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LA FAMILLE CORMIER du MÉDIC.

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CORMIER du MÉDIC. Armes : de gueules à un chevron d'or accompagné de trois croissants d'argent. - Le rameau des sieurs des Fosses portait : d'argent au chevron de gueules accompagné de trois croissants du même.

La famille CORMIER occupait dès le XVIème siècle un rang distingué dans la bourgeoisie du diocèse de Rennes, en Bretagne. Elle se partagea en plusieurs branches.

Le chef d'une de ces branches, Yves Cormier, fut pourvu en 1584 de la charge anoblissante de secrétaire du Roi en la chancellerie près du Parlement de Bretagne. Un de ses fils, Pierre Cormier, fut pourvu de la même charge en 1609. Il fut père de René Cormier, sieur de la Courneuve, lieutenant civil et criminel au présidial de Renues, qui fut maintenu dans sa noblesse par arrêt du 13 octobre 1670 avec ses deux fils, René II et Joseph. Jules Cormier de la Courneuve, né à Rennes en 1675, fils de René II, fut reçu en 1701 conseiller au Parlement de Bretagne ; il se démit de son office en 1721 et mourut en 1731 ne laissant que des filles. Cette branche s'éteignit en la personne de Jean Cormier de la Courneuve, commandeur de Saint-Louis, gouverneur des Invalides, décédé en 1753.

Une autre branche était représentée en 1619 par Toussaint Cormier, que l'on croit avoir été un fils cadet d'Yves, secrétaire du Roi en 1584. Ce Toussaint Cormier eut un fils, Pierre Cormier des Fosses, procureur au présidial de Rennes, qui se désista de ses prétentions à la noblesse par acte du 22 décembre 1668 et qui paya en même temps une amende de 100 livres pour avoir pris dans plusieurs actes la qualification d'écuyer. Cette branche paraît s'être éteinte avec Mathieu-Guillaume Cormier des Fosses qui épousa à Rennes, en 1768, Mlle de la Haye de la Gontraye et qui en eut au moins deux filles, Mme Christy de la Pallière et Carré-Kérisouet.

Une troisième branche, connue sous le nom de Cormier DU MÉDIC, subsistait dans les dernières années du XIXème siècle. On ne lui connaît pas de principe d'anoblissement. Un de ses représentants, Fidèle Cormier du Médic, capitaine réformé, vendit en 1763 des terres qu'il possédait à Bourbriac.

(Chaix d'Est-Ange).

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