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Comment Maître Vincent Ferrier enrichit l'Église de Vannes.

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Après que son âme admirable l'eût abandonné, le corps de maître Vincent, non sans heurts et sans peines, fut maintenu en possession de l'Eglise de Vannes, et déposé à la cathédrale. Les fidèles vinrent l'y vénérer ; reconnaissants des grâces obtenues, ils couvrirent son tombeau d'offrandes. Tous les historiens expliquent que ces offrandes servirent à entreprendre et à poursuivre la reconstruction de la cathédrale qui menaçait ruine.

Saint Vincent Ferrier.

En réalité elles ne profitèrent pas seulement à la cathédrale. C'est-ce qui ressort de plusieurs documents du temps. Ils se trouvent dans un des recueils où le R. P. Fages a accumulé, au fur et à mesure de ses recherches, tout ce qui, intéressait le grand thaumaturge [Note : Notes et documents sur l'histoire de saint Vincent Ferrier, par le Père Fages, Q. P. Louvain et Paris, 1905, gr. in-80, pp. 403-412]. Mais leur éditeur ne donne aucun commentaire, aucune analyse ; il s'excuse même de la sorte à leur sujet : « Pour tous ces documents, d'une lecture extrêmement difficile, dont presque tous les mots sont en abrégé, souvent effacés, nous réclamons l'indulgence du lecteur » [Note : Notes et documents sur l'histoire de saint Vincent Ferrier, par le Père Fages, Q. P. Louvain et Paris, 1905, gr. in-80, p. 403, n.]. Que signifie cette note sinon que le savant religieux croit avoir parfois mal lu, parfois mal réduit les abréviations, qu'il ne saisit pas nettement le sens des textes établis par lui. Il paraît donc utile de les publier de nouveau et de les accompagner d'un commentaire.

Le premier des actes en question date du 30 octobre 1419 [Note : Cf. ci-après pièce justicative I], sept mois après la mort de maître Vincent ; il émane conjointement de l'évêque Amaury et de son Chapitre. A la suite d'un salut et du souhait de toutes sortes de biens en abondance « cunctorum bonorum largitatem », vient un long préambule, assez-embrouillé. On peut le résumer ainsi : « Dieu accorde le don des miracles à l'Église militante pour accroître la dévotion de ses fidèles. Quand des corps saints ornent une église, les fidèles la visitent plus souvent et leurs largesses viennent en aide à ses ministres pour soutenir avec plus d'éclat le culte divin. La vigne du Seigneur, cultivée en temps propice, pousse plus loin des rameaux mieux fournis. Pieusement, nous le croyons, c'est grâce à la clémence divine que notre Église de Vannes, où repose le corps de maître Vincent de Ferrier, voit les fidèles, attirés par leur dévotion envers lui, accourir, plus que de coutume, en multitude innombrable, que cette Église reçoit de la sorte des biens provenant du Seigneur qui l'honore de ses largesses ».

Les largesses étaient considérables. Il fallait les utiliser pour l'honneur de Dieu, l'accroissement du culte, l'entretien des bâtiments de l'église qui menaçaient ruine. L'acte du 30 octobre 1419 a pour but d'enregistrer et de préciser les decisions prises après mures délibérations.

Pour bien les comprendre, il faut se rappeler que plusieurs budgets étaient intéressés, au moyen âge, à la bonne administration de l'église cathédrale : celui de l'évêque, celui du chapitre, celui de la fabrique, celui du trésorier du Chapitre.

La convention du 30 octobre engage directement deux parties seulement : l'évêque et le Chapitre. Ce sont l'évêque et le Chapitre qui réglèrent entre eux l'emploi des oblations faites au tombeau du saint, à l'exception cependant des oblations de cire.

Ils décidèrent de les diviser en trois parts égales : la première, mise à la disposition de l'évêque, qui pourrait la répartir à sa convenance entre les diverses charges de l'église afin de maintenir et d'accroître l'éclat, du service divin ; la seconde, destinée exclusivement à l'usage de la fabrique, mais administrée par l'évêque, qui donnerait, aussi, à la fabrique le résidu, s'il s'en trouvait, de la part plus spécialement affectée à l'office divin ; la troisième, réservée au Chapitre pour en user à sa volonté.

Ainsi apparaît l'union étroite créée par Amaury de la Mottes entre lui et le Chapitre ; ou, plus exactement sans doute, l'ascendant que prit l'évêque sur le Chapitre. D'ordinaire, en effet, l'évêque intervenait dans les dépenses occasionnées par le service, mais il y intervenait pour une petite part : c'était surtout, sinon exclusivement, le Chapitre qui réglait le budget de la fabrique. Cependant le Chapitre abandonnait à Amaury de la Motte la gestion de sommes considérables destinées aux offices, « officientibus », et à l'entretien de la cathédrale, se réservant seulement d'examiner, le cas échéant, les comptes d'emploi, et de présenter à leur sujet les observations qui lui paraîtraient justifiées. Comment le Chapitre, si jaloux de ses privilèges, particulièrement quand ils intéressaient l'autorité épiscopale, semblait-il les abandonner au profit de celle-ci ? Nous y trouvons une explication fort simple. C'est grâce à l'esprit de décision, à la fermeté d'Amaury de la Motte que la cathédrale avait recueilli les dépouilles du thaumaturge, malgré les efforts faits par les Prêcheurs pour le conserver. Il paraissait juste, dès lors, qu'Amaury de la Motte administrât les ressources temporelles dues surtout à son intervention. Du reste, la convention était conclue seulement pour trois ans.

Cette durée limitée, la liberté donnée à l'évêque de régler à sa fantaisie le budget de sommes importantes, pourvu qu'elles demeurassent applicables à la fabrique, c'est-à-dire avant tout, sans doute, à la restauration de la cathédrale, dévoilent, selon nous, un motif plus direct de l'abandon de ses droits par le Chapitre. L'évêque Amaury de la Motte, pieux, actif, généreux, suivait de très près les affaires de son diocèse. Il avait gardé à son église le corps de celui qui, durant sa vie, par ses prédications, avait transformé l'âme de ses ouailles ; après sa mort, maître Vincent contribuait à la favoriser de grâces spirituelles, lui attirait en outre des ressources temporelles. Amaury, après peu de jours, apprécia la particulière importance de celles-ci. L'église-mère de son diocèse, la cathédrale, menaçait ruine ; il vit là le moyen de la restaurer, de la relever. D'après les traditions et les règles, les oblations devaient tout d’abord revenir au Chapitre. Il demanda au chapitre d'en user personnellement, pour une grande part ; en même temps, il lui faisait connaître son dessein, fixait avec lui un plan de restauration de la cathédrale, se chargeait de le faire aboutir, promettait sans doute aussi d'y contribuer par des offrandes personnelles. Le Chapitre pouvait-il ne pas remercier l'évêque en le laissant libre d'agir ?

Il prit cependant ses précautions. Nous, venons de dire comment le concordat de l'évêque et du Chapitre était conclu pour trois ans. Pendant ces trois années, les oblations au tombeau de maître Vincent devaient être conservées dans un coffre fermant à trois serrures dont les clefs demeureraient respectivement entre les mains de l'évêque, du Chapitre et de l'administrateur ou procureur de la fabrique. Après les trois années écoulées, les trois serrures et la distribution des trois clés demeureraient en usage. Mais, par ailleurs, et à moins de nouvelles conventions contraires, tout devait être remis dans le même état qu'avant la mort de maître Vincent, sans que les droits anciens de l'évêque et du Chapitre fussent en rien modifiés sans que l'une ou l'autre des parties pût arguer, à un moment donné, de l'augmentation des offrandes des fidèles et du concordat temporaire pour tenter un changement aux règles anciennes du partage des oblations.

Non content de prémunir ses parties l'une contre l'autre, le concordat de 1419 prévoit l'alliance qu'elles devront conclure au cas où on essaierait de leur soustraire la source des richesses qu'elles se partageaient, le corps de maître Vincent. On sait combien, dans le haut moyen âge, les corps saints étaient ardemment convoités par les églises et les abbayes. Elles en poursuivaient parfois la possession à l'aide de moyens qui nous paraissent aujourd'hui peu licites. Les causes qui agissaient à ces époques reculées n'ont jamais perdu de leur valeur. Le préambule de notre charte en donne clairement la raison : « Dieu a accordé le don des miracles à l'Église militante, pour augmenter la dévotion de ses fidèles. Quand des corps saints ornent une église, les fidèles la visitent plus souvent, et leurs largesses viennent en aide à ses ministres pour soutenir avec plus d'éclat le culte divin ».

Sous les pas de maître Vincent fleurissaient les miracles : mieux que beaucoup d'autres il mérita d'être appelé thaumaturge. Le clergé de Vannes, les Frères Prêcheurs, alors qu'on attendait son dernier souffle, étaient anxieux de savoir qui d'entre eux posséderait son corps. On sait comment les Frères Prêcheurs n’ayant pas de couvent de leur ordre à Vannes, le clergé séculier prit possession des précieux restes. Mais il demeurait sous la crainte d'un retour offensif des religieux. S'ils établissaient un couvent à Vannes, la requête dernière de Vincent n'était plus une protection suffisante : les Prêcheurs se croiraient en droit de réclamer le corps de leur frère pour le placer dans l'église qu'ils élèveraient.

C'est pourquoi le concordat de 1419 prévoit les contestations qui pourraient s'élever avec eux ou tout autre au sujet de la sépulture de maître Vincent. Il décide que les dépenses résultant de ces contestations seront prélevées d'une part sur le produit des oblations assignées à l'évêque, à la fabrique et au Chapitre ; d'autre part sur les oblations en cire, proportionnellement à leur valeur.

Les oblations en cire sont mentionnées dans l'accord entre l'évêque et le Chapitre comme ayant donné lieu à un accord spécial qui fut souscrit le 31 octobre 1419 (Cf. pièce justificative II).

On sait quelle importance avait la cire dans les cérémonies religieuses de nos pères. Ils se servaient exclusivement de cire pour éclairer le sanctuaire, et aimaient l'illuminer. C'eût été un des articles les plus lourds du budget des églises sans les dons en nature des fidèles. En raison du prix relativement élevé de la matière, les oblations en cire étaient considérées comme des plus méritantes. Pour la même raison, et aussi sans doute parce que la flamme symbolisait l'âme en prière, elles devinrent extrêmement populaires, revêtant les formes les plus diverses. On les vit affluer sur le tombeau de Maître Vincent.

Des discussions s'élevèrent, entre gens de la cathédrale, pour savoir qui devait bénéficier de l'aubaine de la cire. Le Chapitre en disposa au profit de la fabrique. Son trésorier, Jean Robert, protesta. C'était là une des formes d'offrandes dans lesquelles il était traditionnellement intéressé. Celles du tombeau de maître Vincent provenaient d'une source nouvelle. Il n'y avait aucune raison pour en changer l'habituelle destination. Jean Robert annonça bientôt l'intention d'engager un procès contre l'évêque et le Chapitre qui ne lui permettaient pas d'user des oblations de cire, comme le voulaient les règles et la tradition.

Cette perspective ne troubla pas l'évêque ni le Chapitre. Ils savaient le trésorier dans son droit strict, ils reconnaissaient ce droit ; ils entendaient néanmoins utiliser les offrandes de cire au profit de la fabrique, et ils avaient des armes pour amener le récalcitrant à composition. A sa menace, ils répondirent, en effet, par une autre menace. Comment avez-vous rempli, lui firent-ils remarquer, les charges d'entretien qui vous incombaient dans l'église en vertu de votre office de trésorier et des bénéfices qui y sont attachés ? Vous voulez nous faire un procès ? Très bien. Nous vous mènerons, nous aussi, devant le juge ; nous exigerons que vous répariez complètement les fautes de votre administration.

Crainte ou désir de paix, Jean Robert accepta un compromis qui régla d'un coup, non seulement l'attribution des offrandes au tombeau de maître Vincent, mais encore plusieurs autres questions pendantes entre le Chapitre et lui. A la trésorerie demeuraient attachés les revenus de la paroisse de Plouay, comme précédemment. Mais, dorénavant, ces revenus ne supporteraient plus aucune des charges auxquelles Jean Robert, après ses prédécesseurs, était jusque-là tenu de faire face dans l'église cathédrale.

Moyennant ces conditions, le trésorier, en son nom et celui de ses successeurs, abandonnait à la fabrique toutes les oblations de cire, qu'elles fussent « obtenues » par maître Vincent ou offertes en un lieu quelconque de l'église ; il abandonnait encore la pension qu'il avait coutume de recevoir sur l'église de Moréac, et, généralement, tous les revenus de la trésorerie, à l'exception de l'église de Plouay.

L'accord modifiait donc les traditions et les règles anciennes. Jusqu'alors le trésorier possédait, outre sa prébende de chanoine, des revenus spéciaux, indépendants, qui l'obligeaient à prendre des initiatives, à assumer des responsabilités sur des questions importantes intéressant, en même temps que lui-même, l'évêque et le Chapitre. Désormais il se trouvait déchargé de toute responsabilité, mais aussi de toute initiative. Sa charge demeurait surtout honorifique. Par suite, la convention du 31 octobre touchait, en quelque sorte, aux constitutions du Chapitre.

C'est ce qui explique la solennité de sa forme et les précautions prises pour la faire reconnaître par l'autorité supérieure. La charte qui la rapporte est rédigée au nom de l'évêque. Elle expose, d'abord le désaccord entre les parties principales, Chapitre et trésorier ; enregistre les engagements réciproques pris par ces parties. Puis l'évêque met en oeuvre l'autorité qu'il tient de ses fonctions ; se référant au consentement du Chapitre, il décharge le trésorier de ses obligations, les impose à la fabrique. Enfin, sur la requête des parties, après avoir affirmé les accords utiles à la fois à son église et au trésorier, et conformes au droit canon, il décrète qu'ils demeureront pour toujours en vigueur.

Bien plus, il fait appel à une autorité plus haute que la sienne. « Humblement et dévotement il supplie le très reverend père dans le Christ et Seigneur, le seigneur Jacques, archevêque de Tours (Jacques Gélu), son métropolitain, de vouloir bien intervenir à son tour par décret pour que les accords puissent être fermement tenus à l'avenir » (Pièce justificative III). L'archevêque rendit le décret demandé le 14 janvier 1420 [Note : Le Chapitre (17 novembre 1419), le trésorier (26 novembre), l'évêque (30 décembre), la fabrique (1er janvier 1420), passèrent successivement procuration pour les représenter afin d'obtenir l'approbation de l'archevêque. (Cf. le Père Fages, I. c., pp. 408 et s. d'après les Archives du Morbihan)].

Les textes ne donnent pas une certitude absolue sur la nature des charges incombant au trésorier dans l'église cathédrale avant 1419. Peut-être devait-il intervenir dans l'acquisition et l'entretien du mobilier et des ornements ; peut-être devait-il aussi subvenir à partie de l'entretien des bâtiments ?

En tout cas, on se figure sans peine à quelles difficultés se serait heurtée la mise en état de la cathédrale s'il avait fallu obliger le trésorier à utiliser dans ce but les deniers de la recette qui lui était spécialement affectée, partager les initiatives et les débours entre le Chapitre, le trésorier et la fabrique, sans parler de l'évêque.

Amaury de la Motte eut l'habileté d'annihiler pour toujours l'action du trésorier, tout en accroissant légèrement, peut-être, ses revenus, qui devinrent de tout repos ; de reporter sur le seul budget de la fabrique toutes les dépenses de bâtiments et de mobilier.

Le budget de la fabrique de l'église cathédrale prenait dès lors une importance considérable. Les oblations formaient sans doute, à cette époque, la bonne part de ses revenus. Le tiers des oblations diverses au tombeau de maître Vincent, représentant une grosse somme, lui était acquis pour trois ans. Celles en cire fournissaient au trésorier un revenu important avant même l'entrée du saint corps à la cathédrale.

L'acte du 31 octobre chargeait l'évêque d'administrer la première part de ces revenus. On peut supposer que le Chapitre lui laissa aussi régir la seconde, en répétant la réserve de l'examen des comptes. Tout semble avoir été combiné, en effet, pour laisser éventuellement à l'évêque la direction des travaux de la cathédrale.

L'accord du 30 octobre 1419, conclu d'abord pour trois ans, fut renouvelé le 30 janvier 1426 pour deux années (Pièce justificative IV), pendant lesquelles Amaury de la Motte put, encore une fois, disposer des plus larges moyens pour continuer son oeuvre. Il est possible qu'entre 1422 et 1426 il y ait eu un autre renouvellement de la convention de 1419, bien que l'accord de 1426 n'y fasse pas allusion. Nous savons seulement qu'à cette dernière date un procès était engagé, au sujet des oblations, en cour de Rome, sans doute par un tiers. Qu'Amaury ait pu, encore une fois, les garder en grande partie à sa disposition, et cela malgré toutes les dissensions, ne doit-on pas en conclure à un particulier respect pour sa personne et les mérites de son action ?

Aussi bien, les chartes que nous avons analysées nous montrent les possesseurs d'offices à l'église cathédrale, le trésorier du Chapitre, le Chapitre lui-même, retirer bénéfice, dans une certaine mesure, des oblations faites sur le tombeau de maître Vincent. Mais on peut, on doit supposer que ce bénéfice profita à l'oeuvre qui tenait au coeur de tous. Quant à l'évêque, son désintéressement paraît absolu ; rien du moins ne permet de supposer qu'il se soit personnellement attribué une large part des oblations. Il se montre soucieux d'empêcher que « rien ne soit appliqué aux intérêts privés » de ce qu'il « croit devoir, au profit de l'intérêt public, ajouter aux ressources de son église » ; il prétend que « si les offrandes des fidèles se font plus abondantes », ce doit être pour « accroître la richesse des constructions à entreprendre ».

La restauration de la cathédrale fut donc d'abord l'oeuvre de saint Vincent, qui fournit les subsides permettant de l'entreprendre. « La divine Providence voulut que Vincent, après avoir, par ses prédications, nourri les fidèles de l'Écriture sainte, empêchât la ruine imminente de l'église, en attirant près de son corps la foule toujours plus nombreuse de ces mêmes fidèles ». Mais l'idée d'utiliser leurs oblations pour cette oeuvre fut inspirée à Amaury de la Motte, qui sut, grâce à beaucoup d'énergie, d'habileté, de suite, régler son application. Cet évêque doit être considéré comme le pieux initiateur des transformations de la cathédrale romane qui furent poursuivies, avec plus ou moins de méthode et de goût, jusqu'au milieu du XIXème siècle.

(J. de la Martinière).

Voir   Saint Vincent Ferrier (Bretagne) Saint Vincent Ferrier.

Bretagne : Histoire, Voyage, Vacances, Location, Hôtel et Patrimoine Immobilier

PIÈCES JUSTIFICATIVES

Comment Maître Vincent Ferrier enrichit l'Église de Vannes (partie 1).

Comment Maître Vincent Ferrier enrichit l'Église de Vannes (partie 2).

Comment Maître Vincent Ferrier enrichit l'Église de Vannes (partie 3).

Comment Maître Vincent Ferrier enrichit l'Église de Vannes (partie 4).

Comment Maître Vincent Ferrier enrichit l'Église de Vannes (partie 5).

Comment Maître Vincent Ferrier enrichit l'Église de Vannes (partie 6).

Comment Maître Vincent Ferrier enrichit l'Église de Vannes (partie 7).

Comment Maître Vincent Ferrier enrichit l'Église de Vannes (partie 8).

 

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