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LES SEIGNEURS

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Seigneurs de Bretagne

JURIDICTIONS SEIGNEURIALES

Les limites des seigneuries de Saint-Michel-en-Grève ne coïncidaient pas toujours avec les limites de la paroisse et les seigneurs n’avaient pas tous les mêmes compétences judiciaires : certains disposaient de la justice haute, moyenne et basse, d’autres ne disposaient que de la moyenne avec basse, d’autres seulement de la basse justice. La haute justice était la répression des crimes et la basse n’était autre que la justice foncière ou féodale dans l’étendue du fief.

Au Moyen-Age, il existait trois juridictions seigneuriales à Saint-Michel-en-Grève : 

 

 

celle de Kerhuel-Kerbiriou (avec droit de haute justice) ;  

celle de Saint-Michel-en-Grève (avec droit de haute justice) ;  

celle de Porzjélégou (avec droit de basse justice) ;

 

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KERHUEL-KERBERIOU

 

Cette seigneurie est composée de deux membres distincts à l'origine. Le titre de châtellenie qui lui est attribué se rapporte à Kerhuel dont l'ancien château fort, que l'on dit en 1720 « à présent en ruine et même depuis deux ou trois siècles », mais dont on mentionne encore à cette date les vestiges, douves et ceintures, se dressait dans la paroisse de Saint-Michel-en-Grève. La seigneurie de Kerhuel, qui est inférieure à Runfao, possède la haute justice s'étendant à Plouzélambre et Ploumilliau. Elle prétend en 1711 posséder la mouvance d'une partie du fief de Kerbériou, avec basse et moyenne justice, « au regard du membre qui est dans la paroisse de Plestin seulement », ce qui lui a été refusé par la seigneurie supérieure de Plestin. Les seigneurs de Kerhuel sont patrons et fondateurs de l'église et du presbytère de Saint-Michel-en-Grève. Ils ont des prééminences à la chapelle Sainte-Geneviève et dans l'église de Plouzélambre. Ils sont « les seigneurs proches et liges et fondateur de l'église paroissiale de Ploumilliau et semettière » et ont « banc portatif et ambulant dans ladite église paroissiale qu'ils peuvent placer en l'endroit qu'ils leur plait et à leur commodité », ainsi que le droit de patronage dans la chapelle Saint-Guennou. La seigneurie de Lanascol a revendiqué pour son compte le patronage de l'église de Ploumilliau, ce qui a été à l'origine d'une procédure de plus d'un siècle, comme on le rappelle en 1780.

La seigneurie de Kerbériou, alias Kerbiriou, s'étend dans la paroisse de Plestin et est mouvante des fiefs de Plestin-Lesmais et Keranroux-Plufur. Cette juridiction haute, basse et moyenne, unie à Kerhuel, est rendue selon les circonstances à l'auditoire de Ploumilliau — où se dresse le pilier armorié — à Plestin, à Saint-Michel-en-Grève ou enfin à Lannion (1711). Elle a dans sa mouvance les lieux nobles de Kernot, Kerligonan, Kermalehoes an Iselan, Porziou... Kerbiriou possède des prééminences en l'église de Plestin dans la chapelle Sainte-Anne, et dans toutes les chapelles de Plestin.

La dévolution : La seigneurie de Kerhuel appartient au XIV siècle aux du Bois puis entre en possession des Pontblanc. En 1473 Jeanne de Plusquellec, ayant épousé Charles du Pont, hérite Kerhuel de son oncle Olivier ; elle décède en 1476. Marguerite du Pont, fille et seule héritière des précédents, décède sans postérité. En 1471, Guyon Le Rouge reçoit Kerbériou de ses parents François Le Rouge et Denise de Bégaignon, seigneur et dame d'Ancremel. Anne Le Rouge, sœur du précédent, épouse Julien de Coëtlogon en 1495 et recueille les seigneuries de Kerhuel et de Kerbériou. Leur fils aîné, François de Coëtlogon, épouse Gilette de Coëtquen en 1532. Jean de Coëtlogon est seigneur de Kerhuel-Kerbériou en 1624. René de Coëtlogon possède les seigneuries de Kerhuel-Kerbériou et Kervéguen (alias Kervégan) en 1659, de la succession de Louis de Coëtlogon. En 1679, François de Coëtlogon, seigneur de Kerbériou et châtelain de Kerhuel, déclare posséder les deux-tiers de ces seigneuries, l'autre tiers appartenant à Jean Gouyon, seigneur de La Pallue, époux de Marie du Louët. Dans l'estoc de Coëtlogon vont se succéder Jean-Baptiste de Coëtlogon décédé avant 1711, époux de Françoise-Péronelle Hingant de Kerduel puis Jean-Baptiste de Coëtlogon, leur fils, cité en 1736. Jean-Charles, fils du précédent, lui succède et décède sans hoir. Louise-Hermine de Coëtlogon, sœur du précédent, décédée avant 1759 recueille son héritage ; elle est l'épouse de Yves-Louis de Trogoff, seigneur de Boisguézennec et de Kerelleau-Lislemeur. Louis-Anne-Yves de Trogoff a succédé au précédent en 1778. Celui-ci se résout à vendre ses droits seigneuriaux sur Kerhuel-Kerbériou à l'autre copropriétaire en raison des procédures les opposants au comte de Lanascol à propos des prééminences dans l'église de Ploumilliau. A la veille de la Révolution cependant, Yves-Louis de Trogoff, comte de Kerelleau, époux de Françoise-Marie-Catherine de la Boulaye, est toujours propriétaire des seigneuries et châtellenies de Kerhuel-Kerbériou.

Dans la succession Gouyon de la Pallue, Marie-Gabrielle Gouyon, épouse de Bertrand-Gabriel de la Boissière-Lennuic, est citée en 1711, puis en 1759 Marc-Antoine-François de la Boissière. En 1778 Pierre-Marie de La Boissière-Lennuic, seigneur de Keranno, possède toujours le tiers de ce fief.  

 

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SAINT-MICHEL-EN-GREVE

 

La seigneurie de Saint-Michel-en-Grève, dont le nom ancien est « Locmicael an Trez », à laquelle on donne le titre de châtellenie en 1656 s'étend avec ses annexes à Trédrez, Locquémeau, Tréduder et Trégrom. Elle est unie dès le début du XVIe siècle à celle du Rest et de façon difficile à préciser à la seigneurie de Coatrédrez toute proche ; dès 1508-1509 elles ont eu le même seigneur.

Saint-Michel et Le Rest possèdent la haute, basse et moyenne justice maintenue par arrêt de la chambre royale du domaine en 1674, et cette juridiction ressortit en appel aux sénéchaussées de Lannion, Guingamp et Morlaix suivant les cas. L'auditoire de cette juridiction, ainsi que la prison, se trouvent au bourg de Saint-Michel et le patibulaire à quatre piliers se dresse à Parc Justissou en Trédrez. Cette seigneurie possède un marché chaque mardi et quatre foires : celle de Saint-Maudez le 18 novembre qui dure huit jours, celle de l'Invention de la Sainte-Croix en mai, celle du Mardi de la Pentecôte et celle de l'Exaltation de la Sainte-Croix le 14 septembre, qui durent une journée. Le seigneur de Saint-Michel, Le Rest et Coatrédrez est fondateur des églises et des cimetières de Trédrez et de Locquémeau et a des prééminences à la chapelle du Yaudet.

La dévolution : Charles de Kaermaec'h vend Saint-Michel à Alain Rolland. En 1508-1509 Yvon de Coatrédrez obtient le retrait de cette vente avec le consentement d'Alain Rolland et devient seigneur de Saint-Michel-en- Grèves et du Rest. En 1583 Pierre de Coatrédrez, décédé vers 1626, en a la possession. Françoise de Coatrédrez, en épousant Louis du Parc de Locmaria, fait entrer ces seigneuries dans cette maison et leur dévolution suit alors celle de Locmaria. Jean-Marie-François du Parc décède sans postérité en 1745. En 1765 Louis Le Peletier, marquis de Rosanbo, est seigneur de Saint-Michel-en- Grèves, Le Rest et Coatrédrez.

 

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PORZJELEGOU

 

Cette seigneurie de Saint-Michel-en-Grève est un ramage de Kerhuel et relève prochement de Runfao. En 1682 Louis Rogon déclare que pour le cas où ses prédécesseurs auraient fait exercer les juridictions de « Porzieségou, La Porte-Verte, Le Cruguel, Coatquier et Kerarmet-Menou », il entend « se départir et désister par les présentes » de cet exercice. Toutefois en 1740 on trouve toujours la mention d'un procureur fiscal dépendant de la seigneurie de Porzjélégou, plaidant par là pour l'existence d'une juridiction dont on ne connaît pas le degré.

La dévolution : En 1496 Roland Buzic possède cette seigneurie, puis en 1540 Jean Buzic est seigneur de « Porziézégou ». Catherine Buzic, fille de Jean et Louise de Kerguiniou, épouse Philippe Le Gualès. En 1631, Françoise Le Gualès, fille aînée de Jean Le Gualès, sieur de Keryvon, est l'épouse de Louis Rogon, seigneur de Kercaradec, Keryvon, Porzjélégou. En 1682 Porzjélégou est à Louis Rogon, seigneur de Carcaradec et gouverneur de Lannion, en tant que fils et héritier de Louis Rogon et Jeanne de Boisgelin. En 1740 Pierre-Marie Rogon est propriétaire de Kerarmet-Porzjélégou. Louis-Marie-Joseph Rogon, capitaine au régiment royal de Vaisseaux, possède Porzjélégou jusqu'en 1784. En 1787 René-Louis Rogon, comte de Carcaradec, est l'héritier collatéral de Kerarmet-Porzjélégou de la succession de Pierre-Marie Rogon et décède en 1788.

 

(tiré de "Les Justices seigneuriales de l'évêché de Tréguier" et publié avec l’aimable autorisation de Yannick Botrel)

 

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  Les seigneurs de Coatrédrez  

Les seigneurs de Coatrédrez furent aux XVIe et XVIIe siècles parmi les plus puissants de l'évêché de Tréguier. La famille est citée depuis le haut Moyen-Age, mais ce sont les derniers de la lignée qui semble-t-il ont le plus marqué l'histoire de la région.

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Château de Coatrédrez

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  Les seigneurs de Kerninon  

Le fief de Kerninon comprenait dans ses délimitations presque toute la paroisse de Ploulech et nombre de terres en Loguivy, Ploumilliau, Trédrez et Saint-Michel-en-Grève (Keropars). Ce fief était un membre de la châtellenie de Quoetfrec (Coatfrec).

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Château de Coatfrec

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  Les seigneurs de Plusquellec  

La seigneurie de Plusquellec est une des plus ancienne de l’Evêché de Cornouailles. Cette famille est issue en juveignerie des comtes de Poher, lesquels étaient eux-mêmes les petits-fils de nos premiers ducs. La seigneurie de Plusquellec englobait entre autre le fief de Kerhuel en Saint-Michel-en-Grève.

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Château de Tonquédec

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En 1710, dans un " Rolle de répartition de la somme de treize mil sept cent trente livres qui doit estre imposée sur touttes les seigneuries et fiefs ecclésiastique et laïques de l'évesché de Tréguier " (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, C 3479), on trouve mentionnées à Saint-Michel-en-Grèves la seigneurie de Kerhuel Kerberiou au sieur de Querberiou de Coetlogon (50 livres) et la seigneurie de Saint-Michel en Grève au sieur marquis de Locmaria (60 livres).

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Tréguier de 1481, on comptabilise la présence de 6 nobles de Saint-Michel-en-Grève (alors qu'en 1426, on ne comptabilisait, semble-t-il, que 3 nobles) : 

Jehan BUZIC (50 livres de revenu), comparaît en archer, porteur d'une brigandine ;

Jehan LE MAISTRE (20 livres de revenu), comparaît en archer, porteur d'une brigandine ;

Guillaume MENOU (10 livres de revenu), défaillant ;

Jehan MENOU (10 livres de revenu), comparaît en archer, porteur d'une brigandine ;

Alan TNOUGUINDY (Troguindy) de Keropertz (60 livres de revenu), comparaît en archer, porteur d'une brigandine ;

Guil ROUVEL (LE ROUGE ?) (5 livres de revenu), comparaît en robe ;

Lors de la Réformation des fouages de 1426, les nobles suivants sont mentionnés à Saint-Michel-en-Grève : Olivier Menou, Henry Tanguy et Guihomar du Quenquisou. On y mentionne aussi le manoir de Ker Uhel ou  Keruel (appartenant à Olivier sire de Plusquellec, exploité par Jacob Sarac). Plusieurs contribuants sont également cités : Guillaume le Goarscou, Nicholas le Merer, Jehan Faver, Jehan Scoezec, Jehan Quelff, Guillaume Person, Guillaume Guiltrite, Jehan Prigent, Alain Selguel, Johan Cuff, Yvon le Gauvaign Bihan, Jehan Rivalen, Mahé Nedelec, Olier Nedelec, Jehan Saliou, Guillaume Huon, la veuve Alain Guillou, Jehan Lormec, Guillaume Le Grand, Azelin Guihomar, Jehan Taldu, Jehan Joliff, Jehan Foll, Saliou Mollec, Jehan Coreau, Guillaume Quéré, Yvon Corvenec, Jehan Calvez, Yvon Bouligou, Jacob Sarac, Yvon Binquir, Meryen Heran.

 

Dans une "Montre" de Tréguier en 1503 (Archives Départementales des Côtes d’Armor, 1 C 184 et 74 J 49), plusieurs nobles de Saint-Michel-en-Grève sont mentionnés :

- Rolland Buzic comparu à cheval.

- Ollivier de Tuonguindy sieur de Kerepertz à cheval armé.

- Rolland Menou armé comme le dernier.

- Henry Tanguy à cheval armé.

 

Les Buzic étaient seigneurs de Portjézégou (en Saint-Michel-en-Grève), de Kerradennec (en Ploubezre). Ils apparaissent dans des Réformations et Montres, entre 1426 et 1543, à Saint-Michel-en-Grève, Ploubezre et Guerlesquin. Leur blason porte " D'or au château d'azur, maçonné de sable ".

Les Maistre (le) apparaissent dans des Réformations et Montres, entre 1481 et 1513, à Saint-Michel-en-Grève et Trédrez. Leur blason porte " D'argent à deux fasces de gueules accomp. de trois tourteaux de même ; un greslier de sable, lié en sautoir entre les dites fasces ".

Les Menou, sr. de Kerarmet (en Saint-Michel-en-Grève). Ils apparaissent dans des Réformations et Montres entre 1427 et 1543. Leur blason porte " D'azur à l'épée d'argent, garnie d'or, la pointe en haut ".

Les Troguindy (de), vicomte dudit lieu (en Penvénan), de Kerhamon (en Servel), châtelain de la Roche-Jagu (Ploëzal), seigneurs de Kergoniou et de Launay (en Camlez), de Kerropartz et de Kerguémarc'hec (en Saint-Michel-en-Grève). Ils apparaissent dans des Réformations et Montres, entre 1427 et 1545, dans les paroisses de Penvénan, Camlez, Lannion, Saint-Michel-en-Grève. Leur blason porte " De gueules à neuf (alias : sept), besants d'or ". En 1480, Alain de Troguindy vivait en la paroisse de Saint-Michel-en-Grève. Il possédait un revenu noble de 400 livres. Un Alain de Troguindy apparaît aussi à la montre de 1503 à Ploumilliau pour Gilles Raison, sieur de Kersenant. Et un Olivier de Tuonguindy (Troguindy) sieur de Kerepertz (Keropartz) "à cheval armé" apparaît à la montre de 1503 à Saint-Michel-en-Grève.

Les Le Rouge, sr. d'Ancremel (en Plouigneau) étaient aussi seigneurs de Treffrien, de Begaignon, de Kerbiriou et de Mezoulouarn (en Plestin), de Kerveguen (en Plouzélambre), de Kerhuel (en Saint-Michel-en-Grève). Ils apparaissent dans les Réformations et Montres entre 1427 et 1543 et porte " D'argent fretté de gueules ".

Les Tanguy, seigneurs de Kerarmet (en Saint-Michel-en-Grève), de Guernaléguen (en Trézény). Ils apparaissent dans des Réformations et Montres, entre 1463 et 1545, en la paroisse de Saint-Michel-en-Grève. Leur blason porte " D'or à trois pommes de pin de gueules, au chef de même ".

Les Plouézoc'h, sr. dudit lieu (en Plouézoc'h), du Quelennec (Plounérin), du Crec'h (en Lanmeur), Roslogot (en Ploumilliau), Kergomar (en Saint-Michel-en-Grève). Ils apparaissent dans des Réformations et Montres, entre 1427 et 1543, dans les paroisses de Plounérin, Ploumilliau et Saint-Michel-en-Grève. Leur blason porte " De sable fretté d'or, à la bordure engreslée de gueules ".

Les Rogon étaient seigneurs de la Ville-Rogon (en Erquy), de Carcaradec (en Ploulec'h), de Keryvon (en Buhulien), de Portz-Jezegou (en Saint-Michel-en-Grève), Coëtquis (en Servel).

Les Du Bois, seigneurs de Kerhuel et de Keropartz (en Saint-Michel-en-Grève), de Kerbiriou (en Plestin). Ils apparaissent dans des Réformations et Montres, entre 1427 et 1481, en Perros-Guirec. Leur blason porte " D'azur à la cotice d'argent accosté en chef d'une étoile d'or et en pointe d'une quintefeuille de même ".

Les Cam, seigneurs de Kervasdoué (en Saint-Michel-en-Grève). Leur blason porte " D'argent au chevron de sable (alias : d'azur) accomp. de trois annelets de même ".

Coëtlogon (de), marquis dudit lieu de Coëtlogon en 1622, et seigneur de Kerberio (en Plestin), de Kervéguen (en Plouzélambre), de Kerhuel (en Saint-Michel-en-Grève) porte " De gueules à trois écussons d'hermines " (sceau 1370). Devise : " De tout temps Coëtlogon ".

Les Quenquizou (du), seigneurs dudit lieu et de Kerprigent (en Plougasnou), de Kernoter (en Plouézoc'h). Ils apparaissent dans des Réformations et Montres, entre 1426 et 1545, en Plougasnou, Plouézoc'h, Saint-Michel-en-Grève (Guihomar du Quenquizou, en 1426), Lanmeur (Raoul de Quenquisou) et Saint-Melaine de Morlaix (Jehan du Quenquisou, époux de Marguerite Marzin). La branche de Kerprigent s'est fondue dans Trogoff (par le mariage d'Aliz, héritière du Quenquisou, avec Pierre de Trogoff décédé en 1445), puis Kermabon et Mol. Leur blason porte " De sable fretté d'or ".

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