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BARBECHAT |
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La commune de
Barbechat ( |
ETYMOLOGIE et HISTOIRE de BARBECHAT
Barbechat vient du celte "bar" (colline) et "bech" (barrière élevée).
Le village primitif de Barbechat semble remonté à l'an 777. C'est un dénommé Toimeldus Twingen qui en est le seigneur vers 990.
Dans un acte daté de 1050, il est mentionné une seigneurie du nom de Barbechat et un dénommé Guielmus de Barbechat qui réside au Bois-Guillet.
Le village de Barbechat est rattaché à La Chapelle-Basse-Mer en 1653. Il s'en sépare dès 1777 pour devenir une commune à part entière en 1868. Lorsque la commune de Barbechat obtient son indépendance en 1868, aux dépens de La Chapelle-Basse-Mer, sur la demande du docteur Attimont, propriétaire de La Sangleri et du Bois-Jahan, on fit un transfert de nom, le nouveau Barbechat se greffa sur le Bois-Guillet. On voit près de l'église en ruines du vieux Barbechat, une motte féodale ou un tumulus.
Nota : il existe au Pertuis-Cheurin, trois grottes dont une dédiée à Sainte Madeleine.
PATRIMOINE DE BARBECHAT
l'église
Sainte-Marie-Madeleine (fin du XIXème siècle). L'église primitive se
trouvait jadis au Perthuis-Churrin avant d'être transférée à la fin du
XVIIIème siècle au Bois-Guillet. Un nouveau sanctuaire est construit entre
1770 et 1771. Celui-ci est détruit en 1886 et remplacé par l'église
actuelle située au bourg ;
les
vestiges de la chapelle-Magdeleine (XIIIème siècle), situées au Bordage.
L'église est transférée au Bois-Juillet vers 1769 ;
la
croix hosannière (XVIII-XXème siècle), située place de l'Eglise ;
la
croix Attimont (XIXème siècle), en fer forgé et en pierre ;
le
château de la Berrière (XVIII-XIXème siècle). Le château primitif date
du XVème siècle. Propriété de Pierre Eder (en 1420), puis des familles
Goulaine (en 1480), Sesmaisons (jusqu'en 1603) et Vaux (jusqu'en 1713), de
Nicolas Ballet, seigneur de La Chapelle-Basse-Mer (en 1713) et de François
Bertrand de Coeuvres (en 1737). Ce château est brûlé sous la Révolution
et reconstruit au début du XIXème siècle par Charles Etienne Antoine Le
Moyne de Beaumarchais. Il est la propriété de Paul Bascher à partir de
1825 ;
le
château de Beau-Soleil (1840). Propriété de Gabriel Doré en 1696 et de
Joseph de Mauvillain en 1764. Les successeurs sont : Brin (ou Brun) de
Beausoleil, Potier de la Morandière et Pavret de la Rochefordière. Le château est reconstruit en 1840 par la
famille Brun (ou Brin), avant de passer entre les mains de la famille Potier de La
Morandière ;
le
château de la Mondérie. Propriété de la famille des Thébaud (ou
Thébault) de la Mondérie (dont l'un des membres a publié son exploration
en Guyane). Il appartient de nos jours à la famille de
Boussineau, héritière des familles Berthrand de la Boissière, des Bascher
et des Becdelièvre ;
le
manoir de la Charaudière. Propriété de la famille Bureau de la
Gaudinière, parents de Volney et de Besnard de la Giraudais ;
la
maison du Bois-Géant (ou Bois-Jahan). Ancienne propriété de la famille Moricaud de la
Haie, alliée aux Montaudouin, puis propriété de la famille Attimont
(originaire du Cellier) ;
la
maison de La Sanglère. Siège d'une seigneurie qui possédait un droit de
haute justice. Propriété de la famille Angevin, puis de la famille
Moricaud de La Haye. Leur héritier Alinez d'Elva vend le domaine en 1888 ;
la
fuie (vers le XVIIIème siècle), située à La Berrière ;
A signaler aussi :
un
pont gallo-romain ;
ANCIENNE NOBLESSE de BARBECHAT
(à compléter)
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