Web Internet de Voyage Vacances Rencontre Patrimoine Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Bienvenue chez les Kervignacois

KERVIGNAC

  Retour page d'accueil        Retour Canton de Port-Louis  

La commune de Kervignac (bzh.gif (80 octets) Kervignag) fait partie du canton de Port-Louis. Kervignac dépend de l'arrondissement de Lorient, du département du Morbihan (Bretagne).

Boutique de Voyage Vacances Rencontre Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

Boutique de Voyage Vacances Rencontre Immobilier Hôtel Commerce en Bretagne

ETYMOLOGIE et HISTOIRE de KERVIGNAC

Kervignac vient de saint Guignec ou Guignac.

La paroisse est citée dès le VIème siècle sous le nom de « Plebs Veneaca ». Il s’agit, semble-t-il, d’une paroisse gallo-romaine dont le nom moderne serait « Vignac » ou « Guignac » et qui englobait primitivement les territoires de Kervignac, Saint-Gilles-Hennebont et Nostang.

Kervignac est mentionné au début du XIIème siècle, sous le vocable "Plebs Veneaca" dans le cartulaire de Quimperlé.

Ville de Kervignac (Bretagne).

Au Moyen Age, Kervignac dépend de la châtellenie de Nostang. La paroisse fait partie du doyenné de Pou-Belz (diocèse de Vannes). La justice y est d'abord assurée par la sénéchaussée de Nostang puis par celle d'Hennebont à la fin du XIIIème siècle.

Le territoire de Kervignac est démembré au bénéfice de Merlevenez. Kervignac est érigé en commune en 1790. Kervignac est d'abord chef-lieu de canton, puis intégré au canton de Port-Louis en 1800.

On rencontre les appellations suivantes : Kerviniac (en 1427), Quervignac (en 1440), Querviniac (en 1448), Quirvigniac (en 1477), Querviniac (en 1481), Quervignac (en 1536).

Ville de Kervignac (Bretagne).

Note : Le bourg de Kervignac, situé à 43 kilomètres à l'ouest de Vannes, est le centre d'un territoire, qui est borné au nord par Languidic et Hennebont, à l'ouest par le cours du Blavet, au sud par Merlevenez, à l'est par Nostang et Brandérion. Sa superficie est de 3892 hectares, dont un tiers sous culture, un tiers sous prairies, bois, etc., et un tiers sous lande. En 1891, sa population est de 2650 habitants, appartenant presque tous à une belle race ; le capot ou coiffure des femmes leur donne un grand air de dignité. Les Celtes ont laissé dans ce pays des traces de leur séjour. Au nord, près de la route d'Hennebont à Landévant, on voit un beau dolmen, à chambre circulaire, sans allée. Au sud, près de l'ancien manoir de Kermadio, est un autre dolmen, sous lequel on a trouvé une urne en terre rougeâtre, remplie de cendres, et deux autres petits vases oblongs, en terre grise. A l'est, près de Lopriac, il existe aussi un autre petit dolmen. Les Romains, de leur côté, ont occupé le même territoire. Dans le bois de Kerballay, on a découvert des briques romaines et des fragments de poterie. Près de la lisière nord du pays, passe la voie romaine, qui va de Vannes vers Hennebont et Quimper. Kervignac est l'une des plus anciennes paroisses du diocèse de Vannes ; on la trouve mentionnée dès le commencement du VIème siècle. A cette époque, une nuée d'insectes s'abattit sur le Broérech et se mit à ravager les moissons. Le comte Waroch, craignant la famine pour ses sujets, envoya trois hommes, à Anaurot ou Quimperlé, pour prier saint Gunthiern d'avoir pitié des malheureux. Celui-ci remit de l'eau bénite aux envoyés et ordonna d'en jeter quelques gouttes sur les moissons. Tous les vers moururent. Waroch, par reconnaissance, donna à saint Gunthiern la paroisse de Vénéac (Veneacarn plebem), appelée depuis Ker-vignac. (Cartulaire de l'abbaye de Quimperlé). Il parait que le saint vint s'y fixer, et qu'il y mourut. On montre encore dans le bois de Locoyarn, sur le bord du Blavet, la grotte habitée par lui. Ce qui est incontestable, c'est que son corps, avec l'histoire de sa vie, fut plus tard , à cause des Normands, transporté et caché dans l'île de Groix, et qu'il y fut retrouvé, vers 1070, avec plusieurs autres reliques. On a trouvé à Kervignac de nombreuses monnaies du moyen âge, et notamment de petites pièces en argent de saint Louis, roi de France, de Conan II, duc de Bretagne, et d'Etienne, comte de Guingamp (Joseph-Marie Le Mené - 1891).

Ville de Kervignac (Bretagne).

Bretagne : Histoire, Voyage, Vacances, Location, Hôtel et Patrimoine Immobilier

PATRIMOINE de KERVIGNAC

l'église Saint-Pierre et Saint-Paul (XXème siècle), édifiée en forme de croix grecque par les architectes Conan et Delayre suite à la destruction de l'ancienne église du XIXème siècle lors de la libération de Lorient. Dès 1760, l'église de Kervignac qui menaçait ruine, fut interdite par l'Ordinaire. Le culte se transporta alors dans la chapelle Notre-Dame de Pitié, commencée en 1553, qui s'élevait dans le cimetière. Cette chapelle était un bel édifice de la Renaissance. En 1929, elle fut transformée en église paroissiale : on utilisa l'emplacement de l'ancienne église et ce que l'on put de la chapelle. On a alors conservé intacte la grande tour carrée à galerie ajourée, flanquée de deux tourelles d'escaliers polygonales, qui en était le plus bel ornement. La flèche qui surmontait la tour, démolie par la foudre en 1833, avait été reconstruite sur le même modèle. On avait conservé aussi le porche occidental de la chapelle, construit comme la tour vers 1560, où l'on remarquait un mélange de l'ornementation flamboyante et des motifs Renaissance. La charpente de la chapelle, datée de 1562, avec sablières et entraits abondamment sculptés, avait malheureusement disparu. Les vitraux en dalle de verre de l'église actuelle sont l'oeuvre de Gabriel Loire et datent de 1958 ;

Eglise de Kervignac (Bretagne).

Nota : L'ancienne église paroissiale de Kervignac est sous le vocable des saints apôtres Pierre et Paul, comme dans beaucoup d'anciennes paroisses. Ses deux chapelles latérales portent les noms du Rosaire et de sainte Anne. L'église menaçant ruine, fut interdite par l'Ordinaire en 1760, et rebâtie presque totalement à cette époque. Au XVIème siècle, les seigneurs de Kermadio s'y donnaient comme prééminenciers ; au XVIIIème les barons de Coet-rivas jouissaient des mêmes privilèges. Les chapelles de la paroisse sont les suivantes : — 1° Notre-Dame de Pitié, au bourg même et dans le cimetière. Cet édifice, commencé le 22 avril 1553, suivant une inscription extérieure, a la forme d'une croix latine, et mesure environ 22 mètres sur 7. Construit en grand et moyen appareil, il présente à l'ouest une tour carrée, surmontée d'une flèche en pierre ; les portes des transepts sont en anse de panier à retraits, et ornées de pilastres et d'une accolade à choux A l'intérieur, on voit des entraits à têtes de crocodiles, des ornements de la renaissance, et les armes des Talhoet de Coetrivas ; au-dessus des portes se remarquent dans un collier d'ordre trois besants ou tourteaux, qui représentent peut-être les coquilles des Lopriac. — 2° Notre-Dame de Clarté ou de Bon secours, au village de Locadour (Saint-Amadour), vers l'ouest. C'est un édifice en grand et moyen appareil, de forme rectangulaire, mesurant environ 18 mètres sur 6. Les fenêtres ogivales, le clocheton en pierre, et les portes en anse de panier accusent le XVIème siècle. Depuis cette époque on a construit au côté nord du choeur un transept de 9 mètres de profondeur. La tradition locale prétend qu'elle a appartenu à des moines. Près de la chapelle, au coin d'une maison du village, se voit un lech bas arrondi. — 3° Saint-Efflam, au sud-ouest , rappelle le nom de ce jeune prince d'Hybernie, qui abandonna ses états et sa jeune femme, pour venir en Armorique vivre dans la solitude ; il mourut au VIème siècle, et il est honoré le 6 novembre. Sa chapelle, récemment reconstruite, affecte la forme d'une croix latine. — 4° Sainte-Marie-Madeleine, au village de Locmaria, vers le sud-est, pourrait bien avoir appartenu jadis aux cordiers ; toutefois, ceux-ci habitaient un autre village nommé Kerarff ; elle n'offre rien de particulier. Il y avait là jadis un prêtre résidant. — 5° Saint-Laurent, à l'extrémité sud-est de la paroisse, passe, à tort sans doute, pour avoir appartenu aux Templiers. On y vient en pèlerinage, pour obtenir la guérison des difformités physiques. Le plan est en forme de croix latine, et mesure dans oeuvre 21 mètres sur 5 environ. On y voit les restes d'un jubé et un cancel. L'appareil est irrégulier ; les fenêtres, comme les portes, sont ogivales, et renferment quelques restes de vitraux. Près de la porte occidentale, se trouvent deux pierres peu élevées, arrondies et amincies à leur sommet, comme des lechs. — 6° Saint-Jean, ou Lojan (locus Johannis), est à l'extrémité orientale de la paroisse. Son plan est rectangulaire ; les portes sont ogivales, sans ornements ; la fenêtre du fond du choeur est géminée, et renferme quelques fragments de vitraux. — 7° Saint-Adrien, vers le nord-est, a la forme d'un rectangle et n'offre rien à signaler. Sa fontaine est très fréquentée, on y puise de l'eau pour guérir les enfants malades. — 8° Saint-Antoine, au nord, appartient aujourd'hui à Hennebont. — 9° Saint-Gunthiern, à Locohiarn ou Locoyarn, a subi le même sort, et ne sert plus au culte. — 10° Sainte-Susanne et Saint-Abibon, en breton Sant Diboén, au village de Trévidel, vers le nord-est. — 11° Sainte-Anne, au village de Kerguen, mentionnée au XVème siècle, a disparu depuis longtemps. — 12° Saint-Sterlin, sur le Blavet, semble rappeler, rien que par son nom, le souvenir d'une ancienne chapelle. On en peut dire autant de Locunolay ou Locunolé, qui signifie le lieu de saint Guénolé. — 13° Saint-Gildas, au village de Landen, à un bon kilomètre au nord du bourg, n'existe plus, mais sa fontaine est toujours très fréquentée en 1891. A ces chapelles correspondaient les frairies du bourg, de Locadour, de Saint-Efflam, de Locmaria, de Saint-Laurent, de Lojan, de Saint-Adrien, de Saint-Antoine, de Locoyarn, de Sainte-Susanne, de Sainte-Anne et de Talhoet. Il n'y avait ici ni prieuré, ni chapellenie, suivant une déclaration du recteur en 1615. Le recteur levait la dîme à la 33ème gerbe, ce qui lui procurait avec son casuel, en 1757, un revenu net de 1,600 livres. Kervignac dépendait jadis du doyenné de Pou-Belz ou de Mendon, et de la sénéchaussée d'Hennebont. En 1790, il fut érigé en commune et en chef-lieu de canton da district d'Hennebont ; il eut dans sa circonscription cantonale Merlevenez, Sainte-Hélène et Nostang. Son recteur, M. Sévéno, refusa en 1791 le serment à la constitution civile du clergé, et fut remplacé par un intrus, que des fanatiques tuèrent à coup de hache au presbytère en 1794. On y vendit nationalement plusieurs tenues appartenant à l'abbaye de la Joie ; le bois taillis de Coetremont, dépendant de l'église paroissiale ; une tenue à Kercaradec et des pièces de terre, appartenant à la fabrique et à la cure ; une maison, un jardin et un verger dépendant de N.-D. de Pitié ; et deux tenues à Penquesten, relevant de Sainte-Anne de Brandérion, sans compter quelques biens d'émigrés. A la suppression des districts, en 1800, Kervignac fit partie de l'arrondissement de Lorient, et au remaniement des cantons en 1801, il perdit son titre et fut incorporé au canton de Port-Louis. Il y a foire à Kervignac le 14 avril, le 14 mai et le 28 juin, à Locadour le 4 juin, et à Saint-Laurent le 10 mai (Joseph-Marie Le Mené - 1891).

Eglise de Kervignac (Bretagne).

Voir aussi   Ville de Kervignac (Bretagne) "L'histoire de la paroisse de Kervignac et ses recteurs"

la chapelle Notre-Dame de la Clarté (XVème siècle), située au village de Locadour. La chapelle a été construite en deux fois. Elle était primitivement de forme rectangulaire et la partie la plus ancienne n'est pourtant pas antérieure au XV-XVIème siècle. La nef présente des caractéristiques du XVème siècle avec son banc mural et ses trilobes et quadrilobes. Quelques temps après, on ajouta une chapelle au Nord, ouvrant sur le sanctuaire par une grande arcade en plein cintre reposant en pénétration sur des colonnes engagées. Sur le portail occidental s'élève un clocheton carré, à baies en anse de panier avec accolades, flanqué de quatre pinacles à crochets. Le clocheton a été remanié au XIXème siècle. Le portail est accosté de pilastres à pinacles flamboyants. La charpente, fruste, a été refaite. La sacristie date du XVIIème siècle. On y trouve les statues de saint Katur, Notre-Dame de la Clarté et sainte Marguerite. Au Moyen Age, se tenait près le chapelle la fameuse foire aux oiseaux ;

la chapelle Saint-Efflam ;

l'ancienne chapelle Saint-Laurent, située au village de Saint-Laurent et mentionnée en 1930. Elle passe pour avoir été jadis le siège d'un établissement de Templiers. La chapelle, en forme de croix latine, date du XVème siècle. Quelques figures humaines grossièrement sculptées ornent les rampants du toit. Un clocheton carré, en pierre, s'élève sur le pignon occidental. Dans un réseau rayonnant de la fenêtre du chevet plat, quelques fragments d'anciens vitraux ont subsisté ;

l'ancienne chapelle Saint-Jean, située au village de Lojean et mentionnée en 1930. Il s'agit d'un petit édifice de forme rectangulaire, semble-t-il, du XIIIème siècle, sans ornements, mais où l'on doit remarquer la curieuse fenêtre géminée du chevet, dont les deux baies trilobées en plein cintre, très étroites et très ébrasées, laisseraient croire à l'existence d'un édifice plus ancien. Mais les autres parties de la construction, très frustes, ne fournissent d'autres éléments d'appréciation que l'emploi de l'arc brisé pour les ouvertures, utilisé en Bretagne du XIIIème au XVIIème siècle ;

le château de Locguénolé (XIXème siècle), édifié à l'emplacement d'un château primitif (dénommée Locquenolé ou Locunolay), propriété au XVème siècle de la famille Chef-du-Bois, puis successivement des familles Perrien, La Tour-Maubourg (XIXème siècle) et La Sablière. Le château a été reconstruit en 1800. A la fin du XIXème siècle, le parc est remodelé par le jardinier Edouard André. L'édifice est converti aujourd'hui en Hôtel Restaurant. On peut voir près du château la grotte où se serait retiré saint Guénolé, ainsi qu'un four à pain ;

le manoir de Saint-Efflam (XVIème siècle), situé non loin de la chapelle Saint-Efflam. On y trouve des trous de boulins ;

la maison (XV-XVIème siècle) de Kerono ;

les moulins à eau de Bécherel, de Coët-Rivas, et les moulins à vent de Kernours, de Kerbalay, du Pont d'Eau, d'Eveline, Glas, de Coet-Rivas ;

A signaler aussi :

la chambre-dolmen de Tri men-de-Castello ;

le cimetière des bateaux (1945-1980) ;

l'ancien château de Kerouallan, aujourd'hui disparu. Siège d'une ancienne seigneurie. Il aurait appartenu à la famille Baëllec, puis à Jacques Cordier ;

Bretagne : Histoire, Voyage, Vacances, Location, Hôtel et Patrimoine Immobilier

ANCIENNE NOBLESSE de KERVIGNAC

Les seigneuries de Kervignac étaient :

1.        Coet-er-man, au sud-ouest du bourg.

2.        Coet-madeuc, baronnie en 1637, en faveur des Lopriac : on y voit une butte féodale.

3.        Coet-rivas, au nord-est, aux Kerguiris, baronnie en 1637, en faveur des Talhoet de Keravéon, aujourd'hui aux Perrien.

4.        Kerballay, au nord-ouest.

5.        Kergroéz.

6.        Kermadio, au sud, à la famille de ce nom.

7.        Kermassonnet, au nord, aux Lopriac.

8.        Keroual.

9.        Keroualan , à l'ouest, aux Baellec.

10.      Locoyarn, au nord-ouest, aux Gouvello.

11.      Locunolay, à l'ouest, aux Chefdubois.

12.     Lopriac, à l'est, berceau de la famille de ce nom.

13.     Le Parc, au nord-ouest.

14.     Penhoet, nord-nord-ouest.

15.     Poulvernic.

16.     Quimpéro, auprès d'Hennebont.

17.     Villeneuve, auprès de Locoyarn.

Il est bon de remarquer que les N° 10, 13, 16, 17, appartiennent aujourd'hui à la commune d'Hennebont. Le village du Castello, au nord, semble garder le souvenir d'une motte féodale, peut-être même d'un camp romain. Un autre village, celui du Cloistro, ne rappellerait-il pas un cloître, ou un établissement monastique, depuis longtemps détruit ? (Joseph-Marie Le Mené).

 

A la réformation de 1427, on comptabilise la présence de plusieurs nobles de Kervignac : Guyon de Kerguiris (Locunolay), Henry de Kermathehan (Kerballay, frairie de Locadour), Jeannequin Vise ou Wise (Locoyarne, frairie de Locgosziern), Jehan Quenechan. On signale aussi les métayers Henry Guillou, Perros Le Grallon et Thomas Riou.

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 8 septembre 1464, on comptabilise la présence de 6 nobles de Kervignac :

Simon ou Guyon de KERGUERIS (360 livres de revenu) : comparaît vêtu d'une robe ;

Morice de KERMADIO (200 livres de revenu) : comparaît en homme d'armes ;

Ollivier BIGNAN (60 livres de revenu) : porteur d'une brigandine, d'une salade (casque) et d'harnois de jambes, comparaît armé d'une épée et d'un arc ;

Allain des FONTAINES (40 livres de revenu) : porteur d'une brigandine, d'une salade et d'harnois de jambes, comparaît armé d'un arc ;

Jehan COURAPE, remplacé par Jehan Le Feuvre : porteur d'une brigandine et d'une salade, comparaît armé d'une épée et d'un arc ;

Eon de LINAS (40 livres de revenu), remplacé par son fils Jehan : porteur d'une brigandine et d'harnois de jambes, comparaît en archer et armé d'une jusarme et d'une épée ;

 

A la "montre" (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du 4 septembre 1481, on comptabilise la présence de 14 nobles de Kervignac :

Guyon de KERGUYRIS (200 livres de revenu) ;

Les héritiers Morice KERMADIO (240 livres de revenu) : défaillants ;

Jehan PERO : comparaît en archer ;

Guyon de KERGUYRIS, le jeune : défaillant ;

Ollivier BIGNAN (60 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît en archer ;

Ollivier des FONTAINNES (90 livres de revenu) : comparaît en archer ;

Jehan COURAPPE (16 livres de revenu) : porteur d'une brigandine, comparaît en archer ;

Guyon du MAT (10 livres de revenu) : porteur d'une brigandine, comparaît en archer ;

Jehan du MAT : défaillant ;

Jehan de KERAVEON : porteur d'une brigandine, comparaît en archer ;

Marguerite de KERPUNCZE (20 livres de revenu) : défaillant ;

Jehan des FONTAINNES : défaillant ;

Marie du POU, veuve de Jehan de Quenescan ;

Bonabes des BOIS : défaillant ;

© Copyright - Tous droits réservés.