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LE CONSEIL DE FABRIQUE |
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Sous l'Ancien Régime, il existait dans chaque paroisse et dans chaque trève, un conseil de fabrique. Par définition, un conseil de fabrique ou fabrique est un groupe de personnes qui veillent à l'administration des biens de l’église. Il en existait un pendant très longtemps à Saint-Michel-en-Grève. En fait, c’est une institution très ancienne qui avait pour but essentiel de s’occuper de la construction, du chantier de l’église et qui va perdurer après la Révolution.
Les séances avaient lieu en présence du recteur dans la sacristie ou le presbytère, lieu habituel des réunions à l‘époque. Cet organisme était ordinairement composé de 12 paroissiens ou délibérants qui sont d’anciens trésoriers qui formaient le « corps politique » et d’un trésorier en exercice appelé « fabrique ». Le « corps politique » s’est mis en place dans la période 1700-1730.
Le nombre des postes à pourvoir et la taille des localités expliquent pour partie les nominations les moins brillantes. Ainsi qu’il est expliqué à St Michel-en-Grève le 15 mars 1789 (AD22 – 20G587) : « à peine on peut trouver douze délibérants, des fabriques et des collecteurs des droits royaux et pour les trouver on est obligé de prendre même des pauvres ». Les paysans de St Michel-en-Grève, au début très réticents, sont alors encouragés par le recteur à participer à la direction des affaires communes.
On ne faisait pas partie du « corps politique » immédiatement après avoir été fabrique mais seulement quelques années plus tard, quand il fallait remplacer les membres qui mouraient ou démissionnaient. Les membres étaient souvent introduits par leurs pairs ou leurs parents : l’un des nouveaux fabriques de St Michel-en-Grève, en 1783, Pierre Le Guern, est présenté comme le « collègue » d'Yves Guiomar, l’un des sortants (AD22-20G587 – 21 décembre 1783).
Par le biais du corps politique, les paysans de St Michel-en-Grève furent plus ou moins formés à l’administration et grâce à cette expérience, ils furent moins désemparés lorsqu’il fallut au début de Révolution occuper des postes de maire et d’officiers municipaux. Dans la deuxième moitié du 18ème siècle, le corps politique de Saint-Michel-en-Grève fonctionne bien, malgré quelques petits accrochages de temps en temps avec le recteur. C’est le cas en 1789, avec le recteur Cosme Marie Jourand (né le 07/09/1734 à Plouguiel et décédé en 1807).
Convoqué par l’un au moins des trésoriers en place, le corps politique se réunit entre 1770 et 1790, en moyenne trois fois par an. En fait le corps politique pouvait se réunir plus souvent, tout dépendait des affaires qui se présentaient. Le taux d’alphabétisation des délibérants du corps politique de Saint-Michel-en-Grève en 1780, était le suivant :
Délibérants : 12 |
Signatures : 11 |
Dont signatures maladroites : 6 |
La tâche est importante, car l’église de St Michel requiert de fréquents travaux et réparations : agrandissements pour faire face à l’accroissement de la population de paroissiens (avec le rattachement de quatre villages de Trédrez : Kernevez, Toul-ar-Voinic, Bec-ar-Chra et Tachen-Besquello), dégâts causés au moment de la guerre de la Ligue, dégâts causés par les intempéries.
Le conseil de fabrique avait à sa tête un président, un secrétaire et un trésorier que l’on désignait par différents termes : fabrique, fabricien, fabriqueur ou encore marguillier. En principe, le trésorier ne devait s’occuper que des biens de l’église et du casuelle (gestion des dons, qui semble-t-il étaient assez nombreux, voir en annexe). Le maire et le recteur y siégeaient de droit. Les autres membres étaient nommés par le préfet et l’évêque.
Le budget de l’église de St Michel-en-Grève qui doit être présenté tous les ans à l’évêché et à la préfecture, est donc liée durant toute son histoire à un personnage : le marguillier. Celui-ci est en effet chargé d’administrer les revenus et les biens de l’église. Si aucun droit de patronage n’est attaché à l’église (nobles, ordres religieux,..), ce qui est le cas de l’église de St Michel-en-Grève, le marguillier est nommé par une assemblée de paroissiens : la fabrique. Cette assemblée, convoquée généralement par le recteur, se réunit souvent le dimanche dans la sacristie de l’église ou dans le presbytère (exceptionnellement au cabaret du bourg) pour discuter des affaires de la paroisse. A St Michel-en-Grève, participent aux délibérations le recteur, le maire et cinq notables de la paroisse. La fabrique est nommée généralement pour une durée déterminée variant le plus souvent entre un et trois ans. Ce qui n’est pas toujours le cas à St Michel-en-Grève puisque Yves Nédélec a été marguillier de St Michel pendant plusieurs années. Le date d’entrée en fonction se fait souvent à Pâques au mois d’Avril.
Le marguillier est recruté parmi les paroissiens les plus aisés, il doit être jugé suffisamment digne de confiance et capable pour se voir confier les finances, quelquefois importantes de l’église. La honte d’une mauvaise administration ou gestion peut retomber sur lui : le 18 août 1782, Jacques Aurégan de St Michel-en-Grève dépose son compte pour l’année précédente et il est mentionné au cahier des délibérations de la paroisse que celui-ci a été « rectifié par le seigneur comte évêque de Tréguier au cours de sa visite dans cette paroisse le 30 juillet dernier » (AD22-20G587). Le trésorier sanctionné ne sera jamais admis, par la suite, comme membre du corps politique. Alain Coden, grand fabrique de St Michel-en-Grève, en 1789, est retenu car il est connu « comme un paisan bien honête et bien propre à remplir dignement cette charge et cette fonction » (AD22-20G587 – 15 mars 1789). Difficile de dresser un portrait social du marguillier, mais il s’agit souvent après la Révolution d’un membre influant du conseil municipal (Yves Nédélec, Yves Thos, Louis François Fountas..).
Les femmes n’apparaissent généralement jamais dans les assemblées des généraux de paroisse et n’y obtiennent pratiquement aucune fonction : elles sont exclues de la vie publique. Rares sont les paroisses comme St Michel-en-Grève qui leurs offrent un petit rôle (AD22-20G587). En effet, à St Michel-en-Grève, en 1788, celle qui est chargée de la quête pour les captifs (confrérie des Captifs) est Françoise, la fille de René Thomas, l’un des délibérateurs.
A St Michel-en-Grève, le cahier des délibérations de la fabrique est placé dans une armoire spécialement destinée au service de la fabrique ; cette armoire ferme à une seule clef détenue suivant les circonstances par les fabriques et, plus rarement, par le recteur (AD22-20G587). Pour ceux qui voudraient se plonger dans les finances de l’église de St Michel-en-Grève, voici comment se présentent les comptes de fabriques. Le compte est divisé en deux parties : une colonne « Revenus », qui regroupe les recettes de l’église, et une colonne « Charges », comprenant cette fois les dépenses. Le marguillier énumère quelquefois en les classant, les différentes recettes (rentes, offrandes) et dépenses qu’il a touchées ou effectuées pour l’église. Il en précise la nature et le montant. Notons enfin que la monnaie en usage au XVIIIème siècle est la livre : une livre vaut vingt sous (ou sols), un sol vaut douze deniers. Puis plus tard le franc.
Les Revenus |
Les recettes enregistrées par les comptes sont généralement de deux sortes : rentes et recettes extraordinaires ou « casuelles ».
Les « casuelles » sont constituées par les offrandes, dont le revenu est évidemment variable selon les années. Les offrandes en nature étaient généralement vendues aux enchères le dimanche après la grande messe au pied de la croix ou calvaire, après que le recteur l’eut annoncé en chaire et signalé le nom du fidèle généreux. Les produits tels que le blé et le lin qui avaient été déposés dans l’église ou les chapelles de la paroisse au fil des semaines étaient quelquefois vendus à des jours convenus ou lorsque la quantité était jugée suffisante. Il arrivait du reste que les produits offerts fussent volés.
Les rentes sont constituées en faveur de l’église par des particuliers, des nobles surtout (ex. Mr de Kéropartz, Mlle Marie Joseph Le Neuder,…). Ce sont des revenus fixes ou réguliers. Les unes résultent du patrimoine de l’église, c’est-à-dire de terres et d’habitations qui, au fil des siècles, ont été léguées à la fabrique par testament. L’église est propriétaire de la rente mais pas toujours de la terre sur laquelle elle touche ce revenu. Les autres revenus sont des fondations : des particuliers en vertu probablement de clauses testamentaires, se chargent annuellement de faire célébrer des messes et des services pour les défunts. Les rentes peuvent être versées sous deux formes : en espèces ou en nature (céréales, animaux,..).
Ces rentes d’ailleurs divisent régulièrement la noblesse et le clergé de St Michel-en-Grève, car la générosité des parents envers l’église de St Michel n’est en général guère appréciée des enfants, qui voient leur patrimoine amputé d’autant. Dans un grand nombre de cas, les héritiers nobles cessent purement et simplement de payer les rentes prévues par leurs aïeux fondateurs. Reculant devant des procès qui coûteraient souvent plus cher que ne rapporteraient les rentes, le fabrique préfère souvent abandonner la partie, et le recteur doit alors se résoudre à réduire le nombre de fondations desservies ; c’est le cas en 1774 et 1788 à Saint-Michel-en-Grève. Il en résulte un manque à gagner pour la fabrique et le recteur. Les offres de rachats d’une rente sont aussi fréquentes. Le 30 décembre 1787, Pierre Le Gall de St Michel-en-Grève profite du mauvais état des archives de la fabrique pour proposer 20 livres en remboursement d’une rente de 20 sols due sur une maison du bourg. Les délibérateurs acceptent prétextant une bien éventuelle prescription (AD22 – 20G587).
Avec la montée des prix, les revenus fixes, tels ceux des fondations, se déprécient rapidement. Aussi voit-on un peu partout les recteurs obtenir de l’évêque la réduction des fondations « perpétuelles » : à Saint-Michel-en-Grève, en 1774, celle de Richard Pierre, qui comportait une messe hebdomadaire pour 4 boisseaux de froment et 12 sols en argent, est réduite à 3 messes par mois ; celle de la demoiselle de Troroch, datant de 1692, qui, pour 8 livres 15 sols, se composait d’une messe le premier jeudi de chaque mois et de deux services par an, est réduite à un service annuel ; celle de Coatbruc, rétribuée 4 boisseaux de froment, passe d’une messe hebdomadaire à trois par mois et un service annuel ; celle de Jeanne Hamon est ramenée de 12 à 10 messes par an pour 6 livres. En 1788, le recteur procède à un deuxième train de réduction, portant sur cinq fondations : celle de Jean Hamon descend à 6 messes annuelles ; celles de Rolland Gueguen qui, pour 3 livres, comportait 3 messes annuelles à chant avec un De Profundis et un Pater sur la tombe du défunt, est réduite à deux messes à chant.
L’église ne touche en réalité que les deux tiers des offrandes données par les fidèles. L’autre tiers revient généralement au recteur de la paroisse. La fabrique de St Michel-en-Grève nous fournit un autre renseignement sur les offrandes : leur répartition dans l’année. Le mois pendant lequel l’église reçoit le plus de dons est le mois de septembre. Cela s’explique par la tenue, à la St Michel-en-Grève, du pardon. Une grande partie des offrandes versées pendant ce mois est d'ailleurs concentrée sur le jour du pardon. Le pardon représente donc pour la fabrique une source de revenus essentielle.
Les Charges |
Les dépenses réalisées par la fabrique de St Michel-en-Grève sont de deux sortes : celles liées au fonctionnement de l’église ou les dépenses extraordinaires.
L’activité journalière de l’église nécessite des dépenses couvrant les frais d’administration, de liturgie et d’entretien de l’édifice. La fabrique doit payer les frais occasionnés par la confection du compte : prix du timbre, rémunération du comptable chargé de sa rédaction.
A ces dépenses s’ajoute le règlement du prêtre qui assure l’activité religieuse de l’église. Ce règlement correspond à une partie des messes de fondation que le prêtre a célébrées dans l’année. Une troisième catégorie de dépenses ordinaires concerne l’achat de matériel et l’entretien des linges : sont achetés des cierges et de la cire pour l’éclairage de l’église, ainsi que des cordes pour la cloche. A cela s’ajoute les frais de blanchissage des nappes, ornements, etc.. Ces dépenses représentent environ 10% des dépenses totales.
Enfin la plus grande partie des dépenses dites ordinaires, près des deux tiers, porte sur l’entretien de l’édifice et du mobilier. Ces dépenses sont très variables et leur part dans le budget est irrégulière. Les années de grosses tempêtes elles peuvent représenter près de 80% du total des dépenses. Cet entretien nécessite l’achat de matériaux : fer, bois, pierres, ardoises, clous,…. Il nécessite également le travail d’artisans : couvreurs, maçons, menuisiers,… Les plus fortes sommes d’argent sont dégagées pour le gros œuvre : réparation de la toiture, agrandissement du cimetière. Les portes et les fenêtres sont également régulièrement remises en état. En 1782, Monseigneur Le Mintier, évêque de Tréguier, demande la réparation de l’église et de ses alentours puis la fait interdire (AD22-20G587). Après la Révolution, l’église de St Michel-en-Grève, déjà mal en point avant 1789, est dans un état si pitoyable que la commission départementale chargée d’établir les sites à reconstruire indique, le 29 novembre 1811, qu’il vaut mieux ne pas la rebâtir et rattacher la paroisse à celle de Tréduder. Mais située à l’entrée de la Lieue de grève sur une route départementale de première classe, St Michel-en-Grève est aussi relais de diligence. C’est à cette qualité que l’église doit être reconstruite à partir de 1816. Le chantier dure jusqu’en 1850.
Selon que les finances paroissiales sont en bonne santé ou déficientes les solutions adoptées par les généraux de paroisses pour secourir les pauvres varient totalement. A St Michel-en-Grève, lors des délibérations des 2 et 18 avril 1786 (AD22-20G587), une liste de 28 pauvres de la paroisse est dressée et on y évoque toutes les possibilités de subvenir à leurs besoins. Les délibérateurs concluent à une solution qui les implique directement « ….. On arétés ce qui suit primo de sobliger et d’obliger les autres habitans Chacun suivant son aisance et capacité de nourrir et vetir les dits vingt-huit pauvres jusques au mois d’aout prochain inclusivement. Secondo, considérant les difficultés qu’on aurait et même l’impossibilité de faire les quêtes tous les mois ni mêmes tous les huit jours pour parvenir à la subsistance des mêmes pauvres, la difficulté de la distribution qu’auret peu produire cette quette, ils ont fait la répartition entre eux et les autres habitans de laditte paroisse… ». 25 personnes sont désignées, le recteur fait partie de la liste avec 13 délibérateurs, 4 fabriques (anciens, futurs ou en charge), 4 gouverneurs de chapelles ou de confréries et un « égailleur » ; 2 femmes qui n’apparaissent qu’à cette occasion, complètent le nombre. L’assistance des pauvres est l’affaire de la partie la plus en vue de la paroisse de St Michel-en-Grève. Le recteur mais encore 5 particuliers se chargent chacun de 2 personnes (un enfant et un adulte). Yves Carré qui accepte de s’occuper d’un infirme reçoit en même temps un jeune homme de 16 ans.
Une demande d’agrandissement et de clôture du cimetière est faite en 1838 « …le cimetière est insuffisant pour les inhumations de Tredrez et de Locquémeau…il y a danger d’épidémie…Le cimetière n’étant pas assez grand pour les inhumations de la succursale et des communes réunies ». Il faut noter qu’en 1838, St Michel compte 350 habitants.
Le conseil de Fabrique tentera également en 1894 de vendre un bien pour payer les travaux de réfection du parquet du chœur et de la sacristie. Dans une lettre datée du 21 août 1894, il est dit : « …nous est autorisé à vendre au Sieur Yves Marie Le Parquer demeurant à Ploubezre, moyennant le prix de 390 fr, égal au montant de l’estimation, les deux tiers de la foncialité d’une piéce de terre dite Parc Mez-Guen (situé en Trédrez, portant le N° 607, section B au plan cadastral de la commune de Trédrez), appartenant à la fabrique depuis 1721 et libre de charge. Le produit de cette vente sera employé au paiement des travaux de la réfection du parquet du chœur et de la sacristie de l’église ». Par délibération du 11 Novembre 1894, approuvée le 12 Novembre de la même année, il est demandé l’autorisation de traiter de gré à gré avec Mr le sculpteur Le Mérer de Lannion pour les travaux de réfection du parquet du chœur et de la sacristie. Les frais supportés par la fabrique sont estimés à 763 fr. et 62 c. (devis estimatif).
En 1851, le conseil de fabrique de Saint-Michel-en-Grève sera révoqué sur demande de l’évêque de St Brieuc (courrier en date du 23 décembre 1851) pour avoir négligé de présenter le budget de cet établissement pour l’exercice 1852. L’arrêté daté du 14 Janvier 1852 précise :
« Article 1
Le conseil de fabrique de l’église succursale de St Michel-en-Grève est révoqué.
Article 2
Il sera procédé à la formation d’un nouveau conseil de fabrique d’après les règles établies par l’article 6 du décret du 30 décembre 1809.
Article 3
Les administrateurs révoqués seront tenus de rendre compte de leur gestion au nouveau conseil de fabrique…
Article 4
Mr l’évêque de St Brieuc et Mr le Préfet des Cotes-du-Nord sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté. »
. En 1803 Composition du Conseil de fabrique : Mathias Le Bourhis Pierre Thomas, l’ainé Théodore Guegen François Meuric Yves le Martret François le Guern A noter que François Meuric démissionnera le 8 mars 1806 et sera remplacé par François le Guern. Théodore Guegen et Pierre Thomas ont été nommés par le préfet. |
. En 1839 Composition du Conseil de fabrique : René Geffroy, maire Jean Dollo, recteur et secrétaire Yves Thos, trésorier Jean François Moriou Jean Marie Kirzin (jeune homme) Yves Auregan Pierre le Bourzec A noter que Thos, Moriou et Kirzin ont été nommés par l’évêché (sur proposition du recteur). Auregan et Le Bourzec ont été nommés par le préfet (sur proposition du maire). |
. En 1842 Composition du Conseil de fabrique : René Geffroy, maire, nommé en Avril 1842 Jean Dollo, recteur, Yves Thos, nommé le 26 Avril 1840 Jean François Moriou, nommé le 18 Avril 1841 Jean Marie Kirzin Guillaume le Marrec Pierre le Bourzec Composition du bureau (nommé par le conseil) Jean Dollo (recteur) René Geffroy (maire) nommé en Avril 1842 Jean François Moriou nommé le 18 Avril 1841 Yves Thos nommé le 26 Avril 1840 Elu par le bureau le 3 Avril 1842 Président : Jean François Moriou Secrétaire : René Geffroy Trésorier : Yves Thos
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. En 1852 Composition du Conseil de fabrique : René Geffroy, maire Pierre Le Poncin, recteur, Louis Guegan (du bourg), nommé le 2 Février 1852 Louis François Fountas, nommé le 2 Février 1852 Mélard Le Neuder, nommé le 2 Février 1852 Yves Auregan (fils), nommé le 6 Février 1852 Guillaume Le Marrec, nommé le 6 Février 1852 A noter que Guegan, Fountas et Le Neuder ont été nommés par l’évêché (sur proposition du recteur). Auregan et Le Marrec ont été nommés par le préfet (sur proposition du maire). Composition du bureau (nommé par le conseil) Pierre le Poncin (recteur) René Geffroy (maire), nommé le 8 Février 1852 Le Neuder, nommé le 8 Février 1852 Fountas, nommé le 8 Février 1852 Elu par le bureau le 8 Février 1852 Président : Geffroy (maire) Secrétaire : Le Poncin (recteur) Trésorier : Fountas |
. En 1867 Composition du Conseil de fabrique : Yves Marie Le Coz, recteur, Yves Thos , nommé le 28 Avril 1867 Pierre Berthou, nommé le 28 Avril 1867 Jean Michel Le Sont, nommé le 28 Avril 1867 Yves Nédélec, nommé le 3 Avril 1864 François Mie Quesseveur, nommé le 3 Avril 1864 Composition du bureau (nommé par le conseil) Pierre le Poncin (recteur) Pierre Berthou , nommé le 23 Avril 1865 Yves Nédelec, nommé le 8 Avril 1866 Jean Michel Le Sont, nommé le 28 Avril 1867 Elu par le bureau le 28 Avril 1867 Président : Berthou Secrétaire :Le Coz (recteur) Trésorier : Nédélec |
. En 1884 Composition du Conseil de fabrique : Yves Auregan, maire Théodore Le Heu, recteur, Yves Nédélec, nommé le 16 Avril 1882 Jérôme Raoul, nommé le 16 Avril 1882 Yves Marie Bricquir, nommé le 20 Avril 1879 François Bonniec, nommé le 20 Avril 1879 Nicolas Droniou, nommé le 5 Octobre 1879 Composition du bureau Président : Bricquir Secrétaire : Raoul Trésorier : Nédélec. |
. En 1887 Composition du Conseil de fabrique : Yves Auregan, maire Eugène Raul, recteur, Yves Nédelec, nommé le 16 Avril 1882 Jérôme Raoul, nommé le 12 Avril 1885 Yves Michel (Marie) Bricquir, nommé le 16 Avril 1882 François Bonniec, nommé le 12 Avril 1885 Nicolas Droniou, nommé le12 Avril 1885 Composition du bureau Président : Bricquir Secrétaire : Bonniec Trésorier : Droniou. |
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Par la suite, la liste des membres du conseil de fabrique n’est plus mentionnée dans les « Comptes de Fabrique » de St Michel-en-Grève. On ne retrouve que la signature de certains membres en bas des « Comptes de Fabriques ».
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