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ORIGINES ET NOM DE CONCARNEAU.

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La plupart des villes aussi anciennes que Concarneau sont mal instruites de leurs origines. Par un enviable et rare privilège, Concarneau saurait-il le nom de son fondateur et la date précise de sa fondation ? Oui, si nous en croyons certains auteurs.

Vers 1775, Ogée écrivait à propos de Concarneau (Dictionnaire historique et géographique de Bretagne (Nouv. éd.), v° Concarneau, t. 1er, p. 196) : « Nous avons peu de choses à dire sur cette ville... Ses archives ayant été si mal tenues autrefois qu'elles n'ont presque rien laissé d'intéressant ». Mais, ajoute-il : « Le maire, M. Belot, a bien voulu nous aider de ses lumières ; » et instruit par le maire, il écrit : « Concar, fils d'Urbien, qui était en concurrence avec Gralon, fils d'Alain II, pour la souveraineté de la Bretagne, jeta, l'an 692, les premiers fondements de Conkernos ou Concarneau, dans l'île de Kung ou autrement Conq, qu'il avait conquise sur les Pictes, peuple barbare ».

Voilà donc la date précise de la fondation, 692, et le nom du fondateur retentissant comme le son du clairon, Concar !
Les mots « concurrence pour la souveraineté de la Bretagne » nous renvoient aux listes des prétendus Rois successeurs du fabuleux Conan Mériadec. Or, Le Baud, Bouchard, d'Argentré ne comprennent pas le nom de Concar dans ces dynasties.

Mais, dans leurs listes des comtes de Cornouaille, les Cartulaires de l'Eglise de Quimper, de l'abbaye de Landevenec et de celle de Sainte-Croix à Quimperlé mentionnent deux Concar [Note :  Voir : 1° Cartulaire de Quimper, Comm. diocésaine d'architecture, etc., 1 année 1901, p. 33-36 ; — 2e Cart. de Landevenec, Soc. Arch. Du Finistère, p. 172-173 ; — 3° Cart. de Sainte-Croix de Quimperlé, publié par MM. Maître et de Berthou. (Bibl. Bretonne-Armoricaine), p. 89-92.
D. Morice donne ces trois listes, Pr., I, 174-175, avec ces variantes : Congar Keroenuc (Quimper), Concar Cheroenoc (Landevenec), Cungar Keroenuc (Ste-Croix)]. Le premier est nommé comme prédécesseur du roi Gradlon le Grand qui dormait dans sa tombe à Landevenec près de deux siècles avant la date donnée par Ogée [Note : La Borderie place sa mort « probablement vers 505 ». Histoire, I, p. 325]. Il ne peut donc s'agir que du second, septième successeur du premier.

D. Morice a donné place au second Concar dans son Histoire de Bretagne. Il le nomme Concar ou Urbon et voici ce qu'il en dit [Note : T. 1er, p. 24. V. plus loin quelques détails dans une dissertation sur le Catalogue des Comtes de Cornouaille, p. 836 à 851. C'est là que nous voyons Urbien père de Concar] :
« An 691. Après la mort d'Alain II, les François s'emparèrent des villes de Nantes, Rennes, Dol et Alet. Grallon (fils d'Alain) dépouillé d'une partie considérable de ses états n'eut plus les moyens de soutenir le titre de roi, que ses quatre prédécesseurs avaient porté. Il se borna à celui de comte de Cornouaille qui était son premier titre. On ne sait même s'il ne fut pas obligé de partager ce qui restoit de la Bretagne avec Urbon, autrement dit Concar, ou Keroenos (fils d'Urbien), son cousin germain, que les François protégeaient. — Ce qu'il y a de certain, c'est que ces deux branches paraissent en concurrence et se disputent la souveraineté ». [Note : L'abbé Déric (autre tenant de Conan Mériadec), reproduit ici D. Morice, mais en d'autres termes. Seulement après avoir dit que Judicaël eut deux fils, Alain et Urbien, il dit que « Grallon fut obligé de partager la Bretagne avec son jeune frère Urbon, nommé aussi Concar ». — Il faut lire « son cousin ». (Hist. ecclés., II, p. 119 et 150). Rien de Concarneau].

Rien dans cette phrase de Concarneau, et rien non plus des Pictes. La vérité est que les Pictes ou Saxons n'étaient plus là et depuis longtemps. C'est au milieu du Vème siècle que ces barbares, précurseurs des Normands, ravagèrent les rivages de l'Armorique, massacrant, pillant, brûlant tout ce qu'ils ne pouvaient emporter, et n'ayant jamais songé à former un établissement pas plus à Conq qu'ailleurs (Sur leurs affreux ravages, La Borderie, Hist. I, p. 220 et suiv.).

Après les premières émigrations de l'île de Bretagne en Armorique (seconde partie du Vème siècle), les Saxons n'y apparurent plus.

Au VIIème siècle, comme le dit Morice, c'est aux Français (disons plus exactement aux Francs) que les Bretons avaient affaire ; et Concar combattait avec les Francs. Allons-nous combiner ces deux récits, compléter D. Morice par le maire Belot, corriger celui-ci par D. Morice ? En ce cas, la révélation de D. Morice va rendre le fondateur de Concarneau peu sympathique aux Bretons, même aux Concarnois qui sont de bons et fidèles Bretons. — Mais non ! Ne condamnons pas Concar sur la parole de D. Morice, et ne le célébrons pas comme fondateur de Concarneau, sur le renseignement fourni à Ogée. La vérité est que, de 688 à 752, on ne sait rien de la Bretagne [Note : « Depuis 688 jusqu'à 752, on ne trouve le nom des Bretons dans aucun texte d'histoire ou de chronique ». La Borderie, Hist., I, p. 505] !

Un maire de Concarneau avait instruit Ogée ; un autre maire, nommé Le Beau, renseigna Cambry, venu à Concarneau vingt ans après la publication d'Ogée. Or Le Beau ne parle pas de Concar, mais des Pictes, occupant le site de Concarneau. Cambry trouve ce fait « particulier, original ». Il se demande où Le Beau l'a trouvé, « avec les preuves que ce citoyen lui avait promises » ; et Cambry n'ayant pas vu ces preuves a, comme il dit, « la témérité de ne pas croire aux Pictes ». (Cambry, Voyage dans le Finistère en 1794 et 1795, p. 538. Ed. de 1836).

Nous dirons plus loin où Le Beau a trouvé les Pictes... mais revenons à Concar.

C'est une faiblesse commune aux fondateurs de villes d'imposer leurs noms à leurs créations. Voyez plutôt Alexandre et Constantin !

Les partisans de Concar (s'il y en a) pourront constater que Concar a été plus modeste. Jusqu'à la fin du XVème siècle, la ville de Concarneau se nomme Conc, Conq, Concq (Alain Bouchard, Chroniques de Bretaigne. Liv. 1er, f° 4 r° et f° 5 v°. Ed. des Bibliophiles Bretons).

C'est seulement à cette époque, huit ou dix siècles après Concar, qu'on trouve le nom de Conc devenant Concqkerneau, dans un mandement de la duchesse Anne (1489), Conkernowe, dans une lettre du roi d'Angleterre [Note : Lettre d'Anne de Bretagne (Morice, Pr., III, p. 691), du roi d'Angleterre (695)], enfin Concarneo dans un portulan de trente ans postérieur (1520) [Note : On nomme portulan (de l'italien portoleno, porto), des cartes marines indiquant tous les ports, hâvres, entrées de fleuves où les navires peuvent séjourner. Avant l'invention de la boussole, les navires ne se risquaient guère en haute mer et rasaient timidement les côtes, allant presque de port en port. Ce portulan est, dit-on, de 1520. Desjardins, Gaule Romaine, I, planche VI, p. 272-273].

L'auteur, un navigateur gênois, a remplacé les dernières lettres par la syllabe o ; mais le nom ainsi écrit rend la prononciation qu'il a entendue.

C'est, je crois, le plus ancien document où le nom de la ville commence par les deux syllabes Concar.

Mais à la même époque, le mot Conc sous les formes Conc, Conq et Concq, prévaut dans la langue officielle (V. dans Morice, Pr., III, les actes et lettres d'Anne de Bretagne, Charles VIII, Louis XII, le vicomte de Rohan, le maréchal de Rieux, etc.). Enfin, avec une faute d'impression ou sous la forme défectueuse Cons, il se retrouve dans l'atlas célèbre préparé par le cosmographe Gérard Mercator, mort en 1594, et que publia Joseph Hundt (1613).

Objectera-t-on qu'un contemporain breton de Mercator et de Hundt, le chanoine Moreau, mort en 1617, écrivait Concarneau ? Oui, ce mot se lit dans son Histoire des guerres de la Ligue en Bretagne, imprimée pour la première fois en 1836. Mais lisait-on Concarneau dans le manuscrit de l'auteur ? Moreau a eu pendant deux siècles et dans le XVIIIème de nombreux copistes ; l'un d'eux, corrigeant le manuscrit pour le mettre à la mode nouvelle, n'aura-t-il pas changé Conc ou Conkerneau en Concarneau. Je serais porté à le croire quand, longtemps après la mort de Moreau, je vois couramment employé le nom Conkerneau ou Conquerneau, forme française du mot [Note : Conquerneau (qu pour k à la mode française) (Mercure français de 1619, nous le verrons plus loin). — Conckerneau et Conquerneau. Itinéraire de Bretagne par Dubuisson-Aubenay, ci-dessous p. 17. Nous verrons même le nom Conquerneau employé dans un aveu de 1678].

Pour finir, remarquons que le vieux nom de Conc est encore d'usage vulgaire en breton.

Ce n'est donc pas dans le nom plus ou moins historique de Concar ; c'est dans le nom ancien et usuel de Conc qu'on doit chercher l'étymologie de Conkerneau, devenu par corruption, comme disent les grammairiens, Concarneau.

Le mot Conkerneau se compose des deux mots Conq, dont nous allons dire la signification, et Kerneau, Kernew, Kerné, qui veut dire Cornouaille. Conkerneau est donc Conc de Cornouaille, comme Conc-Léhon, aujourd'hui Le Conquet, est Conc de Léon [Note : Faut-il ajouter : comme « Cong-Gall, ainsi nommé de sa situation près des frontières de la France, que les Bretons appellent Gall ? On en a fait Cancale par corruption. » Dict. d'Ogée, I, p. 137, note].

Mais qu'entendre par le mot Conc ?

Le P. Grégoire de Rostrenen le traduit par grande coquille, conque [Note : Dictionnaire Français-Celtique, 1732. « V° Conque, grande coquille. Croguen vras, autrefois Conk, et de là Conk-Kernez, Concarneau ». Il faut supposer l'extension de sens indiquée ailleurs de bassin, port. Quand le P. Grégoire se dit de Rostrenen, il donne le lieu de sa naissance, selon l'ancien usage des Frères mineurs suivi encore en certaines provinces. On a semblé prendre Rostrenen pour son nom, Levot, Biog. Bretonne, V° Rostrenen. — V° aussi Kerdanet, Notices Chron. et Le Brigant cité par lui p. 244]. Cette interprétation née peut-être de la ressemblance des mots, est repoussée par D. Pelletier. Après un long exposé, il traduit conc par coin, pointe. Il se rapproche ainsi du plus ancien dictionnaire breton le Catholicon [Note : Le Catholicon, imprimé à Tréguier en 1499, et réédité de notre temps par Le Men, archiviste du Finistère], qui ne donne pas conc mais coing, et traduit anglet, angulus. Il est permis de rapprocher du Catholicon le dictionnaire de Littré au mot Coin. On y lit : « XIIIème, XIVème, XVème siècles, Calvin et Montaigne, Coing. Etymologie Wallon, Coinc, provençal, Cunh, Conh, Cong ».

Conc ou Conq ne serait-il pas Cong ? et ne veut-il pas dire Coin ou pointe, selon D. Pelletier ? Le Gonidec, le colonel Troude, notre savant confrère M. Loth, traduisent coin, pointe. La cause est entendue.

Ceux qui tiennent au sens de conque, grande coquille, veulent par extension entendre le mot Conc au sens de « port ou bassin garni de quais ».

Ainsi Conc-Kerné, Conc-Léon sont pour les uns le port de Cornouaille, le port de Léon ; pour les autres, et j'en suis, le coin de Cornouaille, le coin de Léon.

Mais en voilà assez et trop sur le nom et l'étymologie du nom de Concarneau. — Dirai-je mon avis ? Ce n'est pas Concar qui a donné son nom à la ville; c'est au contraire le nom de Conc qui, rapproché du nom Concar, a valu a Concar le titre de fondateur de Concarneau.

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Cette histoire de Concar et des Pictes obtenait, semble-t-il, créance à Concarneau vers le temps d'Ogée et de Cambry. Du moins la trouvons-nous consignée dans un mémoire écrit à Concarneau sous ce titre : Essais historiques sur Concarneau et le comté de Cornouailles [Note : Voici le titre entier de cet ouvrage : Essais historiques sur la ville de Concarneau et le comté de Cornouailles, contenant un abrégé des événements les plus intéressants de l'histpire générale de Bretagne. Ouvrage divisé en six parties, accompagné de notes historiques, de plans, d'un précis du commerce, des productions des principales villes maritimes de cette province, des grands hommes qu'elle a donnés à la France depuis le règne de Clotaire III jusqu'à nos jours, et de descriptions des ports, rades, passes et mouillages de Concarneau et des Iles des Glénans, à l'usage des navigateurs, par M. Dellain, ancien Commissaire des Classes de la marine, pensionnaire du Roi. Sans date, mais on lit p. 88, en note : « En 1776, j'ai vérifié, etc., » et p. 261 : « J'ai vu en 1779. ». Ces dates nous donnent la date approximative de l'ouvrage, postérieure à 1779].

Cet ouvrage commence par plusieurs pages empruntées à « un manuscrit extrait, dit l'auteur, de la Tour de Londres, contenant les guerres du comté de Cornouaille et un abrégé sur l'idiome celte des Pictes barbares ». L'auteur de ce manuscrit est Thomas Kerosius, écossais [Note : Je n'ai pu avoir des nouvelles de ce Kerosius, dont le nom, sans doute latinisé, pourrait-être Keros].

Les pages traitant des origines de Concarneau sont un véritable roman d'aventures de guerre et d'amour, auquel l'auteur des Essais semble attacher une confiance entière.

L'auteur des Essais dit qu'il a vu « des fragments des anciennes annales de Concarneau qu'une personne de considération lui a communiquées, qui paraissent assez confirmer ce que rapporte Thomas Kerosius ». Il dit aussi qu'un « manuscrit marqué au coin de la vérité lui a été confié ».

Qu'étaient ces anciennes annales de Concarneau et ce manuscrit ? Quoiqu'il en soit, le lecteur qui ne les a pas sous les yeux, fera à Thomas Kerosius moins d'honneur que l'auteur des Essais.

Voici, comme spécimen, un résumé très exact des premières pages de Kerosius [Note : J'abrège, mais je garde les termes de l'auteur..] :

Alain, oncle de Concar, s'empare du palais d'Urbien. Azinore, femme de Concar, se jette aux pieds de son oncle qui la poignarde. Tirvall, officier d'Alain, sauve l'unique enfant de Concar, Ninice, et la confie à un pêcheur sous le nom de Dorera. Après cinq ans de guerre, Concar s'adresse à Tirvall pour avoir des nouvelles de sa fille. Tirvall redemande Dorera au pêcheur ; mais celui-ci, pour payer le fisc, l'a vendue à Lezurec, officier de la cour de Grallon, fils d'Alain. Il répond que, trois ans auparavant, le loup l'a emportée. La femme de Tirvall « par pure curiosité » recherche quel est l'enfant sauvé par son mari. Alain apprend cette enquête, et soupçonnant Tirvall de trahison, lui fait arracher le coeur qu'il jette à son chien ; la femme de Tirvall se punit de sa fatale curiosité en se frappant d'un poignard.

Alain va reprendre la guerre (690), mais il meurt d'une hydropisie de poitrine. Concar profite des embarras que les Francs suscitent à Grallon II « pour s'étendre un peu ». Il occupe Conq, en l'absence des Pictes. Le soir, ceux-ci reviennent du pillage ; Concar les repousse, les poursuit et ramène des prisonniers, au nombre desquels Dorera. Lezurec a pour neveu et pupille Zimar, fils de Tirvall. Ces deux enfants rapprochés par le malheur s'aiment ; et, pour les séparer, Lezurec a livré Dorera aux Pictes.

Concar ne reconnaît pas sa fille qui a dix-huit ans ; il se sent pris pour elle « d'une sorte d'amitié qui fait place à l'amour le plus vif » ; et il lui offre « son coeur et sa main » ; mais celle-ci gardant sa foi à Zimar repousse son vainqueur. Furieux, Concar la condamne à mort, par le glaive et le feu, dans un lieu nommé l'enceinte, dit aujourd'hui le petit château, à l'endroit où est actuellement l'église paroissiale.

Mais à ce moment, les Pictes sont signalés vers la forêt de Cap Fouesnant (aux Sables Blancs), Concar s'élance à leur rencontre : au devant de leur troupe un jeune homme « se précipite, » demandant asile à Concar qui l'accueille. Dorera est conduite au supplice. Le jeune inconnu « se précipite » et arrête le bras du bourreau. Il révèle son nom, Zimar ; déclare qu'il a eu Lezurec pour tuteur, qu'il aime Dorera ; qu'apprenant que Lezurec l'a livrée aux Pictes, il a tué Lezurec et s'est mis à la recherche de Dorera. Enfin, il montre des bracelets d'enfant que Dorera lui a remis en gages de son amour.

A ces bracelets, sur lesquels sont gravés les chiffres entrelacés de Concar et d'Azinore, Concar reconnaît sa fille. Il la donne à Zimar ; il fait de son gendre le premier gouverneur de Concarneau, et il part pour aller reconstruire le palais de son père qui est Lescongar (Les-Congar, la cour de Congar. Courcy, Nobiliaire, III, p. 253), paroisse de Plouhinec.

Zimar et Ninice meurent en 706, laissant un fils de quinze ans, Judon, qui sera gouverneur de Concarneau. Concar meurt lui-même « comblé de gloire », en 725, à soixante-cinq ans.

Judon vit jusqu'à l'invasion franque en 757. Il est vaincu et tué à Quimperlé et son successeur paie le tribut aux Francs.

De toute cette page, qu'on pourra trouver trop longue, retenons seulement les mots soulignés : le lieu nommé l'enceinte dit aujourd'hui le petit château.

(Julien Trévédy).

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