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LA FAMILLE de CADORET.

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CADORET (de). Armes : de gueules à deux croissants d'argent en chef et une étoile d'or en pointe.

Le nom de CADORET, assez répandu en Bretagne, y a été porté par plusieurs familles distinguées. La seule de ces familles qui se soit perpétuée jusqu'à nos jours appartient à la région de Nantes. Son auteur, René Cadoret de la Blotière, fut anobli par l'échevinage de cette ville qu'il exerça en 1642 et 1644. Elle fut maintenue dans sa noblesse en 1669, en conséquence des privilèges de la mairie de Nantes, par jugement des commissaires chargés de la réformation.

La famille de Cadoret n'est pas titrée.

Elle a fourni des officiers.

Principales alliances : de la Monneraye, de la Grandière.

Il a existé dans la même province, au diocèse de Saint-Brieuc, une famille de Cadoret, de noblesse ancienne, qui portait pour armes : d'or à deux fasces de gueules, à l'orle de merlettes de même. Cette famille a possédé une seigneurie de son nom, dans la paroisse de Guégon, et une seigneurie de l'Epineguen, dans la paroisse de Ploufragan. Elle était connue dès le XIIIème siècle et figura de 1423 à 1513 aux réformations et montres de la noblesse de sa région. Jean Cadoret, ayant épousé la fille unique de Jean d'Estuer, chambellan du duc en 1451, substitua à son nom celui de la famille d'Estuer qui fut conservé par ses descendants. Cette famille de Cadoret était éteinte dans toute ses branches lors de la grande recherche des faux nobles commencée en 1666.

Une famille de Cadoré a appartenu à l'ancienne noblesse du diocèse de Rennes. Elle portait pour armes : d'azur à un ours bridé d'argent. Son auteur, Robert Cadoré, était en 1420 conseiller et secrétaire du duc Jean V. Elle figura de 1427 à 1513 aux réformations et montres de la noblesse de la paroisse d'Amanlis et s'éteignit antérieurement à la grande recherche de 1666. C'est par erreur que Potier de Courcy lui a attribué un Bernardin Cador, né à Angers en 1570, qui fui nommé en 1597 conseiller au Parlement de Bretagne.

(Chaix d'Est-Ange).

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