évangélisation de la Bretagne explique cette singularité. Les contours de l'évêché de Cornouaille avaient suivi, à partir du VIème siècle, les vicissitudes de la tâche d'évangélisation entreprise par Saint-Guénolé, Saint-Corentin, Saint-Herbot et leurs disciples. Les limites de l'évêché, fixées dès le IXème siècle, marquaient les dernières étapes de cette évangélisation. Ultime conquête des apôtres cornouaillais, la portion orientale de l'évêché s'enfonçait, en forte saillie, jusqu'aux portes de Pontivy et de Quintin, entre les trois évêchés de Vannes, Tréguier, et Saint-Brieuc.

La population s'élevait, à la fin de l'ancien régime, à 295.000 ou 300.000 habitants [Note : Nous donnons, ci-dessous, à l'appendice, le chiffre approximatif de la population de chaque paroisse, trèves comprises. A ce sujet, nous avons utilisé les indications d'Ogée, quand elles sont corroborées par des renseignements de source différente. Nous avons tenu compte du nombre de feux porté sur certains cahiers de paroisses, en 1789, du nombre des cotes de la capitation et enfin des recensements sommaires opérés par district, en 1790,en vue de la répartition des nouvelles contributions directes et dont les résultats globaux ont été consignés, en 1791, dans le rapport du directoire au conseil du département du Finistère (in–4°, Derrien, Quimper, 1792). Nous avons utilisé aussi l'état de la population du département des Côtes-du-Nord en 1793. (Annales de Bretagne, n° 4, 1925, p. 493). Dans la Haute-Cornouaille, entre Carhaix, Quintin et Pontivy, la densité de la population était relativement élevée : 52 habitants au kilomètre2. Elle était de 57, dans la Cornouaille méridionale, (sénéchaussées de Quimper, Concarneau, Quimperlé). Mais de 1789 à nos jours, l'acroissement de la population a été faible en Haute-Cornouaille, (10% seulement), tandis que, dans la Cornouaille méridionale, il a atteint 124%]. La densité était relativement faible, 50 au kilomètre2 contre 96 dans l'évêché de Léon. La Cornouaille est, de tous les « pays » bretons, celui où l'accroissement de la population a été le plus rapide au cours du XIXème siècle.

Divisions ecclésiastiques. — L'évêché de Quimper se divisait, depuis le moyen âge, en deux archidiaconés : celui de Cornouaille, au sud, et celui de Poher au nord. L'archidiaconé de Cornouaille s'étendait jusqu'aux limites septentrionales de Ploaré, Guengat et Penhars, puis sur toute la rive gauche de l'Odet, de Quimper à sa source, et jusqu'aux Montagnes Noires, au-dessus de Gourin. Cet archidiaconé peuplé d'environ 125.000 habitants comprenait 79 paroisses et 23 trèves. Au moyen âge ce territoire avait été subdivisé en 3 doyennés disposés en éventail autour de Quimper : le Cap-Sizun, au nord du Goyen, le Cap-Caval, entre le Goyen et l'Odet, le Penfoenant, entre l'Odet et l'Ellé. L'archidiaconé de Poher, plus étendu, couvrait le reste de l'évêché. Il comptait 94 paroisses et 68 trèves peuplées d'environ 165.000 habitants. Cet archidiaconé comprenait deux doyennés séparés par l'Aulne : Le Faou à l’Ouest et le Poher proprement dit à l'Est [Note : A. Longnon, Pouillé de la province de Tours, introduction p. LX ; p. 299, 304 et sqq.].

Paroisses et trèves. — On ne comptait en Cornouaille que 4 villes : Quimper, Concarneau, Quimperlé et Carhaix ayant des communautés régulièrement établies et députant aux Etats de Bretagne. Mais dans l'usage courant, on donnait aussi le nom de villes à 7 bourgades : Douarnenez, Pont-Croix, Audierne, Locronan, Châteaulin, Le Faou et Rostrenen dont la population agglomérée n'atteignait pas mille habitants et qui, pour la plupart, n'étaient que de simples trêves dépendant de paroisses rurales.

L'évêché comprenait 263 paroisses ou trêves, 173 paroisses et 90 trèves, suivant le dictionnaire d'Ogée. Il n'existe, à notre connaissance, aucune nomenclature exacte de ces paroisses ou trèves. Les statistiques anciennes ne sont guère concordantes à ce sujet. Giffard, d'après le Recueil des arrêts de règlement du Parlement de Bretagne, compte 204 paroisses [Note : A. Giffard, Les justices seigneuriales en Bretagne aux XVIIème et XVIIIème siècles. Au début du XVIIIème siècle, on comptait dans l'évêché de Cornouaille 24 seigneuries ecclésiastiques et 314 seigneuries laïques].

L'almanach de Bretagne (Valar, Rennes, 1789) donne le chiffre de 200. Certains rôles d'impôts, notamment celui de la capitation, en 1770, énumèrent 24 ou 25 trèves, au même titre que les paroisses anciennes [Note : Arch. d'Ille-et-Vilaine, C. 3.981].

Nous croyons que le décompte devait s'établir de la façon suivante : il y avait 173 paroisses anciennes de ville ou de campagne, dont un certain nombre, environ 57 paroisses mères, donnèrent naissance à une ou plusieurs trèves. Une trentaine de ces trèves obtinrent progressivement une quasi-autonomie, eurent non seulement un clergé particulier et des registres de baptêmes, mariages et sépultures, mais encore un général et des rôles distincts pour les impôts et la corvée. Ces trèves se comportaient, au civil, comme de vraies paroisses et comptaient pour telles. Certains liens subsistaient cependant entre ces trèves et les paroisses mères ; subordination du clergé, contribution à certaines dépenses extraordinaires. Les autres trèves, au nombre de 60 à 65, sans personnalité civile, n'avaient été créées que pour faciliter l'exercice du culte [Note : Il existait dans l'évêché de Cornouaille 2 collégiales : celle de Carhaix comptait 4 chanoines et celle de Rostrenen 3].

Les paroisses étaient d'étendue fort variable. La grande extension territoriale était la règle dans la Cornouaille intérieure ; au voisinage du littoral l'étendue était moindre. Dans l'Armor, Locamand, Bodivit, Plonivel, Treffiagat, Penmarc’h. Tréguennec, Tréogat, Primelin, Roscanvel avaient de 600 à 1000 hectares ; Lanriec, Perguet, Plogoff ne dépassaient guère 1,100 hectares. Par contre, dans l'Argoat, les vastes paroisses de Bothoa, Plonévez-du-Faou et Duault s'étendaient sur plus de 13.000 hectares. Gourin, Guiscriff, Scaër, Elliant et Briec comptaient environ 11.000 hectares et Crozon 10.000. Généralement les grandes paroisses comprenaient une ou plusieurs trèves ; cependant Scaër et Crozon n'étaient point subdivisées. La superficie moyenne des paroisses rurales était de 3.540 hectares, en Cornouaille ; dans l'êvéché de Léon, cette moyenne ne dépassait pas 2.310 hectares.

Toutes ces paroisses ou trèves ont formé de nos jours 228 communes, dont 161 dans le Finistère, 58 dans les Côtes-du-Nord et 9 dans le Morbihan [Note : Dans le Morbihan, les communes : Le Faouët, Gourin, Guiscriff, Kergrist, Langonnet, Lanvenégen, Neuillac, Roudouallec, Le Saint]. 157 des paroisses anciennes sont demeurées communes, 61 trèves et 10 simples sections de paroisses ont été érigées en communes ; en revanche, 10 paroisses supprimées [Note : Dix paroisses anciennes ne sont pas devenues communes : Beuzec-Cap-Caval (Plomeur), Bodivit (Plomelin), Cuzon (Kerfeunteun) Lababan (Pouldreuzic), Lanvern (Plonéour), Le Quilliou (Plonévez-du-Faou), Locamand (La Forêt-Fouesnant), Locmaria (Quimper), Lothéa (Quimperlé), Plonivel (Plobannalec). En revanche, 10 localités qui n'étaient ni paroisses, ni trèves sont aujourd'hui communes : Botmeur, Le Guilvinec, Lanvéoc, Pont-Aven, Port Launay, Pouldavid. Tréboul, Carhaix, L'Hôpital-Camfrout et Pont-l'Abbé. Carhaix et Plouguer ne comptaient que pour une paroisse. Le prieuré de l'Hôpital n'était pas compté comme paroisse. Quant à la petite ville de Pont-l'Abbé, elle avait une situation toute particulière. Au point de vue religieux, elle dépendait des 3 paroisses de Loctudy, Plobannalec et Combrit. Au civil, sans être une communauté régulière, la ville possédait un corps politique composé de 12 délibérants, ayant à leur tête un syndic] sont devenues de simples hameaux et 30 trèves ont eu le même sort.

Les tableaux suivants indiquent clairement les rapports existant entre les paroisses on trèves anciennes et les communes actuelles de 1926.

I. — PAROISSES et TRÊVES.

Le clergé de Cornouaille à la fin de l'ancien régime.

II. — PAROISSE ET COMMUNES.

Le clergé de Cornouaille à la fin de l'ancien régime.

Aperçu de l'administration civile et militaire. — Sous l'ancien régime, en Bretagne, les évêchés servant de base à l'administration financière, la confection des rôles des impôts abonnés et leur recouvrement étaient confiés à la commission diocésaine de Cornouaille qui rendait ses comptes à la commission intermédiaire, section permanente représentant à Rennes les Etats de Bretagne dans l'intervalle des sessions. La perception des décimes du clergé de Cornouaille était faite par Théophile Laënnec, père du célèbre médecin, avocat à Quimper, qui cumulait ces fonctions avec celles de sénéchal des Regaires et de lieutenant particulier de l'Amirauté.

Pour l'administration royale, l'évêché relevait de l'Intendant de Bretagne, Dufaure de Rochefort. Il comprenait, en totalité, les 11 subdélégations de Quimper, Pont-l'Abbé, Pont-Croix, Concarneau, Quimperlé, Le Faou, Châteaulin, Gourin, Carhaix. Callac et Corlay, plus une partie des subdélégations de Landerneau, de Quintin et de Pontivy [Note : Arch. d'Ille-et-Vilaine, C. 1.434 — 1.787].

Au point de vue judiciaire, l'évêché se partageait entre 10 sièges royaux : les sénéchaussées royales de Quimper, Concarneau, Quimperlé, Châteaulin. Châteauneuf-du-Faou, Carhaix et Gourin, en totalité. La pointe orientale de la Cornouaille relevait de 3 sénéchaussées dont les sièges se trouvaient hors de l'évêché : 7 paroisses et 11 trêves relevaient de la sénéchaussée de Saint-Brieuc, 9 paroisses et 9 trêves dépendaient de celle de Ploermel et enfin Plouguernevel et ses trèves appartenaient au siège d'Hennebont.

Ces sénéchaussées constituaient le premier dégré de juridiction royale et très souvent la juridiction d'appel des justices seigneuriales. Le présidial à son tour était une juridiction d'appel de ces sièges royaux [Note : H. Bourde de La Rogerie, Liste des juridictions exercées aux XVIIème et XVIIIème siècles dans le ressort du présidial de Quimper, Bull. soc. archéol. du Finistère, 1920, p. 248 et sqq.]. Neuf sénéchaussées relevaient du présidial de Quimper, mais le ressort de ce présidial ne concordait pas avec les limites de l'évêché. Les paroisses dépendant de la sénéchaussée de Saint-Brieuc relevaient du présidial de Rennes et celles qui se trouvaient au ressort de Ploermel et de Hennebont, ainsi que la sénéchaussée de Quimperlé appartenaient au présidial de Vannes. Cependant la majeure partie de l'évêché se trouvait au ressort du présidial de Quimper (208 paroisses ou Trèves sur 264). Aussi le sénéchal de Quimper, Le Goazre de Kervélégan, prenait-il le titre de « Conseiller du roi, sénéchal de la sénéchaussée et siège présidial de Quimper, premier magistrat de Cornouaille » [Note : Procès-verbal de l'assemblée de la sénéchaussée de Quimper, le 16 avril 1789. Arch. du Finistère, série B. Cahiers de doléances].

La juridiction temporelle de l'évêque ou Regaires de Cornouaille s'exerçait à Quimper, dans les dépendances de l’évêché et ressortissait nuement au Parlement de Bretagne.

Outre les juridictions royales ordinaires, il existait dans l'évêché diverses juridictions spéciales dites d'attribution : l'Amirauté, pour les causes maritimes, le siège des traites pour les litiges se rapportant aux douanes et, près du présidial, le siège de la Prévôté des maréchaux. Pour les délits et litiges relatifs aux eaux et forêts de la Cornouaille, deux juridictions étaient compétentes : la Maîtrise particulière de Carhaix et la Gruerie de Quimperlé [Note : J. Savina, Les forêts royales en Cornouaille. Bull. soc. arch. du Finistère, 1921, p. 83 et sq.]. En matière commerciale, la majeure partie de la Cornouaille relevait de la juridiction consulaire de Morlaix.

Au point de vue militaire, l'évêché dépendait du Gouverneur de Bretagne, le duc de Penthièvre ou plutôt de son représentant, le commandant en chef en Bretagne, le comte de Thiard. Les évêchés de Quimper, de Léon, Tréguier et Saint-Brieuc formaient l'une des trois lieutenances de Bretagne. Les deux places de Quimper et de Concarneau avaient des gouverneurs particuliers : la première, un gouverneur militaire et, la seconde, un gouverneur municipal ; mais ces officiers n'y résidaient pas. La défense des côtes de l'évêché était assurée par 5 divisions de canonniers garde-côtes ayant chacune 250 hommes. Ces divisions se rassemblaient à Landerneau, Châteaulin. Pont-Croix, Quimper et Quimperlé [Note : Almanach de Bretagne, 1789, Rennes, Vatar].

En ce qui concerne certaines administrations, les ponts-et-chaussées, l'enregistrement et les domaines, la maréchaussée, leurs « départements » ne concordaient pas avec les limites de l'évêché.

Il n'existait en Cornouaille que 5 brigades de maréchaussée : à Quimper, Quimperlé, Châteaulin, Carhaix et Le Faouet. Les brigades de Landerneau, Quintin et Pontivy, situées à proximité, étendaient leur surveillance sur une partie de l'évêché. Par contre, les bureaux des domaines et contrôle dépendant des départements de Quimper, de Landerneau et de Morlaix étaient au nombre de 25 : Quimper, Pont-l'Abbé, Pont-Croix, Douarnenez, Locronan, Briec, Rosporden, Concarneau, Pont-Aven, Quimperlé, Le Faouët, Gourin, Châteauneuf, Crozon, Châteaulin, Le Faou, Daoulas, Huelgoat, Carhaix. Callac, Rostrenen, Saint-Nicolas-du-Pélem, Corlay, Saint-Caradec et Vieux-Marché [Note : P. Ducroquet, L'administration des droits domaniaux en Bretagne. Annales de Bretagne, t. III, p.145 et 393].

La Cornouaille, particulièrement la Haute-Cornouaille, était médiocrement pourvue de voies de communication. Les grands chemins régulièrement entretenus par la corvée royale étaient les seuls qui fussent vraiment praticables en toute saison. La grande artère passant par Quimperlé, Quimper et Landerneau, route de poste et de messageries, large de 54 pieds avait des relais à Quimperlé. Rosporden, Quimper, Châteaulin, Le Faou et Landerneau. Les autres voies, larges généralement de 40 pieds, étaient les suivantes : de Quimper à Lanvéoc par Locronan, — de Quimper à Douarnenez et Audierne, — de Quimper à Pont-l'Abbé, — de Quimper à Concarneau et de Concarneau à Quimperlé, — de Rosporden à Carhaix, par Scaër et Gourin, — de Scaër au Faouët et du Faouët à Gourin, — de Châteaulin à Guingamp par Châteauneuf, Carhaix et Callac, — de Carhaix à Morlaix, — de Landerneau à Pontivy par Carhaix et Rostrenen ; enfin dans la Haute-Cornouaille, celle de Pontivy à Guingamp par Mur et Corlay. La route de Pontivy à Saint-Brieuc, par Uzel, traversait seulement deux paroisses de l'évêché : Neuillac et Saint-Caradec. La longueur totale de ces grands chemins atteignait à peine 541 kilomètres, pour une superficie de 5.900 kilomètres2, soit une moyenne de 9 kilomètres par 100 kilomètres2. Cette moyenne était de 11 kilomètres pour la Basse-Bretagne et de 13 kilomètres pour l'ensemble de la Bretagne ; elle s'élevait à 14 kilomètres dans l'évêché de Léon [Note : J. Savina. Nos vieux grands chemins et la corvée en Cornouaille et en Léon à la fin de l'ancien régime, Bull. soc. archéol. du Finistère, 1925 p. 52 et sqq.].

(Jean Savina).

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