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LES CHAPELLES DE L'ÉGLISE ABBATIALE DE REDON.

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Nous sommes très renseignés en ce qui concerne les neuf chapelles de l'église abbatiale, car toutes existent encore, bien qu'ayant changé de vocable ou même de destination. Nous les étudierons en commençant par le côté de l'Epître.

I. — Chapelles Saint-Etienne (aujourd'hui du Rosaire ou de Sainte-Philomène).
Le retable de son autel, de la même époque que celui du chœur, est d'un très beau travail ; il est orné des statues des saintes Cécile et Philomène. Lorsqu'en 1642 fut démolie la vieille chapelle Saint-Etienne qui s'élevait entre le chevet de l'église abbatiale et le mur d'enceinte, le culte du saint, — premier vocable de l'abbaye — se transporta dans la chapelle de son nom qui devint la plus populaire et la plus fréquentée. L'on verra au chapitre du cérémonial de Saint-Sauveur quelles mesures spéciales l'affluence des fidèles avait forcé d'y prendre au jour de la Trinité et à la fête de Saint-Etienne (26 septembre).

II. — Chapelle Notre-Dame de la Serche (aujourd'hui de Saint Conwoïon). — La grande et très importante chapellenie de la Serche était, selon un document ancien, desservie « en une « chapelle d'autour du grand autel du côté de la sacristie [Note : La sacristie de cette époque est devenue la chapelle des Congrégations du Collège Saint-Sauveur], la deuxième dudit côté, le tableau de laquelle représente la Nativité de Notre-Seigneur, et dans laquelle il y a un mausolée et plusieurs tombeaux qui sont ceux des anciens seigneurs qui ont aumôné et fait donation des fonds attachés à cette chapellenie » (H. 177).

Une description aussi précise permet d'identifier aisément la chapelle en question, et de constater que Dom Jausions dans son « Histoire de Redon » et l'abbé Guillotin de Corson dans le « Pouillé de l'Archevêché de Rennes » ont fait erreur en disant que la chapelle de la Serche était celle du chevet de l'église.

Le « mausolée » est toujours là ; c'est un monument funéraire du quatorzième ou du quinzième siècle, d'un style très pur, qui vaut d'être signalé. Il est placé sous une arcature surbaissée au-dessus de laquelle règne une sorte de balustrade gothique ornée de choux frisés et de riches fleurons ; tous les écussons en ont été soigneusement grattés ainsi que les inscriptions dont on ne voit aucune trace. Quoi qu'on en ait dit, cet enfeu ne fut jamais celui du duc François Ier, puisque ce prince fut inhumé au milieu du chœur ; c'est celui de Raoul d'Aspremont, seigneur de Renac.

Quant aux dalles tumulaires, elles ont disparu ; mais, il y a plus de soixante ans, M. Bizeul, le savant achéologue breton, en écrivait ceci : « Devant le grand tombeau sont trois pierres tombales formant une partie du pavé de la chapelle. La plus rapprochée du tombeau a huit pieds de longueur sur trois pieds neuf pouces de largeur ; elle est fort chargée d'ornements et entourée d'une inscription en lettres gothiques illisibles en majeure partie. J'y ai lu : ... jour d'avril... On y remarque un écusson écartelé dont les quartiers 1 et 4 portent un lambel et les 2 et 3 dix billettes posées 3, 2, 3, 2. Les deux pierres tombales placées à la suite de la précédente sont en granit et portent des écussons effacés ».

III. — Chapelle de Toussaints, de la Magdeleine et de Saint- Barthélemy (aujourd'hui de Saint-Joseph). — Son dernier vocable lui venait de ce que, de 1707 à 1713 et de 1773 à la Révolution, les messes qui se disaient an Prieuré de Saint-Barthélemy, à deux kilomètres au nord de Redon, purent par permission de l'évêque de Vannes être célébrées dans cette chapelle. Elle renferme en son centre le tombeau de l'abbé Jehan de Guipry (nommé en 1288, décédé le 12 février 1307), couvert d'une simple dalle que les pieds des passants ont singulièrement usée. Il y a une trentaine d'années, l'on y distinguait encore, dessinée au trait avec une grande pureté, la figure d'un moine en chasuble antique, les mains jointes, coiffé de la mitre, et portant la croix sous son bras gauche. L'inscription qui courait autour du cadre du portrait était en vers latins ; elle est devenue illisible, mais elle a été rapportée par Dom Morice. Voici en quel termes elle était conçue :

Mille datis annis certum ter et epta Joannis
Funere patroni plebe doluit Rotoni.
Simplex, pacificus, humilis, facundus, honestus,
Justus, munificus, mitis, honorificus.

Les vitraux de cette chapelle étaient autrefois ornés des armes des Guipry, ramage de Lohéac : « de vair à un lambel de gueules ».

IV. — Chapelle de Notre-Dame de Pitié (aujourd'hui de l'Immaculée Conception). — C'est la chapelle située à l'extrémité est du chœur, sur le prolongement de l'axe central de l'édifice.

Quand la chapelle dédiée à Notre-Dame de Pitié qui s'élevait sur la Butte au nord de l'abbaye vint à tomber en ruines, les religieux en transférèrent le service dans leur église, comme ils l'avaient fait pour Saint-Etienne, et choisirent la chapelle du fond de l'abside.

Dans le mur nord, une arcade surbaissée en beau gothique flamboyant du XVème siècle recouvre le tombeau de l'abbé Raoul de Pontbriand décédé en 1423, sur lequel se lit la simple inscription suivante :

« Cy gist frère Roul de Pontbriant, humble abbé de Redon, qui décéda le XVIIIème jour de décembre lan mil IIIIc XXIII. Dieu lui pardoint, Amen ».

La statue couchée de l'abbé devait primitivement reposer sous l'arcade de cette belle tombe ; elle en a malheureusement disparu. Douze écussons décorent le tombeau, tous de même forme et surmontés de deux crosses, ce qui était un privilège des abbés de Saint-Sauveur ; six décorent le devant du monument qui a un peu plus de deux pieds de haut, les six autres sont placés au couronnement de l'arcade supérieure ; tous ont été effacés. De plus, les symboles des quatre évangélistes, sculptés dans des médaillons, se voyaient au fond de l'arcade qui recouvre, le sarcophage.

Du côté opposé, auprès de l'autel, une niche servant de crédence était ornée d'une peinture ancienne d'un ton grisâtre et dessinant des enroulements capricieux. Il y avait là sans doute un reste intéressant, donnant une idée du genre de décoration autrefois employé.

Cette chapelle était pavée de carreaux de terre cuite émaillée dont les dernières traces ont disparu lorsque, vers 1860, on y a substitué un banal carrelage de marbre.

Rappelons que Raoul de Pontbriand, d'une ancienne et illustre maison qui s'armait « d'azur au pont de trois arches d'argent » et s'est fondue en du Breil, fut nommé Abbé de Saint-Sauveur le 17 novembre 1395, succédant à Guillaume de Trébiguet. En 1396, il fit serment de fidélité au duc Jean V et reçut une sauvegarde pour son abbaye ; en 1421 il obtint de ce duc que la fabrique des monnaies établie à Redon ne porterait aucun préjudice à son monastère [Note : L’Hôtel des Monnaies disparut sous le gouvernement de l'abbé Guillaume Rodart, successeur de Raoul Pontbriand, tous les monnayeurs de Redon quittèrent la ville].

V. — Chapelle de Tréal (aujourd'hui de Sainte-Thérèse de l'Enfant-Jésus). La famille de Tréal, originaire du pays de Carentoir, y avait son enfeu et les vitraux anciens représentaient des seigneurs et dames de cette maison revêtus de riches vêtements à leurs armes. Celles-ci étaient « de gueules au croissant burelé d'argent et d'azur ».

Là fut inhumé l'abbé Jehan de Tréal, élu en 1339, décédé le 5 mars 1370, qui présida aux destinées de l'abbaye pendant notre Guerre de Succession. Sa tombe a disparu, mais au centre de la chapelle en voyait naguère une grande dalle tumulaire représentant le chevalier Guillaume de Tréal, frère de l'Abbé, portant une armure à ses armes ; autour de l'effigie au trait, une inscription en caractères gothiques disait que ce « chevalier bon, prouz et léal » mourut en 1341 [Note : La maison de Tréal s'est fondue en 1500 dans les Sévigné].

Comme tout le pays de Redon, Jehan de Tréal prit le parti de Charles de Blois dont le droit semblait le meilleur ; toutes ses terres furent ravagées par les gens de Montfort, et lui-même fait prisonnier dut payer une somme considérable comme rançon. C'est lors qu'il reconstruisit et renforça les fortifications de la ville de Redon qu'il tint jusqu'à la bataille d'Auray (1364). Jehan de Montfort, après avoir remporté cette victoire décisive, se présenta devant les places qui avaient tenu pour son rival. Lorsqu'il approcha de Redon, Jehan de Tréal, suivi des principaux habitants, sortit à sa rencontre et ils conclurent un traité par lequel le duc s'engagea à maintenir les droits de l'Abbaye, consentit à libérer les otages que l'Abbé avait dû donner, et lui laissa la nomination du capitaine de la ville, droit qui a duré jusqu'à l’établissement des commendes.

L'année suivante, Jehan de Tréal se trouva à Guérande où il signa le traité de paix conclu entre le duc et les procureurs de la comtesse de Penthièvre.

VI. — Chapelle Saint-Laurent ou de la Rouardais (aujourd'hui de Sainte-Jeanne d'Arc). — C'est la derniere chapelle du tour du chœur ; elle contient dans sa crypte la sépulture de l'un des personnages marquants de notre vieille histoire. Pierre de l'Hospital, seigneur de la Rouardais en Bains, Président et Juge Universel de Bretagne sous le duc Jean V, mort le 14 septembre 1441 dans un âge très avancé.

On voyait encore au XVIIème siècle sur ses vitraux les armes primitives des l'Hopital : « d'argent à la bande de gueules cantonnée en chef d'une merlette de sable » [Note : Dans la suite les l’Hopital prirent pour armes : « de gueules au coq d'argent crêté, barbé et membré d'or »], et aussi le portrait « en effigie et priant » du Président Pierre de l'Hospital, fondateur en cette chapelle d'une chapellenie à obligation de quatre messes par semaine.

Fils d'Eliot de l'Hospital, seigneur de la Rouardais, qui ratifia le traité de Guérande le 14 juin 1381 à Redon avec ses voisins Raoul Le Gac, seigneur de Lanruas (Buard), et Raoullin Pollo, seigneur de la Diacrais, il naquit vers 1360. En 1404, il faisait partie du grand conseil ducal et occupait la charge de Procureur général de Bretagne en remplacement d'Eon de Kermellec. Il semble avoir résigné assez tôt ces fonctions pour s'attacher complètement au service de Jean V, aux côtés duquel nous le trouvons jusqu'en 1420, l'accompagnant dans ses incessants voyages et recevant de lui de hautes marques de confiance et d'affection.

Le duc, qui avait déjà récompensé ses services en lui accondant une pension de deux cent-soixante livres, le désigna, entre autres missions importantes, pour régler avec les Anglais, après la mort de leur roi Henri IV, la question des infractions aux trêves et du renouvellement éventuel de celles-ci. En 1419, la double charge de sénéchal de Rennes et de Broërec lui fut confiée, et en 1438 il atteignait les plus hautes fonctions de la magistrature bretonne et reçut le titre de Juge Universel et de Président de Bretagne.

Le procès le plus célèbre qu'eut à juger Pierre de l'Hospital fut celui de Gilles de Rais déféré à l'autorité ecclésiastique pour sortilèges, évocations de démons, sacrifices aux puissances infernales, et à la justice civile pour assassinats. Ce procès commença le 14 octobre 1440 ; huit jours plus tard, le coupable offrait de faire des aveux complets et désignait pour les recevoir l'évêque de Saint-Brieuc et Pierre de l'Hospital, demande à laquelle accédèrent l'évêque de Nantes, président, et le vice-inquisiteur. Le 20 octobre, à deux heures de l'après-midi, les deux personnages désignés pénétraient dans la chambre du château de Nantes où Gilles était gardé et entendaient de sa propre bouche le récit de tous ses crimes.

L'exécution du malheureux eut lieu sur la rive gauche de la Loire, en face du château. A plusieurs reprises il avait témoigné sa reconnaissance à Pierre de l'Hospital qui jusqu'à la fin s'était montré plein de pitié pour lui. Aussi la demande de révision du procès, où l'on essaya quelques années plus tard de mettre en cause le Duc et son Président, n'avait-elle aucune chance de succès et tomba-t-elle dans l'indifférence générale.

VII. — Chapelle Notre-Dame du Puits (aujourd'hui du Sacré-Cœur). — Elle tirait son vocable d'un puits qui s'y trouvait comme dans de nombreuses églises anciennes, et qui existe probablement encore sous le dallage. Odet de la Rivière, qui fut abbé de Saint-Sauveur entre Alain de Coëtivy et Guillaume Guéguen, y fut inhumé le 7 octobre 1492. La décoration de cette chapelle correspond à celle de la chapelle Saint-Etienne qui lui faisait pendant du côté sud et appartient à la même époque.

VIII. — Chapelle Notre-Dame de Bonne-Nouvelle, ou des Ducs. — Elle a été désaffectée et sert maintenant de cristic. Construite vers 1440 et dédiée à Notre-Dame par l'abbé Yves Le Sénéchal, qui y fut inhumé en janvier 1467, elle porte sur une clé de voûte en pendentif les armes de son fondateur : « d'azur à neuf mâcles d'or, 3, 3, 3. ».

Elle est formée, dans sa longueur, de trois travées voûtées qui correspondent à celles de la chapelle Notre-Dame du Puits, sa voisine, avec lesquelles elles communiquaient par trois arcades aujourd'hui murées. Chaque travée est éclairée au nord par une grande baie ogivale de style flamboyant dont l'une, — la plus à l'Ouest — présente sur l'intrados de l'arc intérieur une guirlande de vigne très fouillée [Note : On retrouve exactement ce même détail d'ornementation à la fenêtre du transept nord de l'église de Béganne, voisine de Redon]. A l'extérieur, les trois baies s'encadrent dans une grande arcade destinée, ainsi que le cordon de machicoulis qui relie cette partie de l'église au rempart de Jehan de Tréal, à compléter le système défensif de la ville. Une quatrième baie semblable aux autres s'ouvre dans le mur Est de la chapelle.

L'abbé Yves Le Sénéchal, qui fut le dernier abbé régulier de Saint-Sauveur, était représenté sur le vitrail principal, portant une chappe armoriée et agenouillé aux pieds du Pape Eugène IV dont il avait reçu le pouvoir de bénir les ornements et de réconciller les églises profanées.

En cette chapelle se trouvait aussi son tombeau, composé d'une table supportée par quatre piliers sur laquelle était l'effigie du défunt revêtu d'une chappe chargée de mâcles et portant la crosse et la mitre. L'épitaphe était la suivante : « Hic jacet venerabilis dominus Yvo Le Sénéchal, abbas insignis hujus monasterii, qui hanc œdificavit capellan aliaque multa reœdificavit edificia. Tandem post multa valde laudabilia et laude digna moritur die tertia januarii MCDLXVII. Anima ejus requiescat in pace. Amen ».

XI. — Chapelle Saint-Roch (actuellement petite sacristie).
Elle communiquait autrefois avec le transept de l'église par une vaste baie en plein cintre pratiquée dans le mur nord de ce transept, et dont on voit encore distinctement le contour. Son vocable lui venait de la proximité du « Logis Saint-Roch », infirmerie des religieux, qui se trouvait entre cette partie de l'église et le mur d'enceinte. Elle fut, sinon construite, du moins remaniée et embellie à la fin du seizième siècle par l'Abbé commendataire Paul-Hector Scotti [Note : Scotti, qui n'avait reçu que des ordres mineurs, vint, contrairement à l'habitude des Abbés conmmendataires, s'établir au pays de Redon où il fit du manoir de Brain sa résidence favorite, Il se montra bon administrateur, bien que son instruction fût rudimentaire], gentilhomme italien, celui-là même qui rendit au roi Henri III le remarquable aveu de 1580, « Le seigneur comte Paul-Hector Scotti, dit un mémoire du temps resté inédit, conservé aux Archives d'Ille-et-Vilaine, fut pourveu de l'Abbaye de Sainct-Sauveur de Redon en Bretaigne dépendant immédiatement du Sainct-Siège, par la résignation de Monseigneur l'Eminentissime Cardinal Salviati, du titre de Sainct-Prise, son oncle, et en obtint les bulles le dixiesme décembre 1566, soubz le règne du Roi très chrestien Charles neufviesme du nom. L'acte d'investiture et mise de possession ne se trouve point dans les archives de ladite Abbaye, en laquelle, toutes fois, ledict seigneur comte demeura vingt ans entiers jusques à son déceds qui arriva le 26 janvier 1596. Il est enterré dans la chapelle Sainct-Roch qui est une des plus belles de l'église de ladicte Abbaye, et qu'il avait choisie pour sa sépulture. Et avoit faict tracer un crayon de peinture pour embellir ladicte chapelle dans laquelle paroissent encore les armes de sa maison et de ses alliez dans la voutte. On avoit commencé d'entailler dans la muraille de ladicte chapelle une arcade pour eslever son tombeau, mais cela n'a point été parachevé, non plus que la décoration de ladicte chapelle, au milieu de laquelle son corps fut inhumé.

Ledict seigneur fonda un anniversaire qui se célèbre tous les ans au jour de son déceds, avec l'office des morts, la messe solennelle, et, à la fin d'icelle, la procession sur la fosse où on faict les prières ordinaires de l'Eglise ; et donna pour cet effect la somme de six cents livres, l'intérêt de laquelle fut assigné sur certains héritages. Il estoit beaucoup aimé et estimé de tous ceux de Bretaigne pour son mérite et singulière vertu ; deffendit et conserva les droicts et privilèges de l'Abbaye qui furent lors contestez par Monsieur le Procureur général du Roy en la Chambre des Comptes ; et fut maintenu en la possession d'iceux par un arrest confirmatif d'un aveu rendu au Roy en l'an 1581 qui contient deux cents feuilles de velin ».

L'enfeu de Scotti est fort bien conservé ; il fait saillie dans la petite cour de la sacristie et a intrigué bien des chercheurs et des architectes. Quant à l'arcade inachevée dont parle le mémoire, on peut toujours la voir dans le mur, à l'intérieur de l'ancienne chapelle.

La tombe de l'abbé commendataire, cachée par le plancher, a été récemment ouverte et trouvée vide.

(R. de Laigue).

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