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DICTIONNAIRE DES ORDRES DE CHEVALERIE

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Ordre de l'Agneau de Dieu

Le roi de Suède, Jean, surnommé le Grand, créa cet ordre à Upsal, en l'année 1574, le jour même de son couronnement, afin de perpétuer le souvenir de son avènement au trône et dans le but de récompenser plusieurs seigneurs de sa cour de leur attachement à sa personne. Cette institution tomba bientôt en désuétude et finit par disparaître complètement après une courte durée.

Ordre impérial et royal de l'Aigle Blanc

Wladislas le Bref créa cet ordre en ses Etats, vers l'année 1325, à l'occasion du mariage de son fils Casimir avec la princesse lithuanienne Anne, et le destina à récompenser la fidélité des seigneurs de sa cour. Il brilla d'un assez vif éclat et finit par tomber dans l'oubli à la suite des événements politiques. En 1697, l'électeur de Saxe, Auguste II, ayant été proclamé roi de Pologne, lutta longtemps afin d'obtenir la possession de cette couronne, qui lui était vivement disputée. Il ne fut pas toujours heureux dans les combats qu'il eut à soutenir contre le roi de Suède, et, afin de rallier à son parti les Polonais, dont la plupart commençaient à l'abandonner, lassés de ne point le voir victorieux, il renouvela, le 1er novembre 1705, l'ordre de l'Aigle Blanc. Après le partage de la Pologne, en 1795, l'ordre parut tout à fait aboli. Mais Napoléon Ier, empereur des Français, ayant, par l'acte constitutionnel du 21 juillet 1807, établi le duché de Varsovie, le roi Frédéric Auguste de Saxe, portant le duc de Varsovie, rétablit l'ordre de l'Aigle Blanc ainsi que les différents ordres polonais, et s'en déclara grand-maître. Depuis la réunion de la Pologne à l'empire russe, l'empereur continua à conférer cet ordre, qui prit le nom d'ordre impérial et royal de l'Aigle Blanc à la suite de l'insurrection polonaise de 1832. 

Ordre de l'Aigle de Brandebourg

Voir Ordre de l'Aigle Rouge.

Ordre de l'Aigle de Prusse

Voir Ordre de l'Aigle Noir.

Ordre de l'Aigle d'Italie

Cet ordre fut créé, le 15 février 941, par le roi d'Italie, Hugo II de Gonzaga, afin de perpétuer le souvenir de son mariage avec la princesse Elisabeth de Gonzaga et de Lombardie, fille du comte souverain de Milan. Walterius de Gonzaga, premier marquis de Mantoue, vice-roi d'Italie, devenu grand maître de l'ordre, renouvela ses statuts en 968 et lui donna de nombreux privilèges. Après une assez longue durée, cet ordre finit par disparaître complètement.

Ordre de l'Aigle d'Or, ou Ordre de Saint-Hubert, ou Ordre de la Grande Chasse

Eberhard Louis, duc de Wurtemberg, institua cet ordre en 1702 dans ses Etats, et lui donna les noms de Saint-Hubert ou de la Grande-Chasse. Il commençait à tomber en désuétude lorsque le roi de Wurtemberg, Frédéric Ier, le renouvela en 1806, lui donna de nouveaux statuts et le nom définitif d'ordre de l'Aigle d'Or. Le roi en était le chef suprême et le grand maître. Il ne se composait que d'une seule classe de membres portant tous le titre de chevaliers. Le 23 septembre 1818, le roi Guillaume Ier remplaça cet ordre par celui de la Couronne de Wurtemberg.

Ordre de l'Aigle Noir, ou Ordre de l'Aigle de Prusse

Frédéric Ier, roi de Prusse, créa cet ordre en ses Etats, le 18 janvier 1701, afin de perpétuer le souvenir de son avènement au trône. Il le destina à récompenser les personnes les plus éminentes de l'Etat, tant par leur mérite que par les services rendus à leur patrie. L'ordre de l'Aigle Noir, qui devint le premier du royaume, ne se confère aujourd'hui qu'à des princes, à des grands seigneurs étrangers, ou enfin à des personnages illustres. Il est considéré comme une haute marque d'estime et de distinction de la part du roi de Prusse. Cet ordre n'est composé que d'une seule classe de membres, qui portent tous le titre de chevaliers. Le nom d'Aigle Noir lui fut donné en mémoire de l'aigle qui entre dans les armoiries du royaume de Prusse.

Ordre de l'Aigle Rouge, ou Ordre de Sincérité, ou Ordre de l'Aigle de Brandebourg

Georges-Guillaume, prince héréditaire de Bayreuth, créa cet ordre en 1705, et lui donna le nom de l'Aigle Rouge, qui figure dans les armes de la maison de Brandebourg. Il fut aussi appelé ordre de Sincérité. Cette institution ne fut complétée qu'en 1712, et subit différentes modifications dans ses statuts en 1734, 1759, 1777, 1791. Suivant lettres patentes du 12 juin 1792, le roi de Prusse, Frédéric-Guillaume II, s'en déclara grand maître et lui donna rang après celui de l'Aigle Noir. Cet ordre ne se composait primitivement que d'une seule classe de membres, qui tous portaient le titre de chevalier. Mais, en 1810, deux autres classes furent ajoutées, et une quatrième survint encore le 22 janvier 1832. Il est aujourd'hui destiné à la récompense du mérite et des services rendus à l'Etat.

Ordre de l'Aile de Saint-Michel

L'origine de cet ordre est attribuée à un fait miraculeux que rapporte une légende portugaise : "Dans un des fréquents combats livrés par les Portugais aux Maures, on raconte que saint Michel parut dans la mêlée afin de soutenir le courage des Portugais. Sa présence ayant contribué puissamment à faire triompher l'armée d'Alphonse Ier, ce dernier, pour témoigner à saint Michel toute sa reconnaissance et le remercier du secours qu'il en avait reçu, créa, en Portugal, dans l'année 1165, l'ordre de Saint-Michel, qui ne reçut la sanction d'aucun souverain pontife, et ne tarda pas à disparaître complètement après avoir brillé d'un assez vif éclat". Les chevaliers de cet ordre étant divisés en religieux et militaires, les premiers suivaient la règle de Cîteaux, et les second faisaient voeu de défendre la religion, le royaume, la veuve et l'orphelin.

Ordre royal d'Albert le Valeureux

Cet ordre a été créé à Dresde le 31 décembre 1850 par le roi Frédéric-Auguste, à l'effet de récompenser les services rendus à l'Etat, les vertus civiques et les personnes qui se sont distinguées dans les sciences, les arts, etc.. Il est divisé en cinq classes : grands-croix, commandeurs de 1ère et 2ème classe, chevaliers et petites-croix. Le roi seul a le droit d'admettre et promouvoir dans l'ordre institué en mémoire du fondateur de la branche albertine, Albert le Valeureux.

Ordre d'Albert l'Ours

Cet ordre fut créé, le 18 novembre 1836, par Henri-Léopold-Frédéric et Alexandre-Charles, ducs souverains d'Anhalt, en remplacement de l'ordre de l'Ours, créé par Sigismond en 1382. Il a pour but de récompenser le mérite, la fidélité, les talents et les services des sujets des duchés d'Anhalt. Le nom d'Albert l'Ours lui fut donné en mémoire du margrave Albert l'Ours, l'un des ancêtres des ducs d'Anhalt. Les ducs d'Anhalt sont grands maîtres de l'ordre aux termes des statuts, qui ont été renouvelés et promulgués à Dessau le 24 février 1850. Les membres sont aujourd'hui divisés en quatre classes : grands-croix, commandeurs de 1ère classe, commandeurs de 2ème classe et chevaliers.

Ordre d'Albrac

Voir Ordre hospitalier d'Aubrac.

Ordre d'Alcantara, ou Ordre de Saint-Julien du Poirier

Ferdinand II, roi de Léon et de Galice, créa en 1176, sur les instances d'un gentilhomme, du nom de Gomez Fernandez, qui en avait conçu le projet, un ordre de chevalerie religieux et militaire, dans le but de former une milice aguerrie qui l'aidât à repousser les Maures, ses ennemis. Il s'en déclara protecteur, nomma Fernandez grand maître, et le fit approuver, sous le nom d'ordre de Saint-Julien du Poirier, par le pape Alexandre III, en 1177. Ce dernier donna aux chevaliers la règle de saint Benoît. Le pape Luce III en confirma de nouveau les statuts en 1183.

En 1213, Alphonse IX, roi de Castille, ayant enlevé aux Maures la ville d'Alcantara, en confia la garde aux chevaliers de l'ordre de Calatrava. Ces derniers y demeurèrent jusqu'en 1217, et du consentement du roi, l'offrirent aux chevaliers de Saint-Julien du Poirier, dont la renommée de courage commençait à s'étendre. Ceux-ci acceptèrent la défense d'Alcantara, et, pour témoigner la satisfaction qu'ils en éprouvaient, prirent le nom de chevaliers de l'ordre d'Alcantara, et unirent l'ordre à celui de Calatrava, dont ils reconnurent le grand maître pour chef. Bientôt des dissensions s'élevèrent entre les deux institutions, dissensions qui aboutirent à une désunion complète. Les chevaliers d'Alcantara se retirèrent, formèrent une association dont les statuts étaient plus en harmonie avec ceux de leur premier établissement, et se choisirent un grand maître, qui prit le titre de grand maître de l'ordre d'Alcantara. 

En 1489, la grande maîtrise fut réunie à la couronne de Castille, en la personne de Ferdinand le Catholique, par suite de la démission volontaire de cette dignité par don Juan de Laniga. En 1540, le pape Paul III releva les chevaliers du voeu de chasteté, en leur permettant de contracter mariage.

L'ordre d'Alcantara, qui s'est continué jusqu'à nos jours, n'a cessé de briller d'un vif éclat, et est aujourd'hui considéré comme l'un des ordres les plus célèbres de l'Espagne.

Ordre d'Alexandre

Voir Ordre du Dévouement.

Ordre de l'Alliance

Cet ordre a été institué en Suède, en l'année 1527, par le roi Gustave Ier, afin de perpétuer le souvenir de son mariage avec la fille de l'électeur de Brandebourg. Ce fut à cette occasion qu'il lui donna le nom d'ordre de l'Alliance. On ignore le sort de cette institution, tombée dans l'oubli depuis longtemps.

Ordre d'Amarante

Cet ordre a été crée en Suède, par la reine Christine, l'an 1653, en souvenir du nom d'Amarante, qui lui avait été donné à l'occasion d'une fête. Elle le destina à récompenser l'attachement que lui portaient ses sujets, et le conféra indifféremment aux personnes des deux sexes. Peu de temps après son institution, sa fondatrice le négligea, et il disparut entièrement à la mort de Christine.

Ordre Américain de San Juan

Le 13 juillet 1854 la ville libre de Grey-Town, autrefois San Juan de Nicaragua, fut bombardée sous le prétexte le plus futile par ordre du pouvoir exécutif de Washington qui exigeait une somme considérable pour un dommage fictif causé à certains citoyens nord-américains. L'incendie et les bombes ennemies amenèrent la ruine de la malheureuse cité. Cependant, les membres de l'administration du pays en relevèrent les débris, et résolurent d'envoyer une délégation officielle en Europe pour y faire connaître les faits dont ils avaient été victimes. Les démarches de leur délégué furent secondées par tous ceux qu'avait émus cette cause digne de toutes les sympathies. La ville libre de Grey-Town crut de son devoir de témoigner sa reconnaissance pour tant d'efforts tentés en sa faveur, et elle institua l'ordre américain de San Juan destiné à récompenser les services rendus, à quelque titre que ce soit, aux affaires publiques et à la cause de la justice et du droit. L'arrêté d'institution et de constitution porte la date du 1er mai 1857. Il fut suivi d'une exécution immédiate. Les membres de l'ordre sont divisés en trois classes. Le maire de la ville libre de Grey-Town est le chef de l'ordre, qui ne peut d'ailleurs être conféré qu'en conseil des administrateurs de la cité. Chaque brevet doit porter la signature du chancelier de la municipalité et celles de trois au moins des administrateurs, parmi lesquelles celle du maire ou de son délégué. En raison de la difficulté et des lenteurs des communications, le délégué de la population de la ville libre de Grey-Town en Europe est chargé, en ce qui concerne les pays où il exerce sa mission, d'y conférer l'ordre américain de San Juan.

Ordre de l'Amour du Prochain

Cet ordre fut créé en Suède, en l'année 1708. Il était conféré aux personnes des deux sexes, et récompensait les Suédois de leur fidélité et de leur attachement à la personne de la souveraine. Il paraît avoir été une sorte de renouvellement de l'ordre d'Amarante. Cet ordre ne tarda pas à disparaître, n'ayant jamais eu d'importance réelle.

Ordre de l'Ancienne Noblesse

Voir Ordre des Quatre Empereurs.

Ordre des Angéliques dorés sous l'invocation de Saint-Georges

Voir Ordre de Constantinien.

Ordre de l'Annonciade

Cet ordre, conféré en Sardaigne et en Savoie, est une continuation de l'ordre du Collier, ou du Lacs d'Amour, que Charles III, duc de Savoie, renouvela, en 1518, sous le nom d'ordre de l'Annonciade, et qu'il consacra à la très sainte Vierge. Les statuts furent complètement révisés, en 1720, par Victor Amédée, devenu roi, qui en fit le premier ordre de la Sardaigne. L'ordre, dont le grand maître est roi de Sardaigne, est composé d'une seule classe de membres, portant le titre de chevaliers.

Ordre d'Argata, ou Ordre du Dévidoir

Cet ordre fut créé en 1386 par Louis d'Anjou qui le conféra à Naples aux gentilshommes de ce pays qui prirent les armes pour lui contre la reine Marguerite. Les chevaliers portaient sur le côté gauche de leur manteau un blason de gueules ou dévidoir d'or, ce qui les fit souvent dénommer sous le titre de chevaliers du Dévidoir. Il s'éteignit avec les troubles qui divisèrent la noblesse napolitaine.

Ordre des Argonautes de Saint-Nicolas

Voir Ordre du Navire.

Ordre Asiatique de Morale Universelle

Cet ordre a été créé par la sultane mongole Alinea d'Eldir durant son séjour en France. Les statuts en furent autorisés le 6 juillet 1835 et approuvés quelques temps après par le Saint-Siége apostolique. Il était destiné à récompenser les personnes qui s'étaient distinguées par leurs belles actions, leur mérite et leurs vertus, qu'elle que fut leur nation. Les membres de l'ordre étaient divisés en cinq classes : chevaliers honoraires, chevaliers, officiers, commandeurs et grands-croix. Il cessa d'être conféré à la mort de la sultane, survenue en 1851.

Ordre hospitalier d'Aubrac ou Ordre d'Albrac

Cet ordre fut créé en France par Allard, vicomte de Flandres, à la suite des circonstances suivantes : "On raconte que ce prince, ayant été attaqué, sur une montagne près d'Aubrac, par une bande de voleurs, fit voeu, s'il échappait au péril qui le menaçait, de fonder en cet endroit un hôpital destiné à recevoir les pèlerins. S'étant heureusement tiré de leurs mains, il se hâta de ratifier sa promesse, et, à cet effet, fonda, en 1120, l'hôpital d'Aubrac, où furent admis des chevaliers militaires et religieux". Pierre II, évêque de Rhodez, approuva cette fondation en 1162, et donna aux chevaliers hospitaliers la règle de saint Augustin, ce qui fut confirmé, dans le courant de la même année, par le pape Alexandre III. Cet ordre fut supprimé par Louis XIV, en 1697, après cinq siècles de durée.

Ordre d'Avis, ou ordre du Mérite militaire d'Avis, ou Nouvelle Milice, ou Confrères de Sainte-Marie d'Evora

Alphonse Henriquez Ier, roi du Portugal, ayant pris, en l'année 1147, la ville d'Evora sur les Maures, demeura pleinement convaincu qu'il devait cette importance conquête à la protection de la très sainte Vierge, qu'il avait implorée avant de livrer le combat. Afin de lui en témoigner sa reconnaissance, il donna le nom de Confrères de Sainte-Marie d'Evora à une troupe de chevaliers, formée par ses soins, dans le but de garder et défendre la ville, qui pouvait d'un instant à l'autre être reprise par les Maures. Les chevaliers maintinrent la possession et restèrent plusieurs années dans les murs d'Evora. 

En 1181, Henriquez, ayant de nouveau battu les infidèles, leur enleva la forteresse d'Avia ou d'Avis, et en confia la garde à la vaillante milice des Confrères de Sainte-Marie d'Evora. Ceux-ci, en venant s'y établir, se constituèrent en ordre religieux et militaire, sous le nom de chevaliers de l'ordre d'Avis. la règle de Cîteaux devint celle de l'ordre, qui se signala par des services éminents rendus à la cause de la religion catholique. En considération de ces faits, le pape Innocent III approuva ses statuts en 1204.

A partir de ce moment, cette institution commença à prendre une extension réelle, et acquit des biens que vint accroître une donation importante : celle que lui fit don Rodriguez Garces de Aca, de toutes les richesses appartenant à l'ordre de Calatrava, dont il était grand maître. Cette libéralité détermina une fusion qui s'opéra entre les chevaliers d'Avis et ceux de Calatrava, mais elle dura peu. En 1385, Jean, roi de Portugal, étant devenu grand maître de l'ordre d'Avis, amena une scission avec l'ordre de Calatrava, et l'ordre d'Avis redevint complètement indépendant.

En 1789, cet ordre fut sécularisé. La reine Dona Maria lui donna le nom d'ordre du Mérite militaire du Portugal, et divisa les membres en trois classes : grands-croix, commandeurs et chevaliers. Il est conféré aux sujets nationaux et aux étrangers de distinction qui s'illustrent par quelque action remarquable ou rendent des services à la nation portugaise.

L'ordre d'Avis s'établit au Brésil avec les différents ordres portugais. Mais, ne se trouvant plus en rapport avec les circonstances survenues depuis l'indépendance de cette contrée, et la grande maîtrise ayant refusé de se soumettre aux prescriptions de la bulle Praeclara Portugalla Algabiorum regum, cet ordre y a perdu son caractère religieux et y est devenu la récompense des personnes qui se distinguent par leurs actions ou leurs services, leur mérite ou leurs vertus.

Selon les légendes portugaises, le nom d'Avis (oiseau) a été donné à la ville prise par les infidèles, et par suite à cet ordre, parce que les premiers chevaliers qui entrèrent dans la forteresse aperçurent sur les murailles un oiseau qui chanta à leur approche.

(tiré de l'ouvrage de H. Gourdon de Genouillac - 1860)

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