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FAMILLE DE LA RIVIERE

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La famille de La Rivière (D’azur à la croix engreslée d’or) tire son nom d’un manoir de la commune du Haut-Corlay. Elle fait remonter sa généalogie historique à un juveigneur de Mûr et de Corlay, lui-même descendant d’un cadet de Rohan. Les seigneurs de La Rivière ont, en effet, rendu aveux et hommages aux seigneurs de Rohan, comme leurs juveigneurs, reportés aux ducs de Bretagne en la juridiction ducale de Ploërmel. Ces aveux anciens, de 1432, 1435 et 1452, ont été admis par la Chambre de la Réformation de la Noblesse en Bretagne qui était très sévère en cette matière.

Bien que l’origine des familles, comme d’ailleurs celle des peuples, soit souvent enveloppée de ténèbres on admet généralement que Budic, comte de Cornouaille, fils de Budic-Castellin, vivait en 980. Il épousa Guinolen et fut évêque de Quimper après la mort de sa femme.

Il eut cinq enfants :

1° Guethneuc, tige des seigneurs de Mûr d’où sont sortis les de La Rivière,

2° Orscand, évêque de Quimper,

3° Guérec, sans postérité,

4° Agnès, alliée à Huelin, seigneur de Hennebont,

et 

5° Alain Canhiart, né vers 975, marié à la fille de Judicaël, comte de Nantes. Celui-ci eut aussi cinq enfants :

1° Agnès, épouse de Eudes de Porhoët-Penthièvre,

2° Hodierne, abbesse de Locmaria,

3° Quiniac, évêque de Vannes,

4° Budic, abbé de Quimperlé,

et

5° Hoël, époux de Havoise, fils du duc Alain V, qui devint duc en 1066. Il fut le fondateur, par sa descendance, des familles de la Roche-Derrien, de Penthièvre, du Goëllo, d'Avaugour el de Quintin. Son arrière-petite-fille, Constance de Bretagne — (fille d'Alain Le Noir, comte de Penthièvre et de Berthe de Bretagne et soeur du duc Conan IV) — fut l’épouse de Alain III de Rohan à qui elle apporta la grande châtellenie de Corlay taillée, dès le XIème siècle dans le vaste apanage des comtes et vicomtes de Poher — cadets eux-mêmes de l’illustre maison princière de Cornouaille — pour un de leurs juveigneurs. En 1184 elle fonda, sur son propre, l’abbaye de Bon-Repos en Laniscat. Dans l’acte elle porte le titre de dame de Mûr et de Corlay. Cette qualification montre qu’au XIIème siècle Mûr et Corlay ne faisaient qu’un seul et même fief. Il fut primitivement possédé par une famille de ce nom. La branche aînée paraît avoir fini en la personne d’un certain Jédicaël qui assista, en 1161, avec Eudon, mari d’une de ses sœurs à la vente faite par sa mère Guénith, femme de Rivallon-ar-Broc’h, sire de Corlay, de plusieurs dîmes à l’abbaye de Quimperlé.

Suivant la généalogie de La Rivière, Rivallon-ar-Broc’h avait deux filles dont la cadette épousa Eudon, seigneur de Mûr. L’aînée aurait-elle été la première ou la seconde femme d'Alain Le Noir et la mère de Constance de Bretagne ? Aucun document ne l’apprend. Le domaine de Corlay peut aussi bien avoir été confisqué par le duc Connan III [Note : On sait en effet que ce prince est souvent à guerroyer contre ses barons révoltés], pour félonie, sur son propriétaire et donné ensuite par Connan IV à sa sœur, en la mariant au vicomte de Rohan ? Toujours-est-il que ses descendants étaient regardés comme les représentants des aînés de la maison de Corlay et les La Rivière-Mûr comme leurs juveigneurs.

Guethneuc, vicomte de Poher, premier fils de Budic de Cornouaille, qui vivait encore en 1027, eut un fils : Rivallon, vicomte de Poher, en 1040. Ce dernier eut deux fils :

1° Tanguy, vicomte de Poher, tige de la famille de Corlay, et

2° Rivallon, seigneur de Mûr, dont le fils (ou le petit-fils), Gestin de Mûr, habitait près du bourg actuel de Mûr, dans un, lien où on voit encore les traces d’une molle fortifiée connue sous le nom de Castel-Gestin ou Château-Gestin.

Son successeur, Eudon de Mûr, dit, Mab-Gestin, avait épousé, ainsi que nous l’avons dit, la seconde fille de Rivallon de Corlay. Il vivait encore en 1161. Après lui vient, Cadoret de Mûr, présent à la fondation de l’abbaye de Bon-Repos. On lui donne pour femme Mahaut, alias Avisette, fille de Roland de Dinan, sire de Montafilant. Il est vraisemblable que c’est après lui que l’on doit placer Constance de Bretagne, dame de Mûr et de Corlay. C’est possible mais il est difficile de l’affirmer vu l’absence de documents dans une époque aussi reculée.

 

I. — Au temps de Pierre Mauclerc, duc de Bretagne (1213-1237), nous trouvons GARCIS de Mûr et de Corlay, époux de Béatrix de Rostrenen. C’est le premier seigneur de Mûr dont nous pouvons parler avec certitude. Comment devint-il possesseur de ce domaine ? Nous l’avons cherché vainement — et bien d’autres avant nous — sans rien découvrir de positif. Toujours est-il qu’il faisait partie des troupes du duc Pierre lorsqu’il accompagna Louis VIII dans la guerre qu’il fit en Poitou à Henri III, roi d’Angleterre. Il assista à la prise de Niort, de Saint-Jean d'Angeli et de La Rochelle (13 août 1224). Il vivait encore en 1257. Il eut au moins trois enfants :

1. JOACHIM de Corlay, fils aîné, qui épousa Olive, fille de Hervé du Périer et de Sébille du Fou. Décédé sans postérité ;

2. CHRISTOFLE de Mûr et de Corlay qui suit ;

3. GUILLAUME de Mûr qui passa acte avec Josselin de Rohan en 1284 (D. Morice, Preuves, I-1073).

 

II. — CHRISTOFLE de Mûr et de Corlay, frère puîné de. Joachim, épousa (vers 1300 ?), Louise, dame héritière de La Rivière, fille unique de Thébaud, mort vers 1290, chevalier, seigneur de La Rivière, et de Hélène du Chastel, à condition que « la postérité issue de ce mariage prendrait le nom et les armes de La Rivière pour les continuer en la directe de cette maison ... ».

Cette seigneurie, située dans la paroisse du Haut-Corlay, comprenait château avec étang et bois. Elle avait toutes les prérogatives dans les églises et chapelles avoisinantes au titre de fondation et de patronage, haute, moyenne et basse justice, et établissement de foires et de marchés ...

Christofle hérita de son père de la seigneurie de Kersaudy (Corlay) dont il rendit aveu au duc de Bretagne, déclarant « tenir lesdites choses en juveignerie de Mgr de Rohan en sa chastellenie. de Corlay ». Il laissa entre autres enfants :

1. ALNETTE, femme de Sylvestre de Cancoët ;

2. GEOFFROY ci-après :

 

III. — GEOFFROY, seigneur de La Rivière et de Kersaudy, épousa Jeanne, fille de Sylvestre de la Feuillée et de Thébaude de Tournemine. Il suivit les ducs de Bretagne dans toutes les guerres de son temps. En 1331 il passa un accord avec Geoffroy Boterel de Quintin, dans lequel il est qualifié miles [Note : Miles à cette époque signifie «  chevalier »], touchant un ancien fief de La Rivière en la chastellenie de Botoha, membre du Comté de Quintin. Par acte de 1332 il transporta au seigneur de Quénécan, près de Mûr, des droits de chasse et de chauffage pour la somme de 16 livres monnaie. Dans les archives de la maison de Rohan on trouve un autre acte, de l’an 1335, dans lequel il est mentionné tuteur du comté de Rohan.

Il mourut en 1340 laissant :

1° PERRINE de La Rivière, mariée au seigneur de la Forest, en Hennebont, famille fondue dans celle de Maillé ;

2° THÉBAUD qui suit :

 

IV. — THÉBAUD, seigneur de La Rivière et de Kersaudy, épousa Marie, fille de Jean, sire de Kergorlay et de Jeanne-Marie de Rieux. Il fut compagnon d’armes de Duguesclin et assista à la bataille de Cocherel, en 1364. Il suivit le connétable en Castille lorsqu’il alla rétablir Henri de Transtamare sur le trône occupé par son frère Pedre Le Cruel. Il se distingua à Navarette (1367). Il avait sous sa bannière 50 gentilshommes : 4 chevaliers et 46 écuyers dont il fit montre lors du siège de Brest en 1373. Il figura au siège de Pont-eau-de-mer (sic) (Pontaudemer) en 1378.

Des enfants issus de son mariage il ne nous est apparu que :

 

V. — JEAN de La Rivière, seigneur de Kersaudy, qui suivit son père à la guerre. Dans les montres du connétable Duguesclin, qui étaient conservées à la Chambre des Comptes de Paris, il est qualifié écuyer tandis que son père est chevalier.

Il épousa Marguerite de Beaumanoir, fille de Jean, vicomte du Besso, et de Jeanne Boutier. Il mourut en 1398 ne laissant, qu’un fils :

 

VI. — HENRY, seigneur de La Rivière et, de Kersaudy, qui se présenta, en 1399, la veille de l'Epiphanie, en la cour du comté de Quintin pour rendre foi et, hommage à Jehan du Perrier des terres qu’il tenait de sa seigneurie à la suite du décès de ses père et mère qu’il nomme Jehan de La Rivière et dame Marguerite de Beaumanoir.

Il épousa, en 1399, Jeanne, fille de Gilbert du Houle (Merléac) et de sa première femme, Jeanne Hérisson, fille de Olivier, seigneur de la Ville-Héloin et de Marie de Plédran.

Il sortit de cette alliance :

1. THÉBAUD, qui a dû mourir jeune, car on n’en trouve aucune trace ;

2. GEOFFROY, fils aîné ;

3. EON, puîné, fondateur de la branche de La Rivière de Saint-Quihouët.

Voir Famille de La Rivière "Branche de La Rivière de Saint-Quihouët

 

VII. — GEOFFROY, seigneur de La Rivière et de Kersaudy, conseiller et chambellan du due Jean V, se maria deux fois : 1° à Marguerite de Kéravis, en Boquého ; 2° à Isabeau de Tournemine, fille aînée de Geoffroy et de... de Coëtivy.

En 1415, il hérita de ses père et mère et partagea son frère puîné Eon de sa seigneurie de Kernonain, en Le Haut-Corlay qu’il lui bailla suivant l'Assise au comte Geoffroy [Note : Le comte Geoffroy, fils de Henri II Plantagenet, roi d'Angleterre, épousa Constance de Bretagne. Il devint duc de Bretagne en 1180 et mourut en 1187. Il institua l'Assise, dite au comte Geoffroy, qui établissait le droit d’aînesse et interdisait le démembrement des seigneuries afin que le noble ait un revenu suffisant pour entretenir les hommes d’armes imposés par le duc. Les puînés se partageaient le 1/3 de la succession de leur père et recevaient leur héritage en argent, meubles et terres à viager. L’aîné héritait toujours du château familial (D. Morice : Preuves, I-705)]. En 1423, le duc Jean V lui fit don d’un quatrième pilier à sa justice de La Rivière. En 1432, il rendit aveu au même Jean V, en sa juridiction de Ploërmel, des terres qu’il tenait « en juveignerie de Mûr de Rohan, sous la chastellenie de Corlay, en la paroisse de Merléac, dépendantes de la seigneurie de Kersaudy ». Cet aveu figure dans l’inventaire des chartes de la tour de Nantes fait en 1569.

Il mourut en 1446.

De son premier mariage sortit :

1°. HENRY qui suit ;

et du second une fille :

2°. ALIX, femme de Roland de Coëtrieux.

 

VIII. — HENRY, de La Rivière et de Kersaudy, rendit aveu en ligence, à Ploërmel, au duc de Bretagne, Arthur III, l’an 1458, en juveignerie de Rohan (Inventaire de la tour de Nantes en 1569). Il épousa, en 1452, Margilie, fille aînée et héritière de la maison de Crenan. Elle mourut sans enfants et la terre de Crenan échut aux Le Nepvou puis aux Urvoy. Anne Urvoy la porta en dot à Maurice de Perrien, père du marquis de Crenan, grand échanson de France.

Il eut pour seconde femme Olive Le Vicomte, dont Jeanne, héritière de La Rivière, mariée à Christophle Hennesson, chevalier anglais, qui possédait la terre de Percy, au pays de Rouen. De ce mariage sortit Marie, dame de Hennesson et de La Rivière, épouse :

1° de Thomas de Porçon, aussi chevalier anglais, gentilhomme de la maison du Roi d'Angleterre. Comme elle n’avait pas d’enfants elle passa contrat avec son oncle au second degré, Prigent de Coëtrieux, par lequel elle le reconnaissait pour son légitime héritier. Celui-ci lui donna 1.800 écus d’or pour retourner près de son mari en Angleterre. Après la mort de Thomas de Porçon elle revint en Bretagne et épousa en secondes noces :

2° Foulques de Rosmar, originaire d'Angleterre, seigneur de Kerdaniel (Plouagat) évêché de Tréguier. De ce mari, déjà âgé, elle n’eut pas d’enfants. La filiation directe de La Rivière s’éteignît en sa personne et sa succession revint à Prigent de Coëtrieux qui prit le nom de La Rivière.

 

IX. — ALIX de La Rivière, mi-soeur de Henry ci-dessus, et fille de Olive Le Vicomte, épousa Roland, seigneur de Coëtrieux, sieur de Kertaudy (Trêve de Saint-Adrien, paroisse de Bourbriac), décédé vers 1490. Elle laissa un fils :

1°. PRIGENT de Coëtrieux.

IX bis. — PRIGENT de Coëtrieux, seigneur dudit lieu, paroisse de Quemper-Guézennec, de Kertaudy et autres lieux, fut gentilhomme de la Chambre du duc de Bretagne. [Note : Prigent de Coëtrieux était cousin germain de Jeanne de La Rivière (fille d'Henri de La Rivière et d'Olive Le Vicomte, et épouse de Christophle Hennesson) et oncle de Marie de Hennesson]. La succession de Marie de Hennesson, dame de Kerdaniel-Rosmar, dernière descendante de la maison de La Rivière (du Haut-Corlay), (voir IX ci-avant) lui étant échue, il se qualifia seigneur de La Rivière et en prit les armes. En 1480 il eut main-levée de cet héritage, devant la juridiction de Corlay, par sentence rendue par Alain du Bois-Berthelot, lieutenant de ladite cour. En 1537 il reçut aveu de Pierre de Kergorlay, seigneur de Bocozel, des chapelle et droits honorifiques qu’il avait dans l’église paroissiale du Haut-Corlay, déclarant « qu’il les tenait de ses prédécesseurs qui les avaient eus par concession de bonne grâce des anciens seigneurs de La Rivière du Haut-Corlay, reconnaissant en outre que ladite église et tout le bourg du Haut-Corlay être dans la juveigneric de La Rivière et avoir en mains une pareille reconnaissance faite à noble et puissant Geoffroy de La Rivière l’an 1443 ».

Prigent de Coëtrieux et de La Rivière avait épousé Gillette-Anne du Grosquer, nièce de l’évêque de Tréguier.

Son fils aîné fut :

1° PIERRE de Coëtrieux.

 

X. — PIERRE de Coëtrieux, fils aîné de Prigent, seigneur de La Rivière, de Kertaudy, du Draisic (Bourbriac) épousa, vers 1536, Anne de Cléauroux [Note : Fille de Raoul, sieur de Cléauroux (Bourbriac), seigneur de Léhart (Senven-Léhart), sénéchal de Lamballe en 1536, décédé en 1559, fils de autre Raoul de Cléauroux, sieur de Kerauffret, vivant en 1475], héritière de la seigneurie de Kérauffret (Trêve de Saint-Adrien, paroisse de Bourbriac), de Saint-Michel (Trêve de Plouisy, paroisse de Guingamp), de la Ville­neuve-sur-Trieux, le Vieux-Marché.

Ils eurent pour enfants :

1°. ROLAND de Coëtrieux ;

et

2°. ANNE de Coëtrieux, partagée le 6 septembre 1588, mariée le 12 août 1553 à Guillaume Le Nepvou, seigneur de Crenan, chambellan du roi Henri III, décédé vers 1583, laissant une unique héritière, Anne Le Nepvou, dame de Crenan, épouse en premières noces de Jacques de Pont-Bellanger qui mourut sans hoirs, en 1583, peu après son mariage. Elle se remaria, le 21 juin 1595, à Marc-Antoine de Roquefort, premier capitaine des Chevaux-Légers de France, Maréchal de Camp des Armées de Sa Majesté Henry, en Bretagne. Il lui donna en dot 20.000 écus. Il mourut, sans hoirs, le 9 février 1596, veuf de Anne Le Nepvou, décédée vraisemblablement, en même temps que sa fille Renée, vers 1593.

 

XI. — ROLAND de Coëtrieux, seigneur de La Rivière, de Kertaudy, Kersaudy, Kérauffret, le Disquay (Bourbriac), châtelain de Saint-Michel et de Vieux-Marché,  gouverneur de Guingamp pour le Roi, épousa Françoise, fille aînée de Olivier de Quélen, seigneur du Dresnay (Loguivy-Plougras), de Lambarre et de Coëtcohon, le 2 août 1563. Il mourut en 1590.

De cette union sont sortis :

1° GUILLAUME, 2° ANNE et 3° MARGUERITE.

 

XII. — GUILLAUME de Coëtrieux, seigneur de La Rivière, Kertaudy, Kersaudy, Kérauffret, etc..., chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit, gouverneur de Guingamp, épousa, le 5 novembre 1616, Julienne, fille de Jean d'Angennes, marquis de Poigny et de Madeleine Thierry, dame du Bois-Orcam.

Il mourut sans enfants en 1616. Il fut enterré au chœur de l’église de Guingamp sous un tombeau de cuivre portant l’épitaphe : Cy-git hault et puissant seigneur Messire Guillaume, seigneur marquis de La Rivière.

Sa veuve se remaria à Jacques de Maillé-Brézé, marquis de La Flocelière, oncle de Mme la princesse de Condé, fille du duc de Brézé.

 

XIIbis. — MARGUERITE de Coëtrieux, mariée en 1598 à René de La Rivière, seigneur de Saint-Quihouët.

 

XIIter. — ANNE de Coëtrieux épousa, en 1604, Benjamin, marquis du Liscoët, issu d’une branche puînée d'Avaugour. Il mourut en 1645 et Anne de Coëtrieux en 1648, laissant :

1° GUILLAUME du Liscoët, fils aîné, mort en instance de mariage avec Mlle Chabot, soeur du duc de Rohan (1651) ;

2° PHILIPPOTTE du Liscoët, fille aînée, héritière de son frère, épouse du seigneur de Coulombières de Bricqueville, décédée sans postérité en 1669 ;

3° ANNE du Liscoët, morte avant 1669, femme de Charles-François Loménie, frère du comte Loménie de Brienne, secrétaire d'Etat, dont une fille religieuse, décédée en laissant ses biens à son petit oncle Charles de La Rivière, fils de René de La Rivière et de sa tante Marguerite de Coëtrieux.

Ch. Le Péchoux.

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