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LE CHATEAU DE BREST

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Établi sur une assise gallo-romaine du IIIème siècle, le château de Brest fut achevé par Vauban au XVIIème siècle. Manifestation de la puissance des Comtes de Léon jusqu'au milieu du XIVème siècle, enclave anglaise pendant cinquante ans, convoitée par la Bretagne, l'Angleterre, la France, la forteresse du bout de la terre était considérée au Moyen Age comme un des plus forts châteaux existants.

Histoire. — On a confondu Brest avec la Gesocribate des textes itinéraires, jusqu'à ce que des travaux d'archéologues, consacrés par le jugement d'Auguste Longnon, aient reporté cette localité près de la pointe Saint-Mathieu. Mais comme les substructions de la courtine qui joint la porte du château à la tour de la Madeleine conservent des traces importantes de petit appareil, alternant, avec des arases de tuileaux, l'existence d'un camp fortifié à l'époque romaine paraît démontrée.

Il faut descendre jusqu'aux temps carolingiens pour rencontrer le nom de Brest dans un texte. Un passage interpolé à tort par Dom Lobineau dans son édition de la Chronique de Nantes, mais qui, dit M. Merlet, nouvel éditeur, « semble dériver d'une source historique fort ancienne », le cite à propos de faits survenus au IXème siècle : « oppidum quod dicitur Bresta ».

En 1165, le duc Conan II ordonne à l'abbé de Saint-Meen la restauration de la cité de Brest et de son fossé, et la construction d'une église en l'honneur de la Trinité.

En 1240, le duc Jean le Roux l'acquiert du vicomte de Léon, « villa de Brest, et castrum et portus ».

Pendant la guerre de succession de Bretagne, Jean de Montfort l'enlève à Charles de Blois (1341). Les Anglais, alliés de Jean IV, s'y installent, et, après un siège inutile de Duguesclin (1373), en deviennent définitivement possesseurs en 1378. Le duc ne put les déloger, en dépit d'un double siège et d'une ceinture de bastilles sur terre et sur mer (1386 et 1387). A l'occasion de cette attaque, les Anglais travaillèrent aux fortifications et le capitaine cherchait, en 1392, à se faire rembourser ses dépenses.

Jean IV rentra en possession de la place en 1397, et Jean V, qui lui succéda deux ans plus tard, s'occupa de la mettre en état de défense. Les textes relatifs à la construction sont nombreux au XVème siècle. On y travailla en 1405, année ou Guillaume Périer est « maistre et serviteur des œuvres de Brest » et où « le marché d'une des prées (?) du chasteau » est passé pour 2.600 livres ; en 1407 et pendant les années suivantes ; entre 1423 et 1426, époque où le même Guillaume Perrier reçoit 800 livres « pour un marché d'une tour et autres œuvres en la forteresse de Brest » ; vers 1460 ; en 1462, où Goulven de la Boixière reçut 1.800 livres à valoir sur la construction d'un « boulevard » ou barbacane devant le château ; en 1464 et 1466, à la porte ; en 1481-1482, où 1.500 livres sont allouées au paiement de la maçonnerie, de la charpente, de la couverture et, des réparations ; enfin en 1487, l'on répare encore.

En 1489, à la veille de la réunion de la Bretagne à la France, Rohan prit possession de la ville au nom du roi de France Charles VIII.

Il résulte de documents inédits que, sous le nouveau capitaine Carreau, la place, réduite à l'enceinte actuelle du château, comprenait notamment, la porte et sa barbacane appelée bouleyard ; le « donjon », au nord, et sa « basse-cour » ; une tour de la Madeleine, à l'est ; une tour déjà dite de Brest, au sud, là ou se trouve la tour nommée aujourd'hui Française et non pas à l'emplacement de la tour de Brest actuelle ; une « tour du Parc », probablement la tour de César ; et une tour Coëtdres, mais il est difficile de savoir si elle faisait partie de l'enceinte proprement dite ou des ouvrages extérieurs du Parc, dans la pointe entre la rade et la rivière, encore appelé Parc-au-Duc.

Carreau, qui mourut en 1499, travailla surtout à ces dehors du côté de la mer, qui comptaient alors trois « boulovers », construisit un four et un puits dans l'enceinte et répara la tour de la Madeleine.

Ce ne doit être qu'au XVIème siècle qu'on refit les tours d'angle sud et ouest, dont les noms « Brest et Française » furent échangés par confusion vers le dernier quart du XVIIème siècle ; et qu'on renforça de six mètres en moyenne le parement de tour de la Madeleine. Celle de l'ouest, aujourd'hui tour de Brest, qui a été le moins remaniée, présente bien les mêmes caractères que l'ancien château de Louis XII à Dijon.

En 1553, un inventaire inédit mentionne les armements, déjà anciens de la « tour du Parc », la « tour françoyse », la « tour de Brest », la « tour de la Magdeleine », du « donjon », du « portail » et de son « boulevard », car ce terme désigne toujours la barbacane, ainsi que « le pan de mur neuf du côté de la mer ».

De 1553 à 1560, on ne travaille qu'aux dehors et aux souterrains du donjon, mais, en 1560, l'ingénieur Pietro Fredance jette les fondements de l'ouvrage qui couvre la tour du nord, alors appelée « boulevard du donjon » et depuis bastion Sourdeac. Les guerres de religion commençaient et l'argent se fit rare. En 1576, le capitaine Jérôme de Carué réclamait encore l'achèvement du bastion. Les états de Bretagne de 1851 représentent que les fortifications de Brest tombent en ruines. A la mort d'Henri III (1589), la Bretagne entra dans le conflit, et bientôt, sous la pression des événements, un capitaine royaliste, Rieux-Sourdéac, termina l'ouvrage qui a conservé son nom. Il s'occupa aussi du Parc-au-Duc. Les plus fortes dépenses correspondent à l'année 1594.

A partir du XVIIème siècle, le souci principal des ingénieurs militaires fut la défense de la ville, accrue de ses faubourgs et sortie des limites de l'ancienne enceinte, devenue citadelle.

Toutefois, le château ne fut pas complètement abandonné. Sous Richelieu, le gouverneur Coislin couvrit la barbacane et la porte d'une « pièce détachée et casematée » avec douves (1631). En 1670, M. de Seuil demanda qu'on baissât vers le niveau de la mer les batteries extérieures du Parc-au-Duc.

Sept ans plus tard, l'ingénieur Sainte-Colombe proposa 53.000 livres de dépenses au château, mais n'on obtint que 8.000 pour le Parc-au-Duc et pour un ouvrage à l'entrée du port. Il fallut la visite de Vauban à Brest, en 1683, pour qu'on se décidât à refondre le château lui-même. Les réparations les plus urgentes furent faites en 1685, mais l'exécution de son projet, avancée en 1689, n'était pas achevée en 1700.

Les ouvrages extérieurs furent augmentés, notamment du côté du plateau, où l'on couvrit la porte par une tenaille et un chemin couvert avec son esplanade et une contre-garde du côté de la rade. Dans l'enceinte, de grands magasins souterrains, à l'épreuve de la bombe, furent creusés au revers du front nord-ouest.

Le bastion Sourdéac fut terrassé, son parapet épaissi, ses guérites terminées. Les deux tours du donjon furent unies par une voûte relancée sur la cour et dont un mur divisa la portée, de façon à constituér une batterie élevée, entourée d'un parapet. Les autres tours à deux étages devaient être voûtées et pourvues dans le même esprit d'un terre-plein à l'épreuve avec parapet. Celle de Brest fut fermée à la gorge, mais la plate-forme y manquait encore en 1700, ainsi qu'à la tour Française. Celle de César ne fut voûtée que plus tard. Le flanc droit de la tour de la Madeleine fut prolongé ; tous les parapets furent refaits, des fossés creusés, etc. Enfin, les trois petites tours gallo-romaines qui demeuraient encore entre la tour de la Madeleine et la porte fortifiée furent supprimées. Les autres, entre la porte et le bastion Sourdéac, avaient été détruites quelques années auparavant.

Vers 1704, on reprit la face et le flanc gauches du bastion Sourdéac du côté de la Penfeld, avec leurs parapets et les casemates du flanc.

Au milieu du XVIIIème siècle, l'établissement d'un champ de Mars entraîna la suppression du fossé de la tenaille et du chemin couvert. La tenaille elle-même ne disparut qu'à une époque récente, avec le percement de la voie ferrée du port militaire.

Description succincte. — L'aspect du château de Brest en 1640 est donné assez fidèlement par la vue cavalière ci-jointe, dont voici la légende : A, tour, de la Madeleine : B, tour de Brest, aujourd'hui tour Française ; C, tour de César ; D, tour Française, aujourd'hui tour de Brest ; E, poterne donnant sur la rivière ; F, donjon ; G, bastion de Sourdéac ; H, Parc-au-Duc ; l, batteries extérieures ; K, bastion Notre-Dame ; L, estacade fermant le port. L'original de cette vue existe à la Bibliothèque nat., Ge D 3302, fragment.

Château de Brest en 1640 (Bretagne).

L'enceinte présente en plan la forme d'un trapèze, orienté par ses diagonales. La grande base, face au plateau, et la petite, face à la mer, barrent un promontoire pris entre la rade et la rivière Penfeld. La première, formant le front nord-est sur un total de 250 mètres environ, depuis la tour de la Madeleine, à l'angle oriental, jusqu'aux donjon et bastion Sourdéac, à la pointe nord, est partagée par la porte fortifiée.

La seconde, ou front sud-ouest, allant de la tour d'angle sud, dite Française, à la tour occidentale, dite de Brest, compte à peu près 140 mètres hors d'œuvre, divisés par la tour de César et son avancée. Les côtés du trapèze mesurent, sur leur plus grande longueur, 220 mètres sur la rivière, 180 sur la rade. Sur le trajet de cette dernière courtine, on rencontre une tourelle appelée tour du Moulin. Une poterne fortifiée, détruite à l'époque moderne, s'ouvrait autrefois sur la rivière dans l'autre courtine.

La barbacane, qui renforçait le point faible de la place, a été construite vers 1462. Elle présente de frappantes analogies avec celle de Lassay (1485-1489), étudiée par M. Lefèvre-Pontalis, et dont les comptes ont été publiés par M. de Beauchesne ; ainsi qu'avec celle de la porte Mordelaise, à Rennes. Des canonnières rondes à longue mire la percent dans sa partie ancienne, terrassée et enchâssée par les remblais qui introduisent, aujourd'hui directement au château L'ouvrage conservé a été renforcé, au XVIIème siècle, par des travaux extérieurs très importants : tenaille, traverses, contre-garde, chemins couverts, etc. La plate-forme supérieure fut transformée, bien entendu, pour recevoir une batterie en barbe.

La porte fortifiée par deux grosses tours rondes, non appareillées, à mâchicoulis sur corbeaux de trois assises en retraite, profilées en quart de rond, date du même temps.

0llivier Kerveat y travaillait en 1464 et 1466. La porte charretière et la poterne ont été remaniées, mais elles ont conservé les rainures des bras des ponts-levis. Une herse défendait le passage.

La demi-courtine du front nord-est, qui la relie à la tour de la Madeleine, conserve, en dedans d'une fausse-braie en remblai sur le fond du fossé, des substructions remarquables. Dans leurs parties les plus visibles, elles présentent une alternance de six assises de petit appareil allongé et deux assises de tuileaux, ainsi que les arrachements de trois tours, flanquant des courtines de 16 à 17 mètres. Les fondations de ces tours, qu'il serait utile de dégager pour en déterminer l'appareil, affleurent au niveau du sol. Elles étaient cylindriques, de 6m 70 de diamètre hors d'œuvre, et engagées seulement d'un quart. Leurs murs ont 2 mètres d'épaisseur et paraissent liés par le même ciment mêlé de briques pilées que le rempart. Elles existaient encore à la fin du XVIIème siècle et Dubuisson-Aubenay, qui les a vues en 1636, les appelle « tours à l'antique ».

Quoique moins apparent, l'appareil romain se retrouve au nord de la porte, dans l'autre demi-courtine, beaucoup plus remaniée. Du fond du fossé, considérablement creusé et dépourvu de fausse-braie, il m'a été impossible de découvrir la moindre trace d'appareil en épi signalé par Fleury. Les arcs de décharge de cette courtine datent de l'époque moderne. On voit aussi de ce côté les arrachements de trois tours de faible diamètre, figurant sur d'anciens plans et détruites dans la première moitié du XVIIème siècle.

En tournant à gauche, après avoir franchi la porte fortifiée, on pénètre dans la tour de la Madeleine, qui flanque l'angle oriental. Son plan est, en fer à cheval, avec une partie droite du côté de la mer, et sa gorge forme extérieurement un flanc en retour d'équerre sur la courtine sud-est. Elle comprend une cave voûtée comme le second étage, qui se trouve de niveau avec l'esplanade. Ces voûtes, ainsi que la plate-forme et son parapet, datent de la fin du XVIIème siècle. Mais l'inspection des embrasures puouve que cette tour renferme une tour antérieure, évidemment celle dont on connaît l'existence depuis le XVème siècle et qui fut, au XVIème, épaissie dans des proportions considérables. Plus tard, la partie droite sur la mer fut encore allongée, sur la proposition de Vauban.

En suivant la courtine qui longe la rade, on rencontre la petite tourelle du Moulin, convertie en latrines et enveloppée, depuis 1821, d'un parement qui en interdit l'étude aux archéologues ; puis, après un coude, la tour Française, qui défend le saillant méridional. Cette tour elliptique appartient par ses parties anciennes à la première moitié du XVIème siècle. Sa cave fut voûtée à la fin du XVIIème siècle, mais la voûte supérieure et la plate-forme, qui paraissent n'avoir pas été terminées, furent détruites, en 1828, pour le terrassement d'une batterie. La tour Française n'a reçu ce nom que par confusion, après 1677. Elle s'était appelée jusque-là tour de Brest et succédait à une autre tour ainsi nommée, qui n'était pas neuve en 1499.

Le front sud-ouest, petite base du trapèze, est, interrompu en son milieu par une sorte d'éperon triangulaire, aboutissant à une tour cylindrique dite de César. La tour et les faces de cette manière de redan, homogènes, construites en moellon, munies de corbeaux de mâchieoulis, paraissent dater du commencement du XVème siècle.

Les salles à six pans ne furent voûtées qu'au XVIIIème siècle. Entre la tour Française et le coude du redan, une porte et une poterne refaites, à ponts-levis, donnent accès aux ouvrages extérieurs du Parc-au-Duc.

Au bout de la demi-courtine suivante, au saillant occidental, la tour de Brest, qui mesure 24 mètres de diamètre hors d'œuvre, en grand appareil, avec ses canonnières à double ébrasement, remonte au commencement du XVIème siècle. Ouverte à la gorge jusqu'à la fin du XVIIème siècle, elle reçut alors deux voûtes sur ces étages et une plate-forme à parapet, achevée au commencement du XVIIIème. Réciproquement, elle s'est appelée tour Française jusqu'au dernier quart du XVIIème siècle.

La courtine nord-ouest, qui longe la rivière et conduit au donjon, a été souvent refaite. On y remarque les arrachements de la fortification de l'ancienne poterne et les ouvertures pratiquées pour éclairer les magasins souterrains construits sur les plans de Vauban.

Enfin le groupe de constructions appelé donjon dès 1495 arme l'angle nord. C'est une véritable citadelle, qui paraît avoir compris au XVème siècle, comme aujourd'hui, trois tours rondes, la tour du Nord, la tour du Midi et la tour d'Azénor, réunies par des courtines autour d'une petite cour munie de son puits.

La tour d'Azénor, à l'extrémité du front nord-ouest de l'enceinte, et le tronçon de courtine qui, dans le même alignement, la relie à la tour du Nord étaient à peu près ce qu'elles sont de nos jours ; la tour du Midi et le corps de logis rectangulaire qui la prolonge dans la direction du nord-est jusqu'au parement de la courtine d'enceinte de ce côté n'en différaient que par les poivrières qui les couvraient. La tour du Nord a été plus remaniée, surtout dans ses parties hautes. On voit dans un dessin de la fin du XVIème siècle qu'elle était alors couronnée par une plateforme. Cette tour, qui défendait le saillant septentrional de l'enceinte entière, s'adossait à une partie droite assez courte, orientée vers le sud, dont la face orientale, continuée en courtine, rejoignait l'extrémité du corps de logis méridional. Dans la troisième courtine coudée qui joint les tours du Midi et d'Azénor était percée la porte. Le pont-levis retombait sur un fossé, aujourd'hui comblé, qui isolait complètement le donjon.

Au XVIème siècle, des souterrains furent aménagés sous la cour. La date de 1558 gravée sur une pierre en témoigne. Puis, en 1560, commença la construction du « boulevard du donjon » ou bastion Sourdéac, qui couvre la tour du Nord. A la fin du XVIIème siècle, les deux tours du Nord et du Midi et leurs corps de logis furent réunies par une façade intérieure qui réduisit la cour, de façon à former un grand bâtiment à plate-forme unique, destiné à recevoir une batterie haute. Un mur de traverse divisait la portée. La tour du Nord fut terrassée.

Enfin, vers 1704, quand on refit la face et le flanc gauches du bastion Sourdéac et les casemates qui flanquent la courtine sud-ouest et battent la Penfeld, on établit pour y descendre un escalier dont l'entrée était dans la cour. Pour asseoir les reins de cette rampe, il fallut combler l'un des souterrains du XVIème siècle.

Dans l'ensemble, on peut dire que te groupe des tours a été construit au XVème siècle. Toutefois, on trouve dans les caves de la tour du Midi et de son corps de logis des archères basses qui indiqueraient une époque plus ancienne. Il est à noter que les défenses basses du château détruit en 1395 à Tonquédec manquent complètement aux tours et courtines reconstruites à partir de 1406. En revanche, les branches d'ogives de la petite chapelle au deuxième étage, dont le tore à filet saillant se détache entre deux baguettes à contre-courbe, reposent sur des culots de style assez avancé, si l'on tient compte du coefficient d'archaïsme de l'architecture religieuse en Basse-Bretagne.

Toute cette partie du château, si défigurée, soulève des problèmes très délicats à résoudre.

Le bastion Sourdéac, construit entre 1560 et 1594 environ, repris à l'ouest et retouche en 1704, est un ouvrage déjà tout moderne. Des galeries, accessibles de la plate-forme située à l'est du donjon, desservent les casemates des flancs. Des guérites de pierre, terminées sous Vauban, amortissent l'angle flanqué et l’epaule occidentale.

BIBLIOGRAPHIE. — Fleury (E.) : Le château de Brest ; Brest, 1863. — Levot (P.): Histoire de la ville et du port de Brest ; Brest-Paris. 1864-1866. 3 vol. in-8°. — Delourmel (Louis) : Essai de bibliographie de la ville de Brest, 1907-1908.

(Par le Vte Alfred DE LA BARRE DE NANTEUIL).

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