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MONUMENTS RELIGIEUX DE LA PAROISSE DE SAINT-MATHIEU

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ÉGLISE PAROISSIALE DE SAINT-MATHIEU (MORLAIX).

L’église de Saint-Mathieu fut fondée, avant le XIème siècle, en qualité de prieuré bénédictin, relevant de l’abbaye de Saint-Mathieu-fin-de-terre [Note : Jusqu’à la Révolution, l’abbé de Saint-Mathieu prélève la dîme des offrandes et des revenus de la paroisse]. Agrandie vers 1498, elle fut consacrée, en 1505, par le Morlaisien, Jean Calloet de Lanidy, évêque de Tréguier.

La tour, commencée le 10 Juillet 1548, ne fut achevée qu’en 1593. Gravement endommagée, l’année suivante (Août 1594), par le tir des canons que les Ligueurs dirigeaient du château vers la batterie installée sur sa plate-forme par le maréchal d'Aumont, elle ne fut sérieusement restaurée que sept ans plus tard. En 1651, nouveau désastre : le lanternon s’effondra, entraînant tout le dôme de pierre. Ce qui nécessita une nouvelle restauration, exécutée vers la fin du XVIIème siècle. Le dôme qui couronnait la tour fut démoli en 1778-1779, et remplacé par une calotte de zinc, peu digne du monument.

La tour subsiste toujours, mais l’ancienne église gothique a fait place, en 1824, à une construction de fort mauvais goût (Le Guennec).

Les parties basses de la façade du clocher, de style Renaissance, sont ornées de mascarons, de niches et de consoles. Entre les deux premières moulures, à une hauteur de 2 m. 50, court une sorte de banderole flottante qui porte cette inscription :

LAN . MIL . CINQ . CENTZ . QVARANTE . HOVIT . LE . DIXIESME . IOVR . DE . IVILLET . FVT . COMMECE . CESTE . TOVR . EN . LHONNECR . DE . DIEV . DE . NOSTRE . DAME . ET . DE . MONSEIGNEVR . SAINCT . MAHE .

A l’angle Sud-Est, près de l’entrée du cimetière, on lit : Mors tua, mors Christi, fraus mundi, gloria celi, - Et dolor inferni, sint memoranda tibi.

Au côté Nord : Propria qui servit juste petit aequa labori - Et simul e propriis mutuat et repetit (Celui qui travaille pour soi réclame à juste titre un prix égal à son labeur. Il donne du sien et tout ensemble le retrouve).

L’église actuelle renferme plusieurs vieilles statues : un grand Christ en croix entre la Sainte Vierge et saint Jean, provenant de l’église du Mur, — saint Mathieu, — saint Tugdual, — Notre Dame de Délivrance, — sainte Anne, — saint Joachim, — sainte Marguerite, — saint Crépin.

Non loin de la porte du collatéral Sud, on voit un bas-relief en albâtre, représentant la Sainte Trinité.

Devant le maître-autel sont deux grands chandeliers en bois doré, richement sculptés, dans la manière du XVIIème siècle.

Le 8 Avril 1859, une cloche fut bénite à Saint-Mathieu. On lui donna le nom de « Léoncie-Henriette ». Le parrain fut M. Cazin de la Trésorerie, représenté par M. Paul de Parscau, la marraine, Mlle Léontine Kerbriand-Postic.

Le 21 Avril 1872, Mgr. Nouvel, évêque de Quimper, baptisa une cloche pour Saint-Mathieu. Elle fut nommée « Marie-Christine ». Parrain et marraine furent M. de Meynard, sous-préfet de Morlaix, et Mme Edmond Puyo [Note : En 1575, la tour avait été munie d’une cloche de 1.957 livres. L’année suivante, une autre cloche, de 1.530 livres, rejoignait la première dans le beffroi].

Un procès-verbal du 4 Septembre 1679, dressé par ordre du commissaire réformateur du domaine royal à Morlaix, nous permet de connaître les écussons qui ornaient les vitres de l’église en même temps que les autels qu’elle renfermait. Nous prendrons ici pour guide M. Le Guennec, qui a identifié ces divers blasons.

" La maîtresse vitre coloriée ne contenait que deux blasons, France et Bretagne ainsi que la fenêtre située à gauche et les écussons formant lizière sur les arcades de la nef. La première chapelle du côté de l’évangile, dédiée à Saint-Sébastien et Saint-Roch, dépendait de la terre de Kerozac'h en Ploujean, et son vitrail offrait les armoiries des Quintin, Jacobin, Fleuriot et le Sparler. Elle appartenait au sieur de Coatcaric Le Sparler, de Plestin.

La deuxième chapelle du même côté était la chapelle de Kerret ; c’est là où se trouvait jadis le tombeau d'Hervé de Kerret, seigneur dudit lieu et du Val, lieutenant du capitaine de Morlaix en 1503, et d'Aliette de Guicaznou, sa compagne, sur lequel se lisait, au rapport de Cambry, cette fière devise :

An tud quenta a oa er bled

A oa Guicaznou ha Kerret.

(Les premières personnes de la terre furent les Guicaznou et les Kerret).

Ce mausolée devait avoir disparu dès 1679, car le procès-verbal ne le mentionne pas, et se borne à citer les armes de Kerret et du Val émaillant encore le vitrail. La chapelle, anciennement dite de Sainte-Catherine, et en 1679 de Notre-Dame des Agonisants, était alors prétendue par le sieur de Trovern Guillousou.

La chapelle suivante, dont on n’indique pas le vocable, avait deux fenêtres contenant l’une les armes des Balavesne, seigneur de Mesily en Garlan, l’autre celles des Coatquis de Kernéguès (?).  Les sieurs de Parthenay, Kervéguen Morvan et de Runangouez y prétendaient droits.

La quatrième chapelle du côté de l’évangile était dédiée à saint Yves et dépendait de la seigneurie de Kernéguès, en Saint-Mathieu. On y voyait sur le vitrail les armoiries des Coatquis de Kernéguès, d’argent au sautoir de gueules accompagné de trois quintefeuilles de même, alliées à celles des Le Moyne, seigneurs de Ramlouc'h en Plougoulm, d’or à six merlettes d’azur et à celles des Quélen, seigneurs de Guernisac en Taulé. Cette chapelle appartenait à demoiselle Gilette de Coatquis, veuve de Messire François de Kergadiou, seigneur dudit lieu, qu’elle avait épousé le 18 Décembre 1645 dans l’oratoire du manoir de Kernéguès.

Sainte Anne et saint Laurent étaient les patron de la cinquième chapelle, possédée d’abord par les seigneurs de Penlan en Ploujean. Sa verrière renfermait le blason, de sable au cerf d’or accompagné de trois besants de même, à la bordure de gueules, de Martin Nouël, sieur de Penlan, accolé à celui de sa femme Marie de Tavignon, qu’il avait épousée en 1628. Le banc placé sous l’enfeu offrait les mêmes armoiries et le tout était prétendu par écuyers Jean et Guy Chrestien, sieurs du Mouster et de Kerohic, et par noble homme Guillaume Quéméneur, sieur de la Boissière.

La dernière chapelle vers le bas de l’église, dédiée à Sainte Monique ou à Notre Dame de Consolation, avait l’une de ses vitres chargée des écussons des Dourguy, seigneurs de Lambezre en Plougar, de gueules à six besants d’or, à l’annelet d’argent en abyme, alliées à celles de La Forest, des Dourduff et des Kergus de Troffagan, et l’autre aux armoiries des Salaün de Kermoal, d’argent à la hure de sanglier de sable couronnée d’or, mi-parti de Rigolé.

La grande vitre située derrière les orgues n’avait que deux écussons, France et Bretagne.

Du côté de l’épître, la première chapelle avoisinant le maître-autel était celle des Cinq Plaies, qui dépendait de la maison du Valpinart, dans la paroisse. Les armes de Messire Paul Pinart, chevalier, seigneur du Val, Lézarazien, Kerdéouzer, le Cosquer, mort le 10 Novembre 1662 sans laisser d’enfants de sa femme, Marie de Kerouartz, s’y voyaient dans la vitre, alliées à celles de sa compagne, et ornaient aussi la tombe enlevée où il reposait avec ses ancêtres. Les Pinart portaient : d’or à trois fasces ondées d’azur, au chef de gueules chargé d’une pomme de pin d’or. Marie de Kerouartz, décédée le 14 Septembre 1669 à Saint-Melaine, fut inhumée dans l’église conventuelle des R. P-Minimes, à Saint-Fiacre.

La chapelle suivante, sous le vocable de Sainte Elisabeth, appartenait à la famille Oriot du Runiou, très riche lignée morlaisienne. Le blason mi-parti de Jean Oriot, sieur du Runiou, et de sa femme, Guillemette Le Borgne, mariés en 1643, était peint sur les vitraux et sur la sablière du lambris.

Venait ensuite l’autel de Notre-Dame de Callot, revendiqué par le seigneur de Pennelé Le Bihan, d’autant plus que ses armoiries, d’or au chevron de gueules naissant d’une onde d’azur, s’y trouvaient dans la fenêtre avec diverses alliances.

Le procès-verbal n’indique point le vocable des deux chapelles qui formaient la quatrième et la cinquième du bas-côté. L’une d’elles avait été fondée par les Le Garrec, seigneurs de Coatmenguy en Ploujean, et contenait leurs armoiries, de sable fretté d’or, au franc canton d’or au lion de sable, alliées à celles des Calloët et des Lézormel. Cette famille Le Garrec s’est fondue au seizième siècle dans Trogoff de Kerprigent. Il y a quelques années, on a démoli dans la Grand'Rue une belle vieille maison gothique qui était l’ancien logis des Le Garrec et un manteau de cheminée en granit, orné de leur écusson brisé d’un trèfle de sinople, s’est vu longtemps gisant au bord du cours Beaumont, près de la fontaine des Anglais. Nos compatriotes ont, il faut l’avouer, peu de respect pour les vieux souvenirs et les noms historiques de leur ville...

L’autre chapelle était réclamée par Maître Guillaume Gourgeault, sieur du Parc, comme héritier de défunte demoiselle Marguerite Le Rest, sa grand'mère.

Enfin, la chapelle de Saint-Etienne terminait l’aile droite de l’église. La famille Floch la possédait à titre de dépendance de sa terre de Mesily en Carantec, et y avait ses armes : d’azur au cerf passant d’or.

Plusieurs autres autels se trouvaient fixés aux piliers de l’église. Du côté de l’épître, à partir du haut de la nef, on rencontrait celui de Notre-Dame des Anges, avec banc à écuyer Guillaume Le Veyer, sieur du Cosquer ; puis l’autel et les bancs de la seigneurie de la Tour, en Plougonven, appartenant au sieur de Partevaux ; l’autel de Saint Tugdual, armorié d’un mi-parti de Rigolé et Le Lévyer ; les bancs des sieurs du Verger Guillemot et de Kergroas, celui des Toulgoët ; l’autel de Saint Nicolas, et l’autel de Notre-Dame de Bonne Nouvelle, entouré de bancs et de tombes au seigneur de Lannidy Calloët.

Du côté de l’évangile étaient les autels de Notre-Dame de Pitié, au seigneur de Kernéguès ; d’une autre Notre-Dame de Pitié, à la famille du Val, avec bancs aux Le Goarant, Le Diouguel et Kergroas ; de Saint Crépin, appartenant à la confrérie des cordonniers ; de l'Ecce Homo avec bancs aux Le Cordier et Kermarquer ; de Saint Jacques avec bancs aux Kerrerault, Guillouzou de Trovern, Le Roux de Pennemont, Guéguen de Runangouez, Pivolot de Kergos ; et de Saint Joseph avec bancs aux Collin de Coatélant et Rigolé de Keridec [Note : L’église de Saint-Mathieu vient de s’enrichir de verrières, retraçant l’histoire de l’apôtre qui en est le titulaire. Pour le moment, cinq seulement des fenêtres ont reçu leur nouvelle ornementation] " (Le Guennec).

Dix confréries existaient à Saint-Mathieu. En voici l’énumération : les Agonisants, — les Cinq Plaies, — Notre-Dame de Bonne-Nouvelle, — Notre-Dame des Carmes, — la Sainte Vierge, — Sainte-Anne, — le Saint-Sacrement, — Saint-Sébastien et Saint-Roch, — Saint-Yves, — les Trépassés.

 

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CHAPELLES DE SAINT-MATHIEU (MORLAIX).

 

SAINTE-MARGUERITE.

Cette chapelle, dont il ne reste plus trace, servait d’ossuaire dans le cimetière attenant à l’église Saint-Mathieu. Elle avait été rebâtie et bénite par Mgr. Champion, évêque de Tréguier, le 28 Octobre 1624.

C’est là que furent inhumés le frère Louis Polart, capucin, décédé en 1631, victime de son dévouement en soignant les pestiférés, puis Guy Le Quilliou, chapelain de Saint-Mathieu, mort le 17 Mars 1668, enfin François Jagu, vicaire perpétuel de la paroisse, rappelé à Dieu le 20 Juillet 1707 (Le Guennec).

SAINT-AVERTIN.

Cette chapelle, sise à l’entrée du cimetière de Saint-Mathieu, est mentionnée en 1502, et subsistait encore en 1723. Elle a totalement disparu. La statue de Saint Avertin qui s’y trouvait se voit aujourd’hui dans l’église Saint-Melaine.

SAINT-JACQUES.

Chapelle de haute antiquité. Dans une supplique adressée à la Municipalité, vers 1704, il est dit : « Cette chapelle appartient à la communauté de ville, c’est la première où vos nobles ayeux ayent adoré le vrai Dieu à Morlaix, ayant servi très longtemps de mère paroisse à toute cette ville ».

Réparée en 1659 et en 1705, la chapelle était en ruines à la date de 1747. On en voyait encore les débris en 1789. Son pignon était orné d’une statue colossale de Saint Christophe, et on admirait le fût très élevé et très ouvragé de la croix voisine.

Un inventaire de 1876 signale dans le trésor « une chapelle d’argent en forme de reliquaire avec tour, garni de trois fausses pierres, ayant 6 pouces de long sur 3 ½ de largeur, dédié à Saint Jacques, — un autre reliquaire d’argent de 9 pouces de long sur 4 de large, garni de fausses pierres rouges, supporté par 4 lions ».

NOTRE-DAME-DU-MUR.

Petite chapelle construite en 1833-1834, dans le cimetière de Saint-Mathieu, en mémoire de la célèbre Collégiale de Notre-Dame-du-Mur. Mgr. Graveran la bénit le 8 Septembre 1834. On y conserve l’ancienne statue ouvrante de Notre-Dame-du-Mur, toujours en grande vénération, deux jolis bas-reliefs coloriés du XVIIIème siècle et un tableau votif où apparaît le clocher de l’ancienne église, ainsi que la porte fortifiée de Notre-Dame au confluent du Jarlot et du Queffleut.

HÔTEL-DIEU.

L’Hôtel-Dieu était sous le patronage de Saint Efflam. On y remarquait, dans sa chapelle, les armes de Boiséon, Calloët et de Goezbriant, ainsi que deux autels, l’un dédié à Notre-Dame-des-Grâces, l’autre aux Saints Cosme et Damien. Sur le mur extérieur on lisait ces mots : HIC EST DOMVS DEI (Procès-verbal de 1676, Archives du Finistère A. 19).

Cet Hôtel-Dieu se trouvait sur la place de Viarmes actuelle. Il a été incendié en 1705, et reconstruit dans de plus vastes proportions, en amont de la ville, sur le flanc Ouest de la colline du Château.

 

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CLERGÉ DE SAINT-MATHIEU (MORLAIX).

 

RECTEURS OU VICAIRES PERPÉTUELS ET PRIEURS.

1542. Léonard Fabri (Lefebvre). - 1543. Tanguy Campir, prieur. - 1549. M. Bonhom. - 1567. François de La Tour, prieur-curé. - 1570. Riou Argantec. - 1573. François Corre. - 1586. Guillaume Quintin. - 1589. Yves Hénaff. - 1590. Vincent Quintin, prieur. - 1591. François Laurans. - 1592. Yves Gallic. - 1594. François Lay. - 1610. Goulven Pengam. - 1615. Louis Silliau. - 1622. Jean Tournemouche, prieur et chanoine de Tréguier. - 1637. François Menou. - 1659-1707. François Jagu. - 1708. G. Collas. - 1730. G.-Y, de Kerret. - 1736. J.-G. Quihery de la Touche. - 1756. G. Cocquart. - 1772-1791. Jean-Marie Pitot.

CURÉS.

1668. Henri Cillart. - 1677. Louis Kerlosquet, chapelain. - 1708. François Le Dréau. - 1709. Le Bigot de Kerjégu. - 1712. Louis Daniel. - 1716-1725. T. Le Guichard. - 1728-1738. Le Bris. - 1738-1741. P. Lesquin. - 1743-1748. Jean Adam du Pont. - 1747-1748. M. Mallédant. - 1749-1750. J. Le Saux. - 1751-1754. L. Thomin. - 1755-1763. J. Alexis Le Goff. - 1757. Gilles Le Diouris, chapelain et distributeur de Saint-Mathieu. - 1764. G. Cocquart. - 1764-1707. François Capitaine. - 1768. R. Lachiver de Kergoc. - 1768-1775. J.-M. Lancien. - 1769-1779. G. Cole. – 1771-1774. M. Le Mével. - 1776. P. Le Scritt ; François Menguy. - 1776-1779. J.-F. Barazer. - 1779-1787. Dujardin Counan. - 1779-1786. J. Le Marrec. – 1780-1781. P.-M. Poënces de Lanoé. - 1780-1787. J.-P. Grossin. - 1785-1789. Cloarec. - 1787-1791. Jean-Marie Boulch. - 1788-1791. Le Moine.

CURÉS-DOYENS.

1803. Jean-Marie Pitot. - 1805. Le Dali de Tromelin. - 1806. Olivier-Marie Floc'h. - 1821. Jean-Louis Kermanac'h. - 1860. Hervé-Marie Cloarec. - 1873. François Rolland. - 1886. Louis-François Cosquer. - 1891. Jean-Louis Le Duc. - 1911. Herlé Kérisit. - 1925. Léon Pichon. - 1934. Louis Boulic.

VICAIRES.

1815. François Cottain. - 1816. Jean-Louis Kermanac'h. - (Ici, nous ignorons la date) Casimir Habasque. - 1817. Guillaume Durand. - 1819. Goulven Prigent. - 1820. Yves Rosec ; Ténénan Le Gallou ; Olivier Quentric. - 1821. Jean-Marie Rosec. - 1822. Jean Moullec. - 1823. Pascal Plusquellec ; Auguste Léonard. - 1827. Jean-Yves Berriet. - 1828. Eugène Isnard. - 1829. Yves Coadou. - 1830. Victor Taburet. - 1832. Pierre Goardon. - 1835. Yves Prémel-Cabic. - 1836. Jean-René Le Lann. - 1836. Jacques Pouliquen. - 1837. Jean-Marie Tréguier. - 1839. Corentin Le Dé. - 1841. Jean-Marie Ronarc'h. - 1844. Yves Quéinnec. - 1845. Vincent Le Moign. - 1846. Jean Le Bihan. - 1847. Alain Robic ; Alain Berthou. - 1847. Charles Lichou. - 1848. Pascal Quélennec. - 1849. Guillaume Le Guen. - 1850. Alphonse Le Pennec. - 1856. Jean-François Derrien. - 1862. Paul Morel. - 1864. Auguste Morgant. - 1867. Jean Lamour. - 1874. Yves Lozac'h. - 1875. Augustin Troussel. - 1875. Olivier Le Roux. - 1878. Yves Stéphan. - 1879. Jean-Marie Derrien. - 1883. Jean Philippot. - 1886. Jacques Le Sann. - 1887. Albert Cloastre. - 1897. Arsène Penndu. - 1897. Louis Caradec. - 1899. Claude Vigouroux. - 1900. Guillaume Mazé. - 1905. Paul Mao. - 1913. Jean-Marie Conseil. - 1919. Jean Morvan. - 1919. Auguste Hervé. - 1920. Jean-Louis Bodénès. - 1932. Marcel Jaffré. - 1933. Jean-Louis Dantec, ....

(Archives de l'Evêché).

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