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Le nom-adjectif ethnique correspondant à cette commune est malhourain employé dès 1965.

La Malour avait le titre de paroisse dès 1427 (Arch. de L-Atl. B 2978). On trouve aussi ce nom écrit la Mallour depuis 1607 et la Malhoure dès 1738 (état civil). Cette paroisse, qui appartenait sous l'Ancien Régime au diocèse de Saint-Brieuc, a élu sa première municipalité au début de 1790. C'est alors qu'elle est devenue une commune.

Les principaux édifices anciens de la Malhoure sont :

1) L'église Saint-Event (1515 choeur, XVIIème s. chapelle nord). En 1913 des éléments provenant des ruines de la chapelle de Bréhinier (XVIème s.) en Plestan ont servi à sa restauration ;

2) La fontaine Saint-Event ;

3) Le château du Prérond (vers 1700) ;

4) Le manoir de la Bouyère (XVIIIème s.) ;

5) La croix du Frêne (XVIIème s. env.) ;

6) La croix de la Ville-Pélouard (XVIIème s. env.) ;

7) La croix de Glérin (XVIème s. env.).

Les principaux événements survenus dans cette commune sont les suivants :

1) Le 30 juin 1815, à la fin des Cent-Jours, les forces royalistes réunies des colonels de Pontbriand et de Courson de la Villevalio s'emparèrent de la Malhoure après un combat avec les soldats et fédérés bonapartistes cantonnés dans cette commune ;

2) Le 6 juin 1944 fut créé le maquis de la Malhoure ;

3) Le 22 juin 1944, il dut se replier au Nid-Rouge en le Gouray ;

4) Le 23 juin 1944, ses cantonnements de la Malhoure furent détruits par les Allemands.

(Bulletin d'informations des maires).

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