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L'ANCIENNE ABBAYE DE LANDEVENNEC

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Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

Vers la fin du Vème ou au début du VIème siècle, Guénolé et ses onze compagnons partent à la recherche d'une terre propice à la vie monastique. Ils s'installent tout d'abord à Tibidy, en face de Landévennec. A la Révolution, le monastère est déclaré Bien National et vendu en 1792 à des propriétaires privés qui utilisèrent les bâtiments comme carrière de pierre. En 1875, le Comte de Chalus rachète le domaine. 

 

En 1950, le Père Abbé de la communauté bénédictine de Kerbénéat (près de Landerneau), Dom Louis Félix Colliot, annonce le rachat des ruines de l'abbaye et le retour à la vie monastique à Landévennec. Dans les années 1950-1960, les moines construisent un nouveau monastère non loin du site historique.

 Description de l'ancienne abbaye de Landévennec 

 

Il faut noter, pour commencer, que l'implantation globale des bâtiments conventuels a peu varié au cours des 13 siècles d'occupation monastique. Les bâtiments évoluent au cours des siècles, se superposant les uns aux autres, à chaque reconstruction. 

Les plans suivants présentent trois stades de cette évolution :

 

Plan A : IXème siècle (abbaye carolingienne)

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Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

 

Plan B : XII-XIIIème siècle (abbaye romane).

 

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

Plan C : XVIIème siècle (abbaye mauriste).

 

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

 

Nota : Lecture des plans : les numéros renvoient aux plans. Exemple : A 12 renvoie au plan A, légende n°12.

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

Vue de l'abbaye en 1655

 

 

 

L'AILE OCCIDENTALE ET L'ENTREE DU MONASTERE

Depuis le parvis du Musée, on accède par l'escalier à l'entrée du monastère (B et C 15/16) située à cet emplacement depuis le XIème siècle. 

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

Elle s'effectuait auparavant par l'est (A 16), du côté de la mer et des fortifications. 

Au XVIIème siècle, la porterie (C 15) et la cellererie (C 11) se font face de part et d'autre d'un couloir qui permet d'accéder à la galerie (actuellement gravillonnée) bordant le cloître (C 8). 

 

 

CLOITRES (A, B, C 9) ET AILE SUD (A et B 11) 

Le cloître du XVIIème siècle est arasé : la cour était au niveau de la pelouse. Un document de 1782 indique que les galeries étaient pavées de carreaux de pierre verts et blancs. 

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

 

La zone excavée, au sud de la cour, permet de visualiser une partie des quatre cloîtres médiévaux superposés : IXème siècle, roman, XIIIème et XVème siècle. 

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

Vue du côté droit en entrant dans le monastère

 

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

Vue du côté droit en entrant dans le monastère

 

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

Vue du côté droit en entrant dans le monastère

 

 

La zone gravillonnée restitue le sol de la galerie sud (A 8) du cloître carolingien (IXème siècle) dont il reste les bases des piliers carrés, mal conservés dans ce secteur, contrairement à ceux de la galerie orientale, que l'on verra plus loin.

 

Le cloître roman était en bois : on a retrouvé des fondations encore en place, sous forme de troncs à peine équarris (seule la partie apparente était taillée et probablement sculptée). Ils ont été prélevés pour étude et pour assurer leur conservation, et on n'en voit plus que quelques emplacements, dans des piliers carolingiens qu'ils ont détruits. 

 

Les deux cloîtres suivants sont toujours lisibles par une partie des murs bas qui portaient des colonnettes de pierre à chapiteaux sculptés (visibles dans le Musée). 

 

Cette galerie donnait accès à l'aile sud du monastère médiéval (A et B 11) qui a abrité le réfectoire, l'office et la cuisine (A et B 12, 13 et 14) depuis le VIIIème siècle jusqu'au début du XVIIème siècle. Le réfectoire (situé à l'extrémité est) ou salle à manger de la Communauté, est depuis l'origine la plus grande des trois salles. La cuisine, qui comportait les foyers de cuisson, est à l'extrémité opposée (près du Musée).

 

Cette aile sud a disparu lors des reconstructions, au milieu du XVIIème siècle, et l'assise du nouveau cloître, dont on peut suivre la forme, est alors venue recouvrir le bâtiment arasé.

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

Vue du côté gauche en entrant dans le monastère

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

Vue du côté gauche en entrant dans le monastère

 

 

GALERIE DU CLOITRE CAROLINGIEN (A 8) 

Avant de rejoindre le Chapitre du XVIIème siècle (C 10), on traverse la galerie orientale du cloître, qui est présentée au niveau des structures carolingiennes (sol gravillonné en contrebas) : il en reste la base de la colonnade, constituée par des piliers carrés portant leur enduit d'origine. Deux piliers encadrent la porte du Chapitre, conservée à la même place et simplement surélevée du IXème au XVIème siècle. Cette galerie maçonnée, proche de l'architecture gallo-romaine, représente le seul cloître du IXème siècle actuellement visible dans ce qui était autrefois l'empire carolingien. 

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

 

L'aile ORIENTALE (du côté de la mer)

La Salle du Chapitre (A B C 10) est un lieu emblématique dans le monastère bénédictin : les moines s'y réunissent en effet chaque jour sous la direction de l'abbé pour lire et commenter un passage de la Règle de saint Benoît, et discuter de toutes les affaires courantes.

 

Le sol gravillonné restitue le niveau du XIIème siècle : il laisse apparaître une tombe (B 10) empierrée double. C'était initialement une sépulture d'Abbé identifiée comme telle grâce à l'insigne abbatial ou Tau qu'elle renfermait et qui est exposé dans le Musée. Elle a été rallongée ensuite pour être réutilisée. Les fouilles ont permis de constater la permanence de l'implantation du Chapitre depuis l'époque carolingienne jusqu'au XVIème siècle. 

Bien que nous ayons peu de renseignements sur la fonction des autres salles de cette aile avant le XVIIème siècle, la logique inhérente au plan monastique en général permet de déduire, même sans certitude absolue, l'organisation de l'espace. Du côté droit, se succédaient un cabinet et une salle des hôtes (C 13). Sous la salle des hôtes se situent les caves du monastère XVIIème siècle (niveau gravillonné gris).  

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

Chambre ou Salle des Hôtes

Les dalles de schiste recouvrent le caniveau central drainant les eaux usées jusqu'à la mer. Ce collecteur existait déjà aux époques médiévales (XIIIème et XVème siècles). Un caniveau plus profond, de forme similaire et situé à peu près au même emplacement, assurait la même fonction dès le IXème siècle. La partie excavée de ce sol laisse apparaître la bas du mur de façade du monastère carolingien. 

Le passage vers le jardin (C) donnait accès au rez-de-chaussée de l'aile orientale, au niveau des sols du XVIIème siècle. Lors des reconstructions du cloître et du couvent, le réfectoire (C 12) a été transféré ici, à droite du passage : le lavabo en pierre en marque l'emplacement. 

A l'étage de cette aile orientale se situaient les cellules des moines au XVIIème siècle, et aussi, vraisemblablement, aux époques antérieures. 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

FORTIFICATIONS (A B 17) ET JARDIN (C 17) 

Au IXème siècle, l'abbaye carolingienne se dote d'une muraille (A 17) protégeant l'accès principal, qui se fait par la mer. Cette fortification va être maintenue pendant toute la période médiévale. Au XIIIème siècle, on ajoute des tours (B 17) semi-circulaires, dont on voit encore les bases, et des contreforts internes qui supportent un chemin de ronde en bois. Une protection bien utile puisque à la fin de ce siècle les Anglais assiègent par deux fois l'abbaye qui résiste alors que le port de Landévennec est incendié. 

Les murailles sont abandonnées au XVIème siècle et tout l'emplacement situé entre le monastère et la mer est ensuite occupé par le jardin potager. 

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

LES EGLISES (A B C 1)

En venant de l'aile orientale et du cloître, on entre dans l'église par le transept sud sur lequel ouvrent deux chapelles contiguës : 

La Sacristie (B C 6). Datable du XIIème siècle, elle représente le dernier état des lieux, après les 5 chapelles qui se sont superposées sur l'emplacement de l'oratoire primitif fondé par saint Guénolé. Le premier édifice en bois, de la fin du Vème ou du début du VIème siècle, reconstruit en pierres au VIIème, a abrité les reliques du Fondateur jusqu'à leur transfert dans le choeur de la grande église, au IXème siècle. 

La chapelle est ensuite reconstruite trois fois et garde un rôle funéraire, puisqu'elle constitue le seul accès au cimetière des moines, situé au chevet de l'église depuis les origines. 

L'abside ronde visible à l'extérieur date des environs de l'An Mil. Après sa démolition, elle a été coupée au XIIIème siècle par plusieurs tombes empierrées dont on voit un exemple en place. 

A l'intérieur de la sacristie, la base du mur nord (côté église) est encore constituée par le mur carolingien recouvert d'une partie de son enduit, rougi sous l'action de l'incendie de 913. 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

Sacristie

 

Le tombeau du Roi Gradlon (B C 7). 

Petite chapelle funéraire du 12e siècle située entre le choeur et la sacristie. 

Le Roi Gradlon Gradlon, roi légendaire de Cornouaille et de la ville d'Ys, dont saint Guénolé aurait été le confesseur, est réputé être inhumé à l'abbaye de Landévennec. Cette tradition qui s'est transmise jusqu'à nos jours, est sans doute apparue au XVème siècle, époque où se joue le « Mystère de saint Guénolé ». 

Selon l'hypothèse retenue par les archéologues, ce tombeau serait plutôt celui d'un Abbé Gradlon, nommé en 1142 à Landévennec. ll s'agit d'un abbé constructeur qui semble issu, en outre, de la famille de Cornouaille. 

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

Tombeau du roi Gradlon

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

Tombeau du roi Gradlon (porte donnant sur le choeur de l'église)

 

La statue en kersanton dressée dans le transept représente saint Guénolé en habit d'évêque : elle date de la fin du XVème siècle. Une statue d'abbé, de même facture et de même époque, est exposée au Musée (gisant de Jehan du Vieux Chastel).

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

DEUX EGLISES SUPERPOSEES

L'étude archéologique a permis de retrouver les vestiges des églises qui se sont succédées sur le site depuis l'oratoire de saint Guénolé, à la fin du Vème siècle. 

La première grande église (A 1), construite au IXème siècle, est disposée à côté du lieu de culte primitif, qui est alors transformé en chapelle annexe (A 6). 

Cette église carolingienne est remplacée au XIème siècle par un édifice roman (B C 1) qui s'est maintenu jusqu'à la Révolution, et dont les vestiges sont encore visibles. 

L'église romane, deux fois plus longue que la précédente, l'a englobée en y ajoutant le déambulatoire et ses trois absides, ainsi que le transept nord. 

Mais les deux églises, carolingienne et romane, sont exactement superposées par le choeur et l'avant-choeur, ainsi que par la nef et les bas-côtés, qui sont seulement rallongés au XIème siècle. 

Elles le sont aussi par le transept sud, qui existait déjà au IXème siècle en tant que galerie de jonction entre l'église et la chapelle funéraire. 

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

Entrée dans l'église côté Sacristie et Tombeau du roi Gradlon. 

 

L'église carolingienne, IXème siècle (A 1)

Hormis cette galerie, son plan est celui d'une basilique à chevet carré, sans croisée de transept. 

Vue prise à partir de l'entrée de l'église

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

Choeur de l'église

La forme du chevet est marquée sur le sol du déambulatoire roman. L'église se rattachait aux fortifications par deux murs massifs, qui sont aussi marqués au sol, et qui encadraient la poterne d'entrée du monastère carolingien (A 16). 

Le choeur (A 4) est celui d'une église de pèlerinage, avec au centre le tombeau du Saint (A 5), actuellement détruit et en partie enchâssé sous la carole romane en demi-cercle. 

 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

Choeur de l'église

Les banquettes enduites de mortier rouge, restituées d'après les découvertes archéologiques, représentent un aménagement du choeur, à l'usage indéterminé. 

Vue de l'entrée de l'église prise à l'intérieur de l'église

 

Le Tombeau de saint Guénolé (A B C 5).

D'après la vie de saint Guénolé, nous savons qu'au IXème siècle, les moines translatèrent les reliques du Saint de la " petite église " - qui est en fait l'oratoire primitif du monastère – à la grande église. A cette époque, le tombeau était séparé des pèlerins par une clôture de bois dont les archéologues ont retrouvé les restes calcinés. Elle était encastrée dans la rainure transversale creusée à l'arrière des banquettes. 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

Tombeau de saint Guénolé

Les reliques du Saint sont restées en possession des moines jusqu'au milieu du Xème siècle. Elles demeurèrent ensuite à Montreuil-sur-Mer - lieu d'exil des moines suite à l'attaque des Vikings –jusqu'à la Révolution où elles furent détruites. 

Pendant tout le IXème siècle, l'abbaye de Landévennec est un lieu de pèlerinage renommé. Pourtant la nef (A 3) est très courte, comprise entre la base de muret qui supportait un chancel (cloison séparant les moines des fidèles, située à la limite de l'avant-choeur) et l'entrée de l'église (A 3) (marquée par l'ouverture entre les deux pans de murs à mi-hauteur). 

Au-delà de cette entrée, les bases de murs (A 2) très arasées (au pied de l'escalier en bois) délimitent un porche encadré par deux salles. Celle du nord était une chapelle funéraire seigneuriale et abritait trois sarcophages de bois du IXème siècle dont l'un est conservé dans le Musée. 

Devant le porche, un dallage couvrait le parvis de l'église au Xème siècle. Il est donc contemporain de la seconde utilisation de l'édifice, après les destructions causées par les Vikings en 913 et les restaurations qui ont suivi le retour des moines. 

Il en va de même pour le carrelage de terre cuite qui a recouvert l'avant-choeur à cette période et qui a été entièrement fabriqué avec des récupérations de matériaux gallo-romains, trouvés à proximité immédiate du monastère (le carrelage est maintenant exposé dans le Musée). A la même époque, le tombeau du choeur est comblé. 

Le raid Viking

L'époque carolingienne est une période faste pour Landévennec qui bénéficie de la protection des comtes de Cornouaille et dispose d'un scriptorium actif. L'abbaye possède la grande majorité des Terres de la presqu'île de Crozon, des bois, des moulins, des pêcheries... qui lui assurent des revenus confortables. En 913 — la date est attestée par le calendrier conservé à Copenhague (fac-similé dans le Musée) — « le monastère est détruit par les Normands ». Les seuls détails connus de cette attaque ont été livrés par l'archéologie : les bâtiments sont pillés et en partie incendiés, les tombes du cimetière sont vidées et les ossements empilés et brûlés à l'intérieur d'une chapelle, mais il n'y a pas de traces de combat, ni de décès par arme blanche sur le site. Dans la muraille une brèche a été réalisée intentionnellement, sans doute pour éviter la réoccupation du site fortifié. Ces indices et le départ des moines de manière organisée, avec leurs reliques, sont autant d'éléments qui donnent à penser qu'ils avaient pu prévoir l'attaque. Après leur exil, les moines ne sont revenus à Landévennec que vers 950. 

 

L'église romane, milieu du XIème - début du XIIème siècle (BC 1)

L'escalier de bois, au centre de la nef, fait passer du porche carolingien au niveau de l'église romane (matérialisé par une pelouse, qui fait ressortir les dénivellations entre la nef et les bas-côtés). Dans le reste de l'église, les dénivellations étaient tout aussi accentuées, puisque le sol de l'avant-choeur et du transept sud se situait peu au-dessus du niveau de présentation actuel, alors que le transept nord, le choeur et le déambulatoire étaient nettement surélevés. 

L'église n'a jamais été voûtée en pierres, contrairement à ce que peuvent laisser supposer la taille et la forme des piliers : elle était charpentée et lambrissée. Quelques piliers de la nef ont été reconstruits au XIXème siècle : ils sont identifiables grâce aux plantations faites à l'intérieur et par les décors modernes de certaines bases (fleur de lys, ancres marines, hermines, grappes de raisin...). 

Le gros pilier surélevé situé à gauche de l'avant-choeur a été construit au XVIème siècle. C'est à cette époque qu'ont été percées les grandes fenêtres entre les chapelles rayonnantes du choeur. 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

Il reste peu de chapiteaux romans en place (plusieurs sont exposés dans le Musée), mais un certain nombre de bases de colonnes ont été conservées dans l'ensemble de l'église Leurs sculptures sont caractéristiques de l'époque romane et s'échelonnent entre le XIème et le XIIème siècle sont encore visibles. 

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

   

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

   

Abbaye Saint Guénolé de Landévennec (Bretagne)

 

Ancien chapiteau de l'abbaye de Landévennec (Bretagne)

Ancien chapiteau (XIème siècle)

Ancien bénitier de l'abbaye de Landévennec (Bretagne)

Bénitier du XIème siècle

   

Armes de l'abbé Jean Briant, 1608-1630(Bretagne)

Armes de l'abbé Jean Briant (1608-1630).

Armes de Jean du Vieux-Chastel, 1496-1522 (Bretagne)

Armes de Jean du Vieux-Chastel (1496-1522).

   

La façade à arcatures aveugles en plein cintre, très sobre, est d'un style roman précoce. Elle date du milieu du XIème siècle, début de la construction de l'église.

Nota : les photos réalisées par Roger Frey sont la propriété du site infobretagne.com.

(pour plus de détails voir l'histoire de l'abbaye de Landévennec)

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