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LA MONTAGNE

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La commune de La Montagne (bzh.gif (80 octets) Ar Menez) fait partie du canton du Pellerin. La Montagne dépend de l'arrondissement de Nantes, du département de Loire-Atlantique.

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ETYMOLOGIE et HISTOIRE de LA MONTAGNE

La Montagne vient de la villa "La Montagne".

Le territoire de La Montagne est un démembrement de Saint-Jean-de-Bouguenais.

Ville de la Montagne (Loire-Atlantique).

En 1862, l'abbé Peigné conçoit le projet d'une église et il est secondé par M. Violin. Une souscription est ouverte qui fut doublée par le ministère de la marine. Le 3 mai 1868 est érigée la paroisse de Notre-Dame de La Montagne qui en 1877 devient commune séparée de Saint-Jean-de-Boiseau. M. Violin en devient le premier maire.

Ville de la Montagne (Loire-Atlantique).

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PATRIMOINE de LA MONTAGNE

l'église (XIXème siècle). L'église est commencée en 1864 et la première pierre est posée par l'abbé Fournier alors curé de Saint-Nicolas. Le chœur et le transept datent de 1864-1869. La nef est agrandie en 1897. Le clocher date de 1956. Les vitraux de la Nativité et de la Crucifixion, œuvre de Georges Jasmin, datent de 1927. Les fonts baptismaux datent de 1928 ;

Eglise de la Montagne (Loire-Atlantique).

le château d'Aux ou de la Hubaudière (1764), édifié par la famille d'Aux de Bournay sur les ruines d'un ancien château, propriété de la famille Peillac au XVIIème siècle et de la famille Vincent d'Aux au XVIIIème siècle. En 1793, les républicains occupèrent le château d'Aux. Jusqu'en 1879, les héritiers du comte d'Aux (Villestreux, Linier, ...), conservent cette propriété mais ne s'en occupent guère. Ils vendent le château à Monsieur Cadou qui essaie de le restaurer. Pendant la première guerre mondiale, des prisonniers allemands y séjournent. Le château est depuis le 27 janvier 1923 la propriété de la ville de Nantes qui l'a acheté au prix de 225 000 f. L'immense propriété avait été démembrée et en 1923 il ne reste plus avec le château délabré, que 3 ha. de parcs et de jardins ;

Ville de la Montagne (Loire-Atlantique) : château d'Aux.

Voir : Ville de la Montagne  Le château d'Aux en 1794 

le manoir de Port-Joly (1905-1907), situé au n° 16 rue du Manoire. Edifié par le marquis de Boisheraud, il est l'œuvre des architectes La Font et Chauvet ;

Ville de la Montagne (Loire-Atlantique) manoir de Port-Joly..

la mairie (1839-1842), située place François Mitterand. L'édifice qui est depuis le 23 février 1905 propriété de la municipalité de La Montagne, a appartenu jadis à la famille Demangeat. Dans la mairie est conservée sous verre, une relique précieuse, un drapeau tricolore de 1848, portant au revers : "Corporation des ouvriers d'Indret". Ce drapeau avait été caché à l'intérieur d'une poutre creuse chez le citoyen Picard après le coup d'état du 2 décembre 1851 ;

Ville de la Montagne (Loire-Atlantique).

l'ancienne mairie (1880), œuvre de l'architecte Le Nain. Cette mairie était en service jusqu'en octobre 1905 ;

Ville de la Montagne (Loire-Atlantique).

le fronton du presbytère (XIXème siècle). Il comprend une niche dans laquelle est représentée Notre-Dame de La Montagne ;

le colombier (1708), situé à la Cour de l'Aunay ;

le bénitier de la Cour de Launay ou l'Aunay (XVIIème siècle). Il appartenait jadis à la chapelle édifiée dans la cour du château de Launay et bénie en 1710. La demeure était en 1679 la propriété de la famille Le Borgne, puis de la famille Monti de Rezé ;

Ville de la Montagne (Loire-Atlantique).

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ANCIENNE NOBLESSE de LA MONTAGNE

La terre de la Hubaudière, puis château d'Aux (aujourd'hui située dans la commune de Montagne). Propriété de Jean de Peillac (en 1626), Pierre de Peillac (en 1678), Nicolas Jacques de Peillac, président de la chambre des comptes (en 1736), François Vincent d'Aux (né à Saint-Domingue, en 1735) qui y bâtit un grand château (dont l'architecte est Ceineray) et lui donna son nom (en 1764), Pauline d'Aux de Bournay, épouse de N. Perrée de la Villestreux (en 1801), de Linier (en 1816), de Mauclerc (en 1832).

La terre de Launay. Propriété de Claude le Borgne, sieur du Vigneu (en 1679), puis par mariage des Monti de Rezé (Laurent de Monti y décède en 1768, âgé de 58 ans). La terre de Launay est acquise par François Bertrand de Coeuvres (en 1775). La fortune de ces derniers passe ensuite aux du Halgouët et aux Bouteiller, et ce sont les familles Athénas et Cormier, qui acquirent ce domaine en partie.

(à compléter)

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