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LA FAMILLE de CHABOT (ou de ROHAN-CHABOT).

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CHABOT (de), aujourd'hui ROHAN-CHABOT (de). Anciennes armes de la maison de Chabot : d'or à trois chabots de gueules posés 2 et 1. Devise : Concussus surgo. (Cette devise fut prise par l'amiral Chabot qui y joignait pour corps un ballon à jouer). Autre devise (adoptée par François Chabot, gouverneur de Bourgogne au XVIème siècle) : Virtutem extendere factis. -Armes de la branche des ducs de Rohan : écartelé aux 1 et 4 de gueules à neuf macles d'or accolées, qui est de Rohan ; aux 2 et 3 de Chabot. – Alias : écartelé au 1 de Navarre, au 2 d'Ecosse, au 3 de Bretagne, au 4 de Flandre ; sur le tout, écartelé de Rohan et de Chabot. L'écu environné d'un manteau de pair de France. - Couronne : de Prince sur l'écu, de Duc sur le manteau. – Supports : à dextre un léopard lionné, à sénestre un sauvage portant sa massue sur l'épaule. - Devise (c'est celle de la maison de Rohan) : Potius mori quam fœdari.

La maison DE CHABOT est une des plus brillantes de la noblesse française. Il en existe un grand nombre de généalogies. Une des plus récentes et des meilleures est celle que Beauchet-Filleau a donnée dans son Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou.

La maison de Chabot a eu pour berceau le Bas-Poitou. Le nom ou sobriquet de Chabot, ou Cabot, qui signifie grosse tête, a été porté dès le XIème siècle dans l'ouest de la France par un assez grand nombre de familles de conditions très variées. Celles de ces familles qui appartenaient à la noblesse ont d'ordinaire adopté pour armes parlantes le poisson à grosse tête que l'on appelle Chabot. On ne peut donc attribuer qu'avec la plus grande réserve à la famille qui donne lieu à cette notice les gentilshommes assez nombreux du nom de Chabot dont on trouve la trace dans des chartes des XIème, XIIème, XIIIème et XIVème siècles.

On admet d'ordinaire que la maison de Chabot a eu pour premier auteur connu un Guillaume Chabot, Sgr de la Chabotière, qui, avec d'autres seigneurs de la Gâtine et du Bas-Poitou, signa l'acte d'une donation faite en 1040 à l'abbaye de Vendôme par Geoffroy, comte d'Anjou. Quand la maison de Chabot fut devenue une des plus puissantes de France, les généalogistes firent sans aucune preuve de ce gentilhomme le fils d'un Pierre Chabot qui aurait été lui-même un fils puîné de Guillaume IV, duc d'Aquitaine. C'est également sans preuves que l'on a fait de Guillaume Chabot, vivant en 1040, le mari d'une Mahaut de Lusignan. On trouve ensuite un Thibaud Chabot, Sgr de Vouvent, près de Fontenay, qui peut avoir été fils de Guillaume et dont le nom est mentionné dans plusieurs chartes de la seconde moitié du XIème siècle. On admet d'ordinaire, mais sans en avoir la preuve, que celui-ci fut père d'un Sébran Chabot, Sgr de Vouvent, qui est mentionné dans un certain nombre d'actes à partir de 1130. Ce Sébran Chabot peut avoir été le même personnage qu'un Sébran Chabot qui en 1147 accompagna en Palestine le roi Louis VIII et dont le nom a été inscrit aux Salles des croisades du musée de Versailles avec les armes de la famille de Chabot actuellement existante. Un autre Sébran Chabot, arrière-petit-fils présumé de celui-ci, se croisa en 1218.

Les auteurs qui ont eu à s'occuper de l'histoire de la maison de Chabot sont en désaccord perpétuel sur les premiers degrés de la filiation. On ne doit donc considérer cette filiation comme nettement établie qu'à partir d'un Sébran, ou Sébrandin, Chabot, Sgr de la Grève, du petit château de Vouvent, etc., qui rendit hommage en 1263 au comte de Poitiers et dont la veuve, Dirois de Chateaumur, est citée dans un acte de 1299. Deux des fils de ce gentilhomme, Thibaud et Guillaume, furent les auteurs de deux grandes lignes qui se sont perpétuées jusqu'à nos jours.

[Note : Il existe une ligne cadette, dite des seigneurs du Chaigneau (armes : d'or à trois chabots de gueules, 2 et 1) détachée au XIVème siècle et demeurée fixée en Bas-Poitou. Son auteur, Guillaume Chabot, chevalier, Sgr. de Chantemerle, frère puîné de Thibaud Chabot, Sgr. de la Grève et du Petit-Château de Vouvent, auteur de la branche aînée aujourd'hui connue sous le nom de Rohan-Chabot].

L'auteur de la ligne aînée, Thibaud Chabot, varlet, Sgr de la Grève et du Petit-Château de Vouvent, signa un accord en 1299 et passa plusieurs actes avec sa mère en 1301 et 1303. Il laissa plusieurs enfants qui en 1327 étaient mineurs sous la tutelle de leur mère, Jeanne de Saint-Vincent. Son fils aîné, Thibaud, Sgr des mêmes domaines, intenta vers 1340 un procès à son oncle Guillaume Chabot, Sgr de Chantemerle, auteur de la branche cadette, qui pendant sa minorité avait dissipé une partie de ses biens. Il existe de nombreux documents relatifs à ce procès entre les deux branches de la maison de Chabot, procès qui ne se termina que dans les premières années du XVIème siècle. Thibaud Chabot, fils du précédent et seigneur des mêmes domaines, fut père de Louis Chabot, Sgr de la Grève, qui épousa vers 1370 Marie de Craon. Cette dame apporta à son mari, entre autres biens considérables, les châtellenies de Moncontour, Jarnac-sur-Charente et Montsoreau. Elle laissa, entre autres enfants, deux fils :

1° Thibaud Chabot, chevalier, Sgr de la Grève, Moncontour, Montsoreau, etc., marié le 21 juin 1422 à Brunissin de d'Argenton, tué le 18 février 1420 à la célèbre journée des harengs, dont le fils, Louis, n'eut pas de postérité masculine ;

2° Regnauld Chabot, chevalier, Sgr de Jarnac, marié successivement à Françoise de la Rochefoucauld et en 1437 à Isabeau de Rochechouart, qui prit part avec distinction à la guerre contre les Anglais et qui continua la lignée. Un des fils de ce dernier, Antoine, entré dans l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, fut nommé en 1504 grand prieur de France. Un autre, Jacques Chabot, Sgr d'Aspremont et de Brion, puis de Jarnac après la mort de ses frères aînés, marié en 1485 à Madeleine de Luxembourg, en eut, entre autres enfants, deux fils, Charles et Philippe, qui furent les auteurs de deux branches.

La branche cadette est aujourd'hui éteinte. Son auteur, Philippe Chabot, Sgr de Brion, connu dans l'histoire sous le nom d'amiral de Brion, fut un des personnages les plus célèbres de son temps. Ami d'enfance du roi François Ier qui lui confia plusieurs ambassades importantes, il fut nommé amiral de France en 1526, conquit en 1535 une partie de la Savoie et du Piémont, eut le premier l'idée de la colonisation du Canada et mourut en 1543 en son hôtel de la rue Saint-Antoine, à Paris. Ses enfants lui firent élever aux Célestins un magnifique tombeau, œuvre de Jean Cousin, qui est aujourd'hui au musée du Louvre. L'amiral de Brion possédait en Bourgogne le comté de Charny qui lui venait de la maison de Luxembourg ; il acquit dans la même province la baronnie de Mirebeau par son mariage en 1526 avec Jeanne de Longwy. Son fils, Léonor Chabot, comte de Charny, chevalier du Saint-Esprit en 1578, décédé en 1597 sans laisser de postérité mâle, était lieutenant général en Bourgogne à l'époque de la Saint-Barthélémy et se rendit célèbre en refusant d'exécuter, dans son gouvernement les mesures de rigueur ordonnées par la Cour. Cette branche, qui jouit d'un vif éclat, s'éteignit avec un neveu du précédent, Jacques Chabot, Sgr de Brion, marquis de Mirebeau, comte de Charny, lieutenant général du duché de Bourgogne, chevalier du Saint-Esprit, qui mourut en 1630 sans laisser de postérité masculine.

Charles Chabot, baron de Jarnac, auteur de la branche aînée, actuellement existante, était encore fort jeune quand il épousa en 1506 Jeanne de Saint-Gelais, héritière des seigneuries de Saint-Gelais, Sainte-Aulaye et Montlieu. Il fut chambellan du Roi, chevalier de Saint-Michel, maire de Bordeaux, vice-amiral de Guienne, etc. Son fils, Guy Chabot, baron de Jarnac, maire perpétuel de Bordeaux, gentilhomme de la Chambre du Roi, chevalier de Saint-Michel, sénéchal du Périgord, marié en 1540 à Louise de Pisseleu, est demeuré célèbre par le duel qu'il eut en 1547 avec François de Vivonne, Sgr de la Châtaigneraie, et dans lequel il triompha de son adversaire par un coup imprévu. Depuis cette époque on a nommé coups de Jarnac toutes les surprises d'escrime et au figuré toutes les attaques imprévues. Léonor Chabot de Saint-Gelais, baron de Jarnac, fils du précédent, chevalier de l'Ordre du Roi, laissa, entre autres enfants, deux fils :

1° Guy Chabot de Saint-Gelais, qui obtint l'érection en comté de sa seigneurie de Jarnac et dont la descendance s'éteignit avec son arrière-petite-fille, Henriette Chabot, comtesse de Jarnac, mariée en 1715 à son cousin, Charles-Annibal de Rohan Chabot, et décédée sans postérité en 1769 ;

2° Charles Chabot, Sgr de Saint-Gelais et de Sainte-Aulaye, qui épousa en 1604 Henriette de Lur et qui continua la descendance.

Henri Chabot, Sgr de Sainte-Aulaye, tils de Charles et d'Henriette de Lur, contracta une très brillante alliance. Il épousa par contrat du 6 juin 1645 Marguerite de Rohan, fille unique d'Henri, duc de Rohan, prince de Léon, comte de Porhoet, alors décédé, petite-fille du grand ministre Sully et héritière du duché de Rohan et des grands biens de la branche aînée de la maison de Rohan. Cette union d'un simple gentilhomme avec une jeune fille qui était regardée comme le plus grand parti de France eut un retentissement d'autant plus considérable que la duchesse douairière de Rohan refusa son consentement au mariage de sa fille. Celle-ci imposa à son mari la condition qu'il porterait, le nom et les armes de Rohan, bien qu'il subsistât à cette époque des branches collatérales de la maison de Rohan dont l'une s'est, du reste, perpétuée jusqu'à nos jours. Par lettres patentes de 1648, Henri Chabot fut confirmé dans la possession du titre de duc de Rohan et créé pair de France. Le nouveau duc de Rohan fut reçu au Parlement en 1652. Le 29 août de l'année suivante il prêta serment devant le Parlement de Bretagne en qualité de premier baron de Bretagne et de président-né de la noblesse aux États de cette province. Depuis cette époque les représentants de cette branche de la maison de Chabot ont été connus sous le nom de ROHAN-CHABOT. Depuis cette époque aussi le fils aîné de son chef a porté du vivant de son père le titre de prince de Léon. Henri Chabot, duc de Rohan, mourut en 1655. Son fils, Louis de Rohan-Chabot, duc de Rohan, marquis de Blain, comte de Porhoet, etc., pair de France, né en 1652, filleul du Roi et de la Reine-mère, marié en 1678 à Marie-Elisabeth du Bec-Crespin, fille du marquis de Vardes, eut dans les dernières années du XVIIème siècle à soutenir un long procès contre son cousin, le prince de Guéménée, et son beau-frère, le prince de Soubise, représentants de l'ancienne maison de Rohan, qui voulaient l'obliger à quitter nom et les armes de Rohan. Il fut confirmé dans la possession de ses droits en 1706 par un arrêt du Conseil d'État présidé en cette circonstance par Louis XIV en personne. Il mourut à Paris en 1717 laissant trois fils :

1° Louis, troisième duc de Rohan, pair de France, né en 1679, marié en 1708 à Mlle de Roquelaure, dont le fils aîné, Louis, duc de Rohan et de Roquelaure, pair de France, lieutenant général des armées du Roi, confirmé par brevet du 6 juin 1764 dans le titre de cousin du Roi, mourut à Nice en 1791 sans postérité et dont les fils cadets moururent également sans postérité ;

2° Guy-Auguste, né en 1683, qui fut l'aïeul des représentants actuels ;

3° Charles Annibal, né en 1687, dont il va être parlé.

Charles-Annibal était connu sous le titre de chevalier de Rohan quand il épousa en 1715 sa cousine Henriette Chabot de Jarnac, veuve sans enfants de Paul-Gaston de la Rochefoucauld et héritière du comté de Jarnac ; il fut dès lors connu sous le titre de comte de Jarnac et mourut sans postérité en 1762. Sa femme fit en 1751 donation du comté de Jarnac à son neveu, Louis-Auguste de Rohan-Chabot, né en 1722, second fils du troisième duc de Rohan, à la condition que lui et ses descendants ne porteraient que le nom et les armes de Chabot. Ce jeune homme prit alors, en effet, le titre de vicomte de Chabot ; mais il mourut sans postérité dès 1753 et après lui le comté de Jarnac passa avec les mêmes conditions à son cousin, Charles de Rohan-Chabot, dont il sera parlé plus bas.

Guy-Auguste de Rohan-Chabot, second fils de Louis, duc de Rohan, et de Marie-Élisabeth du Bec-Crespin, fut connu sous le titre de chevalier de Rohan, puis sous celui de comte de Chabot. Il épousa en 1729 Mlle du Breil de Rays, fille et héritière du comte de Rays, puis en 1744 miss Howard, fille du comte de Stafford, fut nommé en 1734 lieutenant général des armées du Roi et mourut en 1760. Il laissait de sa première union deux fils dont l'aîné, Louis-Antoine-Auguste, continua la lignée. Le puîné, Charles de Rohan Chabot, né en 1740, recueillit en 1753 le comté de Jarnac, comme il a été expliqué plus haut, fut nommé maréchal de camp en 1781, épousa en 1759 Mlle de Pons-Saint-Maurice, dont il n'eut qu'une fille mariée au comte de Castellane, puis en 1777 miss Smith et mourut en Angleterre en 1813 ; sa descendance s'éteignit avec son petit-fils, Philippe-Auguste de Chabot, comte de Jarnac, né en 1815, ambassadeur à Londres en 1874, marié en 1844 à miss Fitz-Gérald, décédé à Londres en 1875 sans laisser de postérité. Louis-Antoine-Auguste de Rohan-Chabot, né en 1733, fils aîné de Guy-Auguste, se signala par son courage à la bataille de Minden, en 1758, fut autorisé par brevet de 1775 à porter le titre de duc de Chabot, fut nommé lieutenant général des armées du Roi en 1781, puis chevalier du Saint-Esprit en 1783, devint en 1791, par la mort de son cousin, duc de Rohan, pair de France et chef de nom et d'armes de sa maison et mourut en 1807. Il avait épousé en 1757 Mlle de la Rochefoucauld. Leur fils, Alexandre-Auguste, duc de Rohan, né en 1761, marié en 1785 à Mlle de Montmorency, lieutenant général des armées du Roi et premier gentilhomme de la chambre du Roi en 1815, décédé l'année suivante, avait été rétabli en 1814 dans sa dignité de pair de France héréditaire. Il laissa trois fils. L'aîné de ceux-ci, Louis-Auguste, duc de Rohan, né en 1788, pair de France, entra dans les ordres après la mort tragique, en janvier 1815, de sa femme, la princesse de Léon, née Sérent, qui, par accident, mit le feu à ses vêtements et succomba à ses blessures quelques heures après. Le duc de Rohan fut nommé archevêque d'Auch en 1828, archevêque de Besançon l'année suivante, cardinal en 1830 et mourut en 1833. Ses deux frères, Alexandre-Ferdinand, duc de Rohan, né en 1789, maréchal de camp, premier aide de camp du duc de Bordeaux, marié en 1817 à Mlle de Gontaut-Biron, décédé en 1869, et Louis-Gérard, comte de Rohan-Chabot, né en 1806, marié en 1831 à Mlle de Biencourt, ont été les auteurs des deux rameaux actuellement existants de la maison de Rohan-Chabot.

Le duc de Rohan, né en 1844, marié en 1872 à Mlle de Verteillac, est député du Morbihan et l'une des personnalités les plus justement considérées du parti conservateur. Un de ses cousins germains, Auguste de Rohan-Chabot, né en 1859, a relevé le titre de comte de Jarnac pour se conformer aux derniers désirs de son cousin, Philippe-Auguste de Chabot, comte de Jarnac, mentionné plus haut ; il a un fils de son mariage avec Mlle Olry.

Le chef du second rameau actuel, le comte Guy de Rohan-Chabot, né en 1835, marié en 1867 à Mlle Terray de Morel-Vindé, s'est fait concéder le titre romain de duc de Ravèse par brefs pontificaux du 13 mai 1907 et du 3 août 1908. Il a été autorisé à porter ce titre en Espagne par ordonnance royale du 18 août 1907.

Il s'était détaché de la souche, au moyen âge, un certain nombre de branches dont le point de jonction est mal connu. Ces branches s'éteignirent toutes antérieurement au XVème siècle.

Principales alliances : de Brosse vers 1220, de Beaumont-Bressuire 1243, 1402, du Vergier (de la Rochejaquelein) vers 1245, de Vivonne 1606, de Machecoul vers 1340, de Craon, de Chastillon 1446, 1735, de Courcillon 1444, de la Rochefoucauld vers 1430, 1620, 1707, 1757, 1780, 1545, de Rochechouart 1437, 1751, de Maillé de la Tour-Landry vers 1560, de Saint-Maure 1456, de Luxembourg 1485, d'Estissac 1506, de Saint-Gelais 1506, de Pierrebuffiére 1551, de Pisseleu 1540, d'Anglure 1560, de la Châtre 1564, de Durfort de Duras vers 1560, de Clermont-Gallerande, d'Harcourt, de Vernou, de Créqui 1669, de Rohan 1645, 1688, 1663, de Lur (de Saluces) 1604, de Lespinay, de Coetquen 1662, de Melun d'Epinoy 1668, du Bec-Crespin 1678, de la Marck-Schleiden 1700, de Berghes de Grimberghes 1710, de Roquelaure 1708, de Gelas-Lautrec 1739, de Los Rios de Fernan-Nunez 1729, de Crussol d'Uzès 1758, du Breil de Rays 1729, Howard de Stafford 1744, de Clermont d'Amboise 1749, de Beauvau 1764, de Montmorency 1785, de Sérent 1808, de Gontaut-Biron 1812, 1817, de Lambertye 1817, d'Estourmel 1822, de Béthisy 1841, Esterhazy de Galantha 1847, Rouillé de Boissy 1843, de Montault 1871, de Rougé de Caylus 1888, de Talleyrand-Périgord 1891, de Talhouet 1906, Murat 1897, Riquet de Caraman 1900, de Bastard 1892, de Chabrol 1860, Leclerc de Juigné de Lassigny 1894, de Biencourt 1831, de Francqueville 1870, de Villeneuve-Bargemont 1860, de Pins 1868, de Montesquiou Fezensac 1874, Terray de Morel-Vindé 1867, de Pons-Saint-Maurice 1759, de Castellane 1778, 1815, Fitz-Gérald (des ducs de Leinster) 1809, 1844, Gouffier 1549, de Saulx-Tavannes 1576, 1579, le Veneur de Tilières 1578, de Lorraine 1583, de Vergy 1584, Hurault de Cheverny 1588, d'Aumont, d'Halwin de Piennes 1559, de Marmier, Bernard de Montessus 1590, de Bonneval, de Coligny 1594, de Loménie 1622, de Saint-Lary de Bellegarde 1619, de Parthenay 1299, de Bertrand de Bricquebec, de Sancerre, etc.

(Chaix d'Est-Ange).

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