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HISTOIRE SAINTE - NOUVEAU TESTAMENT

(Passion - Mort -Résurrection de Jésus-Christ)

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Les faits remarquables de cette époque (Passion - Mort - Résurrection du Messie) sont :

- Le dernier discours de Jésus.

- L'agonie de Jésus au jardin des Oliviers. 

- La trahison de Judas. 

- Jésus chez Anne et Caïphe. 

- Jésus devant Pilate. 

- Jésus devant Hérode. 

- Barabbas est préféré à Jésus. 

- La flagellation et le couronnement d'épines. 

- Jésus est condamné à mort. 

- La voie douloureuse : le Calvaire. 

- La mort de Jésus. 

- La sépulture de Jésus. 

- La résurrection. 

- Les apparitions de Jésus ressuscité. 

- L'Ascension. 

- Les Evangélistes.

PASSION, MORT et RESURRECTION DE JESUS-CHRIST

 Bretagne : Histoire Sainte-Nouveau Testament,mort et résurrection de Jésus-Christ

Le dernier discours de Jésus.

Après la Cène, Jésus adressa à ses apôtres les plus touchantes paroles d'adieu : "Mes petits enfants, leur dit-il, je n'ai plus que peu de temps à rester avec vous… Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés".

"Je ne vous laisserai point orphelins, je vous enverrai le Consolateur, le Saint-Esprit, et votre tristesse se changera en joie".

 

L'agonie de Jésus au jardin des Oliviers.

Jésus sortit ensuite avec eux de Jérusalem et gravit la montagne des Oliviers. Arrivé dans un jardin où il avait coutume de se retirer, il ordonna à ses disciples de prier et de l'attendre, puis il s'éloigna d'eux.

Resté seul, il s'abandonna à une tristesse mortelle. La pensée de nos péchés, et des tourments qu'il allait souffrir pour les expier, le fit entrer en agonie. Une sueur de sang découla de son corps. "Mon Père, disait-il, éloignez de moi ce calice ; cependant que votre volonté soit faite et non la mienne". Un ange vint du ciel pour le fortifier et le consoler.

 

La trahison de Judas.

Pendant sa prière, Jésus revint plusieurs fois vers ses disciples, qu'il trouva endormis : "Mon heure est venue, leur dit-il enfin, levez-vous, car celui qui doit me trahir n'est pas loin d'ici".

Il achevait à peine ces mots, que Judas parut à la tête d'une troupe de gens armés. S'approchant de Jésus, le traître lui dit : "Je vous salue, Maître" et il l'embrassa. C'était le signal convenu avec les soldats.

"Mon ami, lui dit Jésus, quêtes-vous venu faire ici ?". Puis, sans adresser aucun reproche à ce perfide, il se livra aux soldats qui le lièrent et le conduisirent chez Anne et Caïphe, les grands prêtres.

 

Jésus chez Anne et Caïphe.

Le grand prêtre Anne interrogea Jésus sur ses disciples et sa doctrine, mais personne ne trouvait d'accusation à porter contre lui.

Alors Caïphe se leva, et demanda à Jésus s'il était le Christ, Fils de Dieu. "Je le suis", dit Jésus. A ces mots le grand prêtre s'écria : "Il a blasphémé !". Et le conseil des Juifs répondit : "Il mérite la mort".

Aussitôt les soldats commencèrent à l'outrager, à le souffleter, à lui cracher au visage. Pierre lui-même le renia trois fois, et jura qu'il ne connaissait point cet homme. Tous ses disciples l'avaient abandonné.

 

Jésus devant Pilate.

Le lendemain, Jésus fut conduit au tribunal de Ponce Pilate, gouverneur de la Judée pour les Romains. Malgré l'acharnement des Juifs, Pilate ne trouva dans l'accusé aucun sujet de condamnation. Apprenant que Jésus était Galiléen, il le fit conduire à  Hérode, gouverneur de Galilée, qui se trouvait en ce moment à Jérusalem.

 

Jésus devant Hérode.

Hérode témoigna une grande joie de voir Jésus. Il lui fit plusieurs demandes parce qu'il espérait lui voir opérer quelque miracle, mais Jésus garda le silence. Alors Hérode le méprisa ; par dérision, il le fit revêtir d'une robe blanche, et le renvoya à Pilate.

 

Barabbas est préféré à Jésus.

Pilate, convaincu de l'innocence de Jésus, essaya de le sauver. C'était l'usage chaque année, à la fête de Pâque, de mettre un prisonnier en liberté.

Pilate dit au peuple : "Qui voulez-vous que je délivre, Barabbas ou Jésus ?". Excitée par les princes des prêtres, la foule s'écria : "Délivrez-nous Barabbas ! Que Jésus soit crucifié". Or Barabbas était un voleur et un assassin.

 

La flagellation et le couronnement d'épines.

Pilate voulut encore tenter un moyen pour sauver Jésus : il le condamna à être flagellé. Les soldats s'emparèrent de lui, le dépouillèrent de ses vêtements, l'attachèrent à une colonne, et le frappèrent cruellement avec des verges et des fouets.

Ils placèrent ensuite une couronne d'épines sur sa tête, le revêtirent d'un manteau de pourpre, lui mirent un roseau à la main et se moquèrent de lui.

 

Jésus est condamné à mort.

Pilate fit venir Jésus tout couvert de sang, il espérait exciter la pitié du peuple. Le montrant aux Juifs, il leur dit : "Voilà l'homme !". A cette vue, la foule excitée par les princes des prêtres s'écria : "Crucifiez-le ! crucifiez-le !".

Pilate n'eut pas le courage d'obéir à sa conscience ; il dicta la sentence de mort du Fils de Dieu. Les Juifs avaient obtenu ce qu'ils désiraient.

 

La voie douloureuse. Le Calvaire.

Les soldats se saisirent de Jésus, lui enlevèrent le manteau de pourpre, lui remirent ses vêtements, et le chargèrent d'une lourde croix. Puis le cortège se dirigea vers le Calvaire ou Golgotha.

Craignant de voir mourir leur victime dans le chemin, les bourreaux contraignirent un homme de Cyrène, nommé Simon, à porter la croix avec Jésus.

Arrivé au sommet du Calvaire, Jésus fut de nouveau dépouillé de ses vêtements et attaché à la croix. On enfonça des clous dans ses mains et dans ses pieds. Pendant ce temps Jésus priait : "Père, disait-il, pardonnez-leur car ils ne savent ce qu'ils font". Deux voleurs furent crucifiés avec lui.

Pilate fit mettre cette inscription sur la croix : "Jésus de Nazareth, roi des Juifs" et il la laissa, malgré les réclamations des Juifs.

Les quatre soldats qui gardaient Jésus se partagèrent ses habits, et ils tirèrent sa robe au sort.

 

La mort de Jésus.

Le divin Sauveur resta environ trois heures suspendu à la croix. Il convertit un des larrons suppliciés à ses côtés.

Marie, sa mère, se tenait debout au pied de la croix ; près d'elle était Jean, le disciple bien-aimé. Et Jésus dit à Marie : "Voilà votre fils" et à saint Jean : "Voilà votre mère".

Vers la neuvième heure (trois heures du soir), Jésus jeta un grand cri, et dit : "Mon Père, je remets mon esprit entre vos mains". Et, inclinant la tête, il expira. C'était la veille du sabbat.

 

La sépulture de Jésus.

Après la mort du Sauveur, son âme descendit aux limbes pour consoler les justes de l'ancienne loi et leur annoncer la Rédemption.

Joseph d'Arimathie et Nicodème, disciples de Jésus, vinrent demander à Pilate la permission d'enlever le corps du Seigneur. Après l'avoir détaché de la croix, ils l'embaumèrent, et le déposèrent dans un sépulcre neuf dont l'entrée fut fermée par une énorme pierre.

 

La résurrection.

Les Juifs se souvinrent que Jésus avait dit qu'il ressusciterait trois jours après sa mort. Ils mirent les scellés publics au tombeau, et y placèrent des gardes.

Le troisième jour avant l'aurore, Jésus, par un acte de sa toute-puissance, réunit son âme à son corps et sortit glorieux du sépulcre.

Il se fit alors un grand tremblement de terre ; un ange tout éclatant de lumière descendit du ciel, renversa la pierre qui fermait l'entrée du sépulcre, et s'assit dessus. En voyant l'ange, les gardes furent frappés de terreur, puis, revenus à eux, ils se hâtèrent de fuir vers Jérusalem.

 

Les apparitions de Jésus ressuscité.

Jésus ressuscité apparut à sa Mère, à Marie-Madeleine, à saint Pierre, aux saintes femmes qui venaient pour embaumer son corps, aux disciples d’Emmaüs, et enfin aux apôtres assemblés.

 

L’Ascension.

Après sa résurrection, Notre-Seigneur resta encore quarante jours sur la terre pour continuer d’instruire ses disciples. Dans une dernière apparition, il sortit avec eux de Jérusalem et se rendit sur la montagne des Oliviers.

Il leur donna ses dernières instructions, leva les mains et les bénit ; puis il s’éleva lentement vers le ciel, où il est assis à la droite de Dieu, et d’où il viendra un jour pour juger tous les hommes.

 

Les Evangélistes.

Le mot Evangile signifie bonne nouvelle ; on appelle ainsi le récit de la vie de Jésus, tel qu’il a été écrit par les quatre évangélistes : saint Matthieu, saint Marc, saint Luc et saint Jean.

Saint-Matthieu et saint Jean étaient au nombre des douze apôtres ; saint Luc était disciple et compagnon de voyage de saint Paul ; saint Marc était disciple de saint Pierre.

F.F.

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