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SAINTE-ANNE-SUR-VILAINE

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La commune de Sainte-Anne-sur-Vilaine (bzh.gif (80 octets) Santez-Anna-ar-Gwilen) fait partie du canton de Grand-Fougeray. Sainte-Anne-sur-Vilaine dépend de l'arrondissement de Redon, du département d'Ille-et-Vilaine (Bretagne).

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de SAINT-ANNE-SUR-VILAINE

Sainte-Anne-sur-Vilaine est un démembrement de la paroisse de Grand-Fougeray.

Le plus ancien lieu signalé par l'histoire est celui du Loray, appelé jadis Coët-Loray. En 875, Pascweten, comte de Bretagne, donna à l'abbaye de Redon le village de Hoëtlor, ainsi que tous ses habitants ; nous ne doutons guère de l'identité de Hoëtlor et de Coët-Loray. La tradition veut que les moines y aient établi une léproserie.

Dès 1769, les habitants de quelques frairies demandent, vu l'éloignement de l'église de la paroisse, que la chapelle frairienne Sainte-Anne d'Auvers, mentionnée dès 1627 et située près du Manoir d'Auvers (au village de la Cour-d'Auvers), soit érigée en paroisse. Cette chapelle Sainte-Anne-d'Auvers est peut-être primitivement une fondation des seigneurs d'Auvers, mais après la destruction de leur manoir, cette chapelle devint la propriété des paroissiens de Fougeray, qui eurent soin d'y entretenir un chapelain : les seigneurs de Port-de-Roche y fondèrent un catéchisme, et le bénéfice de Prépérié y fut annexé en 1771.

Ville de Sainte-Anne-sur-Vilaine (Bretagne).

Le Pouillé de Rennes précise en effet que cette paroisse toute récente se compose d'une partie du territoire de l'ancienne paroisse du Grand-Fougeray. Près du manoir d'Auvers (nota : Auvers appartint successivement aux familles de Rougé, du Chaffault, de Saint-Martin, de Serres et Chomart. Signalée dès 1401, cette maison fut vendue en 1629 par François Chomart, seigneur de Trenoust, à Marguerite Tillon, dame de la Roche-Giffart. Il ne reste plus qu'un moulin portant le nom d'Auvers), en Fougeray, existait jadis une chapelle mentionnée en 1627 et appelée Sainte-Anne d'Auvers. C'était peut-être primitivement une fondation des seigneurs d'Auvers. Les seigneurs du Port-de-Roche (nota : Le Port-de-Roche, fort ancien manoir, appartint successivement aux familles Lombart, de la Grée, de Kerboudel, Dollier et de Guischardy. La tradition raconte une charmante légende de Marie Dollier, dame de Port-de-Roche - Voir, Semaine religieuse de Rennes, IV, 33) y fondèrent un catéchisme, et en 1771 on y annexa la prestimonie de Prépérié, desservie auparavant en l'église de Fougeray (Grand-Fougeray). Charles Chevance (1735), N. Bergier (1779) et Julien Rommier desservirent Sainte-Anne d'Auvers avant la Révolution. Une ordonnance royale, datée du 27 septembre 1820, érigea le territoire de Sainte-Anne en paroisse distincte de Fougeray (Grand-Fougeray). La même année, Mgr Mannay consacra cet état de choses. M. Aubrée, vicaire à Fougeray (Grand-Fougeray), fut alors nommé recteur de la nouvelle paroisse, qui prit le nom de Sainte-Anne-sur-Vilaine.

Ville de Sainte-Anne-sur-Vilaine (Bretagne).

Sainte-Anne-sur-Velaine (Sainte-Anne), qui devient une paroisse succursale en 1820, dépend alors de l'ancien évêché de Nantes. Un presbytère est installé au manoir de La Blorais en 1824. Une église est construite à partir de 1829. Sainte-Anne-sur-Vilaine est érigée en commune le 9 décembre 1880 (elle est formée de la partie de la commune du Grand-Fougeray qui s'appelait autrefois Pays-de-Bas, par opposition au Pays-de-Haut, devenu la commune de la Dominelais).

On rencontre l'appellation Sainte-Anne-d'Auvers (en 1627).

Note : liste non exhaustive des recteurs de Sainte-Anne-sur-Vilaine : MM. Aubrée (1822 à 1848), Gérard (1848 à 1854), Hamon (1854 à 1871), Jean-Marie Lemonnier (à partir de 1871), ....

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PATRIMOINE de SAINTE-ANNE-SUR-VILAINE

l'église Sainte-Anne (1832-1856 - XXème siècle), oeuvre de l'architecte Louis Richelot. Le Pouillé de Rennes précise que l'ancienne chapelle de Sainte-Anne d'Auvers tombant en ruine, l'on construisit en 1818 un nouveau sanctuaire. Mais celui-ci ne tarda pas à paraître insuffisant pour les besoins de la paroisse, et il fallut élever une vaste église, bénite en 1846, qui existe encore. Il s'agit alors d'un édifice en forme de croix, avec une coupole centrale ; de style renaissance, il présente un aspect grandiose qu'on rencontre peu souvent dans nos campagnes (Pouillé de Rennes). Le clocher est restauré en 1958. Le maître-autel à baldaquin date de 1848. Le vitrail représentant l'éducation de la Vierge date du XIXème siècle. Un autre vitrail, signé Bazin, date de 1933 ;

Ancienne église de Sainte-Anne-sur-Vilaine (Bretagne).

   

Nouvelle église de Sainte-Anne-sur-Vilaine (Bretagne).

la chapelle Sainte-Anne (1940), édifiée à proximité d'une ancienne chapelle mentionnée dès 1627 (propriété de la seigneurie d'Auvers) et reconstruite en 1818. Près de l'ancienne chapelle se trouvait jadis un cimetière muré. Le Pouillé de Rennes stipule que l'église paroissiale de Sainte-Anne a été bâtie à une certaine distance de la vieille chapelle d'Auvers ; celle-ci, s'écroulant de vétusté, vient d'être remplacée par un modeste oratoire qu'accompagne une fontaine, à côté du village de la Cour-d'Auvers. On y honore une statue de sainte Anne d'une forme assez singulière : sainte Anne assise tient sur ses genoux la très Sainte Vierge, qui presse elle-même entre ses bras le divin enfant Jésus. C'est une naïve manière de rappeler les glorieuses prérogatives de la bienheureuse aïeule du Sauveur ;

Chapelle Sainte-Anne de Sainte-Anne-sur-Vilaine (Bretagne).

l'ancienne chapelle Sainte-Appolline du Pont-Louet. Sainte-Appolline du Pont-Louet fut bâtie au commencement du XVIIème siècle par Louis de la Chévière, seigneur du Pont-Louet. Quoiqu'elle soit détruite maintenant, on y venait encore en pèlerinage à la fin du XIXème siècle pour demander la guérison des maux de dents (Pouillé de Rennes) ;

le manoir de Launay-Bazoin (vers 1450), édifié par Jean de La Nouë (ou La Noë), seigneur de Vignais et de La Brosse. Les seigneurs de Launay-Bazoin avait droit de haute justice. Propriété successive des familles de la Chapelle et de la Nouë (en 1430), le Maistre seigneurs de la Garlaye (en 1559 et en 1653), Dollier de Port de Roche, Guischardy ou Guichardy seigneur de Martigné (en 1698 et en 1789), Lasnier, Calbiac, Babin-Chevage (en 1917). Nous voici arrivés devant le plus curieux de tous nos manoirs, Launay-Bazouin, propriété de la famille Lasnier à la fin du XIXème siècle. C'est un charmant spécimen des constructions du XVème siècle. "L'escalier, en colimaçon, est renfermé dans une tour octogone très élégante, dont la portes ogivale et sculptée, présente une courte inscription gothique à peu près indéchiffrable ; cet escalier conduit à une charmante galerie en bois, dont les ogives trilobées, la balustre et les grilles produisent extérieurement un fort bel effet. Les appartements, remaniés de nos jours, sont moins curieux ; on y doit toutefois remarquer des cheminées à moulures ogivales et à nervures prismatiques rares dans nos pays, et sculptées en pierre. Quant aux ouvertures du château, elles affectent généralement la forme ogivale ; quelques-unes sont trilobées, d'autres ont reçu des meneaux sculptés ; quelques pièces de bois sont également travaillées avec soin tant à l'intérieur qu'à l'extérieur" (description de l'abbé Guillotin de Corson, au XIXème siècle). Des anciens seigneurs de Launay-Bazouin, voici la liste : — 1430, Françoise de la Chapelle, femme de Jean de la Noë ; — 1450, la dame de la Noë ; — 1513, François de la Noë, seigneur de Launay-Bazouin ; — 1590, Guillaume Le Maistre, seigneur de la Garlaye ; — 1653, Samuel Le Maistre, seigneur de la Garlaye et de Launay-Bazouin ; — 1717, Marie Dollier, veuve de Maurice de Guischardy, seigneur du Port-de-Roche ; — 1773, René de Guischardy, seigneur du Port-de-Roche. Launay-Bazouin fut vendu à la Révolution ;

Manoir de Launay-Bazoin à Sainte-Anne-sur-Vilaine (Bretagne).

le manoir de Port-de-Roche (XV-XVIIème siècle), édifié par la famille Lambart. En suivant le cours de la Vilaine, on arrive bientôt du Pont-Louet au Port-de-Roche. Ce château habité à la fin du XIXème siècle par la famille de la Fruglaye, devint centre d'une seigneurie assez importante au XVIIIème siècle. Dans l'origine, le Port-de-Roche appartint en 1450 et en 1513 à la famille Lombart ou Lambert. Mais, en 1560, Jeanne de la Grée, femme de René de Kerboudel, le possédait. En 1612, Claude Dollier, d'une famille sortie d'Erbrée, mais établie depuis peu de temps à La Praye, épousa Claude Paris et devint seigneur du Port-de-Roche. Son fils, François Dollier, vivant en 1644, était marié à Marguerite du Breil, et son petit-fils Claude à Marie du Paz. La fille de ces derniers, Marie Dollier, épousa, en 1698, Maurice de Guischardy, seigneur de Martigné. A partir de cette époque et jusqu'à la Révolution, les seigneurs du Port-de-Roche, appartenant tous à la famille de Guischardy (ou Guishardy), furent les plus riches vassaux du marquis de Fougeray. Marie Dollier, veuve de Maurice de Guischardy, prenait en 1717, aussi bien que son petit-fils René de Guischardy en 1773, les titres de seigneur du Port-de-Roche, Launay-Bazouin, Cherhal, le Loray et la Vénourie, toutes terres importantes en Fougeray ornées de manoirs et jouissant de juridictions seigneuriales. Propriété successive des familles Lambart ou Lombart (en 1450 et en 1513), de la Grée et Kerboudel (en 1560), Dollier (en 1612), Guishardy (vers 1698 et en 1789), Grellier (en 1794), de la Fruglaye, de Gouyon de Coipel. Le pigeonnier date du XVIIème siècle. Il conserve une chapelle sécularisée. La chapelle Saint-Yves de Port-de-Roche dépend du manoir de ce nom. Vers 1710, Marie Dollier, dame de Port-de-Roche, y fonda des messes et un catéchisme. Le dernier chapelain de ce petit sanctuaire fut Jean Gortais, confesseur de la foi, et exécuté à Rennes en octobre 1794 (Pouillé de Rennes) ;

Manoir de Port-de-Roche à Sainte-Anne-sur-Vilaine (Bretagne).

la fontaine Sainte-Anne (XXème siècle) ;

le moulin à vent (1832) de Bellenée ;

Moulin à Sainte-Anne-sur-Vilaine (Bretagne).

A signaler aussi :

le pont (1867-1868), édifié par l'architecte Gustave Eiffel à l'emplacement de l'ancien manoir de La Blorais ou Bloriais. Propriété successive des familles Dollier, Glect seigneurs du Breil (vers 1627), Perrault seigneurs du Mesnil (en 1653), de Garmeaulx (vers 1685). Il sert de presbytère jusqu'en 1992 ;

plusieurs menhirs et tombelles, ainsi qu'un tumulus à Pont-Louët ;

le menhir du Perron des Heuzelles, situé entre le village de Pont-Loët et celui des Anges ;

l'ancien manoir de la Blorais. Il a servi de presbytère de la paroisse de Sainte-Anne-sur-Vilaine à la fin du XIXème siècle. Ce manoir a dû avoir une certaine importance. Gillette Dollier, dame de la Blorais, épousa en 1627 Louis Glect, sieur du Breil. En 1653, Gilles Perrault, sieur du Mesnil, paroisse de Pierric, marié à Suzanne de la Grallenaye, possédait la Blorais, qu'habita sa fille Catherine Perrault après qu'elle eut épousé Jean de Garmeaulx, sieur de la Guiberdaye, en 1685 ;

l'ancien manoir du Breil. Il possédait jadis un droit de haute justice. Propriété appartenant en 1450 à Guillaume Hamon ; en 1513 à Jeanne Hamon, femme de Raoul du Val ; en 1627, à Louis Glect et à Gillette Dollier, et, en 1660, à Pierre Glect, marié à Marie de la Grallenaye. Il appartient ensuite à la famille de Bréhier seigneurs de la Riottelaye (en 1699) ;

l'ancien manoir du Bouëxic. Propriété de la famille Péniguel en 1640 ;

l'ancien manoir du Souchay, reconstruit au XVIIème siècle. Propriété successive des familles de Serres (en 1541), Glect (en 1615), Chomart (avant 1629), Paris (en 1629), Glect (en 1668 et en 1719), de Bréhier (en 1777). C’était jadis est un grand corps-de-logis aux larges ouvertures, aux cheminées élevées, entouré d'une cour fermée. Propriété de M. de Bréhier à la fin du XIXème siècle, le Souchay appartenait, en 1541, à Guillaume de Serres, et, en 1615, à Jean Glect il fut vendu par François Chomart, en 1629, à François Pâris. En 1668, Pierre Glect, sieur du Breil, et Marie de la Grallenaye, sa femme, habitaient le Souchay ; ils furent imités par leur fils Pierre Glect, sieur du Souchay, et par François Glect, sieur de la Cour et du Souchay, vivant en 1719, et marié à Renée Salvert ;

l'ancien manoir du Lorais ou Coët-Loray. Une tradition y place une ancienne léproserie. Un château, dont les derniers vestiges apparaissent encore dans les bois du Loray, exista là au moyen âge et fut remplacé dans les derniers temps par un manoir construit à peu, de distance, et dont le portail, du XVIIème siècle, demeure seul debout. En 1450, à Guillaume de Forges, le manoir du Loray, passa entre les mains de là famille de Clay ; Jean de Clay, seigneur du Loray et de la Vénourie, vivait en 1513 ; — Geffroy de Clay, en 1541 ; — Jean de Clay, seigneur du Loray, épousa vers 1600 Gillette Dollier ; — François de Clay, vivant en 1649, ne laissa de son union avec Michelle de Carheil qu'une fille nommée Anne. Cette dernière épousa en 1654 Jean de Castellan, seigneur de la Fouaye, paroisse de Sion. Leur fils, Jean de Castellan, seigneur du Loray, vivait en 1670. La famille Dollier devint ensuite propriétaire de cette seigneurie, qui appartenait en 1717 à Marie Dollier, veuve de Maurice de Guischardy (Guischardy), seigneur de Martigné et de Port-de-Roche. Les seigneurs de Port-de-Roche restèrent en possession du Loray jusqu'à la Révolution française. A la fin du XIXème siècle, les fermes et les bois du Loray appartiennent à la famille Gaudin. Propriété successive des familles de Forges (en 1450), de Claye (en 1513), de Castellan (en 1654), Dollier (en 1672), Guichardy (en 1717), des seigneurs de Port de Roche (jusqu'en 1789) ;

l'ancien manoir d'Auvers, situé route du Grand-Fougeray. Très ancien manoir dont il ne reste plus aucune trace. Possédé successivement par les familles de Rougé (1401), du Chaffault, seigneurs de Saint-Martin (1559), de Serres et Chomart. Marie de Serres, dame d'Auvers, épousa René Urvoy, sieur du Domaine. François Chomart, seigneur de Trenoust, paroisse de Fans, et Renée du Broueil, sa femme, vendirent Auvers en 1629 à Marguerite Tillon, veuve du seigneur de la Roche-Giffart. En 1653, ce n'était plus qu'une métairie possédée par Henri de la Chapelle, seigneur de la Roche-Giffart et de Fougeray. A la fin du XIXème siècle, un moulin conserve seul le nom d'Auvers ;

l'ancien manoir de la Choltière, situé route du Grand-Fougeray. Propriété de Jacques Gaultier seigneur de la Minière en 1615 ;

le manoir de la Vénourie ou de la Béréverie, reconstruit au XVIIème siècle et situé route du Grand-Fougeray. Propriété successive des familles de Claye (en 1450), de Castellan (au milieu du XVIIème siècle), Dollier (en 1660), de Guichardy (en 1698 et en 1789). Cette vieille maison noble a dû être reconstruite au XVIIème siècle en même temps que le Souchay, car on retrouve les mêmes moulures dans les détails architecturaux des deux manoirs. La Vénourie appartint longtemps à la famille de Clay. Guillaume de Clay la possédait en 1450, et Jean de Clay en 1513. Claude de Clay vivait en 1640, et François de Clay et Michelle de Carheil, sa femme, seigneur et dame de la Vénourie et du Loray, en 1649. Leur fille, Anne de Clay, apporta ces deux terres dans la maison de Castellan en épousant Jean de Castellan seigneur de la Fouaye, mais, elles n'y demeurèrent pas longtemps, car les Dollier étaient seigneurs de la Vénourie et du Loray dès 1717, et ils continuèrent de l'être jusqu'à la Révolution ;

l'ancien manoir de Coigne, situé route de Guémené-Penfao. Propriété de Raoullet du Val en 1450. Il est uni à la seigneurie de Cahan (en Le Grand-Fougeray) dès 1513 et vendu nationalement vers 1793 ;

l'ancien manoir de la Saulnerie. Propriété de la famille de la Granelaye seigneurs des Joussardayes en 1608, puis des familles Perrault sieurs du Mesnil en 1675 et de Bréhier seigneurs de la Riottelaye (en 1699 et au début du XIXème siècle) ;

Ville de Sainte-Anne-sur-Vilaine (Bretagne).

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ANCIENNE NOBLESSE de SAINT-ANNE-SUR-VILAINE

(à compléter)

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