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TEILLE

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La commune de Teillé (bzh.gif (80 octets) Tilhieg) fait partie du canton de Riaillé. Teillé dépend de l'arrondissement d'Ancenis, du département de Loire-Atlantique.

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de TEILLE

Teillé vient du latin "tilliaqum" (lieu planté de tilleuls ou de taillis) ou encore du patronyme Teillacus.

La paroisse existe déjà au XIIIème siècle. La famille de La Guibourgère, qui possède dès 1460 un château portant son nom (Raoul de la Guibourgère), a marqué l'histoire de Teillé à partir du XVème siècle. La seigneurie de la Guibourgère relevait directement de la châtellenie de Saint-Mars-la-Jaille et en arrière-fief de la baronnie d'Ancenis. Par des lettres datées de mai 1631, le roi Louis XIII unit les seigneuries de la Guibourgère, la Ragotière, Mésanger, le Tremblay et le Teil, s'étendant en cinq paroisses : Teillé, Mésanger, Trans , Pannecé et Riaillé et il fit du tout une châtellenie sous le nom de la Guibourgère et autorisa son possesseur à avoir une haute justice à quatre piliers et un château fortifié avec douves et pont-levis (Archives du Parlement de Bretagne).

Ville de Teillé (anciennement en Bretagne).

En 1917, une mine de charbon est ouverte à La Guibretière et elle reste en activité jusqu'en 1950.

Ville de Teillé (anciennement en Bretagne).

Note 1 : Les Camus de La Guibourgère, ont donné un évêque de La Rochelle, 1590-1661. Ses armoiries sont dans la chapelle du château : « de sable au poisson d'argent, accompagné de quatre annelets de même, trois en chef et un en pointe ». Louis Camus 1747 â 1794, était fils de Camus Pontcarré de Viarmes, Intendant de Bretagne et de Françoise de la Guibourgère. Entré dans la magistrature, il fut conseiller au Parlement de Paris. Incarcéré en 1793, il fut exécuté en 1794. Son fils Alexandre, 1792-1853 fit son droit sous la direction de Berryer père. Sous la Restauration il rentra à Teillé, fut élu maire, puis conseiller général. Député en 1848, il siégea avec les Légitimistes, et au Coup d'Etat de 1851, il rentra à la Guibourgère où il est mort.

La famille Cornulier a donné sous l'Ancien Régime : un évêque de Rennes, un maire de Nantes en 1569, et un abbé de Blanche-Couronne (Savenay), Claude de Cornulier, seigneur de Lucinière, décédé à 75 ans, le 6 juillet 1681. L'amiral Alphonse Cornulier-Lucinière 1811-1886 se destine tout jeune à la marine. Il participe à la campagne de l'Algérie, prise de Bône et de Bougie. En 1868 il est promu amiral et l'an d'après il commande une escadre en Chine. Nommé Gouverneur de la Cochinchine, il signe le traité qui délimitait le Siam et le Cambodge. A sa retraite en 1873, il est élu maire de Nantes. Marié en 1838, avec demoiselle de la Tour-du-Pin, ils eurent quatre fils officiers dont deux généraux et l'un d'eux se distingua à la Bataillé de la Marne.

Ville de Teillé (anciennement en Bretagne).

Note 2 : liste non exhaustive des recteurs de Teillé : Delmur, de Bonnefous, Guillaume Guérin (mort en 1783), Gilles Garnier (en 1783), ....

Note 3 : liste non exhaustive des maires de la commune de Teillé : Louis-Julien Raou, David, Jean Gaignard, Camus de La Guibourgère (sous la Restauration), ....

Ville de Teillé (anciennement en Bretagne).

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PATRIMOINE de TEILLE

l'église Saint-Pierre (1866-1894), édifiée sur l'initiative de l'abbé Pierre Doussin (1814-1901, abbé de Teillé à partir de 1848 et durant 53 ans) en remplacement d'un sanctuaire datant du début du XVIIème siècle. Le clocher, le dallage et les autels avec colonnes en marbre, datent de 1894 et de 1897. Les trois vitraux du chœur ont été offerts par la famille Camus de La Guibourgère ;

Ecole de Teillé (anciennement en Bretagne).

la croix du Pont-Neuf (1641), située route de La Milsandière ;

la croix Monsieur (vers le XIXème siècle) ;

l'ancien château de Boismaquiau. Il ne subsiste que des vestiges. L'ancienne seigneurie appartient en 1519 à Gilette Raoul. La famille Le Cornulier, seigneurs du Boismaquiau, de La Rivière et de La Sionnière, y demeure jusqu'à la Révolution (ils furent conseillers au Parlement de Bretagne et membres de la Chambre des Comptes à Nantes). Le château était entouré de douves avec pont-levis. Quelques dépendances subsistent. En 1667, 1670, 1671, 1685 sont baptisés en la vieille église de Teillé les enfants de J.-B. Cornulier et de Jeanne de La Poëze, son épouse. Leurs descendants résidèrent par la suite au château du Vair (Anetz). Au moment de la Révolution, les titulaires étaient Marie de Cornulier et son époux Charles Merdy de Catuélan, puis la demeure revint aux de Lorgeril de La Rivière ;

le château de La Guibourgère (1610 - 1830 - 1930). Un sous-bois sur la gauche abrite une chapelle et une pièce d'eau. Propriété à l'origine de la famille Raoul de La Guibourgère (XVème siècle), puis de la famille Camus de Pontcarré (XVIIIème siècle). Sur un aveu de 1757, les Journaux du Chalonge, en Saint-Julien-de-Vouvantes, reconnaissent être "sujets vassaux, de haute et puissante dame Françoise Raoul de La Guibourgère, épouse de messire Jean Baptiste Camus de Pontcarré, chevalier de Viarmes et conseiller d'Etat". La famille Camus a donné un maire de Nantes sous Louis XIII et Richelieu (devenu veuf d'une Charette, il entra dans les ordres et devint évêque de Saintes et de La Rochelle, mort en 1661, il voulut que son coeur fût déposé en l'église de Teillé). Un de La Guibourgère périt sur l'échafaud, à Paris, le 20 avril 1794. Au moment de la Révolution, le domaine est inventorié. C'est un Le Bouvier, oncle de Victor Palierne, chef royaliste, qui régissait le domaine et ce fut un centre de repli pour les rebelles ;

Château de la Guibourgère à Teillé (anciennement en Bretagne).

l'ancienne maison noble du Tremblay. Il eut l'honneur d'abriter la Duchesse Anne de Bretagne ;

l'ancienne maison noble de La Piverdière. Propriété successive des familles Charbonneau, de Beaulieu (sieurs de La Pommeraye) et de La Haie en Derval ;

le presbytère (XVIème siècle - 1783), restauré au XVIIème siècle. En 1783 d'importantes réparations furent faites au presbytère sous la direction de Ogée et Lefort, architectes nantais ;

les lavoirs ;

la maison de retraite (XIXème siècle). Il s'agit d'un édifice ayant appartenu à la communauté de la Sainte Famille (anciennement "Fondation des Sœurs du Tiers Ordre"). Le chanoine Pierre Doussin avait pour ami et contemporain le chanoine de La Guibourgère, curé de Saint-Germain-des-Près. C'est grâce à eux que fut créé un "Hospice régional", animé par l'ordre de "la Sainte Famille", congrégation religieuse de fondation teilléenne ;

la minoterie Roussel (1923) ;

les moulins à vent des Rochettes et de Bouillant ;

Ville de Teillé (anciennement en Bretagne).

A signaler aussi :

la découverte de monnaies gauloises et de poteries romaines ;

la cheminée de la Mine de La Guibretière (1918), située route d'Ancenis ;

Ecole de Teillé (anciennement en Bretagne).

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ANCIENNE NOBLESSE de TEILLE

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Dès le XVème siècle la famille Raoul possédait en la paroisse de Teillé la seigneurie de la Guibourgère. Son premier auteur connu est Jacquet Raoul, notaire de la cour de Nantes, exempt de fouages à la réformation faite en 1426 en la paroisse de Teillé.

Vers la fin de ce même siècle Guillaume 1er Raoul se trouvait seigneur de la Guibourgère ; il laissa de l'union qu'il contracta en 1489 avec Anne de Bailleul un fils, Antoine Raoul seigneur de la Guibourgère dès 1507. Celui-ci épousa Antoinette Simon qui était veuve de lui en 1541 (Archives de Loire Inférieure, E281). Leur fils Jean Raoul, seigneur de la Guibourgère, s'unit à Marguerite Plainchesne et vivait en 1569 et 1576. Il en eut plusieurs enfants dont l'aîné Guillaume II Raoul, sire de la Guibourgère, président de la Chambre des comptes de Bretagne en 1598, épousa Françoise Simon de la Villeneuve. Cette dame fut inhumée le 29 mai 1608 dans la chapelle Notre-Dame de Teillé ; mais son corps fut transféré, en 1609, dans l'enfeu nouvellement construit d'une chapelle adjacente à l'église Saint-Pierre de Teillé qu'on édifiait alors. Son mari Guillaume Raoul lui survécut quatre ans et fut inhumé près d'elle le 2 mai 1612 (Archives Loire Inférieure, E1893).

Jacques Raoul, fils des précédents, seigneur de la Guibourgère, sénéchal et maire de Nantes en 1621, conseiller au parlement de Bretagne, puis évêque de Saintes, de Maillezais et enfin de la Rochelle, conseiller d'Etat, avait épousé avant d'entrer dans les ordres Yvonne Charette de Montbert. Il mourut le 15 mai 1661 et fut inhumé le 30 en l'église des Capucins de Fontenay. Son fils aîné Guillaume III Raoul, seigneur de la Guibourgère, reçu en 1650 conseiller au parlement de Bretagne, épousa en 1653 Anne Sanguin de Végron, et mourut en 1672. Jacques-Joachim Raoul, son fils, seigneur de la Guibourgère après lui, conseiller au parlement de Bretagne en 1679, procureur syndic des Etats en 1706, s'unit en 1683 à Bonne-Thérèse Sanguin de Végron.

Jacques-Claude Raoul, fils de ces derniers, seigneur de la Guibourgère, conseiller au parlement de Bretagne en 1708 et procureur-syndic des Etats en 1723, épousa en 1710 Françoise Huart, fille du seigneur de Bœuvres, et mourut en 1720. Leur fille unique Françoise-Louise Raoul née à Rennes en 1712, s'unit en 1736 à Jean-Baptiste Camus de Pontcarré, seigneur de Viarmes, maître des requêtes, ancien prévôt des marchands de la ville de Paris et intendant de Bretagne. Cette dame mourut veuve, le 6 décembre 1782, à son château de Boeuvres et fut inhumée le 8 en son enfeu dans l'église de Messac. Mme de Viarmes avait apporté à son mari la seigneurie de la Guibourgère qui après leur mort passa à leurs fils. Ceux-ci la possédaient encore par indivis en 1786 : c'était Louis-François Camus de Pontcarré, premier président au parlement de Normandie, et Louis-Jean Camus de la Guibourgère, conseiller au parlement de Paris, qui épousa Marie Thunot de Trévigny. Ils furent les derniers seigneurs de la Guibourgère. A la Révolution M. de Pontcarré émigra, et son frère M. de la Guibourgère périt sur l'échafaud révolutionnaire le 20 avril 1794. La terre de Guibourgère toutefois fut conservée ou rachetée par le fils de ce dernier, Alexandre Camus de la Guibourgère, décédé en 1853. 

La seigneurie de la Guibourgère relevait directement de la châtellenie de Saint-Mars-la-Jaille et en arrière-fief de la baronnie d'Ancenis. Son possesseur devait chaque année, au seigneur de Saint-Mars-la-Jaille, le jour sainte Magdeleine, « un gant senestre de cuir de cerf, houssé pour porter oiseau de proies » et pour rachat deux provendiers d'avoine (16 boisseaux mesure d'Ancenis). La Guibourgère fut érigée en châtellenie en faveur de Jacques Raoul, évêque de Saintes et seigneur de la Guibourgère. Louis XIII donna à cet effet des lettres patentes datées du mois de mai 1631 et vérifiées au parlement de Bretagne le 23 mai 1632. Par ces lettres le roi unit les seigneuries de la Guibourgère, la Ragotière, Mésanger, le Tremblay et le Teil, s'étendant en cinq paroisses : Teillé, Mésanger, Trans , Pannecé et Riaillé ; il fit du tout une châtellenie sous le nom de la Guibourgère et autorisa son possesseur à avoir une haute justice à quatre piliers et un château fortifié avec douves et pont-levis (Archives du Parlement de Bretagne). Mais le 11 juin 1632 Mgr de Saintes acheta de Magdelon de Vahays, héritier de feu Gilles Le Vicomte, la seigneurie de Saint-Ouen en Teillé qui appartenait depuis plusieurs siècles à la famille Le Vicomte (Archives de Loire Inférieure, B 257). Un peu plus tard, l'évêque de Saintes acheta en 1654 de Christophe Pâris les terres et seigneuries de Pannecé et de la Rivière en Pannecé ; il en obtint ensuite l'union, aussi bien que celle de la seigneurie de Saint-Ouen, à sa châtellenie de la Guibourgère.

Dès lors la Guibourgère comprit : les deux tiers de la paroisse de Mésanger, un quart de celle de Teillé, un dixième de celles de Pannecé et de Trans. La juridiction de la châtellenie s'exerça par suite au bourg de Mésanger (Archives d'Ille-et-Vilaine, C 1819).

Donnons quelques détails sur les différents membres de cette châtellenie.

1° La Guibourgère avait un château, une chapelle, un colombier, des bois, avenues, vignes, etc., des fiefs et une juridiction. Ce château « rebâti sur un bon modèle en 1600, puis longtemps abandonné, a été restauré en 1827 par M. Camus de la Guibourgère », et appartient encore aux descendants de ce dernier.

2° La Ragotière en Teillé relevait d'Ancenis et appartenait dès le XVème siècle à Guillaume Raoul, seigneur de la Guibourgère ; son fief rapportait en 1665 environ 85 boisseaux d'avoine, et son domaine comprenait la métairie de la Claverie et le moulin de la Rochette (Archives Loire Inférieure E257).

3° Mésanger. — Cette seigneurie, qualifiée parfois de châtellenie et relevant d'Ancenis, appartint très longtemps à la famille de Châteaugiron dite de Malestroit et fut apportée à celle de Coëtquen par le mariage vers 1520 de Françoise de Malestroit avec François sire de Coëtquen. Gillonne de Cëtquen, unie en 1576 à Etienne du Hallay, posséda Mésanger jusqu'à sa mort arrivée en 1626. C'est après le décès de cette dame que Jacques Raoul, seigneur de la Guibourgère, acheta Mésanger qu'il possédait en 1631. C'était une belle seigneurie avec haute justice et des fiefs rapportant 571 boisseaux d'avoine, 105 1ivres d'argent, 42 trousseaux de foin, des chapons, poules, oies, etc. Le seigneur de Mésanger jouissait en outre : des droits de coutumes au bourg de Mésanger et aux assemblées de la Magdeleine, Saint-Sébastien et Saint-Etienne, — d'un droit de ban et étanche au dit bourg, depuis la vigile de Saint-Barnabé (10 juin) jusqu'à la vigile de la Magdeleine (21 juillet), — des droits de fondation et patronage de l'église de Mésanger, — enfin du droit d'exiger des derniers mariés de cette paroisse une soule pour être jetée le jour de Saint-Etienne après Noël, à l'issue de la grand'messe. Quant au domaine proche, c'était : « l'emplacement du vieil chasteau de Mésanger encore circuit de douves remplies d'eau près du bourg » (en 1665), — la dîme des grains et vins dans huit traits de la paroisse, — un bois et deux grandes prairies, — les métairies de la Beussière, du Boullay et de la Provostière — quatre moulins, etc.. (Archives Loire Inférieure, E257).

4° Le Tremblay était une haute justice s'étendant en Teillé Pannecé et Mésanger ; cette seigneurie qui n'avait pas de domaine, semble-t-il, rapportait en 1665 environ 212 boisseaux d'avoine et 27 livres 15 sols par deniers (Archives Loire Inférieure, E257).

5° Le Teil comprenait dans son fief l'église de Trans et donnait à son possesseur toutes les prééminences de cette paroisse ; par ailleurs ce fief ne valait que 28 boisseaux d'avoine et 17 livres d'argent ; comme domaine il y avait la métairie du Teil et son moulin (Archives Loire Inférieure, E257).

6° Saint-Ouen. — Cette seigneurie s'étendait en Teillé, Pannecé, Bonnceuvre, Mouzeil et Riaillé. L'église de Teillé se trouvant bâtie dans son fief, toutes prééminences y appartenaient à son seigneur. Celui-ci avait aussi un droit de quintaine sur les nouveaux mariés couchant la première nuit de leurs noces dans son fief ; mais il devait leur fournir des roquets et des chevaux pour la course ; si les coureurs frappaient bien la quintaine ils ne devaient à la seigneurie que six boisseaux d'avoine, s'ils étaient maladroits ils en devaient douze. Enfin au seigneur de Saint-Ouen appartenait le droit d'avoir une foire le jour saint Louis et de recueillir 430 boisseaux d'avoine dans son fief. Le domaine de Saint-Ouen comprenait : le manoir de ce nom — les métairies de Saint-Ouen, la Cornillère, la Loberie et Maugerain, deux moulins à eau et un moulin à vent, l'étang et les prés de la Grée (Archives Loire Inférieure, E257).

7° Pannecé. — C'était une petite seigneurie en la paroisse de Pannecé, appartenant aux XIIème et XIIIème siècles à la famille de Pannecé, puis pendant longtemps aux seigneurs de Thouaré les d'Elbiest et les de Saint-Amadour. Le fief de Pannecé donnait à son possesseur les prééminences en l'église de cette paroisse. La maison noble de la Métairie avec un moulin à vent et autres dépendances constituaient le domaine seigneurial (Archives Loire Inférieure, E257).

8° La Rivière en Pannecé. — Le fief de la Rivière était une moyenne justice s'étendant en la paroisse de Pannecé. Son domaine consistait en un manoir avec chapelle et colombier et en deux métairies appelées la Porte et la Bussonnière (Archives Loire Inférieure, E257).

Telle était en 1665 la châtellenie de la Guibourgère dont nous venons de faire connaître les seigneurs jusqu'au moment de la Révolution (abbé Guillotin de Corson).

(à compléter)

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