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L'ABBAYE SAINT-SAUVEUR : LA FONDATION. - LES ANCIENS BATIMENTS. - LA RECONSTRUCTION AU XVIIème SIÈCLE. - LA GALERIE SOUTERRAINE.

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« De vastes prairies que cernent des collines font à la vieille cité monastique de Redon un cadre d'une mélancolie apaisante » [Note : L'expression est de M. Alain du Cleuziou à la page 86 de son bel ouvrage : La Bretagne de l'origine à la réunion (St-Brieuc, librairie Prud'homme, 1909)]. Pendant de longs mois de l'année, les eaux débordées de l'Oût (ou l'Oust) et de la Vilaine les recouvrent d'une nappe immense qui miroite au pâle soleil et se ride au souffle des vents ; des nuées d'oiseaux aquatiques s'y ébattent et des barques à fond plat y glissent entre les rangées de saules.

Le paysage devait être peu différent lorsque vers l'an 832, le prêtre Conwoion et ses compagnons, forts de l'appui de Noménoé, vinrent trouvers près de la fontaine de Lesfao en Sixt le machtiern Ratuili et lui demandèrent de leur concéder, vers le confluent des deux rivières, une portion de terre où fonder une abbayes qui se dressât aux confins de Bretagne « comme un solide bastion spirituel » (H. Waquet : Histoire de la Bretagne, p. 21) et une forteresse avancée gardant le Broérec (zone Est du pays de Vannes) contre les incursions des Franks.

La haute figure de Conwoion, le dernier en date des vieux Saints d'Armorique, apparaît lumineuse et magnifique au sein de la ténébreuse période du neuvième siècle. L'influence qu'il exerça sur l'époque carolingienne en Bretagne fut profonde et ne prit fin qu'avec sa mort.

Il naît, de famille noble, à Comblessac près de Guer, vers 790. Tour à tour archidiacre administrateur du diocèse de Vannes, abbé-fondateur de Redon, ami de Noménoé, créateur avec lui de la monarchie et de la nation bretonnes, ambassadeur à Rome, défenseur de la discipline ecclésiastique contre les évêques franks simoniaques de Vannes et de Quimper, comblé de faveurs par le Pape Léon IV, il rend le dernier soupir, victime des invasions normandes, le 5 janvier 868 [Note : Cette date a été établie par La Borderie dans sa Chronologie du Cartulaire de Redon, en se basant sur les chartes 68 et 240], au monastère de Maxent près de Plélan que le roi Salomon lui avait donné cinq ans plus tôt comme lieu de refuge éventuel en cas d'invasion du pays de Redon.

Abbaye Saint-Sauveur de Redon au XVIème siècle (Bretagne).

Le calme revenu, son successeur Ritcand rapporte à Redon le corps du fondateur qui fut inhumé dans l'abside de l'église abbatiale [Note : Selon le temoignage de Mabillon, renseigné par Dom Jacques du Chemin, sous-prieur de Saint-Sauveur, une grande partie des restes de Saint Conwoion étaient encore conservés et honorés à Redon au dix-septième siècle, dans le « coffre aux reliques »]. Avec le temps et en dépit des invasions et des guerres, les moines, qui avaient de très bonne heure adopté la règle bénédictine, firent de ce monastère l'un des plus importants et des plus fréquentés du Moyen Age, auquel la proximité du château de Rieux, résidence préférées des anciens rois et ducs, valut protection, faveurs et richesse. Souverains et puissants seigneurs, tant français que bretons, y vinrent en pèlerinages, laissant des souvenirs précieux de la dévotion qui les guidait.

Il y a quelques raisons de penser que le monastère primitif, placé d'abord sous le vocable de saint Etienne, s'élevait, entre le chevet de l'église actuelle et la Vilaine dont il dominait le cours ; mais on ne sait rien en somme des premières constructions. Lorsque l'abbé Jehan de Tréal eut, au XIVème siècle, enclos la cité d'une haute et forte muraille flanquée de nombreuses tours et garnie de créneaux et de mâchicoulis, celle-ci servit de clôture au monastère depuis la Porte Notre-Dame qui donnait accès au faubourg nord de la ville jusqu'au point où le rempart, après avoir suivi le cours de la Vilaine, s'en écartait définitivement. Longeant donc de tout près l'église abbatiale, dont deux chapelles s'appuyaient même directement à lui, ce mur d'enceinte descendait vers la rivière puis tournait brusquement au sud. Le flanquement en était assuré par une tour d'angle et par la « Tour au Duc », belle construction qui eût mérité de survivre, mais que l'on démolit vers 1860 pour édifier les communs du Collège. La tour suivante s'appelait « Tour du Pont-levis » ; une troisième, dite « Tour Minard », sous laquelle existait un passage voûté, donnait accès aux moulins à marée de Port-Nihan, au bas de la Place-aux-Anes. C'est sur cette place, donc vers l'angle sud-est de son propre enclos, que se trouvait l’ancienne entrée de l'abbaye avec la logette du guet.

Ce qu'il y avait au XVIème siècle dans l'espace compris entre le chevet de l'église et les bâtiments claustraux d'une part, et d'autre part la muraille et ses trois tours, nous est dit fort explicitement dans plusieurs documents contemporains. Une enquête du 7 avril 1579 (Arch. départ. d’Ille-et-Vilaine, H. 18 bis) déclare : « Derrière le chœur de l'église il y a une cour appelée le Petit Cloître où l'on voit une chapelle assez grande appelée la chapelle Saint-Etienne ». Un procès-verbal du 26 avril 1586 (Arch. départ. d’Ille-et-Vilaine, H. 17 et 18) ajoute : « Au pourpris de l'abbaye il y a plusieurs logis anciens, entre autres un grand corps de logis construit de pierres, dit Salle du Duc, joignant les murs de la ville et la Tour du Duc, où il est dit que les Ducs et Princes de Bretagne demeuraient, et auquel est quelquefois demeurant l'abbé de Redon, appelé aussi autrement Grand Cloître ; et en icelui il y a grandes salles, chambre à côté, et en l'une des dites salles quatre cheminées sur lesquelles il y a un grand écusson fort ancien armoyé des armes ducales à hauts fleurons [Note : Un autre document donne à la Salle au Duc une longueur du 97 pieds et une largeur de 29 pieds]. Plus, un autre corps de lois dit Logis Abbatial où il y a une grande salle longue de 64 marches, en laquelle il y a trois cheminées, et sur l'une des portes et entrée de la dite salle il y a un écusson ancien armoyé des armes ducales avec la couronne à hauts fleurons ».

Le Logis Abbatial de 1618 était une grande Construction carrée en forme de double pavillon. Au levant il touchait à la muraille avec vue sur la Vilaine et sur les moulins à marée ; au nord il était adjacent à la vieille Salle au Duc ; au midi et au couchant il joignait deux petites cours. Il avait trois portes d'entrée dont la principale, ouvrant au couchant, avait un fronton de pierre, blanche sculpté. Il possédait un jardin long de 64 pieds, large de 32, lequel se trouvait compris « entre ledit Logis Abbatial, la Salle au Duc, la chapelle Saint-Etienne et les murs ».

En 1650, ces trois édifices étaient, faute d'entretien, dans un état déplorable ; aussi fut-il décidé, par un accord passé le 16 septembre entre l'abbé commendataire Alexandre de Choiseul et les religieux, qu'ils seraient démolis sans délai. La Salle au Duc n'avait plus de raison d'être ; le culte de saint Etienne serait transféré dans une chapelle de l'église abbatiale ; quant au Logis Abbatial, Choiseul en cédait aux moines le fonds et la propriété à charge d'en faire bâtir un autre « proche la Béguine », clause qui demande quelque explication.

La maison dite « la Béguine » et ses dépendances — le tout appartenant à l'abbaye — occupaient un terrain compris entre l'église au sud ; le mur d'enceinte au nord au voisinage de la Porte Notre-Dame, la rue du Pilori à l'ouest et le Logis Saint-Roch à l'est. Longue de 26 pieds, large de 18, elle s'appuyait en appentis au mur-même de « vis-à-vis l'autel Saint-Joseph et Saint-Samson ». Elle comprenait un rez-de-chaussée, une chambre haute et un grenier, et communiquait directement avec l'église par une grande porte en plein cintre dont la trace se voit encore dans la muraille.

« La Béguine » passait pour avoir été la demeure de la duchesse Hermengarde d'Anjou, épouse d'Alain Fergent, amie de saint Bernard, protectrice de Robert d'Arbrissel, lorsqu'elle se retira du monde pour finir ses jours en recluse à l'ombre de l'Abbaye Saint-Sauveur. Dans la suite on logea en ce bâtiment les « fermiers » (receveurs) des moines. En 1650 il était habité par Dom Noël Thomas de la Reigneraye, prieur de Pléchâtel, bienfaiteur de l'abbaye et fondateur du monastère des Dames Calvairiennes.

Avant de construire un logis abbatial en un espace aussi exigu et d'accès aussi difficile, il y avait lieu de procéder à un aménagement préalable du terrain ; c'est pourquoi, le 15 février 1651, les religieux achetaient de Julien Josse une maison « joignant d'un bout à la Béguine, d'autre à la rue du Pilori, d'autre côté à la tour de l'église Saint-Sauveur, d'autre au degré (escalier) pour monter aux murailles ».

Cette maison fut aussitôt rasée afin que son emplacement formât une petite place entre la tour gothique et le nouveau Logis abbatial. Celui-ci, inséré en quelque sorte entre le mur d'enceinte et le mur de l'église ne pouvait en effet avoir de façade qu'à l'ouest. Sa construction ne fut terminée qu'en 1655 ; devenu en 1790 l'hôtel de ville de Redon, il a été démoli en 1906, Quant à la Béguine, les ruines qui en subsistaient avaient disparu dès 1679.

Le « Logis Saint-Roch », cité plus haut dans un acte, n'était autre que l'infirmerie ou maladrerie des religieux, située au pied de la « Butte » ou motte féodale qui s'élevait au nord de l'église Saint-Sauveur. On y accédait de la cour nord du monastère, étroite et irrégulière, par une petite porte percée dans le mur d'enceinte et munie d'un pont-levis pour franchir la douve. On avait alors à traverser le cimetière de l'abbaye qui, formant une bande de terrain entre la douve du rempart et la « Butte », servait de lieu de promenade et de méditation aux malades. Ce Logis Saint-Roch ne comprenait qu'une salle au rez-de-chaussée et une chambre à l'étage ; il disparut lors des nouvelles constructions de l'abbaye [Note : Peut-être fut-il désaffecté, auparavant, car à la date du 24 octobre 1573 un arrêt du Parlement avait enjoint entre autres choses à l'abbé commendataire Scotti de bâtir une infirmerie, construction pour laquelle il était autorisé à prendre des pierres à la Frovostaie].

Au dix-septième siècle, on entrait dans l'enclos de l'abbaye par deux portes dont l'une est encore visible et l'autre masquée par la devanture d'un magasin qui regarde la face sud de la tour gothique. La première de ces portes donnait accès à la porterie, la seconde à la cour principale du monastère. Entré dans cette cour, on avait à sa gauche (est) les cellules du cellerier et du dépositaire, puis l'hôtellerie où étaient accueillis les étrangers ; à sa droite la porterie et l'infirmerie ; en face de soi un vaste bâtiment qui renfermait réfectoire, procure, bibliothèque, chartrier, et cuisines en sous-sol... Plus loin, il n'y avait plus que le jardin potager et fruitier ; vaste, bien planté et ombragé, s'étendant jusqu'au rempart qui longeait la Vilaine. Au levant de ce jardin se trouvaient les écuries, au couchant la boulangerie et son magasin [Note : Il y a lieu de se reporter au plan et à la vue cavalière composés pour le Monasticon Gallicanum de Dom Germain, ouvrage détruit dans l'incendie de Saint-Germain-des-Prés, mais dont deux volumes de planches se trouvent à la Bibliothèque Nationale (vol. II, planche 61). Le plan a été reproduit par Aurélien de Courson à la page XXIV de son édition du Cartulaire de Redon].

Comme l'exige la règle monastique, le cloître des Bénédictins longeait le bas-côté méridional de leur église et communiquait avec elle par deux portes richement ornementées. Reconstruit, ainsi que le bâtiment qui en forme l'aile sud, avec l'aide du Cardinal de Richelieu [Note : On trouve à la date du 18 mars 1641 une transaction par laquelle le Cardinal cédait aux religieux l’écluse de Veildraie, la dime de Ressac et le fief de la Houssaye, à charge de faire les réparations nécessaires à l'église et aux bâtiments réguliers, L'écluse en question, dont le moral est aussi écrit Vieilledraye, située sur l’Oût (ou l'Oust), était louée 37 livres en 1637 et 80 livres en 1670], abbé commendataire depuis 1622, il fut certainement l’œuvre d'un architecte éminent, de sculpteurs habiles et d'ouvriers remarquables, tous demeurés inconnus. C'est l'un des plus parfaits exemples de l'architecture monacale de l'époque. Sur l'une des faces il est, doublé d'une galerie parallèle, voûtée comme lui, mais fermée et vitrée, donc à l'abris des intempéries, avec laquelle il se relie par de larges arcades en plein cintre sur piliers carrés avec chapiteaux d'une variété intéressante. Les portes sont surmontées de frontons demi-circulaires avec tympans décorés de sculptures très fines et très fouillées, et, aux quatre angles la voûte présente quatre caissons d'une belle ornementation.

Au côté est du cloître, l'ancienne sacristie de l'église abbatiale a été transformée en chapelle pour les Congrégations du Collège des Eudistes établi depuis plus d'un siècle dans l'ancien monastère. Les voûtes à cintre surbaissé de cette charmante salle retombent sur une unique colonne centrale de marbre noir ; elles portent sur leurs clefs artistement travaillées quatre motifs : les fleurs-de-lys de France, les hermines de Bretagne, la devise bretonne « Potius mori quam fœdari », et les armes de la Congrégation bénédictine de Saint-Maur à laquelle l'abbaye de Redon venait de s'affilier [Note : Cette affiliation eut lieu en 1628 ; les armes de la Congrégation de Saint-Maur étaient : le mot « Pax » au centre de l'écu, accompagné en chef d'une fleur-de-lys, et en pointe des trois clous de la Passion appointés].

An sud-est, le cloître aboutissait à la Salle du Chapître donnant sur le jardin, pièce très simple et très sobre dont l'entrée voûtée porte à ses angles des sculptures allégoriques représentant les « Quatre Arts ».

Avant de le quitter, précisons qu'après la reconstruction le cloître se trouvait encadré : au nord par le bas-côté de l'église abbatiale, à l'est par le bâtiment contenant les dortoirs et cellules, à l'ouest par l'hôtellerie, au sud par les nouveaux dortoirs dont Richelieu fit en partie les frais.

An-dessous de la Salle du Chapitre existe un souterrain dont il convient de dire quelques mots puisqu'il est devenu l'une des curiosités de Redon. En voici la description donnée par le Vicomte Hippolyte Le Gouvello à la page 376 de son « Histoire du Collège Saint-Sauveur » :
« Un escalier de pierre très bien voûté descend dans une large et humide galerie dallée et voûtée elle-même, Ce souterrain s'étend sous un préau, tourne à gauche, traverse en biais la terrasse [Note : Cette terrasse n’est autre que l'ancien rempart dominant la Vilaine] et se termine par un carrefour dont deux bras, celui de gauche et celui de face sont coupés par des murs ; le troisième bras, celui de droite, s'arrête à douze mètres de là en cul de sac dans le rocher. Le pavé de ces galeries est à dix mètres plus bas que le niveau du cloître (et de la salle Capitulaire). A leur point d'intersection, une fontaine est taillée dans le roc : une partie de ses eaux forment mare en cet endroit, le reste semble se déverser par des fissures profondes dans le puits à margelle blanche creuse, vers l'angle sud-est de la Cour aux Pauvres [Note : Cet angle est à peu près l'emplacement de la Tour au Duc qui faisait partie de l'enceine fortifiée construite au quatorzième siècle]. D'après l'orientation des corridors, nous croirions volontiers que cette galerie souterraine servait de chemin secret entre le monastère et quelque barbacane située sur la Vilaine ».

Contrairement à ce que l'on a souvent dit, la découverte de cette belle galerie souterraine ne fut nullement due aux travaux nécessités par la construction d'une salle des fêtes au Collège en 1893. Un coup d'œil jeté sur le plan de l'Abbaye an XVIIIème siècle, dont nous avons parlé plus haut, prouve qu'à cette époque le souterrain était connu et peut-être utilisé. Il y est marqué de la lettre H avec l'indication latine « cryptoporticus » (galerie souterraine), et son entrée, formée d'une porte carrée, est encore, bien que murée, parfaitement visible : De plus, il est éclairé en partie par un soupirail qui existe toujours sous les fenêtres de l'ancienne Salle Capitulaire.

M. l'abbé Trévily, supérieur du Collège Saint-Sauveur, nous fait remarquer que dans le dictionnaire de Gaffiot, actuellement reconnu comme le meilleur, le seul sens donné au mot « cryptoporticus » est celui de « galerie fermée ». A son avis, cette galerie n'est autre que celle qui s'étend parallèlement à la face sud du cloître, la porte dont parle le Comte de Laigue ayant été simplement destinée à faire communiquer de façon commode cette galerie avec le jardin du monastère. Dans la vue cavalière du « Monasticum », l'incation « cryptoporticus », bien que placée au-dessus de cette porte, semble viser en effet toute la rangée de fenêtres du corps principal du bâtiment sud.

Il y a lieu de noter d'autre part que la perte en question aujourd'hui à demi enfouie dans la terre, est éloignée d'une douzaine de mètres de l'entrée actuelle du souterrain dont elle se trouve séparée par de gros murs de fondations.

M. l'abbé Trévily en conclut qu'il y a bien eu en 1892 découverte du souterrain muré lors des reconstructions de 1640. La tradition de son existence avait dû, comme il arrive toujours en pareil cas, se mêler de racontars et de légendes au point de perdre peu à peu toute précision. Quelques personnes, au milieu de nombreux sceptiques, prétendaient savoir qu'un souterrain existait, mais aucune d'elles n'aurait pu en fixer l'emplacement exact.

C'est ce qui ressort du récit publié dans le « Messager Redonnais » de l'année 1892-93, page 107, reproduit dans « l'Histoire du Collège Saint-Sauveur ». Nous avons tenu à exposer intégralement les deux interprétations du « cryptoporticus », laissant à ceux qui nous liront le soin de choisir ou d'en proposer quelqu'autre.

(R. de Laigue).

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